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Confédération des États du Sahel : Les chefs de la diplomatie de l'espace se rendront à Moscou les 3 et 4 avril 2025

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 02/04/2025 - 00:07

Les chefs de la diplomatie de la Confédération des États du Sahel (AES) vont se rendre à Moscou sur invitation du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, les 3 et 4 avril 2025, dévoile un communiqué. Le but est de participer à la première session des consultations AES-Russie. Cette rencontre marque une étape clé dans le renforcement du partenariat entre l'AES et la Russie, conformément à la Feuille de route de l'an I de la Confédération sous présidence malienne. L'objectif est d'établir une coopération pragmatique et solidaire dans les domaines d'intérêt commun. Lire ci-dessous, le communiqué en date de ce 1er avril.

Categories: Afrique

Soutenance de thèse de doctorat unique en philosophie : Tiobaté Berenger SOME obtient la mention très honorable

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 02/04/2025 - 00:02

Le mardi 25 mars 2025, Tiobate Berenger SOMÉ a brillamment soutenu sa thèse de doctorat unique en philosophie à l'école doctorale des lettres, sciences humaines et communication (ED/LESHCO) de l'Université Joseph KI-Zerbo de Ouagadougou.

Pour M. SOMÉ, l'objectif général du travail a été d'analyser la relation singulière que Levinas établit entre la liberté et la responsabilité pour voir comment elle permet la pensée de l'accueil de l'autre, l'hospitalité dans un monde où la tendance est de plus en plus au rejet de l'altérité.

Ainsi, face à un jury international de cinq membres dont le Prof Mahamadé Savadogo, Président du jury et par ailleurs responsable du Laboratoire de philosophie de l'Université Joseph Ki Zerbo, Dr Evariste Romuald BAMBARA, Maitre de Conférences et Directeur de thèse, Pr Komi KOUVON, Professeur titulaire de philosophie à l'université de Lomé et rapporteur, Bilakani TONYEME, Professeur titulaire de philosophie à l'Université de Lomé et examinateur et enfin Dr Serge Denis W. SAMANDOULOUGOU, Maitre de recherche de philosophie à l'institut des sciences et des sociétés (INSS-CNRST), l'impétrant a fait la synthèse de ses idées contenues dans un document de 358 pages.

Pour le président du jury, ‘' le contenu de la thèse est consistant et donne matière à réflexion''. Quant au professeur TONYEME du Togo, il a déclaré : ‘' Il y a de la cohérence dans le texte. Et la préoccupation est d'actualité ‘'. C'est également l'avis de son compatriote KOUVON qui considère que ‘'Le sujet est d'actualité''.

Ainsi, le jury par la voix de son président a accepté la thèse de SOME en lui accordant le titre de docteur en philosophie avec la mention très honorable.

Categories: Afrique

Burkina : Le ministère de la Santé planifie l'élargissement du panier de gratuité des soins

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 02/04/2025 - 00:00

La première session ordinaire du Comité d'orientation et de suivi de la gratuité des soins et des réformes sur le financement de la santé s'est déroulée à Ouagadougou les 27 et 28 mars 2025.

Placée sous le thème « Mobilisation des ressources et extension du panier de la gratuité des soins », cette rencontre visait à renforcer les mécanismes de financement de la santé, tout en élargissant la portée de la gratuité des soins.

Cette première session du COS-GFS a donc permis d'examiner plusieurs documents essentiels pour l'avenir de la gratuité des soins, dont le document budgétisé d'élargissement du panier de soins et des cibles de la gratuité ; le document de plaidoyer pour le financement de la santé par les collectivités ; les projets d'arrêtés relatifs à l'intégration des formations sanitaires privées dans la gratuité des soins.

« Dans nos discussions, il est apparu extrêmement important d'analyser la possibilité d'élargir la gratuité des soins aux urgences médico-chirurgicales. Il n'est pas rare malheureusement de voir des patients, des blessés arriver au niveau des services des urgences chirurgicales, dont la prise en charge ne se fait pas immédiatement parce que la barrière financière est posée. Dans les discussions, le comité d'orientation et de suivi a pensé qu'il est bon d'affiner encore la réflexion pour que, à d'autres niveaux, la décision puisse être définitivement prise d'aller vers l'élargissement pour ce qui concerne ce type de maladie. Le deuxième aspect autour de l'élargissement s'est focalisé sur les violences basées sur le genre. Avec le contexte qui est le nôtre, il est apparu important que nous réfléchissions aussi sur la question pour que les victimes de ces violences puissent être prises en charge gratuitement. Le troisième aspect de cet élargissement du paquet est relatif à l'albinisme. C'est une question qui avait déjà été discutée avec les personnes cibles et le comité d'orientation et de suivi a pensé qu'il était bon de donner suite et d'avancer avec cette question », a expliqué le ministre en charge de la santé, Dr Lucien Robert Kargougou.

