Il est environ 8 heures ce mardi 8 juillet 2025, lorsqu'une scène aussi banale qu'indigne se produit en pleine circulation, au quartier Larlé de Ouagadougou. Une dame, élégamment vêtue, baisse la vitre de son véhicule pour jeter négligemment un sachet d'eau vide sur la chaussée. Un homme, témoin de la scène, ramasse le sachet, court vers le véhicule immobilisé au feu rouge, et le relance dans l'habitacle. Silence. Puis, murmures des passants.
Cette scène, anodine pour certains, est pourtant un miroir cruel de notre quotidien. Le jet de déchets plastiques est devenu une habitude si répandue qu'elle en est presque tolérée. Ce n'est pas un problème d'assainissement uniquement, c'est une question de mentalité. Ce geste, en apparence mineur, est parfois à l'origine d'une catastrophe qui revient chaque année comme un cauchemar cyclique : les inondations.
Un acte devenu banal, mais souvent lourd de conséquences
Chaque saison pluvieuse emporte avec elle son lot de drames : pertes en vies humaines, quartiers précaires inondés, destruction de biens et de récoltes, routes impraticables... Les causes sont bien connues : infrastructures de drainage des eaux usées insuffisantes, urbanisation non maîtrisée… mais aussi et surtout le comportement irresponsable de certains citadins.
Les caniveaux, lorsqu'ils existent, sont obstrués par des sachets plastiques, des bouteilles vides, des restes alimentaires - tout ce qui aurait dû finir dans une poubelle… si seulement les villes en étaient convenablement équipées. À cette situation déjà critique s'ajoute une culture du « jet », une forme de paresse civique renforcée par l'impunité généralisée.
Qui a déjà vu une contravention infligée à un automobiliste ou un piéton qui jette ses déchets ? Qui a été puni pour avoir volontairement bouché un caniveau avec des ordures ménagères ? Tant qu'aucune sanction ne viendra rappeler l'exigence de responsabilité individuelle, les déchets continueront de se retrouver dans les rues et les rues sous les eaux.
Combattre le laxisme collectif
L'homme qui a réagi ce matin n'a pas seulement ramassé un sachet. Il a posé un acte fort qui mérite d'être salué. Le changement ne viendra pas uniquement d'un décret, d'un arrêté ou d'un plan d'assainissement, mais de multiples gestes individuels portés par un sentiment de responsabilité.
Que serait notre pays si chacun devait jeter ses déchets plastiques dans la rue ? Le Burkina deviendrait l'Atlantide. Un pays sous les eaux. Les inondations ne sont pas uniquement la conséquence des fortes pluies. Elles sont surtout le résultat direct de nos choix quotidiens. Nos rues deviennent des fleuves de plastiques, nos caniveaux, des « tombeaux » à ciel ouvert. Et à chaque orage, la ville nous renvoie nos négligences comme un boomerang. C'est le fruit amer de notre laxisme collectif.
Les municipalités doivent sortir de leur léthargie. Il faut multiplier les poubelles publiques dans les rues, les marchés, les carrefours, les gares routières, etc. Il faut également renforcer les appuis aux initiatives communautaires de recyclage, de collecte et de nettoyage.
Le combat contre l'insalubrité - et, par extension, contre les inondations - ne se gagne pas uniquement avec des machines et des budgets. Il doit d'abord être remporté dans les consciences, à travers les gestes du quotidien. Espérons que la Brigade Laabal (droiture en fulfulde, ndlr), créée pour traquer les inciviques, viendra véritablement à bout des pollueurs une fois opérationnelle.
HFB
Lefaso.net
Le ministère en charge de l'agriculture, en collaboration avec ses partenaires, tient du 8 au 11 juillet 2025, un atelier de développement d'un plan d'action anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso. Il s'agit, entre autres, d'identifier les modèles de déclenchement des actions et activités anticipatoires spécifiques à mettre en œuvre en cas de déclenchement, d'élaborer le draft du cadre anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso en tenant compte des réalités locales et des défis liés à la gestion des risques d'inondations assortis d'une feuille de route.
Parmi les aléas climatiques enregistrés ces dernières années au Burkina Faso, les inondations liées à de fortes pluies ou à des crues de rivières sont particulièrement récurrentes et dévastatrices, selon le Secrétariat permanent du Conseil national de secours d'urgence et de réhabilitation (SP/CONASUR). On a encore en mémoire les inondations du 1ᵉʳ septembre 2009. En 2004, neuf des 13 régions du pays que comptait le pays ont enregistré des inondations, la région du Sahel a été la plus touchée.
D'après le rapport des autorités, les inondations ont causé des pertes humaines et matérielles considérables, avec 16 568 personnes sinistrées, 415 hectares de culture détruits et la perte de 4 106 animaux domestiques. Avec un contexte déjà marqué par le défi sécuritaire, les inondations exacerbent la vulnérabilité des populations affectées. Pour couronner le tout, la projection climatique indique une augmentation de la fréquence et de l'intensité des inondations qui pourraient affecter environ deux millions de personnes au Burkina Faso, selon le ministère de l'Environnement en 2023.
Le ministère en charge de l'agriculture veut prendre le taureau par les cornes. Il a mis en place en 2023 un Groupe technique de travail sur l'action anticipatoire (GTTAA). Son rôle est de coordonner les efforts en la matière.
