Les dirigeants mondiaux se réuniront bientôt pour la réunion annuelle parrainée par l'ONU sur la manière de lutter contre le changement climatique.
Dans cette séquence, Mamadi Doumbouya donne, publiquement et solennellement, sa parole de militaire de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, en engageant littéralement son honneur. C’était aux lendemains de son coup d’Etat de septembre 2021.
Aujourd’hui, il ravale sa promesse et se présente à la prochaine présidentielle.
Gnassingbé Eyadéma avait déjà fait exactement la même chose au Togo, en Juillet 1999, assis à côté de Jacques Chirac qu’ il avait alors pris comme garant de sa promesse.
L’arrivée des militaires prend l’allure d’un remède qui vaut le mal. (Dire pire, supposerait qu’il faut choisir le moindre)
Les profils de Jerry John Rawlings, militaire et père de l’indépendance au #Ghana, manquent cruellement à l’Afrique.
Vraiment fascinant !
Nathaniel Olympio
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Henry Mutomb Murund, supporter de TP Mazembe, décédé dimanche dernier lors du derby Mazembe-Lupopo au stade Kibasa Maliba à Lubumbashi, sera inhumé ce jeudi 6 novembre. Dans un communiqué publié mercredi 5 novembre, le club noir et blanc a appelé ses supporters à la retenue pendant les obsèques et au respect de la mémoire du défunt.
Au Mali, cela fait tout juste un mois que les habitants de Mopti n'ont plus du tout d'électricité. Cette ville de plus de 560 000 habitants, l'une des plus importantes du pays, subit comme tout le Mali les effets de l'embargo sur le carburant décrété début septembre 2025 par le Jnim, organisation liée à al-Qaïda. Les jihadistes attaquent les convois de camions citernes. Si certains parviennent à passer, la pénurie de carburant est massive. Les coupures d'électricité étaient déjà fréquentes, désormais, dans de nombreuses villes, le courant ne passe désormais plus du tout.
« Plusieurs dizaines de morts et plusieurs centaines de personnes arrêtées ». C'est le premier bilan de la crise post-électorale au Cameroun, que révèle ce matin, sur RFI, le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Depuis l'annonce officielle de la réélection de Paul Biya, l'opposant Issa Tchiroma dénonce « une mascarade » et appelle la population à résister. Y a-t-il un mandat d'arrêt contre Issa Tchiroma ? L'heure est-elle à la fermeté ou à l'apaisement ? En ligne de Yaoundé, le ministre René-Emmanuel Sadi, qui est aussi porte-parole du gouvernement, répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
La Commission électorale indépendante du Comité Olympique congolais (COC) a publié le mardi 4 novembre 2025 à Kinshasa la liste définitive des candidats retenus pour les élections prévues le 14 novembre. Parmi eux figure Marcel Amos Mbayo Kitenge, président sortant, candidat à sa propre succession.
La plupart des postes à pourvoir seront disputés par un seul candidat, notamment :
Le ministre de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, a appelé les assemblées provinciales à adopter une résolution suspendant les motions de défiance et pétitions durant la période de guerre, afin de faire face à la série de crises qui secouent les institutions provinciales depuis quelques mois.
Revue de presse du jeudi 6 novembre 2025
Deux sujets intéressent les médias congolais exploités ce jeudi dans la revue de presse. La conférence de presse de l’opposant Jean-Marc Kabund et la visite en RDC, du représentant spécial de l’Union européenne pour la région des Grands Lacs.
Est-ce le signe d'un nouvel élan de l'économie congolais ? Ce mercredi, le Congo-Brazzaville a effectué son retour sur les marchés financiers internationaux après vingt ans d'absence. Concrètement Brazzaville a émis un titre obligataire pour un montant de 670 millions de dollars américains - cela veut dire que le pays a levé cet argent pour refinancer sa dette publique.
Environ 25 millions de Congolais se trouvent actuellement en situation de crise ou d’urgence alimentaire, principalement dans l’Est du pays. C’est ce que révèle le dernier rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), publié le mardi 4 novembre 2025.
Lors du deuxième sommet mondial sur le développement, tenu mardi 4 novembre au Qatar, le Chef de l’État congolais, Félix Tshisekedi, a plaidé en faveur de l’instauration d’une véritable justice climatique.