Le ministre a également réitéré l'engagement politique du gouvernement à garantir à tous les Burkinabè un accès équitable à des soins de santé et de nutrition de qualité. Il a affirmé que ces propositions seraient examinées avec attention aux niveaux décisionnels les plus élevés.

Concernant le suivi et le contrôle de la gratuité des soins, Dr Kargougou a mis en avant la digitalisation du système, qui a permis de réduire de moitié la facture liée à la gratuité des soins.
« Là cette digitalisation permet d'asseoir un mécanisme de contrôle qui est beaucoup plus rigoureux. Déjà en ayant implémenté cela, nous nous sommes rendus compte que la facture liée à la gratuité des soins a été divisée par presque deux. C'est un puissant outil de contrôle, de vérification par la digitalisation qui a été mise en place et que nous sommes toujours en train d'affiner. Nous l'appelons la FIS gratuité, c'est à dire la feuille individuelle de soins gratuits. C'est vraiment la grosse innovation qui a été apportée par le ministère de la Santé en matière de contrôle, de vérification de la mise en oeuvre de la gratuité. Cela permet de réduire la facture liée à la gratuité et peut nous autoriser à aller vers un élargissement du paquet », a-t-il indiqué.

Sur la question des ressources nécessaires pour assurer l'extension de la gratuité, le ministre a souligné l'importance d'une gestion rigoureuse et efficiente des ressources existantes.

Il a également abordé l'inclusion des centres de santé privés dans la mise en œuvre de la gratuité des soins, réflexion qui sera approfondie en collaboration avec la Fédération des acteurs du secteur privé de santé pour garantir une intégration optimale.

« Quand on parle de système de santé, il y en a un, il est unique. On a le sous-secteur sanitaire public, on a le sous-secteur sanitaire privé, on a évidemment le sous-secteur sanitaire traditionnel. Sur la question du privé, le comité d'orientation et de suivi a cru bon d'affiner davantage la réflexion en collaboration avec les différents acteurs, notamment la fédération des acteurs du secteur privé de santé, pour que nous nous assurions que lorsque nous rouvrions l'intégration du privé dans la gratuité, que cela puisse se faire dans des conditions optimales. Donc la question va être approfondie, c'est une des recommandations de cette session du comité d'orientation et de suivi », a déclaré le ministre.

Hanifa Koussoubé
Alex Yentemma Lankoandé (stagiaire)
Lefaso.net

Categories: Afrique

Réparations pour l'Afrique : Beyna Gueye réclame une justice historique à Dakar

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 02/04/2025 - 00:00

Le 21 mars 2025, un grand débat s'est tenu à Dakar, organisé par l'ONG Urgences Panafricanistes, pour discuter de la question urgente des réparations aux pays africains pour les dommages qu'ils ont subis pendant le colonialisme et l'esclavage.

Beyna Gueye, leader du PASTEF et conférencier principal, a été une voix clé lors de l'événement, qui a réuni diverses personnalités éminentes de l'activisme africain.
Khadijatou Dieye, qui est la vice-coordinatrice du mouvement Marche Internationale Dakar Thiaytou, et Nestor Podassé, qui sert comme porte-parole de la Planète des Jeunes Panafricanistes du Burkina Faso, faisaient partie des participants. Tous ont manifesté leur colère face à ce qu'ils considèrent comme une expropriation incessante du continent.

Au cours des débats, les orateurs ont mis l'accent sur le pillage des ressources naturelles, la traite des esclaves et la violence coloniale, qui continuent d'avoir un impact négatif sur le développement des pays africains.
L'un des moments marquants a été l'intervention de Nestor Podassé, qui a déclaré : « La France et tous les autres pays européens qui ont colonisé l'Afrique devraient nous dédommager pour tout ce qu'ils nous ont fait subir ». Il a évoqué une dette historique des pays européens chiffrée à 50 000 milliards d'euros, considérée comme juste pour compenser les pertes infligées aux peuples africains.