Cet atelier de développement du plan d'action anticipatoire spécifique pour la gestion des risques d'inondations au Burkina Faso vise à identifier les défis spécifiques du Burkina Faso en matière d'action anticipatoire face aux inondations. Il s'agit aussi d'identifier les modèles de déclenchement des actions et activités anticipatoires spécifiques à mettre en œuvre en cas de déclenchement. En sus, le département du commandant Sombié veut mettre cette rencontre à profit pour finaliser les TDR pour la conférence sur les modèles des actions anticipatoires afin de renforcer la préparation et la réponse aux catastrophes naturelles dans le pays ; élaborer le draft du cadre anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso en tenant compte des réalités locales et des défis liés à la gestion des risques d'inondations assortis d'une feuille de route.
D'après le chef du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des nations unies (UN-OCHA), Vedaste Kalima, dans le présent contexte, l'anticipation est essentiellePlus question d'agir après les chocs
Selon le chef du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des nations unies (UN-OCHA), Vedaste Kalima, dans le présent contexte, l'anticipation est essentielle. Car elle consiste à prendre les mesures préventives pour atténuer les impacts des chocs attendus sur les vies, les moyens de subsistance et les besoins humanitaires. « En agissant en amont, nous avons la possibilité de renforcer la résilience des communautés et de préserver les acquis du développement », a déclaré M. Kalima avant de terminer : « Je vous encourage vivement à vous engager activement dans les travaux de groupe et dans les discussions qui suivront. Vos contributions, vos expériences et vos expertises respectives sont précieuses pour élaborer un plan qui répondra aux besoins spécifiques de nos communautés ».
Pour le directeur de cabinet du ministre en charge de l'agriculture, Alassane Guiré, il n'est plus question de réagir après les chocs, mais d'anticiper en mettant en place des mécanismes efficaces et adaptés de gestion des risques de catastrophes. À l'en croire, cela permettra de sauver des vies, de limiter les dégâts et de protéger les moyens d'existence des populations affectées. Cet atelier, a-t-il situé, entend bâtir, avec l'ensemble des parties prenantes, un plan d'action anticipatoire pour une gestion efficace des risques liés aux inondations.
Pour le directeur de cabinet du ministre en charge de l'agriculture, Alassane Guiré, il n'est plus question de réagir après les chocsIl a de ce fait insisté sur la collaboration interministérielle et multisectorielle ainsi que sur la complémentarité des expertises et des données scientifiques qui sont véritablement importantes pour développer un dispositif d'action anticipatoire opérationnel, réaliste et durable. M. Guiré a terminé, non sans inviter les participants à contribuer activement aux travaux et surtout à des échanges francs, constructifs et orientés vers l'action dans un esprit de partenariat et de co-responsabilité à même de rendre disponible un document de qualité dans les meilleurs délais, afin de renforcer l'efficacité du dispositif de gestion des risques de catastrophes liées aux inondations.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Le ministère en charge de l'agriculture, en collaboration avec ses partenaires, tient du 8 au 11 juillet 2025, un atelier de développement d'un plan d'action anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso. Il s'agit, entre autres, d'identifier les modèles de déclenchement des actions et activités anticipatoires spécifiques à mettre en œuvre en cas de déclenchement, d'élaborer le draft du cadre anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso en tenant compte des réalités locales et des défis liés à la gestion des risques d'inondations assortis d'une feuille de route.
Parmi les aléas climatiques enregistrés ces dernières années au Burkina Faso, les inondations liées à de fortes pluies ou à des crues de rivières sont particulièrement récurrentes et dévastatrices, selon le Secrétariat permanent du Conseil national de secours d'urgence et de réhabilitation (SP/CONASUR). On a encore en mémoire les inondations du 1ᵉʳ septembre 2009. En 2004, neuf des 13 régions du pays que comptait le pays ont enregistré des inondations, la région du Sahel a été la plus touchée.
D'après le rapport des autorités, les inondations ont causé des pertes humaines et matérielles considérables, avec 16 568 personnes sinistrées, 415 hectares de culture détruits et la perte de 4 106 animaux domestiques. Avec un contexte déjà marqué par le défi sécuritaire, les inondations exacerbent la vulnérabilité des populations affectées. Pour couronner le tout, la projection climatique indique une augmentation de la fréquence et de l'intensité des inondations qui pourraient affecter environ deux millions de personnes au Burkina Faso, selon le ministère de l'Environnement en 2023.
Le ministère en charge de l'agriculture veut prendre le taureau par les cornes. Il a mis en place en 2023 un Groupe technique de travail sur l'action anticipatoire (GTTAA). Son rôle est de coordonner les efforts en la matière.
Cet atelier de développement du plan d'action anticipatoire spécifique pour la gestion des risques d'inondations au Burkina Faso vise à identifier les défis spécifiques du Burkina Faso en matière d'action anticipatoire face aux inondations. Il s'agit aussi d'identifier les modèles de déclenchement des actions et activités anticipatoires spécifiques à mettre en œuvre en cas de déclenchement. En sus, le département du commandant Sombié veut mettre cette rencontre à profit pour finaliser les TDR pour la conférence sur les modèles des actions anticipatoires afin de renforcer la préparation et la réponse aux catastrophes naturelles dans le pays ; élaborer le draft du cadre anticipatoire pour les inondations au Burkina Faso en tenant compte des réalités locales et des défis liés à la gestion des risques d'inondations assortis d'une feuille de route.
D'après le chef du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des nations unies (UN-OCHA), Vedaste Kalima, dans le présent contexte, l'anticipation est essentiellePlus question d'agir après les chocs
Selon le chef du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des nations unies (UN-OCHA), Vedaste Kalima, dans le présent contexte, l'anticipation est essentielle. Car elle consiste à prendre les mesures préventives pour atténuer les impacts des chocs attendus sur les vies, les moyens de subsistance et les besoins humanitaires. « En agissant en amont, nous avons la possibilité de renforcer la résilience des communautés et de préserver les acquis du développement », a déclaré M. Kalima avant de terminer : « Je vous encourage vivement à vous engager activement dans les travaux de groupe et dans les discussions qui suivront. Vos contributions, vos expériences et vos expertises respectives sont précieuses pour élaborer un plan qui répondra aux besoins spécifiques de nos communautés ».
