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L'accès à une énergie fiable, abordable et adaptée aux besoins du développement du pays reste l'un des grands défis du Burkina Faso. Alors que le pays importe encore une large part de son électricité (49% en 2024 d'après le ministère de l'Energie, des Mines et des Carrières) et que de vastes zones rurales demeurent sans réseau (7% de taux d'accès à l'électricité en 2023 selon la Banque Mondiale), le solaire s'impose de plus en plus comme une option crédible, si ce n'est incontournable.
Facile à déployer, modulable, et en phase avec les réalités locales, cette source d'énergie séduit autant qu'elle interroge. Mais derrière ces aspects subsistent des freins bien connus comme des coûts initiaux élevés, un manque de techniciens qualifiés, ou encore des équipements de faible qualité. Dans un tel contexte, le solaire peut jouer un rôle structurant pour le Burkina Faso, à condition d'en anticiper les enjeux et de construire les conditions de son déploiement efficace.
I- Les principaux défis freinant le développement du solaire
Le développement du solaire au Burkina Faso se heurte à plusieurs freins structurels qu'il est essentiel de prendre en compte pour éviter des stratégies déséquilibrées ou des résultats décevants à moyen terme.
Sur le plan économique, les coûts initiaux des équipements (panneaux, batteries, onduleurs) restent élevés, en particulier pour les ménages, les collectivités ou les petits commerces. Les mécanismes de financement sont encore très limités ou inadaptés, et c'est notamment de ce constat là que nous avons eu l'idée de fonder SolarDev. Par ailleurs, la filière solaire reste largement dépendante d'équipements importés, exposés aux délais logistiques et à des coûts de maintenance souvent sous-estimés et décourageants.
D'un point de vue technique et opérationnel, plusieurs défis persistent. La faible couverture du réseau électrique rend difficile l'intégration de certaines installations solaires dans le système national. Aussi, il existe un manque de techniciens qualifiés qui se traduit par deux options souvent peu satisfaisantes : faire appel à des prestataires onéreux ou accepter une installation non fiable, susceptible d'engendrer rapidement des dysfonctionnements, des pertes de production, voire des pannes. On observe également la circulation de nombreux kits solaires de faible qualité, vendus sans suivi ni formation, ce qui nuit à la perception globale du secteur malgré l'existence d'acteurs sérieux et engagés.
Ces difficultés techniques nourrissent parfois des méfiances et une perception réductrice du solaire qui peut être vu, à tort, comme une solution marginale ou inadaptée. Son caractère intermittent ou son rendement limité sont régulièrement avancés pour en minimiser la portée. Pourtant, bien intégré dans un mix énergétique diversifié et pensé comme un levier de complémentarité, le solaire conserve toute sa pertinence, en particulier dans les zones rurales ou à usage ciblé. L'idée d'un "tout solaire", souvent caricaturée, masque en réalité la richesse des usages hybrides et complémentaires qu'offre cette énergie.
Compte tenu des caractéristiques énergétiques et territoriales du Burkina Faso, le solaire ne peut pas être relégué au second plan. Il ne s'agit pas d'une solution miracle, mais bien d'un levier pertinent, flexible et adapté aux réalités du territoire. Son potentiel en fait un véritable outil stratégique et ouvre la voie à de multiples opportunités économiques et sociales.
II- Les nombreuses opportunités offertes par le développement du solaire au Burkina Faso
Dans un contexte de vulnérabilité énergétique chronique, où une majorité de l'électricité consommée est encore importée des pays voisins, le développement du solaire apparaît comme une voie stratégique pour renforcer la souveraineté énergétique du Burkina Faso. Doté d'un des potentiels solaires les plus élevés d'Afrique, nous disposons d'un atout naturel qu'il reste encore à pleinement exploiter. Le déploiement d'une production solaire locale pourrait jouer un rôle déterminant dans la sécurisation de l'approvisionnement en électricité au niveau national, tout en limitant l'exposition aux hausses du prix du baril et à la volatilité des marchés régionaux.
Au-delà des considérations de souveraineté, le solaire offre une réponse technique particulièrement pertinente face à la dispersion géographique du territoire burkinabè. Dans de nombreuses zones rurales enclavées, l'extension du réseau électrique classique est soit économiquement non viable, soit techniquement irréaliste à court terme. C'est précisément dans ces espaces que les systèmes solaires décentralisés (ex. mini-réseaux communautaires, kits autonomes, pompes solaires) peuvent démontrer toute leur utilité. Leur installation rapide et leur modularité permettent de fournir rapidement des services essentiels à des milliers de foyers. C'est le cas de l'éclairage domestique, la réfrigération de médicaments et de denrées alimentaires, irrigation, accès à l'eau potable ou alimentation d'écoles et de centres de santé.