Beyna Gueye a soutenu cette demande, soulignant l'importance de la mobilisation des peuples d'Afrique pour faire entendre leur voix. « Les peuples d'Afrique doivent se réveiller et exiger ces réparations haut et fort. Nos souffrances ne peuvent rester impayées », a-t-il déclaré, appelant à une réponse collective à cette injustice historique.

Le débat a aussi souligné l'importance de repenser les rapports entre l'Afrique et l'Occident. Bien que quelques pays européens aient commencé à admettre leurs responsabilités historiques, les avancées en matière de réparations demeurent limitées. Beyna Gueye a prévenu : « Nous aurons du mal à progresser tant que nous n'aurons pas atteint notre but. »

Dans son discours, Beyna a insisté sur la nécessité de réévaluer l'histoire. Selon lui, avant d'exiger une réparation, il faut d'abord s'assurer que l'histoire ne soit pas biaisée. Il a ajouté : « Approfondir notre passé est essentiel pour comprendre nos défis actuels », soulignant qu'un peuple informé sera en mesure de revendiquer efficacement ses droits.

Beyna Gueye a également salué la situation au Sénégal, où les dirigeants africains cherchent à mener leurs luttes de manière démocratique, contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays. « Nous sommes un modèle sur lequel l'Afrique peut s'appuyer », a-t-il déclaré.

En conclusion, le leader du PASTEF a appelé à un changement profond des instances de décision pour apporter de véritables solutions. « L'objectif de cette réunion est d'identifier des pistes pour que nos dirigeants puissent s'inspirer de nos solutions », a-t-il ajouté. « Nous, la génération sacrifiée, nous sommes ceux qui changeront tout et inspireront la prochaine génération. »
L'événement de Dakar a servi de comprendre la lutte actuelle pour les réparations historiques, posant une étape importante vers une prise de conscience collective et une mobilisation autour des aspirations panafricaines.

Par Lamine Fofana
Correspondance particulière

Categories: Afrique

« La Cour maudite » & « Un tombeau pour Boris Davidovitch » | Rencontre avec Pascale Delpech

Courrier des Balkans - Tue, 01/04/2025 - 23:59

La nouvelle traduction de La Cour maudite d'Ivo Andrić est disponible sur notre librairie en ligne
La Cour maudite, c'est le surnom d'une prison mal famée de Constantinople. On y rencontre tous les types humains : des malfaiteurs et des innocents, des gueux et des princes. On les y enferme en nombre, car la police ottomane « s'en tient au sacro-saint principe qu'il est plus facile de relâcher de la Cour maudite un innocent que de rechercher un coupable dans tous les recoins de la ville ». (…)

- Agenda /
Categories: Balkans Occidentaux

29èmes rencontres photographiques prim'avrilesques : FOUTOIR LAND free visite

Courrier des Balkans - Tue, 01/04/2025 - 23:59

... il demeure toujours et encore impossible de s'en foutre de ce monde qui va si
bordéliquement mal ... et indispensable de se demander ... nos capharnaüms nos
bazars nos pétaudières nos bric-à-brac nos foutoirs ... vont-ils bien ...
Samedi 29 dimanche 30 mardi premier avril 2025
85 bd port royal paris 75013
de 11h64 à 20h

- Agenda /
Categories: Balkans Occidentaux

Burkina/Projet Target Malaria : L'Agence nationale de biosécurité rassure de l'utilisation sécurisée des moustiques génétiquement modifiés

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 01/04/2025 - 23:57

L'Agence nationale de biosécurité (ANB) était en opération de charme ce jeudi 27 mars 2025 devant les membres de la délégation spéciale communale de Bobo-Dioulasso. Cette sortie a porté sur le projet Target Malaria qui, depuis longtemps, fait couler beaucoup d'encre et de salive. Devant les délégués, le secrétaire général de l'agence, Souleymane Tougma, a rassuré que l'institution suit de près le projet. « L'ANB tient à rassurer l'opinion publique nationale que toutes les mesures sont prises pour assurer une utilisation sécurisée des moustiques génétiquement modifiés », a-t-il rassuré.

