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L’UE et Washington demandent à Riad de renoncer à fouetter un blogueur

Euractiv.fr - Tue, 09/06/2015 - 11:06

À l’instar des diplomaties européenne et française, Washington a demandé le 8 juin à son allié saoudien de renoncer à exécuter une condamnation « brutale » de 1.000 coups de fouet à l’encontre d’un blogueur connu en Occident.

Categories: Union européenne

Malajzia sem selejtezi le MiG-29-eseit

JetFly - Tue, 09/06/2015 - 11:01
Leselejtezés helyett nagyjavítás és modernizálás vár Malajzia légierejének tíz MiG-29N vadász- és két MiG-29NUB gyakorló repülőgépére. Az eredeti tervek szerint 2015-ben, a gépekből kirepülhető üzemórák elfogyasztása után a típust kivonták volna a hadrendből.
Categories: Biztonságpolitika

Scolarando : 600 élèves accueillis par la BA 113 de Saint-Dizier

Le projet annuel Scolarando (organisé conjointement par l’Education nationale et la Fédération française de randonnée pédestre) a permis à 600 enfants de découvrir les métiers de l’armée de l’air, le 5 juin 2015. 
Categories: Défense

Jemen: EU setzt VN-Sanktionen gegen Huthi-Anführer und Sohn von Ex-Präsident Saleh um

Europäischer Rat (Nachrichten) - Tue, 09/06/2015 - 10:55

Die EU hat ein Waffenembargo und weitere gezielte Sanktionen gegen einen Huthi-Anführer und gegen den Sohn von Ex-Präsident Saleh verhängt. Dieser Beschluss spiegelt die Resolution 2216 (2015) des VN-Sicherheitsrates vom 14. April 2015 wider und setzt sie auf EU-Ebene um. 

Gegen die zwei weiteren Jemeniten wurde ein Reiseverbot und das Einfrieren ihrer Vermögenswerte verhängt, weil sie durch ihr Handeln den Frieden und die Stabilität Jemens untergraben. Es handelt sich dabei um Abdul Malik al-Huthi, den Anführer der Huthi, und um Ahmed Ali Abdullah Saleh, den Sohn des ehemaligen Präsidenten, der mit Unterstützung von dem Ex- Präsidenten ergebenen Einheiten der regulären Streitkräfte eine Schlüsselrolle bei der Erleichterung der militärischen Expansion der Huthis spielte. Zwei weitere Mitglieder der Huthi-Bewegung sowie der ehemalige Präsident Ali Abdullah Saleh selbst unterliegen seit Dezember 2014 den gleichen restriktiven Maßnahmen. 

Außerdem hat der Rat das Waffenembargo der VN gegen die Personen und Einrichtungen, die diesen restriktiven Maßnahmen unterliegen, umgesetzt. Das Verbot erstreckt sich auch auf die Bereitstellung von technischer Hilfe und Finanzhilfen im Zusammenhang mit militärischen Aktivitäten.

Die EU hat die destabilisierenden einseitigen Maßnahmen der Huthis und der dem ehemaligen Präsidenten Saleh ergebenen Militäreinheiten verurteilt und diese Kräfte aufgefordert, die Anwendung von Gewalt unverzüglich zu beenden. Die EU ist der Ansicht, dass nur ein breiter politischer Konsens durch alle Seiten einschließende Verhandlungen zu einer dauerhaften Lösung führen, den Frieden wiederherstellen und die Einheit, Souveränität, Unabhängigkeit und territoriale Unversehrtheit Jemens wahren kann.

Categories: Europäische Union

Neue Generaldirektorin im Generalsekretariat des Rates

Europäischer Rat (Nachrichten) - Tue, 09/06/2015 - 10:50

Am 8. Juni 2015 ernannte der Rat Frau Christine Roger zur Generaldirektorin; ab dem 1. Juli 2015 ist sie für Justiz und Inneres beim Generalsekretariat des Rates zuständig.

Frau Roger ist derzeit Direktorin im Generalsekretariat des Rates und für den Bereich Inneres zuständig.

Categories: Europäische Union

Réflexions sur la Grèce de toujours

Courrier des Balkans - Tue, 09/06/2015 - 10:23

Cycle Visions d'Europe
Dans Lettres à Byron, Jimmy Jamar "livre une analyse du passé historique de la Grèce et de sa situation depuis le déclenchement de la crise de 2008. On voyage avec lui de la flamboyante Athènes aux îles de la Mer Egée, on s'arrête pour boire un café sur un port écrasé de soleil et on se réveille le lendemain dans les couloirs bruxellois de la Commission européenne, en pleine discussion sur les dernières négociations de la Troïka". (La Boîte à Pandore)
Avec la participation de (...)