Au-delà de l'électrification rurale, le développement du solaire peut aussi devenir un levier d'industrialisation et de transformation économique du pays. Contrairement aux centrales thermiques ou aux grands barrages hydroélectriques, qui exigent des délais d'exécution de plusieurs années, les centrales solaires et les unités modulaires peuvent être déployées bien plus rapidement, ce qui en fait une technologie agile, adaptée aux impératifs de développement accéléré. Cette rapidité d'exécution offre une réelle opportunité de rattrapage énergétique et d'accompagnement du mouvement d'industrialisation qui s'opère aujourd'hui.
Plus encore, le solaire peut structurer un tissu économique nouveau. Des unités de montage de panneaux ou d'assemblage de kits pourraient être mises en place à l'échelle nationale, réduisant les coûts logistiques et générant des emplois techniques qualifiés. Dans les zones rurales, l'énergie solaire devient ainsi un catalyseur de projets entrepreneuriaux : ateliers de soudure, moulins à grains, services de recharge ou plateformes numériques, ou autres. Tous les acteurs économiques pourraient bénéficier du développement de la filière énergétique.
Ce dynamisme s'accompagne naturellement d'opportunités de formation et d'insertion pour la jeunesse. Le déploiement massif du solaire nécessite une main-d'œuvre qualifiée dans des métiers variés, notamment des installateurs, des techniciens de maintenance et des logisticiens. De nombreuses institutions d'enseignement supérieur ont d'ailleurs commencé à intégrer des modules spécifiques sur l'énergie solaire dans leurs programmes, et à initier des travaux de recherche sur le sujet, comme l'Université Joseph Ki-Zerbo avec le projet PV2H. Ces efforts doivent être intensifiés pour permettre à la jeunesse de non seulement répondre aux besoins croissants liés au développement de cette filière, mais aussi d'en devenir eux-mêmes les moteurs.
Enfin, le solaire constitue un secteur particulièrement attractif pour les investisseurs, notamment les acteurs de la finance à impact. Ces dernières années, de nombreux projets structurants ont vu le jour grâce à l'appui de partenaires financiers. C'est le cas de la centrale solaire de Zagtouli, d'une capacité de 33 MWc, ou encore celle de Kodéni de 38 MWc à Bobo-Dioulasso, financée en partie par l'investisseur Africa Ren. Ainsi selon le rapport de PwC et Masdar (2023), l'Afrique de l'Ouest devrait recueillir plus de 100 000 milliards de XOF d'investissements dans les énergies renouvelables d'ici 2050, dont une majorité dans le solaire. Le Burkina Faso, par son potentiel et son contexte favorable, est bien positionné pour attirer un grand nombre d'acteurs et capter une part croissante de leurs investissements.
En somme, le solaire ne se limite pas à une solution temporaire pour répondre aux besoins en électricité. Il s'inscrit comme un pilier transversal pour accompagner l'essor économique et social du pays. Mais pour que ce potentiel se transforme en réalité durable, il faut réussir à concilier les multiples enjeux qui l'accompagne.
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Articolul Koncertelőadásként tér vissza az István, a király Csíksomlyóra apare prima dată în Kolozsvári Rádió Románia.
Despite the need to modernize, Spain shelves F-35 plans, leaving its Navy without a STOVL replacement. The purchase of F-35 Lightning II aircraft, the fifth-generation American stealth fighter, for the Spanish Armed Forces has been definitively shelved, according to a report published by the Spanish newspaper El País, citing government sources. Preliminary contacts that had […]
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Une opération surprise de bouclage menée par les rebelles de la coalition AFC/M23 à l’aube de ce mercredi 6 août à Goma, Nord-Kivu, a abouti à l’interpellation d’une soixantaine de personnes, principalement des jeunes, suscitant une forte panique dans la population locale.
Les individus arrêtés ont été cueillis tant dans leurs domiciles que dans différentes artères de la ville, puis rassemblés devant le stade de l’Unité, accablés et apeurés.
La chefferie de Bahema d’Irumu a appelé, mardi 5 aout, l’armée à la prudence lors de ses opérations de traque des miliciens dans la région. Son chef, David Bahinduka, exhorte les Forces armées de la RDC (FARDC) à éviter toute confusion entre civils et combattants armés opérant dans cette zone.
L'Agence Nationale de Biosécurité (ANB), autorité nationale compétente en charge de la régulation des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) au Burkina Faso a, par décision N° 2025-00007/MESRI/SG/ANB du 24 juillet 2025 portant autorisation et conditions de dissémination contrôlée de moustiques mâles biaisés génétiquement modifiés dans le village de Souroukoudingan, Province du Houet, Région du Guiriko, accordé une autorisation pour des expérimentations sur des moustiques mâles biaisés génétiquement modifiés.