Pour le directeur de cabinet du ministre en charge de l'agriculture, Alassane Guiré, il n'est plus question de réagir après les chocs, mais d'anticiper en mettant en place des mécanismes efficaces et adaptés de gestion des risques de catastrophes. À l'en croire, cela permettra de sauver des vies, de limiter les dégâts et de protéger les moyens d'existence des populations affectées. Cet atelier, a-t-il situé, entend bâtir, avec l'ensemble des parties prenantes, un plan d'action anticipatoire pour une gestion efficace des risques liés aux inondations.
Pour le directeur de cabinet du ministre en charge de l'agriculture, Alassane Guiré, il n'est plus question de réagir après les chocsIl a de ce fait insisté sur la collaboration interministérielle et multisectorielle ainsi que sur la complémentarité des expertises et des données scientifiques qui sont véritablement importantes pour développer un dispositif d'action anticipatoire opérationnel, réaliste et durable. M. Guiré a terminé, non sans inviter les participants à contribuer activement aux travaux et surtout à des échanges francs, constructifs et orientés vers l'action dans un esprit de partenariat et de co-responsabilité à même de rendre disponible un document de qualité dans les meilleurs délais, afin de renforcer l'efficacité du dispositif de gestion des risques de catastrophes liées aux inondations.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Le tome 2 du Rapport annuel général d'activités (RAGA) 2023 traite des activités de prévention, de contrôle et de coordination menées par l'Autorité supérieure de contrôle d'État et de lutte contre la corruption (ASCE-LC). De la page 63 à la page 66, l'institution dirigée par Lassané Compaoré expose les résultats de l'audit de la Société nationale burkinabè d'hydrocarbures (SONABHY). Au terme de l'audit, c'est une incidence financière de plus de 9 milliards de francs CFA qui a été constatée.
Sur le plan organisationnel, onze irrégularités ont été relevées par l'ASCE-LC. De ces constats, on relève ceci : la SONABHY ne dispose réellement que d'un stock moyen de sécurité de 3 à 5 jours, respectivement pour les produits gazeux et les produits liquides, selon le rythme actuel des évènements. « La SONABHY est exposée à un important risque de rupture de stocks en cas d'arrêt des approvisionnements d'une durée supérieure à celles indiquées ci-dessus », lit-on dans le rapport, à la page 63.
Par ailleurs, la mise en œuvre du nouvel organigramme a, toujours selon le RAGA, conduit à la multiplication des postes de direction et de chef de service à incidence financière, d'environ 192 millions de francs CFA par an. « De plus, ce nouvel organigramme n'est pas en adéquation avec les missions de la société », relève le document de 176 pages, soulignant comme autres irrégularités la non-couverture du réseau de dépôt de tout le territoire, notamment les régions de Yaadga et du Goulmou (ex-régions de l'Est et du Nord).
On note aussi la session du Conseil d'administration avec des mandats expirés ; la non-disponibilité d'un plan de carrière validé par les organes de gouvernance et de fiches de poste décrivant de façon claire les tâches et les objectifs à atteindre par chaque employé ; l'absence de charte d'audit, de cartographie des risques et de manuel ; « une irrégularité qui n'était pas conforme au contrat d'assurance et à l'avenant 3 du 18 novembre 2016 a engendré un surplus d'IFC versé de 510 002 588 francs CFA de 2020 au 1er mars 2021. Il a donc été décidé d'un avenant 4 en date du 1ᵉʳ mars 2021 avec une clause », souligne le rapport.
Des primes de bilan équivalant à cinq mois de salaire net, évaluées à plus d'un milliard en 2020
Sur le plan comptable, neuf irrégularités ont été constatées. D'abord, certaines imputations comptables ont été effectuées en dollars ou en euros au cours des exercices 2020-2022. « Nous avons noté l'existence de deux comptes bancaires ouverts au nom de la SONABHY à ECOBANK et à la Société générale Burkina Faso (SGBF). Ces comptes non enregistrés dans la comptabilité de la SONABHY reçoivent souvent des règlements effectués par les clients au cours des exercices 2020, 2021 et 2022. Le solde cumulé de ces comptes s'élève à 186 117 118 FCFA au 31 décembre 2022 », renseigne le rapport à la page 64.
En 2022, sur la base de leur échantillon, l'ASCE-LC relève des pertes de change d'un montant total de 3 695 157 822 FCFA, liées au paiement des factures ITFC. « En effet, ITFC facture la SONABHY en euros après avoir payé les fournisseurs d'hydrocarbures et de gaz pour lesquels les contrats de vente avec la SONABHY sont libellés en dollars », constate l'institution, soulignant outre cela l'octroi des primes de motivation pour un montant de 170 076 267 francs CFA en 2020, et 28 426 266 francs CFA en 2022. « Cette prime n'est pas prévue par les statuts », fait observer l'ASCE-LC.
« Les charges primes de bilan sont passées de 1 142 759 795 FCFA en 2020, soit 18 % des charges de personnel, à 1 397 646 876 FCFA en 2021, soit 20 %, et à 843 844 463 FCFA en 2022, soit 13 % des charges de personnel. Ces primes ont connu une croissance de 22 % entre 2020 et 2021. Cette situation s'explique par des décisions du conseil d'administration d'accorder au personnel de la société des primes de bilan équivalant à cinq mois de salaire net, en guise d'encouragement et de motivation vu les résultats bénéficiaires dégagés. Ceci a contribué à la détérioration de la trésorerie, surtout en 2022. Le statut du personnel, en son article 40, prévoit l'octroi de primes de bilan mais ne plafonne pas le montant de ces primes », poursuit le rapport.