Pendant longtemps décrié par des organisations de la société civile, le projet Target Malaria suit son bonhomme de chemin. Ce, grâce à l'accompagnement des autorités du pays et des acteurs du monde scientifique. Ce projet, dont l'importance n'est plus à démontrer, est un consortium de recherche à but non-lucratif qui vise à développer des technologies génétiques nouvelles durables, visant à modifier les moustiques et à réduire la transmission du paludisme.

L'idée du projet est que les moustiques génétiquement modifiés sont proposés comme solution aux problèmes de santé publique, notamment le paludisme. Ainsi, la stratégie proposée consiste à lutter contre les vecteurs pour réduire ou supprimer les populations de moustiques. Au regard de l'importance de ce projet, des acteurs ne cessent de mettre en œuvre des stratégies pour avoir l'adhésion des Burkinabè. Ce projet, faut-il le rappeler, est suivi de bout en bout par l'Agence nationale de biosécurité (ANB), autorité nationale compétente en matière de biosécurité au Burkina.

Le secrétaire général de l'ANB, Souleymane Tougma, a rappelé que la question des moustiques génétiquement modifiés est sensible.

À l'occasion de la tenue de la première session ordinaire de la délégation spéciale communale de Bobo-Dioulasso, une équipe de l'ANB et de la direction régionale de l'Ouest de l'Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS) était conviée pour parler des mesures de biosécurité prises dans le cadre du projet Target Malaria aux membres délégués.

L'assemblée a pu découvrir les résultats de l'évaluation des risques des différentes étapes du projet, ainsi que les mesures de gestion des risques des différentes étapes du dossier. Il a été également présenté aux participants, une synthèse du rapport de consultation du public. À en croire l'équipe de l'ANB, c'est au regard des controverses liées à la mise en œuvre du projet Target Malaria au Burkina, que les premiers responsables de l'agence se sont donné pour devoir d'apporter « l'information juste » sur les mesures de biosécurité prises dans le cadre du projet.

L'Agence nationale de biosécurité a rassuré les délégués de l'utilisation sécurisée des moustiques génétiquement modifiés.

Contrôler toute activité liée à l'utilisation des OGM

De la présentation faite aux délégués, il ressort que l'Agence nationale de biosécurité a été créée en 2005 en tant qu'autorité nationale compétente en matière de biosécurité au Burkina Faso. En tant qu'organe de régulation et de recherche en biosécurité, l'ANB a pour rôle de prévenir et de juguler les risques inhérents à l'utilisation, à la dissémination et aux mouvements transfrontaliers des Organismes génétiquement modifiés (OGM) susceptibles d'avoir des effets néfastes sur la santé humaine et animale, sur l'environnement et qui affectent la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique au Burkina Faso. C'est donc à ce titre que l'ANB se doit de contrôler toute activité liée à l'utilisation des OGM à l'échelle nationale. C'est dans ce sens qu'elle encadre les activités du projet Target Malaria pour s'assurer du respect strict des mesures de biosécurité.

Le secrétaire général de l'ANB, Souleymane Tougma, a rappelé que la question des moustiques génétiquement modifiés est sensible, et « nécessite qu'on communique davantage pour que la population s'en imprègne et qu'elle s'implique dans le processus. » Il a fait savoir que l'ANB est composée d'instances qui suivent et évaluent tout ce qui est risque lié à l'utilisation des OGM. « Donc lorsque nous avons reçu le dossier du projet pour développer ces moustiques génétiquement modifiés, nous avons mis en branle ces instances qui sont des experts indépendants qui évaluent et qui donnent des recommandations et des avis pour permettre à la structure de prendre des décisions. Comme ce sont des scientifiques, ils évaluent en tenant compte de la science, des textes que nous avons ici et même tout ce qui est comme tendance internationale en matière de science. Donc les décisions que nous prenons, c'est en notre âme et conscience », a insisté Souleymane Tougma.

Mathurin Rouamba, directeur de l'évaluation et du contrôle à l'ANB, a affirmé qu'au-delà des délégués, les communications sont adressées à toute la population de Bobo-Dioulasso.