Categories: Balkans Occidentaux

Sajtómeghívó a 2015. június 12-i EU–Mexikó csúcstalálkozóra

Európai Tanács hírei - Tue, 09/06/2015 - 10:20

Részletes tájékoztató a médiaakkreditációról és belépés a 2015. június 12-i EU–Mexikó csúcstalálkozóra.

Paris et Rome, prochaines victimes de la troïka, selon Tsipras

Euractiv.fr - Tue, 09/06/2015 - 10:14

La crise des négociations entre la Grèce et ses créanciers internationaux met le Premier ministre, Alexis Tsipras, sous haute pression. Athènes prévient que si la Grèce est « punie », ce sera bientôt le tour de Rome et de Paris. Un article d'EurActiv Grèce.

Categories: Union européenne

Ukraine: au G7, Obama accuse Poutine de vouloir ressusciter l’URSS

RFI (Europe) - Tue, 09/06/2015 - 10:13
L’Ukraine a été au centre des discussions lors du sommet du G7, qui s’est tenu ces 7 et 8 juin à Krün, en Allemagne. Les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres du Groupe des Sept ont décidé de maintenir les sanctions économiques qui pèsent sur la Russie, Barack Obama mettant en garde Moscou contre son isolement croissant. Moscou, de son côté, minimise l’impact du sommet.
Categories: Union européenne

Ultime «Raid du Dragon» de la base aérienne 901 de Drachenbronn

Les 1er et 2 juin 2015, le centre de détection et de contrôle (CDC) 05.901 de la base aérienne (BA) 901 de Drachenbronn-Birlenbach a organisé l’ultime édition du «Raid du Dragon». La première édition de cette compétition s’était tenue en 1994; elle se déroule traditionnellement sur la BA 901 et ses environs. Cette édition était la dernière puisque la base aérienne 901 deviendra prochainement un élément air rattaché à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey.
Categories: Défense

L’affaiblissement de l’AKP est-il synonyme d’instabilité politique en Turquie ?

IRIS - Tue, 09/06/2015 - 10:09

Le résultat du Parti de la justice et du développement (AKP) aux élections législatives du 7 juin constitue un sérieux revers pour le parti de M. Erdogan. Perdant sa majorité absolue au Parlement pour la première fois depuis 2002, il est aujourd’hui difficile d’imaginer la composition du futur exécutif. A quoi pourrait-il ressembler selon vous ?
Tout d’abord, comprenons que nous sommes désormais dans une nouvelle séquence politique en Turquie. En effet, depuis treize ans, le parti au pouvoir n’avait pas connu une seule défaite électorale. Le résultat atteint hier n’est pas à la hauteur des espoirs que le Parti de la justice et du développement (AKP) avait fondé et des objectifs que le président de la République s’était fixé, puisque son principal objectif était d’atteindre la majorité qualifiée des trois cinquièmes, pour pouvoir modifier la Constitution. M. Erdogan est loin du compte, puisqu’en plus de ne pas obtenir la majorité qualifiée, il n’a même plus la majorité absolue au sein du Parlement, ce qui constitue une nouveauté depuis qu’il a accédé au pouvoir la première fois.
Désormais se pose le problème de la composition du gouvernement. Jusqu’à présent – et c’était d’ailleurs un des arguments que M. Erdogan mettait en avant -, la majorité absolue détenue par l’AKP depuis 2002 lui avait permis de composer des exécutifs homogènes et lui avait évité de recourir à des coalitions. Il avait en ce sens beaucoup insisté ces dernières semaines, durant la campagne électorale, sur le fait qu’il avait amené la stabilité politique en Turquie, et que si, par malheur, le pays retombait dans le jeu des coalitions gouvernementales, un profond désordre s’instaurerait. Pourtant, les résultats sont là et M. Erdogan va être obligé de recourir à un système de coalition. La difficulté principale est qu’évidemment, aucun des partis politiques représentés au sein du Parlement pour cette nouvelle législature n’est spontanément disposé à entrer en coalition avec l’AKP. Ce dernier, ainsi que son principal dirigeant M. Erdogan, ont cristallisé de tels ressentiments, voire même parfois une telle colère, qu’un accord de compromis politique sera difficile à atteindre.
Une option éventuellement envisageable serait que l’AKP bénéficie d’abstentions au moment de l’investiture parlementaire du nouveau gouvernement mais que les députés qui soutiendraient, de facto, la constitution de ce gouvernement ne participent pas eux-mêmes directement à l’exercice du pouvoir gouvernemental aux côtés de l’AKP. Un soutien critique sans participation en quelque sorte. Ce serait une solution hybride, mais cette option sera en réalité bien difficile à mettre en œuvre. Une autre possibilité serait que le Parti démocratique des peuples (HDP) – parti d’extraction kurde qui n’en est plus exclusivement un puisqu’il a mordu sur d’autres pans de la société et a développé de nombreux thèmes de revendications durant la campagne électorale – accepte de participer au gouvernement sur un programme et sur un mandat extrêmement précis ne concernant que la résolution de la question kurde, bien que le HDP n’ait cessé de répéter au cours des dernières semaines que cette option n’était pas concevable. On pourrait alors peut-être imaginer qu’une telle coalition temporaire se forme, mais cela est pour l’instant tout à fait théorique et de complexes tractations vont commencer. Hypothétiquement, ce gouvernement n’aurait mandat que sur un seul point, celui de la question kurde, alors que les défis de la société turque sont évidemment multiples, tant au niveau politique qu’économique.
On est donc dans une situation politique tout à fait nouvelle et, encore une fois, les ressentiments qu’a cristallisés M. Erdogan par ses positions très polarisantes et systématiquement clivantes depuis des années, vont rendre difficile la constitution d’une coalition au sens classique du terme.