Des livraisons de 5,4 milliards de francs CFA non facturées
Sur le plan financier, on note le non-respect des délais de validité des offres ; l'impossibilité de recouper les chiffres d'affaire entre la comptabilité et la direction commerciale. Aussi, des livraisons effectuées par la SONABHY à la SONABEL d'une valeur globale de 5,4 milliards de francs CFA n'ont pas été facturées ; les autorisations du conseil d'administration requises pour des dons et contributions d'un montant de 10 428 400 francs CFA n'ont toujours pas été fournies.
À cela s'ajoutent des formations administrées à l'international par des entreprises de droit burkinabè, qui auraient pu se tenir au niveau national, toute chose qui a engendré des coûts supplémentaires. « Les coûts des formations, sans compter les frais de déplacement, de logement et de prise en charge des bénéficiaires, s'élèvent à 97 504 578 FCFA sur la période 2020-2022 », mentionne le rapport, qui souligne des achats spots, plus chers que les achats par appels d'offres, effectués. « En effet, certains achats spots ont été réalisés avec des primes supérieures aux primes de structures fixées par le Comité interministériel de détermination des prix des hydrocarbures. Le manque à gagner est estimé à 3 388 978 811 FCFA pour la SONABHY », évalue l'ASCE-LC.
Au total, c'est une incidence financière évaluée à 9 598 914 177 francs CFA.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Un incendie meurtrier a ravagé le siège de Telecom Egypt, situé à Ramses Central, en plein centre du Caire, causant la mort de quatre employés et faisant 21 blessés, dans la soirée du lundi 7 juillet 2025, ont rapporté nos confrères de Mada Masr. L'incident a plongé le pays dans une crise de connectivité sans précédent. Entre deuil, perturbations nationales et remise en question des infrastructures, le gouvernement tente de colmater les brèches.
Selon le média égyptien, l'incendie survenu au septième étage de l'immeuble a rapidement touché les équipements critiques de télécommunication, provoquant une panne majeure sur tout le territoire national.
Les conséquences ont été immédiates et multiples à l'instar de coupures de réseau téléphonique, d'accès à Internet, d'interruptions de services bancaires, de perturbation des vols à l'aéroport du Caire et d'indisponibilité des lignes d'urgence. Selon l'observatoire indépendant Netblocks, la connectivité nationale n'atteignait que 62% lundi soir et avait encore chuté à 44% en matinée de ce mardi 8 juillet.
Le ministre des Communications, Amr Talaat, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes, tout en assurant que des mesures de redirection du trafic Internet avaient été prises, notamment via le central de Rawda. Il a cependant reconnu que le Ramses Exchange resterait hors service plusieurs jours, appelant à repenser la centralisation du réseau.
Face à la gravité de l'incident, la Bourse égyptienne a suspendu ses activités ce mardi, et le ministère public a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'incendie et vérifier le respect des normes de sécurité. Tandis que les vols ont repris leur cours normal, les critiques fusent sur la dépendance excessive à un seul nœud de connectivité.
La tragédie du Ramses Exchange révèle une faille structurelle dans l'infrastructure numérique du pays. Elle pose avec urgence la question de la redondance et de la résilience du système national face aux risques majeurs.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Source : Mada Masr
Un incendie meurtrier a ravagé le siège de Telecom Egypt, situé à Ramses Central, en plein centre du Caire, causant la mort de quatre employés et faisant 21 blessés, dans la soirée du lundi 7 juillet 2025, ont rapporté nos confrères de Mada Masr. L'incident a plongé le pays dans une crise de connectivité sans précédent. Entre deuil, perturbations nationales et remise en question des infrastructures, le gouvernement tente de colmater les brèches.
Selon le média égyptien, l'incendie survenu au septième étage de l'immeuble a rapidement touché les équipements critiques de télécommunication, provoquant une panne majeure sur tout le territoire national.
Les conséquences ont été immédiates et multiples à l'instar de coupures de réseau téléphonique, d'accès à Internet, d'interruptions de services bancaires, de perturbation des vols à l'aéroport du Caire et d'indisponibilité des lignes d'urgence. Selon l'observatoire indépendant Netblocks, la connectivité nationale n'atteignait que 62% lundi soir et avait encore chuté à 44% en matinée de ce mardi 8 juillet.
Le ministre des Communications, Amr Talaat, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes, tout en assurant que des mesures de redirection du trafic Internet avaient été prises, notamment via le central de Rawda. Il a cependant reconnu que le Ramses Exchange resterait hors service plusieurs jours, appelant à repenser la centralisation du réseau.
Face à la gravité de l'incident, la Bourse égyptienne a suspendu ses activités ce mardi, et le ministère public a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'incendie et vérifier le respect des normes de sécurité. Tandis que les vols ont repris leur cours normal, les critiques fusent sur la dépendance excessive à un seul nœud de connectivité.
La tragédie du Ramses Exchange révèle une faille structurelle dans l'infrastructure numérique du pays. Elle pose avec urgence la question de la redondance et de la résilience du système national face aux risques majeurs.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Source : Mada Masr
Les entreprises de presse bénéficiaires du Fonds d'appui à la presse privée (FAPP) exercice 2025 sont entrées en possession de leurs chèques. C'était au cours d'une cérémonie organisée pour l'occasion ce mardi 8 juillet 2025, sous la présidence du ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo. Il faut noter que pour cette année, ce sont au total 94 dossiers qui ont été reçus. Après examen par la Commission indépendante de répartition et à la lumière des dispositions de l'arrêté conjoint en vigueur, 70 bénéficiaires ont été retenus, soit 68 dossiers d'entreprises de presse privées et 2 dossiers de structures professionnelles.