Avant de poursuivre : « Si toutefois il y a des risques, des mesures de gestion sont mises en place par le projet qui sont suivies rigoureusement. Nous sommes une structure étatique qui est là pour la population. Nous ne pouvons pas prendre de dispositions qui vont à l'encontre de la population, qui peuvent causer des dommages à la population. Donc nous rassurons la population que nous sommes là, nous jouons notre rôle, nous suivons le processus jusqu'au bout. S'il y a des soucis, nous allons aviser et si possible arrêter le projet. Target Malaria n'a pas de dommage ni pour les humains, ni pour les animaux, et même pour la préservation de l'environnement ».

Mouniratou Rabo est la directrice en charge de la réglementation des inspections et du contentieux à l'ANB. Elle a relevé que plusieurs actions sont entreprises par l'ANB pour suivre le projet de moustiques génétiquement modifiés. « Lorsque vous suivez le dossier, vous verrez qu'on part d'abord du laboratoire. C'est-à-dire qu'on n'introduit pas un OGM au Burkina comme au marché. Nous allons nous assurer d'abord au labo pour voir s'il n'y a pas de risques ; et c'est après cette étape que nous passons à la dissémination contrôlée. Pour ce cas, le lâché a eu lieu dans le village de Bana (situé dans l'arrondissement N°7 de Bobo) et des mesures de gestion ont été mises en place pour minimiser que les moustiques génétiquement modifiés se retrouvent hors du village de Bana », a-t-elle laissé entendre.

Mouniratou Rabo est la directrice en charge de la réglementation des inspections et du contentieux à l'ANB.

Les communications ont été présentées par Mathurin Rouamba, directeur de l'évaluation et du contrôle à l'ANB. Il a affirmé qu'au-delà des délégués, les communications étaient adressées à toute la population de Bobo-Dioulasso, pour les rassurer du bien-fondé dudit projet. Lors des échanges, les membres de la délégation spéciale communale ont plus déploré le manque de communication de l'agence, notamment sur Target Malaria, pendant la période de la flambée de la dengue. Ils invitent donc l'ANB à redoubler d'effort en matière de communication autour du projet, pour mieux sensibiliser.

Tout en rassurant l'assistance que l'ANB communique très souvent, Mathurin Rouamba dit avoir pris note et rassure que l'ANB fera plus d'effort pour accentuer sa communication.

Romuald Dofini
Lefaso.net

Categories: Afrique

Sites énergétiques visés: Kiev et Moscou font état de «violations» et se tournent vers Washington

RFI (Europe) - Tue, 01/04/2025 - 23:12
L’Ukraine et la Russie ont affirmé mardi 1er avril avoir transmis aux États-Unis des informations sur ce que les deux pays présentent comment étant des tirs de l’autre camp contre leurs installations énergétiques, en « violation » du fragile moratoire annoncé par Washington sur les frappes visant de telles infrastructures.
Categories: Union européenne

Questionnaire d'enquête sur le thème : Analyse des actions de communication digitale d'une société immobilière d'Etat : cas du CEGECI »

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 01/04/2025 - 23:00

Dans le cadre de la réalisation de notre document de fin de cycle, nous avons choisi de travailler sur le thème : Analyse des actions de communication digitale d'une société immobilière d'Etat : cas du CEGECI »

Le présent questionnaire a été élaboré pour recueillir les informations qui nous permettrons de mener à bien notre étude. Les données collectées sont anonymes et ne peuvent en aucun cas être utilisées contre toute personne qui nous aura apporter des éléments de réponses.

Cliquez ici pour répondre au questionnaire

Merci pour votre apport.

Categories: Afrique

Décès du Pr Aboubakar SIDIKI OUATTARA : Remerciements

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 01/04/2025 - 22:31

« Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de l ‘avoir connu »
Les grandes familles OUATTARA, KONÉ, DIALLO, TRAORÉ, SESSOUMA
Les familles alliées CUZIN, SANGARÉ, DIE, SAGNON, BARO,
Les amis Jean-Martin COULIBALY, Hamidou TRAORE, Hamadou KONE, Edmond HIEN, Cheick OUATTARA, Françoise L'ETANG-YAMEOGO et Didier YAMEOGO, Françoise LE LOSQ-OUEDRAOGO et Jean-Pierre OUEDRAOGO, Alain et Haoua CHAPON,

au Burkina Faso, France, Grèce, Côte d'Ivoire, Sénégal et USA ;
très touchées par les nombreuses marques d'affection et de sympathie que vous leur avez témoignées lors du rappel à Dieu le 09 Mars 2025 à Ouagadougou de leur fils, époux, père, oncle, neveu, frère, beau-frère, grand-père et ami,

Pr Aboubakar SIDIKI OUATTARA
Enseignant de microbiologie à l'UFR/SVT de l'Université Joseph KI-ZERBO,

remercient du fond du cœur toutes celles et tous ceux, qui de près ou de loin leur ont manifesté leur compassion et apporté leurs soutiens multiformes lors de cette douloureuse épreuve.
Que le Tout Puissant dans son infinie bonté vous comble de ses grâces

Union de prières !

