La première tournée africaine du roi Mohammed VI, post réintégration de l'Union Africaine, a démarré le 16 février au Ghana et devrait se poursuivre dans quatre autres pays. Le Sahara occidental et les relations économiques restent les principaux dossiers portés par le Maroc.
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Le colonel Marcel Ntsourou est décédé ce matin à la maison d'arrêt de Brazzaville. Il avait été condamné en 2014 à une peine de travaux forcés à perpétuité.
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Jurij Lucenko főügyész rendelete értelmében az ukrajnai ügyészségek dolgozóinak mielőbb kábítószer-használati vizsgálaton kell részt venniük – adta hírül a mukachevo.net hírportál február 15-én.
A főügyész arra kéri a kárpátaljai ügyészségeket, hogy a munkatársakkal végeztessék el a drogtesztet. Lucenko hangsúlyozta, hogy a vizsgálat a főügyészség dolgozóira is kiterjed.
A rendelkezés a nemrégiben Zaporizzsja megyében történt eset következménye. Egy helyi ügyész saját munkahelyén használt kábítószert, sőt kollégáit is megkínálta a narkotikummal.
Kárpátalja.ma
Comment expliquer les attentats perpétrés cette semaine ?
Plusieurs choses sont importantes. Tout d’abord, aujourd’hui la lutte contre les talibans, mais aussi contre Daech, est menée conjointement par l’Afghanistan et le Pakistan. Il faut bien comprendre qu’une rivalité existe entre ces deux entités, même si aujourd’hui, c’est Daech qui tend à prendre l’avantage.
L’attentat commis par les talibans à Peshawar mercredi 15 février a fait six morts, celui organisé par Daech, jeudi 16, en a fait plus de 70. En Occident, on sous-estime trop le fait que Daech n’est pas seulement présent à Rakka et à Mossoul. S’il est militairement possible de vaincre l’organisation dans ces zones, cela ne signifiera pas sa fin définitive. Daech est une organisation tentaculaire qui a étendu son influence un peu partout. Ce qui se passe en Afghanistan et au Pakistan depuis deux ans est extrêmement dangereux, et si on n’y porte pas suffisamment attention, ces deux pays finiront par remplacer la Syrie et l’Irak.
Qu’incarne le premier ministre pakistanais Nawaz Sharif ?
Une des grandes faiblesses du Pakistan, c’est sa classe politique. Depuis la mort du dictateur Zia-ul-Haq en 1988, le Pakistan a été alternativement gouverné par deux personnes. Benazir Bhutto, aujourd’hui décédée, et Nawaz Sharif. Tous les deux ont, tour à tour, occupé le poste de premier ministre trois fois. Il n’y a pas de renouvellement de la classe politique et le Pakistan souffre de cette stagnation.
En ce qui concerne Nawaz Sharif, au début de ce mandat, il a essayé de négocier avec les talibans. Mais comme cela n’aboutissait à rien, il y a deux ans et demi, il s’est résolu à lancer d’importantes offensives contre leurs bases. L’opération fut un grand succès, ils ont été durablement affaiblis. Chez les talibans, comme dans toute organisation de ce type, quand les « jusqu’au-boutistes » trouvent une organisation qui va plus loin dans la terreur, ils y adhèrent. Si Daech a pu se développer dans la région, c’est donc parce que la situation était favorable. Aujourd’hui, la branche régionale de Daech englobe l’Afghanistan, le Pakistan et l’Asie centrale.
Faut-il s’attendre à d’autres attentats au Pakistan ?
Il faut comprendre que chasser l’État islamique de Mossoul ou demain de Rakka, ne mettra pas fin à Daech. Aujourd’hui, l’organisation est présente dans tout le monde musulman, en Libye, au Yémen, dans le Sahel, ou encore en Égypte… Tout cela va se poursuivre.
Pour vaincre Daech dans la région, il faudra d’abord régler le fond du problème, les relations entre le Pakistan et l’Afghanistan. Tant que la paix ne sera pas revenue entre les deux pays, il y aura des conflits et Daech subsistera.
