Des policiers, agents de l’État ont été pris pour cible dans l’exercice de leurs fonctions.
La CGT-Police du SGAP de Paris, s’indigne de cette violente et stupide agression qui a grièvement blessé quatre collègues qui assuraient avec « les moyens du bord », la mission qui leur avait été confiée à la lisière des communes de Grigny et Viry-Châtillon (Essonne).
La CGT-Police tient à apporter son soutien aux collègues victimes, tout en respectant leur douleur, comme celle de leurs entourages familiaux et professionnels.
Au design moderne ces nouveaux bijoux mécaniques sont aussi spacieux, confortables, plus capacitaires, ergonomiques et performants.
Depuis juillet 2016, l’entreprise gestionnaire déléguée au transport urbain par bus à Ghardaïa a lancé une opération de renforcement de son parc roulant en mettant en circulation neuf nouveaux bus. Une nouvelle génération de véhicules offrant une multitude d’avantages.
La ville de Ghardaïa vient de se lancer dans le renforcement de sa flotte de bus. Soucieuse de créer de nouvelles dessertes, d’accroître la qualité de service pour ses clients et d’améliorer son efficacité opérationnelle, la société en question (ETUG), gestionnaire du transport urbain dans Ghardaïa, vient ainsi de passer à l’action en lançant, depuis juillet 2016, une nouvelle génération de véhicules offrant une multitude d’avantages.
S’appuyant sur l’augmentation de la fréquentation et la nécessité d’étendre l’offre kilométrique, la société gestionnaire du transport entend, par cette initiative, répondre aux problèmes de capacité rencontrés, anticiper la mise en place de nouvelles lignes à l’exemple de celles de Sidi-Abaz/Ben-S’Mara, avec 02 bus, et El-Korti / Sidi-Abaz, avec 01 bus, et mettre en service des bus moins polluants et respectueux de l’environnement.
Selon le responsable de cette unité de transport, cette initiative rentre dans le cadre de la dotation de Ghardaïa d’une flotte d’autobus de nouvelle génération, totalisant 23 bus, caractérisés par une forte fréquence de service avec un coût moins élevé au kilomètre et un itinéraire en site propre. La même source indique que le renforcement du parc du transport urbain se fera par étape.
Quatre nouveaux bus sont déjà en circulation et cinq autres arriveront dans un proche avenir. Ainsi, l’amélioration de la mobilité et l’intégration urbaine, la promotion de la bonne gouvernance voulue par le wali, Azzedine Mechri, et la préservation de l’environnement ont pour but d’améliorer le confort des passagers.
Ces véhicules de nouvelle génération portent incontestablement les couleurs du changement en redonnant une image de transport propre aux bus. Nonobstant certaines localités à l’image de la petite bourgade de Mélika-Haut qui n’est pas encore desservie .
Les habitants du village Bouzerouel, dans la commune d’Akbou, ont bloqué hier le passage aux camions qui approvisionnent les chantiers de la pénétrante autoroutière situés dans la région et qui s’approvisionnent en graviers depuis les carrières situées aux alentours de leur village.
Les mécontents ont exigé des autorités le revêtement de ce chemin communal débouchant sur la commune d’Aït R’zine pour mettre fin aux nuages de poussière qui envahissent leurs maisons au passage des camions.
Ils réclament aussi « l’installation de l’éclairage public et de ralentisseurs pour forcer les automobilistes et les camionneurs à rouler à des vitesses réduites ». Pour les habitants de cette bourgade, « les autorités locales ont marginalisé le village ».
Le Général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, Vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), s’est entretenu hier à Alger, avec le Général de corps d’armée, Ghanem Ben Chahin Al-Ghanem, Chef d’état-major des Forces armées qataries, en visite officielle en Algérie à la tête d’une importante délégation.
Après la cérémonie d’accueil, les deux parties ont tenu des entretiens bilatéraux en présence d’officiers généraux du ministère de la Défense nationale et de l’état-major de l’ANP, ainsi que de l’ambassadeur de l’état du Qatar à Alger et des membres de la délégation accompagnant le Chef d’Etat-major des Forces armées qataries.
Les deux parties ont examiné « l’état de la coopération militaire bilatérale et les moyens permettant son élargissement à d’autres domaines d’intérêt mutuellement bénéfiques pour les deux pays ». Cette coopération observe « un plein essor grâce à l’intérêt particulier que lui confèrent les chefs d’Etat des deux pays en veillant communément à sa promotion permanente ».
Par ailleurs, les deux parties se sont également attelées à échanger les analyses et points de vue autour des questions d’actualité. A l’issue de ces entretiens, l’hôte de l’Algérie a paraphé le livre d’or de l’état-major de l’ANP avant de procéder à l’échange de présents symboliques.