Categories: Afrique

IN MEMORIUM : Ouédraogo Oumarou dit Hamed

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 01/04/2025 - 22:30

LE TEMPS PASSE MAIS LES SOUVENIRS SONT ETERNELS

2Avril 2024 – 2Avril 2025
OUEDRAOGO Oumarou dit Amed
Précédemment juriste domicilier à la zone1

Voilà 1ans que nous quittait notre frère, Epoux, père, grand père et amis.
En cet anniversaire, la Famille, vous renouvellent leur profonde gratitude pour les nombreuses marques de compassion, solidarité et de soutien multiforme.
Ils expriment toutes leurs reconnaissances et leurs remerciements.
Qu'Allah(SWT) vous le redistribue au centuple.
Union de prière

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Checkers, The Stealth Fighter Edition

Foreign Policy Blogs - Tue, 01/04/2025 - 22:15

A F-35 fighter jet moves past Indian Air Force’s Sukhoi Su-30MKI fighter jet parked on tarmac during the “Aero India 2025” air show at Yelahanka air base in Bengaluru, India, February 11, 2025. REUTERS/Stringer/File Photo

Canada and Portugal look to be moving away from adopting the F-35 Stealth Fighter into their military as a response to Tariffs put on by the United States on various other industries in many countries. Portugal currently uses earlier versions of the F-16, which still hold tremendous value and would have likely found their way to Ukraine when Portugal replaced their current air fleet. The F-16s in Ukraine are considered top of the line fighters, and are a great concern for Russian forces in the region. While the F-16s could likely be made effective for Portugal for years to come or be of great use in Ukraine, they are also more susceptible to being shot down by even older dated Soviet anti-aircraft systems littering the countryside in Ukraine and Russia.

The initial idea of the F-35 was to equip NATO and their allies with a common, modern system that would be able to be networked together and have radar suppressing technology to make missions more effective and keep pilots out of danger. The F-35 was designed to not be picked up by Russian anti-aircraft radar systems on the ground or on other aircraft, so threats would be greatly reduced. With most of NATO being equipped with the F-35, the use of the system en masse would keep them equally protected via stealth technology. While the F-35 was not the first time the idea of a common NATO fighter was produced, it did look to be the one that would have truly achieved the objective of a common, modern allied fighter jet.

Part of the initial F-35 production was planned to be coordinated between different countries that took part in the program. While much of the plane would be constructed in the United States, there was a plan to have it produced in parts between many of the NATO and non-NATO participating countries. When Canada initially joined the early program, some production was set to take place in Canada in order to utilise their already skilled aircraft industry. Experience building their licensed CF-18s (Canadian F-18As) could be adapted to the new program, but Canada backed out of the project years ago, only to rejoin it much later on, removing the production benefits for Canada for the F-35. Canada’s F-18A models were buoyed by purchasing retired Australian F-18As before recommitting to purchasing F-35s, now to be backing out again to the detriment of Canada’s future pilots. While Canada has its own CF-18s as well as Australia’s old F-18s, without new equipment, Canadian pilots will become the first target on the radar when flying alongside other NATO F-35 allies.

While Canada and Portugal look to be cancelling their F-35 purchases, the process of cancellation is not a simple one. As with many large industrial contracts with long term production, there will likely be a financial penalty for the cancellation. The financial and legal details of the cancellations should be made public as the loss of tax dollars in voiding the contracts are likely significant. Without any actions to compensate the losses to the producers of the F-35, Canada and Portugal will likely have to pay a penalty for voiding/cancelling their contracts.