A l’inverse, avec un score dépassant les 13% des voix, le parti pro-kurde (HDP) entre pour la première fois au Parlement et obtiendrait au moins 80 sièges. Selon vous, quelles vont être les conséquences de cette victoire ? Le « processus de résolution » avec les Kurdes sera-t-il remis en question ou au contraire renforcé ?
Tout d’abord, il ne me semble plus juste de qualifier ce parti de « pro-kurde » car, en réalité, ce Parti démocratique des peuples (HDP) a changé de tactique et a effectué sa mue politique. Même s’il a évidemment une base électorale très forte dans les zones de peuplement kurde en Turquie, notamment à l’Est et au Sud-Est du pays, il a su grâce à un changement de stratégie politique, mordre sur d’autres catégories de la population. Il a, par exemple, au cours de la campagne, beaucoup insisté sur la défense de toutes les minorités, qu’elles soient religieuses, sexuelles, etc. Le HDP a aussi beaucoup insisté sur les questions environnementales, ce qui est assez nouveau dans les problématiques politiques en Turquie. Enfin, le thème de l’égalité hommes-femmes a été un des thèmes récurrents qui s’est notamment traduit par l’investiture de 268 candidates, proportion qui le place loin devant tous les autres partis. Par conséquent, on peut considérer qu’une bonne partie de ceux et celles qui contestaient le pouvoir, à l’image de ce qui s’était cristallisé lors de la crise de Gezi à Istanbul il y a deux ans, ont voté pour ce parti qui cherche à embrasser des causes beaucoup plus diverses et multiples que la seule question kurde. On peut ainsi constater qu’une partie de la gauche radicale et/ou libérale a voté pour lui.
Evidemment, le HDP est un des grands vainqueurs de cette consultation électorale car c’est la première fois qu’en tant que parti, il dépasse le seuil des 10%. Il a conquis une représentation parlementaire jamais atteinte avec 80 députés. Il va donc être un parti charnière dans les jeux politiques et parlementaires dans les jours et les mois à venir. Ainsi, un des aspects essentiels – même si non exclusif – sera probablement la relance du « processus de résolution » de la question kurde, c’est-à-dire la tentative de parvenir à un compromis politique avec l’État, de façon à ce que les revendications politiques et culturelles des Turcs d’origine kurde puissent aboutir. On sait que ce projet était un des axes importants du HDP, et au vu des résultats très positifs qu’il a atteint en ce dimanche électoral, je pense que ce sera un de ses principaux axes de bataille. On peut donc considérer que ce très bon score du HDP constitue potentiellement un renforcement du processus de résolution, dont on a bien compris que pendant la période électorale, il avait été mis sous la table et n’était plus très actif. C’est le moment de relancer la négociation car je ne pense pas que la Turquie puisse achever son processus démocratique jusqu’au bout si cette question kurde, récurrente, n’est pas réglée.