Pour l'exercice 2025 du Fonds d'appui à la presse privée, les 70 bénéficiaires vont se partager 320 millions de FCFA. En ce qui concerne la répartition, on note que 42 bénéficiaires de la presse audiovisuelle, dont 6 télévisions et 36 radios, vont se partager 184 223 160 FCFA, fait savoir le directeur général du FAPP, Zita Daniel Bonzi. La presse en ligne s'en sort avec 81 561 378 FCFA à répartir entre 19 bénéficiaires et la presse écrite avec 38 215 461 FCFA pour 7 bénéficiaires. Les structures professionnelles quant à elles reçoivent chacune 6 400 000 FCFA.
Le directeur général du FAPP a salué les efforts financiers déployés par le gouvernement pour allouer la présente cagnotte au profit des médias privés. Celle-ci est passée de 200 millions en 2024 à 320 millions en 2025. « Cette subvention est non seulement un appui institutionnel, mais aussi un levier d'accompagnement à la professionnalisation, à la viabilité économique et à la diversité du secteur médiatique », a souligné Zita Daniel Bonzi.
Zita Daniel Bonzi, directeur général du Fonds d'appui à la presse privéeAfin d'accompagner les entreprises bénéficiaires pour une gestion rigoureuse et conforme des fonds publics qui leur sont confiés, une séance de formation a été organisée plus tôt dans la matinée sur la production des pièces justificatives. Le directeur général du FAPP a invité les bénéficiaires à faire un usage efficace, transparent et responsable de la subvention allouée et à transmettre au FAPP, au plus tard le 31 décembre 2025, un rapport justificatif conforme à la réglementation en vigueur.
Les bénéficiaires, par la voix de Mountamou Kani, rédacteur en chef de L'Express du Faso, traduisent leur reconnaissance au gouvernement qui a une fois de plus honoré son engagement en faveur de la presse privée, malgré un contexte économique difficile. « Cette subvention constitue pour nous, bénéficiaires, une bouffée d'oxygène. Grâce à cet appui, nous pourrons poursuivre nos activités et continuer à assurer notre mission d'information, de sensibilisation, d'éducation citoyenne et de promotion des valeurs républicaines et patriotiques. Bénéficier de cet appui ne saurait être perçu comme un simple soutien financier, mais comme un appel à davantage de professionnalisme, d'éthique et de rigueur dans l'exercice de notre noble mission », a-t-il déclaré.
Pour le représentant des bénéficiaires, Mountamou Kani, cette subvention est une bouffée d'oxygèneMountamou Kani a aussi réaffirmé l'engagement des médias à accompagner les efforts du gouvernement dans la recherche de la paix, de la sécurité et de la restauration de l'intégrité du territoire. Il n'a pas manqué de plaider pour une augmentation significative de l'enveloppe financière allouée aux médias privés et un assouplissement des conditions d'accès, au regard des difficultés économiques persistantes auxquelles ils sont confrontés et de leur engagement à accompagner le peuple burkinabè en quête de stabilité.
Pour le ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo, cette subvention accordée à la presse privée ne saurait être perçue comme un privilège ou une faveur. « Elle constitue la contrepartie de l'État à votre engagement à soutenir la dynamique de sécurisation de notre territoire et de reconquête de notre souveraineté », a-t-il soutenu.
Le ministre de la communication a ajouté que les attentes du peuple burkinabè à l'égard de sa presse sont immenses : une presse professionnelle, capable d'un traitement responsable des questions de sécurité, de gouvernance et de cohésion sociale. « C'est pourquoi j'en appelle à un usage transparent, rigoureux et responsable des ressources allouées. Ces fonds publics doivent être utilisés conformément à leur vocation première, à savoir moderniser les outils de production, renforcer les compétences des professionnels, produire des contenus de qualité, développer des projets éditoriaux innovants et soutenir la mise en œuvre des politiques publiques de développement », a insisté le ministre de la communication.
Il a indiqué que le gouvernement restera engagé à poursuivre son accompagnement, afin de rendre l'écosystème médiatique plus résilient, plus viable économiquement et plus compétitif.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Les entreprises de presse bénéficiaires du Fonds d'appui à la presse privée (FAPP) exercice 2025 sont entrées en possession de leurs chèques. C'était au cours d'une cérémonie organisée pour l'occasion ce mardi 8 juillet 2025, sous la présidence du ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo. Il faut noter que pour cette année, ce sont au total 94 dossiers qui ont été reçus. Après examen par la Commission indépendante de répartition et à la lumière des dispositions de l'arrêté conjoint en vigueur, 70 bénéficiaires ont été retenus, soit 68 dossiers d'entreprises de presse privées et 2 dossiers de structures professionnelles.
Pour l'exercice 2025 du Fonds d'appui à la presse privée, les 70 bénéficiaires vont se partager 320 millions de FCFA. En ce qui concerne la répartition, on note que 42 bénéficiaires de la presse audiovisuelle, dont 6 télévisions et 36 radios, vont se partager 184 223 160 FCFA, fait savoir le directeur général du FAPP, Zita Daniel Bonzi. La presse en ligne s'en sort avec 81 561 378 FCFA à répartir entre 19 bénéficiaires et la presse écrite avec 38 215 461 FCFA pour 7 bénéficiaires. Les structures professionnelles quant à elles reçoivent chacune 6 400 000 FCFA.
