Pour des travaux non exécutés, la société ORIADE BUILDING SARL a été condamnée, le 19 mars 2025, par le Tribunal de Commerce de Cotonou.
ORIADE BUILDING SARL a été condamnée à verser à une cliente la somme de 10.859.470 FCFA pour des travaux non exécutés. La société devra également verser 2.000.000 FCFA de dommages-intérêts pour les préjudices subis.
Le litige remonte à un contrat signé en février 2022. La société s'était engagée à construire un appartement pour un montant de 25.000.000 FCFA. Malgré le paiement de 24.250.000 FCFA par la cliente, les travaux sont restés inachevés.
Un expert a évalué que seulement 56% des travaux avaient été réalisés.
Le tribunal a rejeté la demande de contre-expertise formulée par ORIADE BUILDING SARL. Il a également débouté la société de sa demande reconventionnelle de 6.179.750 FCFA.
Jean-Pierre BANWOLA, gérant de la société, a été mis hors de cause. Le Tribunal de commerce de Cotonou a rappelé que la responsabilité incombe à la société elle-même.
Selon le jugement N° 042/2025/CJ2/S1/TCC rendu le 19 mars 2025, la société ORIADE BUILDING SARL devra également supporter les frais de justice.
M. M.
Madar Maritime Compagny, une filiale de Madar Holding, a annoncé le lancement de deux nouvelles liaisons maritimes reliant l’Algérie à l’Espagne. Ces traversées desserviront les […]
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Le gouvernement a procédé mercredi 17 septembre 2025, à la nomination de nouveaux recteurs dans les universités publiques. Charlemagne IGUE et Bertrand SOGBOSSI BOCCO sont respectivement nommés à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) et à l'Université de Parakou (UP).
Liste des nouveaux responsables rectorales après avis conforme du Conseil national de l'Éducation (CNE)
Université d'Abomey-Calavi (UAC)
– Recteur : Monsieur Charlemagne IGUE
– Vice-recteur chargé des Affaires académiques : Monsieur Tahirou DJARA
– Vice-recteur chargé de la Recherche universitaire : Monsieur Aliou SAÏDOU
– Vice-recteur chargé de la Coopération et de l'Insertion professionnelle : Madame Nelly C. KELOME
– Secrétaire générale : Madame Véronique GBEGNITO
Université de Parakou (UP)
– Recteur : Monsieur Bertrand SOGBOSSI BOCCO
– Vice-recteur chargé des Affaires académiques : Monsieur Tododjitché Thierry Armel ADOUKONOU
– Vice-recteur chargé de la Recherche universitaire : Monsieur Nasser Mohamed BACO
– Vice-recteur chargé de la Coopération et de l'Insertion professionnelle : Monsieur Alexis ABODOHOUI
– Secrétaire générale : Madame Konigbagbé Antoinette Isabelle FALADE
Université nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques (UNSTIM)
– Recteur : Monsieur Codjo Edmond ADJOVI
– Vice-recteur chargé des Affaires académiques : Madame Estelle Yèyinou LOKO
– Vice-recteur chargé de la Recherche universitaire : Monsieur Comlan Aristide HOUNGAN
– Vice-recteur chargé de la Coopération et de l'Insertion professionnelle : Monsieur Gordon Thierry GODJO
– Secrétaire général : Monsieur Boniface SABI BOUEGUI
Université nationale d'Agriculture (UNA)
– Recteur : Monsieur Bruno DJOSSA
– Vice-recteur chargé des Affaires académiques : Monsieur Florent OKRY
– Vice-recteur chargé de la Recherche universitaire : Monsieur Adandé Belarmain FANDOHAN
– Vice-recteur chargé de la Coopération et de l'Insertion professionnelle : Madame Carolle AVOCEVOU
– Secrétaire général : Monsieur Nassirou ADJIBI
Nomination dans d'autres ministères
Ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique
– Secrétaire général adjoint
Monsieur Michel Victor DANGNON
– Conseiller technique à la Gestion des partis politiques et des Affaires électorales
Adamou ABA BAGNAN
– Directeur départemental de l'Intérieur et de la Sécurité publique dans le Zou et les Collines
Marin K. AGONGNON
– Directeur départemental de l'Intérieur et de la Sécurité publique Ouémé/ Plateau
Saliou Bangbola KOSSOLOU
Ministère des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation professionnelle
– Conseiller technique à l'Enseignement technique et à la Formation professionnelle
Armelle Pacian S. TCHIAKPE HODONOU
Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
– Directeur général de l'Agence béninoise pour la Recherche et l'Innovation
Nourou SOULEMANE YOROU
L’ancien ministre du Travail, Hassan Tidjani-Haddam et plus de 10 accusés, dont un ancien directeur des domaines de l’État nommé « D.W. » ainsi que des ex-maires […]
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Environ 140 enseignants de la province éducationnelle Équateur 1 ont été formés, du 6 au 13 septembre, sur le nouveau programme des humanités pédagogiques à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Équateur.