Il y a une autre tendance importante à prendre en compte, la complicité grandissante entre les États-Unis, l’Arabie saoudite et Israël pour tenter de déstabiliser l’Iran. Cette situation fait naître un certain espoir dans les rangs de Daech. Si le front en Syrie et en Irak venait à disparaître, ils se disent que tout n’est pas fini, que d’une certaine manière, un « avenir » les attend dans cette zone du monde.
Face à l’échec américain et à l’impuissance des autres pays occidentaux, la Chine et la Russie ont pris des initiatives. Mercredi 17 février par exemple, Vladimir Poutine a invité les Talibans à venir à Moscou. Les Russes ont pris conscience que le danger se rapprochait de leur région et qu’il leur fallait agir. L’Union européenne et les États-Unis sont trop absorbés par la lutte contre Daech en Syrie et en Irak ou les attentats perpétrés en Europe, pour s’intéresser à ces régions.
Recueilli par Salomé Parent
La fraude a été confirmée vendredi à Jeune Afrique par une source au sein de la banque sur un montant supérieur à 1,5 milliard de F CFA. La presse gabonaise avait pour sa part évoqué la somme de 1,9 milliard. Le remboursement des clients dont les avoirs ont ainsi été extorqués a débuté.
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Les relations entre la Grèce et la Turquie ne sont pas les meilleures du monde, ces deux pays, pourtant membres de l’Otan, ayant plusieurs contentieux, dont la question de Chypre et la délimitation de leurs eaux territoriales respectives en mer Égée. Mais la tension est récemment montée d’un cran quand la Cour suprême grecque a […]
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Budapest – La collecte des signatures pour la tenue d’un référendum municipal sur les Jeux olympiques s’est officiellement terminée à 12h. Le mouvement Momentum (« Élan ») a annoncé avoir réuni le soutien de 139 000 Budapestois lors d’une campagne qui a duré 28 jours. Si les signatures collectées sont déjà au-dessus du seuil légal de 138 000 parrainages pour contraindre la municipalité à la tenue d’une consultation, leur nombre pourrait encore augmenter de manière significative avec les récoltes effectuées par d’autres organisations. En effet, le parti écologiste LMP a également transmis 23 000 signatures collectées par ses militants, tandis que les partis Ensemble (Együtt) et Dialogue (Párbeszéd) ont livré quelques 10 000 signatures supplémentaires samedi dernier.
Le collectif espère pouvoir présenter un total de 200 000 signatures, celles-ci seront envoyées au Bureau des élections de la capitale (FVB), qui aura 45 jours pour vérifier que les signataires sont bien tous résidents à Budapest. C’est là que la quantité est amenée à diminuer car le Bureau invalidera sans doute un certain nombre de signatures, d’où l’importance pour les partisans d’un référendum de bénéficier d’une marge confortable. Le collectif n’a en tout cas pas ménagé sa peine, organisant des points de collecte dans plusieurs pays et dans de nombreux lieux de passage à Budapest.
David contre GoliathLes conservateurs du Fidesz au pouvoir n’attendront peut-être pas la fin du processus de validation des signatures pour annoncer le retrait de la candidature de Budapest auprès du Comité olympique, croient savoir plusieurs médias locaux. Le porte-parole du Premier ministre, János Lázár, s’est employé hier lors de sa conférence de presse hebdomadaire à préparer ce qui ressemble à une sortie de route maîtrisée pour la capitale hongroise : « Nous sommes désavantagés (…) C’est une bataille entre David et Goliath » a-t-il affirmé en comparant les candidatures de Paris et Los Angeles à celle de Budapest.
À un peu plus d’un an des élections législatives, le Fidesz agit en terrain miné. Quelle que soit l’issue du processus de validation des signatures par le FVB, le mouvement hostile aux Jeux Olympiques comporte pour lui le risque de se transformer en catalyseur d’une gronde contre le pouvoir en place. Selon le quotidien conservateur Magyar Nemzet, le parti gouvernemental serait tenté de louvoyer pendant les prochaines semaines le temps que le soufflet retombe, puis se prononcera en fonction de l’évolution du contexte, et du sens du vent.