Le directeur général du FAPP a salué les efforts financiers déployés par le gouvernement pour allouer la présente cagnotte au profit des médias privés. Celle-ci est passée de 200 millions en 2024 à 320 millions en 2025. « Cette subvention est non seulement un appui institutionnel, mais aussi un levier d'accompagnement à la professionnalisation, à la viabilité économique et à la diversité du secteur médiatique », a souligné Zita Daniel Bonzi.
Zita Daniel Bonzi, directeur général du Fonds d'appui à la presse privéeAfin d'accompagner les entreprises bénéficiaires pour une gestion rigoureuse et conforme des fonds publics qui leur sont confiés, une séance de formation a été organisée plus tôt dans la matinée sur la production des pièces justificatives. Le directeur général du FAPP a invité les bénéficiaires à faire un usage efficace, transparent et responsable de la subvention allouée et à transmettre au FAPP, au plus tard le 31 décembre 2025, un rapport justificatif conforme à la réglementation en vigueur.
Les bénéficiaires, par la voix de Mountamou Kani, rédacteur en chef de L'Express du Faso, traduisent leur reconnaissance au gouvernement qui a une fois de plus honoré son engagement en faveur de la presse privée, malgré un contexte économique difficile. « Cette subvention constitue pour nous, bénéficiaires, une bouffée d'oxygène. Grâce à cet appui, nous pourrons poursuivre nos activités et continuer à assurer notre mission d'information, de sensibilisation, d'éducation citoyenne et de promotion des valeurs républicaines et patriotiques. Bénéficier de cet appui ne saurait être perçu comme un simple soutien financier, mais comme un appel à davantage de professionnalisme, d'éthique et de rigueur dans l'exercice de notre noble mission », a-t-il déclaré.
Pour le représentant des bénéficiaires, Mountamou Kani, cette subvention est une bouffée d'oxygèneMountamou Kani a aussi réaffirmé l'engagement des médias à accompagner les efforts du gouvernement dans la recherche de la paix, de la sécurité et de la restauration de l'intégrité du territoire. Il n'a pas manqué de plaider pour une augmentation significative de l'enveloppe financière allouée aux médias privés et un assouplissement des conditions d'accès, au regard des difficultés économiques persistantes auxquelles ils sont confrontés et de leur engagement à accompagner le peuple burkinabè en quête de stabilité.
Pour le ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo, cette subvention accordée à la presse privée ne saurait être perçue comme un privilège ou une faveur. « Elle constitue la contrepartie de l'État à votre engagement à soutenir la dynamique de sécurisation de notre territoire et de reconquête de notre souveraineté », a-t-il soutenu.
Le ministre de la communication a ajouté que les attentes du peuple burkinabè à l'égard de sa presse sont immenses : une presse professionnelle, capable d'un traitement responsable des questions de sécurité, de gouvernance et de cohésion sociale. « C'est pourquoi j'en appelle à un usage transparent, rigoureux et responsable des ressources allouées. Ces fonds publics doivent être utilisés conformément à leur vocation première, à savoir moderniser les outils de production, renforcer les compétences des professionnels, produire des contenus de qualité, développer des projets éditoriaux innovants et soutenir la mise en œuvre des politiques publiques de développement », a insisté le ministre de la communication.
Il a indiqué que le gouvernement restera engagé à poursuivre son accompagnement, afin de rendre l'écosystème médiatique plus résilient, plus viable économiquement et plus compétitif.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
La grande famille BASSOLE à Réo,
La famille de Feu Bassolé Bassana à Koudougou
Les grandes familles Bassolé à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, France, et aux Etats Unis
Les grandes Familles BAMOUNI, BADO, BASSILA, BAZIE à Tialgo, Ténado
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Issouka
Les Familles alliées YONLI, BARRO, TRAORE, BAKO, BAZIE
Le Doyen Bruno BASSOLE et ses oncles, frères, neveux à Ouagadougou
La fraternité SOLEIBA
La veuve
BASSOLE née YAMEOGO Félicité
Assistante sociale à la retraite
Les enfants
BASSOLE Zouadié Eliane Florine, médecin pédiatre à la Direction de la Santé de la Famille
BASSOLE Aucapordin Georges Roland Sylvain, Ingénieur en télécommunication à Lyon
BASSOLE Itouaboula Anges Wilfried Cyriaque, Technicien en agronomie au Etats Unis
Les petits enfants
Nael, Joris, Maeva, Jade et Merveille Divine
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur frère, époux, père, grand père
Monsieur BASSOLE Igounezi dit Bazombié Nestor
Chevalier de l'ordre national
Précédemment administrateur financier à la retraite.
Ex Directeur Général de la CARFO
Décès survenu le dimanche 06 Juillet 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo de suite de courte maladie
Programme des obsèques
Mercredi 9 Juillet 2025
16H : levée du corps à la morgue de l'Hôpital de Bogodogo
A partir de 16H30 : Hommage et recueillement au domicile du défunt à Nagrin
20H : veillée de prière à son domicile
Jeudi 10 Juillet 2025
9H : messe d'absoute tenant lieu de funérailles chrétienne à l'Eglise Saint Marc de Nagrin
11H : Inhumation à son domicile à Nagrin
Dimanche 13 Juillet 2025
7H : première messe de requiem à la CCB Saint Vincent de Paul à Nagrin
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé ma course, j'ai gardé la foi. » 2 Timothée 4 :7
76 ans. (11 Aout 1949 – 06 Juillet 2025)
La grande famille BASSOLE à Réo,
La famille de Feu Bassolé Bassana à Koudougou
Les grandes familles Bassolé à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, France, et aux Etats Unis
Les grandes Familles BAMOUNI, BADO, BASSILA, BAZIE à Tialgo, Ténado
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Issouka
Les Familles alliées YONLI, BARRO, TRAORE, BAKO, BAZIE
Le Doyen Bruno BASSOLE et ses oncles, frères, neveux à Ouagadougou
La fraternité SOLEIBA
La veuve
BASSOLE née YAMEOGO Félicité
Assistante sociale à la retraite
Les enfants
BASSOLE Zouadié Eliane Florine, médecin pédiatre à la Direction de la Santé de la Famille
BASSOLE Aucapordin Georges Roland Sylvain, Ingénieur en télécommunication à Lyon
BASSOLE Itouaboula Anges Wilfried Cyriaque, Technicien en agronomie au Etats Unis
Les petits enfants
Nael, Joris, Maeva, Jade et Merveille Divine
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur frère, époux, père, grand père
Monsieur BASSOLE Igounezi dit Bazombié Nestor
Chevalier de l'ordre national
Précédemment administrateur financier à la retraite.