En effet, l'Institut de Recherche en Sciences de la Santé (IRSS) a soumis en février 2024, un dossier pour des expérimentations sur des moustiques mâles biaisés génétiquement modifiés dans le village de Souroukoudingan. Après réception du dossier, l'ANB a procédé conformément à la loi 064-2012/AN du 20 décembre 2012 portant régime de sécurité en matière de biotechnologie et au décret N° 2015-213 PRES-TRANS/PM/MRSI/MESS/MERH du 05 mars 2015 portant évaluation des risques biotechnologiques, à l'évaluation du dossier à travers le Comité Scientifique National de Biosécurité (CSNB).
Ce comité est composé de scientifiques issus des secteurs publiques du Burkina Faso. Il est l'organe technique compétent en matière d'évaluation scientifique. Les résultats de cette évaluation ont montré que le risque global lié aux expérimentations sur les moustiques mâles biaisés génétiquement modifiés est négligeable pour la santé humaine et animale ainsi que pour l'environnement. Sur la base desdits résultats, l'ANB a procédé à une consultation large et inclusive des populations de Souroukoudingan et des villages environnants, des autorités administratives de la région du Guiriko et des Organisations de la Société Civile (OSC) de la ville de Bobo-Dioulasso.
Se fondant sur les résultats de l'évaluation des risques, de la consultation du public, des inspections réalisées dans le cadre des activités des précédentes autorisations sur les moustiques génétiquement modifiés entre 2021 à 2024 et des rapports des experts nationaux et internationaux consultés, l'Agence Nationale de Biosécurité autorise l'IRSS à conduire les expérimentations qui entrent en droite ligne dans la lutte contre le paludisme au Burkina Faso.
L'ANB, conformément à sa mission de veille à la sécurité des expérimentations et au contrôle des risques inhérents à l'utilisation des OGM, procédera périodiquement au contrôle et à l'inspection des dispositifs de sécurité tout au long de la durée des expérimentations. L'ANB se réserve le droit de procéder à la suspension ou au retrait de l'autorisation de mise en essai lorsque :
• l'IRSS ne respecte pas la législation en vigueur dans le pays ;
• l'IRSS ne respecte pas les dispositions prescrites dans la décision d'autorisation ;
• il est établi par la suite que les informations fournies à l'autorité nationale compétente sont inexactes du fait du promoteur ou des avancées scientifiques dans le domaine.
L'ANB, à travers ce communiqué, tient à informer et à rassurer l'opinion publique nationale que toutes les dispositions idoines sont prises pour assurer une surveillance de ces expérimentations afin de prévenir, voire juguler tous les risques potentiels susceptibles d'en découler.
L'ANB reste disponible et ouverte à toute personne physique ou morale qui souhaiterait avoir de plus amples informations.
Le Directeur général
Dr Koussao SOME
Chevalier de l'Ordre de l'Étalon
Das Bundeskabinett hat sich heute auf ein stabiles Rentenniveau bis 2031 und eine Ausweitung der Mütterrente geeinigt. Dazu eine Einschätzung von Rentenexperte Johannes Geyer, stellvertretender Leiter der Abteilung Staat im Deutschen Institut für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin):
Die Haltelinie von 48 Prozent beim Rentenniveau zu sichern, ist angesichts niedriger Renten und wenig verbreiteter privater Vorsorge ein richtiges Signal. Ab 2029 erfordert dieses Ziel jedoch erhebliche zusätzliche Steuermittel. Auch die Ausweitung der Mütterrente bindet langfristig sehr viel Geld. Die Rentenkassen selbst sollen dadurch zunächst nicht zusätzlich belastet werden, aber die Abhängigkeit vom Bundeshaushalt wächst. Da die Babyboomer in den kommenden Jahren in Rente gehen, steigen die Ausgaben der Rentenversicherung ohnehin deutlich. Den steigenden Steuerzuschuss zu finanzieren, wird eine große Herausforderung sein. Wer eine Anhebung des Renteneintrittsalters vermeiden will, muss die Erwerbstätigkeit steigern – etwa durch mehr qualifizierte Zuwanderung, eine höhere Frauenerwerbstätigkeit, mehr ältere Erwerbstätige und bessere Bildung. Die heutigen Beschlüsse des Bundeskabinetts zur Haltelinie beim Rentenniveau und Ausweitung der Mütterrente können daher nur ein erster Schritt sein. Langfristig sollte das Drei-Säulen-Modell der Altersvorsorge gestärkt und ein klares Sicherungsziel definiert werden, damit im Alter nicht allein auf die gesetzliche Rente gesetzt werden muss.
A Corupția ucide (A korrupció öl) elnevezésű civil szervezet bejelentette: holnap este 7 órától Ion Iliescu temetése miatt hirdetett országos gyásznapon szervez demonstrációt a bukaresti Egyetem téren. A csoport szerint nem igazságos, hogy Iliescu állami búcsúztatása hivatalosan elismert emléknappá váljon, mivel többen bűnben érintettnek tartják az 1990 júniusi bányászjárás ügyben. A szervezők határozottan állítják: „Egyetlen […]
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