Ce programme prévoit une formation postsecondaire de trois ans, destinée à renforcer les compétences des enseignants du niveau primaire et à les rendre plus expérimentés.
En Conseil des ministres, ce mercredi 17 septembre 2025, le gouvernement a autorisé le recrutement et la formation de 715 agents élèves agents de Police au titre de l'année 2025.
Du personnel pour la Police républicaine. Un recrutement de 715 agents a été autorisé ce mercredi 15 septembre 2025, en Conseil des ministres au titre de l'année 2025.
Plus de détails à venir
Deux survivants d’Ebola, après avoir été traités avec succès, ont quitté le centre hospitalier général de référence de Bulape, dans le territoire de Mweka, province du Kasaï, après quelques jours de soins.
Le directeur général de l’Institut national de santé publique, le Dr Dieudonné Mwamba, a annoncé cette bonne nouvelle, mercredi 17 septembre, précisant que seize cas confirmés continuent actuellement de recevoir des soins.
Au terme d'une élection organisée, lundi 15 septembre 2025, sur le campus universitaire d'Abomey-Calavi, c'est la liste Nouvel Elan qui a remporté la majorité des voix, actant ainsi l'élection du candidat Julien Gbessi au poste de président du Bureau exécutif de la Fédération nationale des étudiants du Bénin (FNEB).
Julien Gbessi succède à Marius Tchomakou à la tête du Bureau exécutif de l'organisation estudiantine. Il a été porté en triomphe au terme de l'élection organisée lundi dernier, avec 1713 voix contre 224 voix pour la liste adverse, Nouvelle force militante.
Le nouveau président de la FNEB assure travailler avec l'ensemble « des fédérés » pour faire briller davantage l'organisation estudiantine.
F. A. A.
C’est de la nature des peuples d’aspirer au mieux-être qui est un droit naturel. Malgré les illusions, il faut reconnaître que le Togo a vraiment reculé sur plusieurs plans. La république est devenue très vulnérable depuis l’avènement de la 5e République. Le pays traverse une période d’incertitude et a du mal à protéger ses enfants pour une relance économique et sociale.
L’optimisme des Togolais pour changer leur quotidien se réveille sur fond d’une mobilisation citoyenne et populaire même si elle tarde à prendre forme.
Il est regrettable que les atermoiements de la classe politique de l’opposition traditionnelle, engluée dans ses petites querelles et des calculs post élections présidentielles du 20 février 2020 et locales du 17 juillet 2025, ne sont pas à négliger. Cela fait que la jeunesse est en train de perdre son âme révolutionnaire et son estime de soi réveillées et aiguisées par le M66.
