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Union européenne

Poutine à Istanbul: la stratégie énergétique au centre de la visite

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 23:06
Vladimir Poutine se rend à Istanbul le 10 octobre. Le président russe effectue là sa première visite en Turquie depuis la reprise des relations entre les deux pays fin juin, après 7 mois de brouille. La visite du président Erdogan à Saint-Pétersbourg, début août, avait scellé leur réconciliation. Moscou semble donc avoir oublié l'affront d'Ankara dont l'aviation avait abattu un chasseur russe le 24 novembre 2015.
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Le pape François annonce la création de 17 nouveaux cardinaux

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 20:43
Le pape François a annoncé ce dimanche 9 octobre à l’issue de l’angélus la création de 17 nouveaux cardinaux lors d’un consistoire. Parmi eux, Mgr Dieudonné Nzapalainga, l'archevêque de Bangui. Tous recevront la barrette cardinalice le 19 novembre prochain, veille de la clôture de l’année jubilaire à Rome.
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«Jungle de Calais»: l'appel des leaders religieux britanniques à Theresa May

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 20:35
Au Royaume-Uni, des représentants religieux ont adressé une lettre ouverte à la Première ministre Theresa May pour que les enfants actuellement coincés dans la «Jungle de Calais» puissent rejoindre le Royaume-Uni avant le démantèlement du camp. Le ministre français de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, attendu à Londres dans la journée de lundi pour une visite consacrée au dossier de Calais, a lancé lundi matin un appel aux autorités britanniques pour qu'elles assument leur «devoir moral» en accueillant des mineurs isolés bloqués à Calais alors qu'ils ont de la famille en Grande-Bretagne.
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Hollande, le Brutus de Delors

Coulisses de Bruxelles - dim, 09/10/2016 - 15:13

REUTERS/Michel Euler/Pool

Mon éditorial sur le discours prononcé par François Hollande, jeudi soir, à l’occasion des 20 ans de l’Institut Jacques Delors, est ici. Si vous voulez voir le discours pour vous faire une idée complète, c’est . Bonne lecture !

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Brexit: la guerre des Rose

Coulisses de Bruxelles - dim, 09/10/2016 - 15:10

Ceux, notamment au sein de la Commission, qui se faisaient de douces illusions sur un « soft Brexit » en sont pour leurs frais : ce sera un « hard Brexit », c’est-à-dire une rupture claire et nette entre l’Union et le Royaume-Uni. Theresa May, la Première ministre britannique, a rejeté, dimanche 2 octobre, tout modèle qui contraindrait son pays à appliquer tout ou partie du droit européen ainsi que la libre circulation des travailleurs, même si le prix à payer est la fermeture du marché unique pour ses entreprises. Autrement dit, la Grande-Bretagne se retrouvera d’ici à 2019, date de la fin des négociations, dans la position du Mexique vis-à-vis de l’Union, c’est-à-dire un simple État tiers.

Mars 2017, début du Brexit

« La seule bonne nouvelle du discours de May, c’est l’activation de la procédure de sortie de l’article 50 du traité sur l’Union avant la fin mars 2017. Ce qui est logique si la Grande-Bretagne veut être partie avant les élections européennes du mois de juin, les négociations devant durer deux ans maximum », analyse un diplomate européen. Depuis le référendum du 23 juin, les partenaires de Londres la pressaient d’annoncer une date afin de sortir de l’incertitude. C’est fait.

Mais Theresa May est allé plus loin en tranchant en faveur des Brexiters les plus durs : « elle a tiré les conséquences politiques du référendum », souligne-t-on dans l’entourage du chef de l’État français, « il n’y aura donc pas de moyen terme ». « Le peuple a voté pour quitter l’Union. Ce qui signifie que nous allons quitter l’Union », a ainsi martelé May. Elle a écarté expressément le « modèle norvégien » ou « le modèle suisse » comme cadre des futures relations de son pays avec l’Union Le premier, c’est en fait l’Espace Economique Européen (EEE) qui intègre totalement la Norvège, l’Islande et le Liechtenstein au marché unique : en contrepartie, ils doivent appliquer l’ensemble de la législation communautaire sans la voter, respecter les « quatre libertés » (libre circulation des personnes, des marchandises, des services et des capitaux), se soumettre à la jurisprudence de la Cour de justice européenne et contribuer au budget européen dans des proportions proches de celle d’un État membre. Le second fait référence à la vingtaine d’accords bilatéraux signés entre la Suisse et l’Union qui lui permettent d’avoir accès à une grande partie du marché unique (mais pas aux services financiers): contrepartie, là aussi, Berne doit respecter la libre circulation et contribuer au budget.

