Fin de cavale pour le deuxième détenu échappé de la prison civile d'Abomey-Calavi
Le sieur Judicaël Alozohoue alias Sunday en cavale depuis son évasion le 19 octobre dernier a été arrêté dans la nuit du vendredi 03 au samedi 04 décembre 2021 à quelques encablures du stade de l'amitié général Mathieu Kérékou à Cotonou. Le détenu retrouve en cellule son compagnon (Séraphin Vigninou arrêté le 28 octobre dernier) avec lequel il s'était tous deux échappés de la prison. La tête des deux détenus avait été mise à prix.
M. M.
Depuis le 1er juin 2021, date de la réouverture des frontières algériennes, les vols et dessertes commerciales se multiplient, particulièrement avec la France qui s’est taillé la part du lion. 48 vols hebdomadaires sont effectué entres les deux pays dont les compagnies se partagent le nombre.
Avec les vacances de Noël et la demande qui augmente, les compagnies aériennes ne peuvent que se réjouir. Dans ce contexte, Transavia effectuera des vols vers l’Algérie jusqu’en janvier. En d’autres mots, il y a encore des vols disponibles pour la période d’après le 16 décembre
Pour rappel, la compagnie étrangère opère des vols à partir des aéroports de Paris Orly, Lyon, Montpellier et desservira Alger, Oran et Constantine. Quant aux prix des billets, ils ne connaissent pour le plus grand de la diaspora algérienne, aucune baisse.
En essayant de réserver sur le site de la compagnie française « à bas prix », les prix affichés étaient en effet supérieur à 580 euros pour un simple allé vers l’Algérie. Il s’agit de l’obstacle le plus durs auquel se heurtent les membres de la diaspora notamment les étudiants et les familles nombreuses.
Nouvelles restrictions pour entrer en FranceTous les voyageurs en provenance de pays hors de l’Union européenne, qu’ils soient ou non vaccinés, sont tenus à présenter un test de covid-19 négatif, réalisé dans un délai de 48 heures. Cette nouvelle mesure drastique entre en vigueur à partir d’aujourd’hui, samedi 4 décembre.
Pour ce qui les vols depuis les pays d’Afrique australe, suspendus depuis la fin de la semaine dernière en raison de l’apparition du nouveau variant Omicron, ils ont repris ce samedi et ont été limité à certaines catégories de personnes.
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Summary
Le parti du Front des forces socialistes s’est félicité des résultats qu’il a réalisés à l’issue des dernières élections locales tenues le 27 novembre dernier, affirmant que c’était une « réussite », en raison des « acquis » réalisés.
Intervenant ce samedi lors d’une conférence de presse consacrée à l’évaluation des résultats obtenus, le premier secrétaire du parti, Youcef Aouchiche a affirmé que « la participation du FFS aux locales est une réussite puisque ça nous a permis de réaliser plusieurs acquis, à la lumière des résultats ».
En effet, Aouchiche a déclaré : « Nous pouvons dire aujourd’hui objectivement que notre participation est une réussite à plus d’un niveau et a atteint ses objectifs en réalisant de nombreux acquis ».
À ce propos, il explique que les acquis de son parti lors des dernières échéances électorales étaient de réhabiliter l’acte politique noble et son rôle au sein de la société. Pour lui, le FFS a « réalisé son défi à travers un discours de dialogue et de concertation, comme outils civilisationnels pour la résolution de conflits et les plans de violence ».
Des acquis malgré « un climat politique sensible et complexe »Il convient de rappeler que le vieux parti de l’opposition a gagné 898 sièges dans 47 communes et 40 sièges APW dans deux wilayas lors dernières élections locales. Selon l’intervenant, « ces chiffres prouvent l’engagement des citoyens dans le projet national du FFS ».
En outre, le premier secrétaire du parti a tenu à préciser que ces élections « se sont déroulées dans un climat politique sensible et complexe, caractérisé par l’ambiguïté … et la poursuite de la crise politique multiforme ».
Ce climat a été également caractérisé, selon le même intervenant, par « l’élargissement continu du fossé de la confiance entre le peuple et les autorités et la croissance terrifiante du phénomène de réticence politique ».
Cette crise politique, ajoute Aouchiche « a donné naissance à une crise économique et sociale, qui ne font que se compliquer » parallèlement avec « l’absence de solutions réalistes de la part de l’autorité qui poursuit la politique de fuite en avant en imposant des approches superficielles de problèmes aussi complexes ».