Ex Directeur Général de la CARFO
Décès survenu le dimanche 06 Juillet 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo de suite de courte maladie
Programme des obsèques
Mercredi 9 Juillet 2025
16H : levée du corps à la morgue de l'Hôpital de Bogodogo
A partir de 16H30 : Hommage et recueillement au domicile du défunt à Nagrin
20H : veillée de prière à son domicile
Jeudi 10 Juillet 2025
9H : messe d'absoute tenant lieu de funérailles chrétienne à l'Eglise Saint Marc de Nagrin
11H : Inhumation à son domicile à Nagrin
Dimanche 13 Juillet 2025
7H : première messe de requiem à la CCB Saint Vincent de Paul à Nagrin
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé ma course, j'ai gardé la foi. » 2 Timothée 4 :7
76 ans. (11 Aout 1949 – 06 Juillet 2025)
Les grandes familles NABIA à Kabourou, Orodara Ouagadougou et Tunisie, YARO à Bandio, Pâ, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et alliées,
Très touchées par les prières, les marques de réconfort et les soutiens multiformes que vous leur avez témoignés lors du décès de leur épouse, fille, sœur, belle-sœur, mère et grand-mère :
N'Yidémou Denise NABIA née YARO,
Rappelée à Dieu le 11 mai 2025 à l'âge de 57 ans et inhumée le lendemain 12 mai 2025 à Kabourou,
expriment leurs sincères remerciements et profonde gratitude à tous ceux qui, de près ou de loin, les ont assistés durant ces moments douloureux.
Elles se gardent de citer des noms de peur d'en oublier et prient que Dieu le très miséricordieux reçoive l'âme de la défunte dans sa demeure et récompense chacun au centuple de ses bienfaits.
"Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts" 1 Thessaloniciens 4:14
Union de prières
Les grandes familles NABIA à Kabourou, Orodara Ouagadougou et Tunisie, YARO à Bandio, Pâ, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et alliées,
Très touchées par les prières, les marques de réconfort et les soutiens multiformes que vous leur avez témoignés lors du décès de leur épouse, fille, sœur, belle-sœur, mère et grand-mère :
N'Yidémou Denise NABIA née YARO,
Rappelée à Dieu le 11 mai 2025 à l'âge de 57 ans et inhumée le lendemain 12 mai 2025 à Kabourou,
expriment leurs sincères remerciements et profonde gratitude à tous ceux qui, de près ou de loin, les ont assistés durant ces moments douloureux.
Elles se gardent de citer des noms de peur d'en oublier et prient que Dieu le très miséricordieux reçoive l'âme de la défunte dans sa demeure et récompense chacun au centuple de ses bienfaits.
"Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts" 1 Thessaloniciens 4:14
Union de prières
Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;
Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi , Ouagadougou ;
Les enfants : Moussa, Marie, Suzanne, et Pierre à Ouagadougou ;
Les petits fils ;
La belle famille : KABORE à Sambtenga ;
Les familles alliées : TRAORE, KABORE, OUEDRAOGO et KONSIMBO à Banfora, Zorgho et Zitinga.
Ont le regret de vous annoncer le décès de leur mère, grand-mère et épouse ILBOUDO née KABORE Nabyoure Pauline.
Décès survenu le mardi 8 juillet 2025 à l'hôpital Yalgado de suite de maladie.
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Mercredi 9 juillet 2025
20h30 veillée de prière à son domicile Ouidi
Jeudi 10 juillet
7h00 levée du corps à la morgue de l'hôpital yalgado pour le domicile à Ouidi
9h00 absoute à l'église notre dame de Kologh Naaba suivi de l'inhumation au cimetière route de Kamboinsin.
« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie »
Sainte Thérèse de l'enfant Jésus
UNION DE PRIERES !
Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;
Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi , Ouagadougou ;
Les enfants : Moussa, Marie, Suzanne, et Pierre à Ouagadougou ;
Les petits fils ;
La belle famille : KABORE à Sambtenga ;
Les familles alliées : TRAORE, KABORE, OUEDRAOGO et KONSIMBO à Banfora, Zorgho et Zitinga.
Ont le regret de vous annoncer le décès de leur mère, grand-mère et épouse ILBOUDO née KABORE Nabyoure Pauline.
Décès survenu le mardi 8 juillet 2025 à l'hôpital Yalgado de suite de maladie.
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Mercredi 9 juillet 2025
20h30 veillée de prière à son domicile Ouidi
Jeudi 10 juillet
7h00 levée du corps à la morgue de l'hôpital yalgado pour le domicile à Ouidi
9h00 absoute à l'église notre dame de Kologh Naaba suivi de l'inhumation au cimetière route de Kamboinsin.
« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie »
Sainte Thérèse de l'enfant Jésus
UNION DE PRIERES !