Pour la Première ministre, la question posée au référendum écarte tout compromis qui pourrait entamer la souveraineté pleine et entière de son pays : « certains ont évoqué un échange entre le contrôle de l’immigration et le commerce avec l’Europe. C’est une voie sans issue (…) Nous déciderons nous-mêmes de l’immigration ». Un avant-goût de ce qui attend les Européens a été donné cette semaine par les membres de son gouvernement : le ministre de l’Intérieur, Amber Ruud, a ainsi annoncé que les entreprise devront fournir la liste des non-Britanniques travaillant pour eux et expliquer pourquoi elles n’ont pas fait appel à des Britanniques pur jus. Son collègue à la santé, le bien nommé Jeremy Hunt, veut expulser tout le personnel soignant étranger et imposer des amendes aux médecins britanniques travaillant à l’étranger… Rappelons quand même que le pays est en plein emploi et que sans les étrangers, le NHS, le service de santé, ne pourrait pas fonctionner. De son côté, le Foreign Office a demandé à la London School of Economics (LES) de ne plus faire travailler de non-Britanniques ou des binationaux sur les études sur le Brexit qu’il lui commande pour des raisons de sécurité nationale. Et last but not least, le ministre du Commerce, Liam Fox, estime que les Européens résidants en Grande-Bretagne sont une « monnaie d’échange » dans les négociations avec l’Union… (lire l’éditorial de notre correspondante à Londres)

«Il faut qu’il y ait un prix»

Or, pour l’Union, les quatre libertés sont totalement indissociables : sans libre circulation, pas d’accès au marché unique. Et même en imaginant que l’Union accepte de transiger sur ce point, il faudrait, pour que les entreprises britanniques puissent avoir accès au marché unique, que le Royaume-Uni ait une législation totalement équivalente à celle de l’Union. Or, le référendum « signifie que nous devons avoir la liberté d’adopter nos propres lois dans tous les domaines, de la façon dont nous labellisons notre nourriture à celle dont nous contrôlons l’immigration », a insisté Theresa May. « Au début, les législations resteront proches, puisque l’acquis communautaire déjà transcrit dans le droit anglais ne sera pas remis en cause comme l’a annoncé la Première ministre », décrypte un fonctionnaire européen : « Mais ce sera de moins en moins vrai au fur et à mesure que Londres et l’Union adopteront de nouvelles lois ». Dans ces conditions, le seul moyen d’offrir aux entreprises britanniques, et notamment aux banques, un accès au marché intérieur est que l’Union accepte que la Grande-Bretagne n’applique ni la libre circulation ni aucune règle européenne. Londres, tout à son délire souverainiste, ne désespère pas d’y arriver en jouant sur la peur des Européens de laisser dans l’affaire quelques pourcentages de croissance.

Le problème, pour Theresa Mays, est que l’Union a beaucoup plus à perdre qu’à gagner si elle fait la démonstration que le Brexit pourrait être indolore, voire bénéfique, en permettant à un pays de n’appliquer que les règles qu’il souhaite. Une brèche dans laquelle s’engouffreraient tous les europhobes et les Vingt-sept en ont conscience. François Hollande, dans un discours prononcé jeudi 6 octobre à l’occasion du vingtième anniversaire de l’Institut Jacques Delors, a été d’une clarté parfaite sur ce point : « il faut aller jusqu’au bout de la volonté des Britanniques de sortir de l’Union européenne. Nous devons avoir cette fermeté. Si nous ne l’avons pas, nous mettrons en cause les principes mêmes de l’Union européenne. C’est-à-dire qu’il viendra à l’esprit d’autres pays ou d’autres partis de vouloir sortir de l’Union européenne pour en avoir les avantages supposés et aucun inconvénient et aucune règle. La fermeté, c’est en fait l’assurance que l’Europe pourra préserver ses principes et notamment les quatre libertés ». Et d’ajouter, pour bien se faire comprendre : « il faut qu’il y ait une menace, il faut qu’il y ait un risque, il faut qu’il ait un prix ».