In a move that might produce positive results for many parties, the US and India decided to make an agreement for F-35s for India. Traditionally, India’s adversaries in its region often were the ones to obtain US aircraft, with India being a major export market for Soviet, and now Russian arms. Moving India and the United States closer together by way of their defense industries is a benefit for both nations. Using the F-35 as a point of agreement between India and the United States not only moves the countries closer together via a defensive posture, it also displaces the Russian made military equipment that makes up much of India’s military. Having American, Russian and French arms in India’s Armed Forces will match up well with India’s role as a future major international power broker, with modern equipment and the technology transfer to expand their own advanced industries and interests. The cancellations of F-35s may also get India their production models faster, to the detriment of NATO pilots who will now be settled with older technology.

La Nouvelle société civile dénonce la détérioration de la fourniture en électricité à Kinshasa

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 01/04/2025 - 19:14


La Nouvelle société civile congolaise (NSCC) a, dans une déclaration à la presse, dénoncé la dégradation continue du service public d'électricité à Kinshasa. « Trop c'est trop. La population de Kinshasa mérite un service public fiable et accessible à tous », a affirmé Jonas Tshombela, coordonnateur de la NSCC, ce lundi 31 mars.

Categories: Afrique

Russie: Vladimir Poutine reçoit Milorad Dodik, sous le coup d'un mandat d'arrêt lancé par la Bosnie

RFI (Europe) - Tue, 01/04/2025 - 19:08
Le président russe Vladimir Poutine a reçu mardi au Kremlin le chef politique des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, sous le coup d'un mandat d'arrêt lancé par la Bosnie, accusé d'attaque à l'ordre constitutionnel.
Categories: Union européenne

Burkina : Le RISA dénonce la propagande des médias impérialistes

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 01/04/2025 - 19:01

Lors d'une conférence de presse le jeudi 27 mars 2025, le Rassemblement des intelligences pour la souveraineté de l'Afrique (RISA) a dénoncé l'acharnement médiatique contre le Burkina Faso et ses dirigeants, notamment à travers la manipulation des médias occidentaux. Boukary Nébié, Secrétaire général du RISA, a vivement critiqué des médias tels que Jeune Afrique, RFI, et France 24 pour leur traitement biaisé de l'actualité burkinabè. Selon lui, ces médias cherchent à nuire à l'image du pays et à ses autorités.

Selon le RISA, la situation actuelle du Burkina Faso est le résultat d'une manipulation stratégique de la fibre ethnique par les terroristes et leurs soutiens, ainsi que l'acharnement médiatique contre le pays. Cette déclaration liminaire, lue par Boukary Nébié, secrétaire général du RISA, a mis en lumière les tactiques déstabilisatrices employées par les groupes terroristes et certains médias, ainsi que les conséquences dramatiques pour la nation burkinabè.

Ces derniers ont choisi de cibler spécifiquement la communauté peulh, dans un effort pour semer la division et susciter un conflit interne entre les différentes communautés burkinabè. Boukary Nébié a expliqué que les terroristes, après avoir massacré des civils, filment leurs actes macabres et diffusent ces images via les réseaux sociaux et les médias pour accuser les forces de défense burkinabè. L'objectif, selon Nébié, est de créer l'illusion d'une guerre ethnique, alimentant ainsi un chaos propice à une intervention militaire étrangère.

"Les terroristes veulent faire croire que le Burkina Faso est plongé dans un problème ethnique entre Peulhs et les autres groupes ethniques", a précisé le secrétaire général du RISA. Cette stratégie, a-t-il ajouté, est basée sur l'idée de diviser pour mieux régner, en manipulant les perceptions à l'international pour justifier une ingérence extérieure. Le RISA met en garde contre cette manipulation, soulignant que ces actes ne sont que des tentatives désespérées pour masquer l'imminente défaite des terroristes, acculés par les forces de défense burkinabè.

Boukary Nébié secrétaire général du RISA

Un autre point crucial abordé par la déclaration du RISA est l'acharnement des médias étrangers, en particulier ceux liés à l'Occident, contre le Burkina Faso et ses dirigeants. Boukary Nébié a souligné que certains organes médiatiques, tels que Jeune Afrique, RFI, et France 24, ont joué un rôle central dans la diffusion de mensonges sur la situation politique et militaire du pays. Il a également dénoncé la collaboration de certains Burkinabè, exilés à l'étranger, avec ces médias pour alimenter la campagne de désinformation.