Y a-t-il un risque de voir une instabilité politique s’installer durablement en Turquie ? Certains évoquent déjà au sein de l’AKP une possible élection anticipée…
Il y a d’ores et déjà une forme d’instabilité politique qui existe en Turquie, à mon sens, et c’est ce qu’on a pu constater lors de la crise de Gezi. Même si cette crise n’avait touché qu’une petite partie de la population turque, il n’empêche que cette mobilisation, il y a quasiment deux ans jour pour jour, avait un sens politique de première importance. Depuis lors, il y a eu une série de crises qui ont entâché la vie politique turque, notamment ce combat acharné qui a été engagée par le parti de M. Erdogan contre ce qu’il appelle la « structure parallèle », soit en réalité la lutte contre les partisans de Fethullah Gülen, ancien soutien de l’AKP. Cette bataille politique, qui s’est soldée par la mise en examen ou la mutation de centaines de magistrats et de policiers, indique que ce pays connaissait une phase d’instabilité politique, non pas au niveau gouvernemental puisque l’AKP dirigeait seul, mais d’une manière plus globale. Cette forte propension du président de la République à cliver et à polariser la vie politique n’était évidemment pas saine. Dans ce contexte, M. Erdogan aura certainement beaucoup de difficultés à entamer cette nouvelle séquence de la vie politique. Nous savons qu’il a une conception singulière de la démocratie où il considère que quand un parti est majoritaire, il n’a guère besoin de trop écouter le point de vue des partis minoritaires. Depuis maintenant quatre ou cinq ans, on observe également un glissement autoritaire préoccupant de sa part, voire un début de culte de la personne, si ce n’est de la personnalité. Tout cela est structurant de sa façon de gouverner. Il va néanmoins falloir qu’il change totalement de façon de procéder, même si cela sera infiniment compliqué, à la fois pour des raisons politiques et des raisons personnelles.
Effectivement, des dirigeants de l’AKP ont évoqué dès hier soir la possibilité d‘élections anticipées qui, pour des raisons constitutionnelles, ne pourrait cependant pas avoir lieu avant plusieurs mois. Par ailleurs, organiser de nouvelles élections serait une mauvaise manière de procéder, revenant à nier la qualité de l’expression démocratique de la volonté des citoyens turcs telle qu’elle s’est exprimée, d’autant que le résultat pourrait être le même, voire encore plus faible pour l’AKP.
Ceci étant, il ne faut pas oublier que ce parti a encore près de 41% des suffrages exprimés. Si le projet de M. Erdogan, et notamment celui portant sur une modification constitutionnelle, ne paraît plus envisageable, l’AKP reste encore d’assez loin la première force politique en Turquie.

Iran: Meier: Sanktionen jetzt schwierigste Frage

SWP - Tue, 09/06/2015 - 10:08
In Wien ist der Gouverneursrat der Internationalen Atomenergieorganisation zu vierteljährlichen...

François Bazin : Les lois de la primaire. Celles d’hier, celles de demain.

Fondapol / Général - Tue, 09/06/2015 - 09:55

En France, la primaire est née à gauche, et c’est celle du PS qui sert désormais de modèle parce que la plus achevée, celle de 2011, a permis de désigner sans heurt un futur président. Sur les modalités, l’UMP n’a pas cherché à innover. Au-delà des clivages politiques, faut-il en conclure que, face aux mêmes obstacles et aux mêmes enjeux, les grands partis de gouvernement sont contraints aux mêmes choix ? Mieux, faut-il croire que ces mêmes choix produisent les mêmes effets sur les acteurs de cette compétition ?

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François Bazin – Le Figaro – La primaire ou la fin de la rencontre d’un homme et d’un peuple

Fondapol / Général - Tue, 09/06/2015 - 09:45

Article paru dans Le Figaro du 9 juin 2015. Pour le journaliste François Bazin, cette nouvelle procédure de sélection des candidats à la présidentielle révèle la perte de légitimité des partis politiques.
La procédure dite de la primaire est une de ces innovations qui modifie en profondeur les règles de fonctionnement du système politique français.