La livre plonge

Une ligne dure, fixée dès le Sommet post-Brexit du mois de juin, qui n’est contestée par personne, contrairement à ce qu’on aurait pu craindre. Ainsi, Robert Fico, le Premier ministre slovaque, dont le pays exerce actuellement la présidence tournante de l’Union, a lui aussi été carré dans un entretien au Financial Times : « l’Union va utiliser cette opportunité pour dire aux gens : écoutez, maintenant vous allez voir pourquoi il est important de rester dans l’UE (…) Même si c’est la cinquième économie mondiale, ce sera très douloureux pour le Royaume-Uni ». Pour lui, l’optimisme affiché par le gouvernement britannique n’est qu’un « bluff » : on souligne d’ailleurs à Bruxelles que l’économie britannique évitera de justesse la récession l’année prochaine, soit une perte de croissance de près de deux points et tous les signaux économiques et financiers sont en train de virer au rouge vif, comme en témoigne la chute accélérée de la livre sterling, au lendemain du discours de May et surtout de Hollande.

Désormais, chacun sait que la rupture, en 2019, sera claire et nette et les acteurs économiques vont devoir s’y préparer. Ce qui ne veut pas dire qu’ensuite un accord de libre-échange, ainsi que divers accords de coopération, ne pourront pas être conclus. Mais, il faudra que Londres donne des gages sérieux durant les deux ans qui viennent sur sa bonne volonté si elle ne veut pas se retrouver avec des tarifs douaniers pendant la période transitoire, la négociation de tels accords prenant plusieurs années. Ce qui est sur, désormais, c’est que Londres ne retrouvera jamais un libre accès au marché intérieur : « même avec le CETA (le traité entre l’UE et le Canada), il y a des conditions à respecter : les produits doivent respecter la législation communautaire », souligne-t-on à Paris. Et, surtout, l’accès au marché financier n’est rien moins que garanti, d’autant que ce n’est pas forcément l’intérêt des Européens de le permettre… Michel Barnier, le négociateur de la Commission, qui a pris ses fonctions le 1er octobre, se prépare de longues nuits blanches et des lendemains migraineux.

N.B.: version allongée et mise à jour de l’article paru dans Libération du 5 octobre

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Hongrie: fin de parcours pour le journal quotidien historique «Népszabadság»

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 14:31
Cela faisait plusieurs années que le journal Népszabadság, ancien organe du Parti sous le communisme, perdait de l'argent. « La Liberté du peuple », de sa traduction en français, survivait tant bien que mal au capitalisme. Malgré son rachat en 2014 par le groupe autrichien Mediaworks, qui avait réinvesti de l'argent, le tirage papier avait continué de chuter (- 74 % en dix ans, 16 millions d'euros de pertes). L'arrêt brutal de la publication a néanmoins surpris tout le monde.
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Les Italiens nombreux à quitter le «Bel Paese» pour des horizons plus propices

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 11:01
En 2015, 107 000 Italiens, dont 40 000 âgés de moins de 35 ans, se sont expatriés. Un chiffre qui représente une augmentation de 6 % par rapport à 2014. La plupart de ces émigrants du 3e millénaire ne quittent pas leur pays simplement pour aller étudier à l’étranger, ou pour acquérir de nouvelles expériences, mais pour construire leur vie ailleurs. Sachant que l’Italie enregistre un taux de natalité parmi les plus bas au monde, et un pourcentage de retraités de plus de 65 ans parmi les plus élevés en Europe, ce phénomène apparait d’autant plus inquiétant pour l’avenir même du pays.
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Auschwitz en réalité virtuelle, pour les besoins de la justice et de la mémoire

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 10:38
Le camp d’Auschwitz en trois dimensions. A l'origine de cette nouvelle création, la police judiciaire de Munich. Ses ingénieurs ont mis au point ce dispositif qui permet d’avancer dans le camp d’extermination au travers d’un casque de réalité virtuelle. A l'instar des plans de papiers des chefs nazis, chaque détail, la moindre motte de terre figure dans les images. Les historiens saluent l'arrivée de ce dispositif qui a déjà servi dans un procès de justice.
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Hélicoptères Caracal: Varsovie persiste et signe