"Il ne se passe pas un jour sans que des agences de communication comme Jeune Afrique, RFI et France 24 ne fabriquent des mensonges éhontés sur le Burkina Faso et ses autorités", a affirmé Boukary Nébié. Cette campagne de dénigrement vise spécifiquement le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, et le président du Conseil national de sécurité, le commandant Oumarou Yabré, dans le but de les discréditer et d'affaiblir leur autorité. Selon le RISA, cette agression médiatique ne fait que refléter la désescalade des terroristes, acculés par les forces de défense burkinabè, et l'imminence de leur défaite.

Boukary Nébié a dénoncé ce qu'il considère comme une stratégie bien pensée des terroristes et de leurs alliés. En filmant leurs massacres et en diffusant ces scènes sur les réseaux sociaux, les terroristes cherchent à susciter une guerre de communautés au Burkina Faso. Cette tactique vise à diviser la population sur des bases ethniques et à déstabiliser davantage le pays pour justifier une intervention extérieure, notamment de la part des puissances occidentales. "Le plan est simple : susciter une guerre de communautés pour asseoir un chaos généralisé et légitimer une intervention militaire internationale", a-t-il précisé.

Adama Siguiré coordinateur national du RISA

Face à cette menace, le RISA a appelé les Burkinabè à ne pas tomber dans le piège de la division ethnique. "Il n'y a pas et il n'y aura pas de problème de Peulh au Burkina Faso. Les Peulhs sont une communauté à part entière du Burkina Faso et vivent en parfaite harmonie avec la soixantaine des autres groupes ethniques", a répété Boukary Nébié. Selon lui, il est impératif que la population reste unie et qu'elle se protège contre les manipulations externes visant à exacerber les divisions internes.

En réponse aux accusations des médias occidentaux, le RISA a exprimé son soutien aux médias publics burkinabè, qu'ils considèrent comme des acteurs essentiels dans la période actuelle. Boukary Nébié a insisté sur le rôle crucial que ces médias jouent en galvanisant les troupes et en soutenant l'effort national de résistance. "Nous apportons notre soutien aux médias publics que certaines officines obscures voudraient transformer en outils de propagande", a-t-il déclaré. Pour lui, ces médias ne font que leur travail : soutenir les forces de défense et de sécurité dans une période de guerre.

Le RISA a également réaffirmé son soutien total aux autorités burkinabè, notamment au président Ibrahim Traoré, au commandant Oumarou Yabré, et aux membres du gouvernement, pour leurs efforts continus de défense et de libération des populations prises en otage par les groupes terroristes. "Le RISA affirme son soutien inconditionnel aux autorités du pays et à l'ensemble des forces combattantes, qui bravent quotidiennement la mort pour sauver notre pays", a déclaré Boukary Nébié. Il a insisté sur le courage et l'engagement des forces de défense qui, malgré les difficultés, continuent de libérer les villes occupées par les terroristes et de protéger les civils innocents.

Essebé Ouarmé coordinateur régional du RISA

En conclusion, le RISA a lancé un appel vibrant à l'unité nationale et à la résistance contre toutes les formes de manipulation et de division. "Nous devons comprendre que nous sommes tous filles et fils d'une même nation. Ne tombons pas dans le piège de la division, mais restons solidaires pour défendre notre pays et notre dignité", a conclu Boukary Nébié. L'heure est à la solidarité, à l'unité et à la résistance face à l'agression des terroristes et à la campagne médiatique visant à déstabiliser le Burkina Faso.

Ainsi, face à l'adversité, le RISA réaffirme son engagement à soutenir le pays et ses forces armées, tout en appelant la population à ne pas céder aux manipulations et à faire front commun pour la souveraineté et l'intégrité du Burkina Faso.

Tani Linda Combary (stagiaire)
Lefaso.net

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La Pologne confirme son intérêt pour l’A400M Atlas et l’avion ravitailleur A330 MRTT d’Airbus

Zone militaire - Tue, 01/04/2025 - 18:48

Dotée d’une poignée de C-130E/H Hercules acquis d’occasion aux États-Unis dans des conditions très avantageuses, l’aviation militaire polonaise a l’ambition de renforcer ses capacités en matière de transport aérien tactique. Ces derniers mois, l’hypothèse d’un achat de C-390 « Millenium » auprès du constructeur brésilien Embraer a été avancée avec insistance, d’autant plus que cet appareil peut...

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