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Hungary hosts personnel recovery course

EDA News - Tue, 09/06/2015 - 09:27

The fourth edition of the Personnel Recovery Controller and Planner Course (PRCPC), a project initiated by the European Defence Agency, took place from 25 May to 5 June 2015 in Veszprém, Hungary. Organised and hosted by the Hungarian Defence Forces at the Air Command and Control Centre (ACCC), the exercise gathered 20 students from 8 countries.


Students from Austria, Belgium, Germany, Hungary, Italy, Poland, Sweden, and the United Kingdom benefitted from the knowledge and experience of a cadre of instructors from Belgium, France, Germany, Hungary, the Netherlands, Sweden, Canada, and the United States. Personnel recovery (PR) is usually defined as the sum of military, diplomatic and civil efforts needed to ensure the recovery and reintegration of isolated civilian or military personnel.

During the course, the newly-developed EDA’s Personnel Recovery Functional Area Service Advanced Technology Demonstrator (PR FAS ATD) was successfully tested and evaluated. This system is designed to provide headquarters-level PR staff with a planning tool to manage PR missions. It has been developed as part of EDA’s work to improve interoperability amongst European armed forces in the field of personnel recovery.

The next EU PRCPC will take place from 23 November to 4 December 2015 in Italy (Poggio, Renatico) and will be organised by the European Personnel Recovery Centre (EPRC). During the course, the final test of the PR FAS ATD will take place and should then allow the system to be available to all EDA participating Member States.


More information

The EDA PRCPC project was established on 30 May 2013 as an EDA Category B project, under the lead of Sweden. As of today, it gathers six contributing EU Member States (cMS): Austria, Belgium, Germany, Hungary, the Netherlands and Sweden. On 31st May 2015 the cMS agreed to extend the PRCPC Cat B project until 30 May 2017. EPRC is a potential candidate for the continuation of the project.

 

Categories: Defence`s Feeds

Parlamentswahl in der Türkei

SWP - Tue, 09/06/2015 - 09:24
Am 7. Juni wird in der Türkei ein neues Parlament gewählt. Was waren Themen des Wahlkampfs? Wer...

Die Verteidigungspolitik der USA

SWP - Tue, 09/06/2015 - 09:17

Die Verteidigungspolitik der USA wird gegenwärtig durch drei wesentliche Entwicklungstrends geprägt, wie die Analyse in dieser Studie zeigt. Erstens sind die innenpolitischen Rahmenbedingungen – öffentliche Meinung, Haltung der Parteien und finanzielle Ausstattung – für Washingtons globales militärisches Handeln schwieriger geworden. Allerdings bleibt der Einfluss dieser Faktoren auf die amerikanische Verteidigungspolitik insgesamt sehr begrenzt. Zweitens zeichnet sich die Politik von Präsident Obama durch Zurückhaltung beim Einsatz der Streitkräfte im Ausland sowie durch eine Präferenz für den »leichten Fußabdruck« aus. Darunter fällt auch das Bestreben, die Sicherheitskräfte in Partnerländern aufzubauen, um so die Notwendigkeit direkter Militärinterventionen durch die USA zu minimieren. Drittens verfolgt die amerikanische Regierung nicht erst seit Obama eine langfristig angelegte Transformations-Agenda. Diese rückt die technologischen Fähigkeiten zur globalen Machtprojektion in den Mittelpunkt und nimmt dabei Einschnitte beim Umfang der Streitkräfte in Kauf. Für das transatlantische Verhältnis haben die zu beobachtenden Grundtrends der US-Verteidigungspolitik ambivalente Auswirkungen. Sie bringen sowohl neue Kooperationsmöglichkeiten als auch zusätzliches Konfliktpotential mit sich.

La France, mauvais élève en matière de droit de l'enfant, s’alarme l’Unicef

France24 / France - Tue, 09/06/2015 - 09:16
Dans un rapport publié mardi, l'Unicef interpelle le gouvernement français pour ses manquements en matière de droits de l'enfant. Un mineur sur cinq vivrait sous le seuil de pauvreté dans l'Hexagone, dénonce l'agence de l'ONU.
Categories: France

[Revue de presse] Le G7 uni face à la Russie et au changement climatique

Toute l'Europe - Tue, 09/06/2015 - 09:16
Le sommet du G7 s’est achevé hier. Les médias français font le point sur les engagements pris par les sept plus grandes puissances mondiales réunies ce week-end. Tous relèvent particulièrement les décisions prises concernant le climat et la Russie.
Categories: Union européenne

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