RFI (Europe) - dim, 09/10/2016 - 06:32
La Pologne n’est pas responsable de l’échec des négociations avec le constructeur européen Airbus concernant l’achat de 50 hélicoptères Caracal pour son armée, martèle Varsovie. Alors que Paris fustige l’attitude du gouvernement conservateur polonais, le ministre de la Défense a tenu une conférence de presse à Varsovie où il a répété que c’est Airbus qui a fait capoter les négociations.
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Une semaine africaine pour Angela Merkel

RFI (Europe) - sam, 08/10/2016 - 22:49
La chancelière allemande entame ce dimanche 9 octobre un voyage de trois jours au Mali, au Niger et en Ethiopie avant de recevoir mercredi à Berlin les présidents du Tchad et du Nigeria. Cette semaine africaine est placée sous le signe de la lutte contre l'immigration clandestine.
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Allemagne: la police recherche un Syrien soupçonné de préparer un attentat

RFI (Europe) - sam, 08/10/2016 - 20:27
La police allemande menait depuis la mi-journée de ce samedi 8 octobre une vaste opération à Chemnitz, dans l’est du pays, pour rechercher un Syrien soupçonné de préparer un attentat. Des matériaux « hautement explosifs » ont été découverts à son domicile.
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Attentats de Paris: un rapport accablant pour la police belge révélé par la presse

RFI (Europe) - sam, 08/10/2016 - 20:16
Le comité permanent de contrôle des services de police, surnommé en Belgique le comité P, doit présenter un rapport incessamment à la commission parlementaire montée après les attentats de Paris et de Bruxelles. Ce rapport a déjà fait l'objet de fuites lors de la présentation au Parlement à huis clos en avril de sa version intermédiaire. Ce samedi, le quotidien économique flamand de référence De Tijd révèle le contenu de la version définitive de ce rapport. Trop souvent l'explication de ces manquements est un manque criant de personnel, mais pour les services de police, il est accablant.
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Législatives en Géorgie: une alternance est-elle envisageable ?

RFI (Europe) - sam, 08/10/2016 - 06:41
La Géorgie élit ce samedi ses 150 députés. Le scrutin est important, le régime étant désormais parlementaire et ouvert dans cette République de 3,7 millions d’habitants qui fait figure d’exception en ex-URSS. En effet, mis à part les pays baltes, c’est la seule ex-République soviétique qui a connu -il y a quatre ans- un changement de majorité par les urnes et de façon pacifique avec l'arrivée au pouvoir du parti Rêve géorgien.
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Hélicoptères Caracal: la Pologne provoque l'ire de Paris

RFI (Europe) - sam, 08/10/2016 - 00:18
La Pologne a confirmé dans une lettre à Airbus ce vendredi 7 octobre sa décision de rompre les négociations pour l’achat d’une cinquantaine d’hélicoptères Caracal, fabriqués par l’avionneur européen. En réaction, le président François Hollande a décidé de reporter une visite en Pologne prévue le 13 octobre.
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Putsch raté en Turquie: avalanche de dossiers pour contester les limogeages

RFI (Europe) - ven, 07/10/2016 - 22:39
En Turquie, plus de 70 000 personnes ont contesté en justice les mesures de limogeages ou de mises à pied prises par les autorités après le putsch raté du 15 juillet.
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Anna Politkovskaïa: 10 ans après, les commanditaires courent toujours

RFI (Europe) - ven, 07/10/2016 - 21:18
Il y a dix ans, la journaliste russe Anna Politkovskaïa était assassinée dans l'entrée de son immeuble. Ce vendredi 7 octobre, ses amis se sont rassemblés devant le journal où elle travaillait, Novaïa Gazeta, en présence de diplomates européens et américains.
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Sylvie Guillaume : "Nous aurons un contrôle plus démocratique sur le fonctionnement du Corps européen de garde-frontières"