La visite officielle du Général de corps d’armée qatari arrivé dimanche en Algérie intervient suite à l’invitation du général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, et s’inscrit dans « le sillage du renforcement des relations de fraternité et de coopération établies entre les forces armées des deux pays ».
Le réalisateur polonais est mort à l’âge de 90 ans. il laisse une œuvre cinématographique intransigeante qui évoque avec force l’histoire contemporaine de son pays.
Le président du Conseil italien, Matteo Renzi, doit faire face à une fronde dans le Parti démocrate (PD), dont il est secrétaire.
La quasi-majorité des partis de l’opposition a émis des réserves de fond sur la nomination par le président Bouteflika de l’ex-député d’Ennahda, Abdelouahab Derbal, au poste de président de la Haute instance de surveillance des élections (HIISE), sans pour autant remettre en cause sa participation au scrutin législatif d’avril 2017.
La HIISE a été créée en application de l’article 194 de la Constitution amendée en février dernier. L’article 194 stipule qu’« il est créé une Haute instance indépendante de surveillance des élections. Elle est présidée par une personnalité nationale nommée par le président de la République, après consultation des partis politiques.
La Haute instance dispose d’un comité permanent et déploie ses autres membres dès la convocation du corps électoral ». Cette nouvelle instance « veille à la transparence et à la probité des élections présidentielles, législatives et locales et du référendum, depuis la convocation du corps électoral jusqu’à la proclamation des résultats provisoires du scrutin », explique le même article de la Loi fondamentale du pays.
Quant au comité permanent de la Haute instance, il veille notamment à la supervision des opérations de révision des listes électorales par l’administration, à la formulation de recommandations pour l’amélioration du dispositif législatif et réglementaire régissant les opérations électorales, et à l’organisation de cycles de formation civique au bénéfice des formations politiques, la surveillance des scrutins et la formulation des recours, relève ledit article.
La nomination de Derbal à la tête de l’instance ne devrait pas, sur le plan du principe, incommoder les partis de l’opposition. Si cette dernière n’a rien à lui reprocher sur le plan personnel ou politique, elle dénonce, en revanche, la manière unilatérale avec laquelle elle a été créée et ceci sans l’aval de la classe politique.
Le président du MSP, Abderazak Mokri, le souligne. « Nous sommes contre même si c’est un islamiste à sa tête », dit-il, en expliquant que Abdelouahab Derbal « est une personne respectable et nous n’avons aucune objection contre lui en tant qu’individu ».
« Nous avons parlé de la création d’une instance indépendante de gestion des élections. Pour nous, cette instance ne peut être remplacée par une instance de surveillance des élections. Donc le problème est dans cette instance, sa constitution, ses prérogatives et non dans la personne qui sera à sa tête.
Le problème réside dans la politique adoptée. En plus, comment surveiller dans la transparence et l’impartialité en l’absence des partis politiques, qui sont les premiers concernés, dans cette instance ? », indique le secrétaire général du mouvement En Nahda, Mohamed Douibi.
Pour le RCD, Atmane Mazouz, chargé de communication du parti, il partage le même constat : « La position du RCD est connue de tous : nous sommes pour une instance permanente de gestion des élections, institutionnellement indépendante du gouvernement, chargée d’organiser, de gérer et de superviser tous les processus électoraux ainsi que les étapes qui conditionnent leur préparation. Sa composante doit émaner de propositions conjointes des partis représentatifs », dit-il encore.
La Constitution contient plusieurs mesures spécifiques sur le processus électoral, notamment la création d’une nouvelle commission électorale nommée de manière « indépendante » composée de juges, de représentants de la société civile et de partis politiques chargés d’arbitrer tout litige lié à une élection. Mais ces réformes institutionnelles pourront-elles réellement permettre une amélioration du déroulement du scrutin ?
L’absence de commissions électorales indépendantes est susceptible de mener à des élections douteuses, mais l’établissement d’une commission électorale indépendante ne suffit pas à elle seule assurer des élections crédibles. Pratiquement, partout dans le monde l’abandon de l’organisation des élections par le ministère de l’Intérieur est aujourd’hui consommé. Les législateurs entendent dépolitiser l’administration électorale pour lever les soupçons.
La solution réside, peut-être, dans le choix d’un mode de désignation consensualiste, reposant sur l’accord de l’ensemble de la classe politique. Le chef de l’État, qui a sollicité l’avis des partis politiques sur cette nomination envisagée devrait connaître la réponse le 31 octobre prochain.