Au Tchad, les effets du réchauffement climatique se font ressentir. Alternance entre sécheresses sévères, inondations destructrices et désertification, le pays voit disparaître ses « wadis », ces lits de rivières essentiels où l’eau ruisselle de moins en moins. Ces phénomènes menacent directement la sécurité alimentaire, l’agriculture et l’élevage.
Si les racines du conflit sont profondément soudanaises, le nouveau contexte international explique la durée et l’intensité de cette guerre, analyse le spécialiste de l’Afrique subsaharienne Roland Marchal, dans une tribune au « Monde ».
En Tanzanie, la présidente Samia Suluhu Hassan met en cause des « jeunes étrangers » parmi les personnes interpellées lors des violences postélectorales. Lors de son investiture lundi 3 novembre, elle a promis un retour rapide à la normale, au lendemain de manifestations violemment réprimées qui auraient fait plus d’un millier de morts, selon des organisations de défense des droits humains. La police, elle, a mis en garde contre la diffusion d’images susceptibles de « provoquer la panique », alors que l’accès à internet reste partiel.
Amnesty International publie ce jeudi 6 novembre « Personne ne vous entend quand vous criez », un rapport sur le respect des droits de migrants en Tunisie. À la suite d’une longue enquête, l’organisation de défense des droits de l’homme pointe le « dangereux tournant de la politique migratoire », notamment les exactions, les viols, les violences et le racisme des autorités comme des forces de l’ordre. Amnesty s’inquiète également du soutien financier de l’Union européenne aux autorités tunisiennes.
Huit ans après son inculpation pour des viols et agressions sexuelles commis en Afrique, frère Albert, un religieux de 82 ans, attend toujours d'être jugé dans le centre de la France. Ancien membre de la congrégation des Frères du Sacré-Cœur, il est accusé d'avoir violé et agressé sexuellement des adolescents qu'il entraînait dans une équipe de football à Conakry. Les faits datent des années 1990, mais, depuis, le dossier n'avance pas. Cette longue attente provoque la colère des représentants des victimes.
Dans le nord du Sénégal, on célèbre une petite victoire pour le climat : celle de l’accès aux foyers améliorés, du nom de ces fourneaux qui consomment moins de bois à la cuisson et émettent moins de CO2 dans l’atmosphère. Depuis 2023, plus de 15 000 ménages des régions de Saint-Louis et Louga ont été équipés par ce type de matériel, construit localement par les populations. Et pour inspirer de futurs usagers, l'association sénégalaise « Nébéday », qui porte le projet, a organisé mercredi 5 novembre une fête dans la commune de Ndioum au nord du pays.
Les autorités soudanaises ont rejeté la proposition de trêve faite par les États-Unis, a annoncé mardi 4 novembre le ministre soudanais de la Défense à la télévision. Depuis septembre, Massad Boulos, l’émissaire américain pour l’Afrique, mène des discussions avec les partenaires régionaux pour finaliser ce projet. À Nairobi, au Kenya, l’ambassadeur soudanais a mis, mercredi 5 novembre, « les points sur les i ».
Au Cameroun, le président Paul Biya prête serment, jeudi 6 novembre, pour son huitième mandat présidentiel. Une formalité pour celui qui s’est livré à l’exercice pour la première fois le 6 novembre 1982, il y a 43 ans jour pour jour. Cette date marque son accession au pouvoir. La cérémonie s’annonce solennelle et fastueuse, malgré un climat toujours marqué par de fortes tensions postélectorales.
En Côte d’Ivoire, le PPA-CI, le parti de Laurent Gbagbo, a condamné l’arrestation, mardi 4 novembre, de Damana Adia Pickass, un haut responsable considéré comme un bras droit de l’ancien président ivoirien. Ce dernier occupe le poste de second vice-président du Conseil stratégique et politique du PPA-CI. Il est aussi le coordonnateur général du Front Commun, qui réunit le PPA-CI et le PDCI. Suite à l’invalidation de leurs candidats pour la présidentielle, cette plateforme appelait à des marches quotidiennes alors que les autorités ont interdit les rassemblements pour éviter des « risques de troubles à l’ordre public ».
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