Toute l'Europe - ven, 07/10/2016 - 17:41
C'est un nouveau pas vers la gestion commune et la sécurité des frontières extérieures de l'Union européenne. Proposé le 15 décembre dernier, le nouveau corps européen de garde-frontières élaboré en un temps record a été officiellement inauguré le 6 octobre à la frontière bulgaro-turque. Ce dispositif approuvé par le Parlement européen le 6 juillet dernier sera composé d'une agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes - l'actuelle agence Frontex dotée de missions élargies - et des autorités nationales responsables de la gestion des frontières. Pour la Commission, il s’agit d'une part d’endiguer le flux de migrants, mais également de sauver le traité de Schengen, qui est remis en cause depuis le rétablissement par certains Etats membres de leurs frontières afin d'endiguer le flux de migrants. Selon la feuille de route du sommet Bratislava du 16 septembre dernier, la pleine capacité de réaction rapide du corps européen de garde-frontières et de garde-côtes devrait être effective avant la fin de l'année. Vice-présidente du Parlement européen, Sylvie Guillaume revient sur le contrôle par le Parlement européen des actions de cette nouvelle agence et dresse un état des lieux de la réponse européenne à la crise des migrants.
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A bord de l’«Aquarius», en direct avec les sauveteurs de SOS Méditerranée europe-RFI

RFI (Europe) - ven, 07/10/2016 - 17:40
Le 3 octobre, plus de 6000 migrants étaient secourus au large de la Libye par les nombreux navires d’ONG qui surveillent la zone. Ce jour-là RFI était à bord de l’Aquarius le navire de l’association SOS Méditerranée, qui a porté secours à 722 personnes sur un bateau de pêche surchargé.
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Affaire Alstom : pour Edouard Martin, il faut favoriser les "fusions d'entreprises européennes stratégiques"

Toute l'Europe - ven, 07/10/2016 - 17:27
Le 4 octobre, le gouvernement français a officialisé le sauvetage de l'usine de Belfort d'Alstom, géant français du ferroviaire, menacée d'une restructuration qui aurait coûté plusieurs centaines d'emplois. Un épilogue heureux pour les salariés, mais qui laisse en suspens la question beaucoup large de l'avenir industriel de la France et de l'Europe à l'heure où ce secteur d'activité ne cesse de décroître. S'emparant de cet enjeu, les députés européens ont à cet égard voté, le 5 octobre, une résolution portant sur la réindustrialisation de l'Europe.Edouard Martin, eurodéputé français membre des socialistes et démocrates et ancien syndicaliste en première ligne lors de la fermeture des hauts-fourneaux de Florange, a répondu aux questions de Touteleurope.eu. Selon lui, la Commission européenne doit "mettre en place de vrais outils de défense des industries", si elle souhaite atteindre l'objectif d'un secteur industriel pesant 20% du PIB à l'horizon 2020.
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#factoftheday Colombian President Juan Manuel Santos wins the 2016 Nobel Peace Prize for his efforts to end the country’s civil war

EU-Logos Blog - ven, 07/10/2016 - 15:45

He signed this peace deal with the FARC after 4 years of negotiations. The deal was meant to end 52 years of conflict.

The deal unfortunately collapsed last week as 50.2% of the Columbian voters rejected it in a referendum.

Alvaro Uribe, the former president was one of the most vocal opponent against the deal, arguing that it was too lenient to the rebels. (Those who confessed their crimes would get lighter sentences and the FARC would have 10 seats guaranteed in the Colombian Congress in the 2018 and 2022 elections).

260,000 people died because of the conflict, while more than six millions have been internally displaced.

The Nobel peace prize committee argued that the result of the referendum was important; « What the « No » side rejected was not the desire for peace, but a specific peace agreement. »

Santos recognised that the reason for the “No” was the difficulty to find a balance between the need for reconciliation and justice for the victims. Yet, he promised to work for peace until his last day in office.

The Nobel committee explained the wanted the prize to “give him strength to succeed in this difficult task”.

The Columbian president was selected for the prize from a list of 376 candidates (228 were individuals and 148 were organisations).

The leading candidate until the announcement was the Syrian White Helmets, a corps of first responders which has rescued thousands of victims in Syria from the beginning of the war.

This group of almost 3000 volunteers put their own lives on the line every day, notably with the recent developments in Aleppo.

 


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