De toutes les façons, le Togo aujourd’hui a besoin d’une classe politique enracinée dans le présent, mais aussi et surtout tournée vers l’avenir. Le mouvement citoyen en gestation depuis le 6 juin 2025 est dans la rupture totale avec un esprit rebelle jamais affirmé. La bascule souhaitée par le peuple ne peut être que dans une logique de convergence patriotique et citoyenne. Ce qui suppose un leadership responsable fondé sur l’éthique, l’honnêteté et l’humilité, encadré par la confiance populaire.
L’histoire politique nous enseigne que l’arme la plus redoutable est le peuple quand l’avenir est volé. Partout ailleurs, le jour où le peuple se lève et dit non, le pouvoir tombe. Le dernier exemple nous vient du Népal avec la chute du gouvernement à la suite du soulèvement populaire du 9 septembre 2025.
Ce n’est plus un secret, le pouvoir au Togo s’est imposé pendant longtemps par la peur, le mensonge et le sang. Il a tué le courage du peuple à la racine et neutralisé la culture et l’instinct de liberté qui permettent de rester debout face à l’injustice, la souffrance et les détournements des deniers publics.
Ainsi, l’économie n’est plus un moteur de prospérité collective mais un instrument de contrôle du pouvoir. Ce qui empêche l’indépendance économique de la majorité du peuple et augmente la mainmise des flux financiers par une oligarchie autour d’un petit cercle du pouvoir. Ces oligarques préfèrent collaborer à travers les sociétés écrans avec les étrangers et laisser les nationaux dans une économie de survie.
Le temps est venu de valoriser les compétences et l’intelligence nationales contre la médiocrité, le favoritisme, le tribalisme et le népotisme.
Le Togo de demain devrait être organisé autour de trois piliers fondamentaux, à savoir : la solidarité, la vérité et la justice sur la base de l’inclusion totale de tous ses enfants; une bonne maîtrise de la gestion des finances publiques; la transparence budgétaire sur fond de renforcement de l’efficacité des organes de gestion de la dette; la redevabilité dans tous les domaines des services publics de l’éducation, de l’agriculture et de la santé. Tout doit être réformé et refait dans l’intérêt national.
Le peuple doit devenir son propre surhomme et finir avec les concepts creux. On se gargarise de la souveraineté sans aucun respect des loi de la république, sans tenir compte du peuple dont le consentement n’est qu’une variable aléatoire, au même moment on tend la main chaque année pour quémander des appuis et dons financiers pour équilibrer le budget de l’Etat. On proclame la paix et les libertés publiques alors que l’armée n’hésite pas à tirer sur les manifestants qu’elle réprime jusqu’à leur domicile.
On se vante de la démocratie alors qu’on gouverne par la peur la violence comme culture politique et n’hésite pas à remplir les prisons sur la base des arrestations arbitraires des jeunes contestataires, de journalistes et hommes politiques sans procédure légale tout en se barricadant contre toute forme d’alternance au sommet de l’État. On parle de la citoyenneté sans jamais respecter les vérités des urnes alors que le pays est passé maître dans la fraude électorale pour une majorité fabriquée, sans pouvoir former un gouvernement capable de garantir le respect de la dignité de la personne humaine. Le pouvoir politique est devenu un facteur de jouissance et de domination sociale.
Ainsi les premières actions vont consister à réinventer la société togolaise désormais débarrassée de la corruption, du pillage systématique et de la prédation des ressources nationales. Il s’agit de replacer l’honneur, la droiture et l’intégrité au sommet de l’échelle des valeurs.
Le principal objectif est de créer l’espoir et le sens du patriotisme, c’est-à-dire la fierté d’appartenir à une nation et stimuler l’amour pour son pays et garantir la défense de son avenir. Il s’agit enfin de ramener le pouvoir du peuple au centre des préoccupations des populations qui reflètent réellement leur volonté par rapport aux besoins les plus élémentaires tels que l’eau, l’électricité, la protection de la forêt, des terres, l’agriculture, l’éducation et la santé.
