Pour assurer la sécurité de son aéroport avant l'arrivée d'une quarantaine de dirigeants européens cette semaine, le Danemark se tourne vers un système anti-drone suédois et une frégate allemande.
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Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 2 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Executive Master of Business Administration (Executive MBA) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV)
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres.
II. CONDITIONS D'ACCES
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques option droit privé pour les cursus suivants :
Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques ou sciences de gestion pour les cursus suivants :
Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines ou sciences de l'information et de la communication pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques ou sciences economiques pour les cursus ci-après :
Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques, sciences économiques ou sciences de gestion dans le cursus Executive Master of Business Administration (Executive MBA).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
1 712 000 FCFA pour le cursus Executive MBA ;
856 000 FCFA pour les autres Masters ;
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de l'attestation du BAC/Diplôme du BAC ;
Photocopies légalisées de l'attestation de la maitrise, de l'attestation de niveau master 1 ou tout autre diplôme équivalent et des relevés de notes de la licence 1 au M1 ou de la première à la quatrième année (scannées dans un seul fichier au format PDF) ;
Curriculum Vitae (en PDF) ;
Extrait d'acte de naissance
Certificat de nationalité
Lettre de motivation
Lettre de motivation
Copie certifiée conforme de la CNIB
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais
Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 1 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 1 et semestre 2).
II. CONDITIONS D'ACCES
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences juridiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences économiques ou sciences de gestion ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus suivants :
– Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
– Comptabilité Contrôle Audit (CCA)
– Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences de l'information et de la communication ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques, sciences économiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus ci-après :
Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
856 000 FCFA
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
– 301 500 F CFA FCFA avant le début des cours ;
– 191 500 F CFA FCFA au plus tard fin février 2026 ;
– 191 500 F CFA FCFA au plus tard fin avril 2026 ;
– 171 500 FCFA F CFA au plus tard fin juin 2026.
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
Curriculum Vitae (CV) détaillé daté et signé avec photo (fichier unique en PDF) ;
Photocopies légalisées de l'attestation de licence et des relevés de notes dela licence 1 à la licence 3 (scannées dans un seul fichier PDG) ;
Extrait d'acte de naissance ;
Certificat de nationalité ;
Copie certifiée conforme de la CNIB.
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 8 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais
Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Licence professionnelle niveau 3 (L3) à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
• Marketing et Communication d'Entreprise (MCE) ;
• Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE) ;
• Sciences Politiques (SP) ;
• Fiscalité.
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 5 et semestre 6).
II. CONDITIONS D'ACCES
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu équivalent pour les cursus suivants :
– Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
– Comptabilité-Contrôle-Audit (CCA) ;
– Marketing et Communication d'Entreprise (MCE).
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, en sciences juridiques, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour les cursus suivants :
– Fiscalité ;
– Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
– Sociologie de la Santé.
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Sciences politiques.
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences humaines, en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
506 000 FCFA
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
– 201 500 FCFA avant le début des cours
– 101 500 FCFA au plus tard fin février 2025
– 101 500 FCFA au plus tard fin avril 2025
– 101 500 FCFA au plus tard fin juin 2025
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
Extrait d'acte de naissance (PDF) ;
Curriculum Vitae (CV) détaillé (PDF) ;
Copie certifiée conforme de la CNIB ;
Les copies légalisées des relevés de notes des semestres S1, S2, S3 et S4 et de l'attestation du DEUG ou de l'attestation de niveau BAC+2 (scannées dans un seul fichier au format PDF) .
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais
The global system of development cooperation is entering uncertain territory. For decades, multilateralism and global solidarity shaped the expectations of how global development policy should be organised and justified. These norms provided a degree of stability, even if practice often fell short. In a new Discussion Paper we argue that those assumptions can no longer be taken for granted.
The global system of development cooperation is entering uncertain territory. For decades, multilateralism and global solidarity shaped the expectations of how global development policy should be organised and justified. These norms provided a degree of stability, even if practice often fell short. In a new Discussion Paper we argue that those assumptions can no longer be taken for granted.
The global system of development cooperation is entering uncertain territory. For decades, multilateralism and global solidarity shaped the expectations of how global development policy should be organised and justified. These norms provided a degree of stability, even if practice often fell short. In a new Discussion Paper we argue that those assumptions can no longer be taken for granted.
Le parti pro-européen au pouvoir, le PAS, a remporté les élections législatives du week-end avec un peu plus de 50 % des voix, selon les résultats quasi définitifs publiés lundi 29 septembre par la Commission électorale centrale.
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HELSINKI, 29 September 2025 - The annual Chairpersonship Conference on Cyber/ICT Security, Resilient Cyberspace: Principles, Partnerships, and the Path Ahead, will take place in Helsinki from 30 September to 2 October 2025.
The conference will bring together high-level officials from the OSCE participating States and Partners for Co-operation, as well as representatives of civil society, academia, the private sector, and other international organizations to discuss ways to enhance cyber resilience.
The conference agenda highlights the importance of respecting the commonly agreed norms on responsible state behaviour in cyberspace, enhancing multilateral co-operation, and the role of public-private partnerships in responding to cyber security threats. Discussions will explore how to respond to the challenges posed by artificial intelligence and other emerging and disruptive technologies, and also examine their potential to have a positive impact on peace and security, and what kind of policies and actions are needed to seize that potential.
The conference provides an opportunity to continue the discussions of the previous Chairpersonship Conference on “Strengthening National Cyber Resilience”, held in Malta in 2024.
The OSCE has a clear and important role in promoting open, free, secure, and stable cyberspace. The Organization’s voluntary Confidence Building Measures (CBMs) have the potential to reduce tensions and enhance security and stability in cyberspace. These measures have inspired the wider global community to adopt similar ones.
Finland advocates for an open, free, secure and stable cyberspace where the rule of law, responsible state behaviour, democracy and human rights are respected. There is a clear need to advance the concrete implementation of international rules, norms and principles including responsible state behaviour in cyberspace.
More information:
Meeri-Maria Jaarva
Senior Specialist
Task Force for the Finnish OSCE Chairpersonship
Ministry for Foreign Affairs of Finland
Tel.:+358 295 350 814
Email: meeri-maria.jaarva@gov.fi
Selon une note interne du Conseil de l’UE, les Vingt-Sept s’apprêtent à débattre d’un renforcement du mandat de Frontex pour travailler avec les pays tiers, y compris la possibilité d’organiser des transferts de migrants entre des États non membres de l’UE — ce que les règles actuelles ne permettent pas.
The post Migrations : les États membres discutent d’un renforcement de Frontex et des renvois vers des pays tiers appeared first on Euractiv FR.
Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.
Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?
Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.
Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.
Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.
Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.
Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.
Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.
Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?
Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.
Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.
Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.
Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.
Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.
Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.
Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?
Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.
Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.
Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.
Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.
Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.
Varsovie a prévenu qu’elle ferait feu sur tout objet militaire survolant illégalement son espace aérien. Une mise en garde à laquelle Alexandre Loukachenko a répondu avec ironie.
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Bienvenue dans Rapporteur. Je suis Eddy Wax, avec Nicoletta Ionta à Bruxelles, et nous vous apportons tout ce dont vous avez besoin pour bien commencer votre semaine en Europe. À savoir : Moldavie : le parti au pouvoir pro-UE en passe de remporter les élections législatives malgré les accusations d’ingérence russe Bruxelles : les ministres […]
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