Le lundi 7 juillet les épreuves écrites du second tour du baccalauréat 2025 ont officiellement débuté à travers tout le Burkina Faso. À Gaoua, dans la région du Djôrô, une délégation ministérielle composé du ministre en charge de l'enseignement secondaire et de la formation professionnelle, Boubacar Savadogo et de celui en charge des sports, Roland Somda s'est rendue dans deux centres d'examen pour s'assurer du bon déroulement des épreuves et encourager les candidats.
Au centre d'examen du lycée provincial Bafuji de Gaoua, Boubacar Savadogo, chef du département de l'Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique et Roland Somda en charge de la jeunesse et de l'emploi, sont venus témoigner leur soutien aux candidats du baccalauréat. Une présence à forte portée symbolique pour ces futurs bacheliers. « C'est un honneur de recevoir les ministres. Nous avons bénéficié de leurs conseils, et c'est un bon encouragement pour la suite. Ils nous ont dit de rester sereins face aux sujets qui sont à notre portée », confie un candidat en série D, Bachir Khalid Igo.
Après le lancement de la première épreuve de l'examen, la mission gouvernementale s'est entretenue avec les membres du centre du lycée municipal. Le sujet des échanges : encouragements des acteurs du baccalauréat pour les résultats. « Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré veut que notre pays soit à la hauteur de la science. Et pour cela, l'enseignement scientifique, technologique est beaucoup encouragé. Et nous avons constaté ici dans un jury ou il y a la série C, et sur 32 candidats présentés, 29 sont admis au premier tour et les 3 autres sont au second tour. Cela veut dire que ce message est très bien compris ».
Dans la région du Djoro, les membres du gouvernement sont venus également porter aux populations un message sur l'immersion patriotique des nouveaux bacheliers. « Cette initiative va permettre à tous les admis au baccalauréat d'avoir un mois d'immersion patriotique. Et au cours de cette immersion, ils vont bénéficier de six modules sur le patriotisme, sur l'histoire de notre pays, la géopolitique internationale, l'entreprenariat, et la citoyenneté. C'est pour les préparer aux modèles de jeunes que le Burkina Faso veut avoir dans les années futures. À la fin des 30 jours de l'immersion patriotique, il y aura une évaluation qui va être sanctionnée par une attestation. Et cette attestation va être une des pièces des dossiers d'inscription dans les universités privées et publiques du Burkina » explique Boubacar Savadogo, ministre de l'enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique.
Sur un total de 3 569 candidats dans la région du Djoro, 1 411 sont admis au premier tour, soit un taux de succès de 39,53%. 968 candidats prennent part à ces épreuves du second tour. Les résultats devraient être disponibles au plus tard le jeudi 10 juillet 2025.
Boubacar Tarnagda
Gaoua
Lefaso.net
Le lundi 7 juillet les épreuves écrites du second tour du baccalauréat 2025 ont officiellement débuté à travers tout le Burkina Faso. À Gaoua, dans la région du Djôrô, une délégation ministérielle composé du ministre en charge de l'enseignement secondaire et de la formation professionnelle, Boubacar Savadogo et de celui en charge des sports, Roland Somda s'est rendue dans deux centres d'examen pour s'assurer du bon déroulement des épreuves et encourager les candidats.
Au centre d'examen du lycée provincial Bafuji de Gaoua, Boubacar Savadogo, chef du département de l'Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique et Roland Somda en charge de la jeunesse et de l'emploi, sont venus témoigner leur soutien aux candidats du baccalauréat. Une présence à forte portée symbolique pour ces futurs bacheliers. « C'est un honneur de recevoir les ministres. Nous avons bénéficié de leurs conseils, et c'est un bon encouragement pour la suite. Ils nous ont dit de rester sereins face aux sujets qui sont à notre portée », confie un candidat en série D, Bachir Khalid Igo.
Après le lancement de la première épreuve de l'examen, la mission gouvernementale s'est entretenue avec les membres du centre du lycée municipal. Le sujet des échanges : encouragements des acteurs du baccalauréat pour les résultats. « Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré veut que notre pays soit à la hauteur de la science. Et pour cela, l'enseignement scientifique, technologique est beaucoup encouragé. Et nous avons constaté ici dans un jury ou il y a la série C, et sur 32 candidats présentés, 29 sont admis au premier tour et les 3 autres sont au second tour. Cela veut dire que ce message est très bien compris ».
Dans la région du Djoro, les membres du gouvernement sont venus également porter aux populations un message sur l'immersion patriotique des nouveaux bacheliers. « Cette initiative va permettre à tous les admis au baccalauréat d'avoir un mois d'immersion patriotique. Et au cours de cette immersion, ils vont bénéficier de six modules sur le patriotisme, sur l'histoire de notre pays, la géopolitique internationale, l'entreprenariat, et la citoyenneté. C'est pour les préparer aux modèles de jeunes que le Burkina Faso veut avoir dans les années futures. À la fin des 30 jours de l'immersion patriotique, il y aura une évaluation qui va être sanctionnée par une attestation. Et cette attestation va être une des pièces des dossiers d'inscription dans les universités privées et publiques du Burkina » explique Boubacar Savadogo, ministre de l'enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique.
Sur un total de 3 569 candidats dans la région du Djoro, 1 411 sont admis au premier tour, soit un taux de succès de 39,53%. 968 candidats prennent part à ces épreuves du second tour. Les résultats devraient être disponibles au plus tard le jeudi 10 juillet 2025.
Boubacar Tarnagda
Gaoua
Lefaso.net
Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.
Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.
Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.
Lefaso.net
Source : TASS
Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.
Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.
Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.
Lefaso.net
Source : TASS
Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.
Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.