Comme l’a dit Platon, “ le prix à payer pour ne pas s’occuper de la politique c’est d’être gouverné par pire que soi”. Ainsi donc le réveil citoyen né le 6 juin 2025 doit aller jusqu’au bout.
Ce n’est plus un secret pour personne, les togolais sont très en colère contre la gouvernance actuelle de leur pays et demandent la fin de ce régime dynastique qui a hypothéqué leur avenir.
Aujourd’hui, la dynamique de la convergence de tous les partis politiques, des organisations et mouvements de la société civile sur le territoire national et dans la diaspora doit être concrétisée pour une mobilisation générale. Cela suppose la mise en place d’une unité crédible avec une capacité d’organisation et d’action, d’abord pour contrer la répression féroce et brutale du pouvoir et ensuite pour se préparer à gérer la victoire du peuple.
Après un régime bâti sur le mensonge, l’obstination dans la mal-gouvernance et du pouvoir absolu, il faut pour le Togo de demain des valeurs d’intégrité, de pragmatisme, de la perspicacité et de l’apathie politique pour rattraper le retard par rapport à la vision de Sylvanus OLYMPIO proclamée depuis le 26 décembre 1960.
La question aujourd’hui c’est comment converger tous les mouvements et organisations en présence en mettant fin à toute cette division sur fond de suspicion pour en faire une lame de fond.
La plus grande épreuve ici, c’est comment en finir avec cette banalisation de la dictature qui finit par briser l’héroïsme des togolais et cultiver une forme d’indifférence face aux abus de toutes sortes.
Depuis quelques mois, le pouvoir togolais se sent en difficulté avec son système naufragé, en décalage avec les principes démocratiques. Même les élus ne représentent plus, ni leur localité et encore moins la nation, ne peuvent plus jouer de soupape de protection. Dès lors, il décide de jouer son va-tout et ne lésine sur rien.
Nous assistons ces derniers moments à des enlèvements de jeunes sur le territoire et au-delà, suivi de leur incarcération systématique au mépris des règles et de la procédure légale en la matière.
Ainsi, après le département d’État américain qui, dans son rapport annuel 2024 n’a pas manqué d’indexer les mauvaises pratiques de violation des droits de l’homme et particulièrement sur le des détenus politique, c’est le tour du parlement européen d’adopter le 11 septembre 2025, une résolution contre le Togo à la suite d’une recommandation de la commission de l’union européenne sur des cas précis de violation et de traitement inhumains et dégradants.
Après les événements du 5 octobre 1990 dont elle a été le fer de lance et la cheville ouvrière de la mobilisation générale qui a suivi, la jeunesse togolaise est de nouveau, depuis le 6 juin 2025 à l’avant-garde d’un mouvement de remobilisation nationale pour un renouveau démocratique au Togo.
Malgré la répression féroce des tenants du pouvoir et les atermoiements de certains leaders politiques, son héroïsme reste total.
Comme dans habacuc 2-3 concernant les plans divins, l’histoire du Togo est toujours en marche avec une destination déjà bien connue. Ce n’est qu’une question de temps.
Pour ma part, je rêve de ce jour où tous les leaders des partis et regroupements des politiques de l’opposition et des mouvements et organisations de la société civile à savoir le front “Touche pas à ma constitution”, Cadre De Relation (ANC, FDR, TOGO DEBOUT), la DMP et ses alliés de PSR, CAR, ADDI, MMLK et LDP en collaboration avec le le M66 et le PNP, ensemble avec le soutien de la diaspora donner rendez-vous au peuple togolais au carrefour colombe de la paix ou GTA pour exiger la restauration de la République. Malheureusement ce n’est qu’un rêve.
OURO-AKPO Tchagnaou
Président du mouvement Lumière pour le Développement dans la Paix (LDP)
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Le ministère de l’Agriculture, du Développement Rural et de la Pêche, en collaboration avec le Ministère du Commerce Intérieur et de la Régulation du Marché […]
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