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La loi de finances 2022 adoptés le 17 novembre par les députés de l’APN a suscité beaucoup de critiques et controverses dans la sphère socio-économique. Outre la levée des subventions de l’État, d’autres professions ont également été touchées par de nouvelles mesures contraignantes.
C’est le cas notamment de la médecine libérale dont le syndicat a interpellé, à travers une lettre ouverte, le président de la République, pour demander la révision des nouvelles mesures introduites par la nouvelle Loi de finance 2022.
Il s’agit du système d’impôt qui est passé de 12% à 35%, ce qui risque d’accélérer la chute de la profession, frappé de plein fouet par la pandémie de la covid-19. Selon un article publié ce samedi 4 décembre par le Soir d’Algérie, le Syndicat national des médecins libéraux (SNML) revendique une révision de cette nouvelle mesure.
Cette dernière intervient selon le SNML dans un contexte délicat, marqué par les répercussions désastreuses de la crise sanitaire dont la première victime n’est que le médecin. Durant cette crise, un grand nombre de médecins libéraux ont été contraint de fermer leurs cabinets et arrêter leurs activités professionnelles.
Des contraintes qui s’expliquent notamment par « l’impact de la pandémie sur la santé, les revenus, les dépenses (prix des moyens de protection) et l’engagement non officialisé des médecins libéraux dans la lutte contre la Covid-19 », rapporte le quotidien francophone.
Personne ne peut nier effectivement que le corps médical a payé un lourd tribut notamment durant la troisième vague qui a fait des ravages en Algérie. Pas moins de 302 Médecins, du secteur public et privé, ont perdu la vie.
Le syndicat déterminé à faire entendre sa voixPour le Syndicat national des médecins libéraux qui menace de recourir à la manifestation, la hausse des impôts conjuguée à la chute du pouvoir d’achat, porte un coup dur à la profession.
« Pour 2022, le syndicat espérait, du fait de la crise que traverse le médecin libéral, une aide de l’état sous forme d’allégement des charges fiscales et sociales. La loi de finances 2022, nonobstant ses difficultés durant deux années, a majoré ses impôts de 12 à 35%. En conséquence, le Syndicat national des médecins libéraux exprime la nécessité de reconsidérer certaines dispositions de la loi de finances de 2022, qui risquent de paupériser la corporation médicale libérale en la fragilisant économiquement à une phase où la sérénité et la mutualisation de toute compétence sont souhaitées pour faire face à la situation sanitaire », indique le communiqué du syndicat.
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Les fautes qui seront commises par des responsables centraux ou locaux ne feront plus objet de poursuites judiciaires. Le président de la République a rassuré ce dimanche l’ensemble de ces responsables tout en les appelant à faciliter la mission des investisseurs.
Intervenant lors de l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle, le chef de l’État a annoncé la levée du gel de 57 projets sur les 402 projets d’investissement suspendus pour des raisons administratives, et ce, en très peu de temps.
Selon lui, « entraver la réalisation de projets prêts au lancement pour des raisons bureaucratiques est un crime contre l’économie perpétré par des personnes qui défendent des intérêts douteux avec des calculs politiciens ».
D’ailleurs, il a même exhorté les investisseurs à contacter « immédiatement » le médiateur de la République dans l’objectif de traiter leur réclamions et prendre les mesures adéquates pour y remédier. Il a, en effet, indiqué l’existence d’un bureau spécial auprès du Médiateur de la République, traitant de manière directe avec le Président de la République.
« La prison d’El Harrach est uniquement la place des voleurs »Dans la même optique, le président a appelé les responsables centraux et locaux à faciliter la mission des investisseurs, soutenant que « le bon responsable est celui qui facilite le développement local et non celui qui cherche des prétextes pour ne pas signer des autorisations prévues par la loi ».
À ce propos, il a tenu à rassurer ces responsables appelés à octroyer des autorisations d’exploitations pour les investisseurs qu’ils ne feront plus objet de poursuites judiciaires, et même s’ils commettent des fautes, elles seront considérées comme des « fautes de gestion ».
Cependant, Tebboune a assuré que cette mesure ne concernera guère les responsables impliqués dans des délits de corruption à l’exemple de l’octroi d’indus avantages, affirmant que « la prison d’El Harrach est uniquement la place des voleurs ».
Abordant la question de l’industrie automobile, le chef de l’État a appelé les opérateurs concernés à commencer par la production des pièces de rechange comme première étape.
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