Nagyvázsony község kezdeményezésére Kárpát-medencei Kinizsi-szövetséget hoznak létre a Kinizsi Pál életének fontos helyszíneihez közel eső magyarországi, erdélyi, vajdasági és felvidéki települések – tájékoztatta az MTI-t Nagyvázsony önkormányzata.
A szövetség alapító okiratát az erdélyi Alkenyéren (Sibot) írják alá csütörtökön, a Kinizsi Pál vezette magyar seregek diadalát hozó kenyérmezei csata 537. évfordulóján tartandó megemlékezés keretében. A Veszprém megyei Nagyvázsony azért vállalkozott a Kinizsi-szövetség megszervezésére, mert a községet is magába foglaló birtokot Mátyás király Kinizsi Pálnak ajándékozta, aki várat épített a településen.
A szövetségbe Kinizsi ismeretlen erdélyi születési helye kapcsán a székelyföldi Gidófalva és Firtosváralja, temesi bánsága kapcsán a délvidéki Kishegyes és Pancsova, a kenyérmezei csata kapcsán a közeli Csernakeresztúr, halála helyszíne kapcsán Székelykeve, felvidéki származású felesége kapcsán Egyházasbást, és harcostársa Báthori István származási helye okán Géberjén önkormányzatát, illetve – ahol ezt nem lehetett – a helyi magyar közösséget megjelenítő egyesületet, egyházközséget hívták meg.
A Kinizsi Szövetség rövid távú célja a legendás hadvezér szellemiségének ápolása, az összetartozás tudatának az erősítése, a kevésbé ismert települések értékeinek megismertetése, a települések turisztikai vonzerejének a növelése. Az alapítók hosszabb távú célként a felek közötti kulturális kapcsolatok és gazdasági együttműködés erősítését, és további partnerek bevonását is megnevezték.
A szövetség alapítói szerdától szombatig a Hunyad megyei Csernakeresztúron tartják találkozójukat.
Amint Fábry Szabolcs, Nagyvázsony polgármestere az MTI-nek felidézte, Kinizsi Pál olyan magyar hadvezér volt, aki soha nem vesztett csatát, és a törökök fölött aratott 1479. október 13-i kenyérmezei diadala nélkül talán meg sem tudott volna maradni a magyarság, vagy nem tudta volna megőrizni államiságát a Kárpát-medencében.
Depuis sa démission du RPM, comme poursuivi par l’œil de Caen, le Pr Kalilou Ouattra dit tout, souvent en exposant sa propre famille, son entourage… Une fois encore, certainement en attendant d’autres occasions, ce jeudi 6 octobre, il était sur les ondes d’une radio de la place. Sur lesquelles ondes, il a avoué avoir pris de l’argent avec l’ADP- Maliba pour quitter le RPM. Malgré cela, il tente de justifier sa démission avec d’autres arguments peu convaincants.
L’ancien président ivoirien Henri Kona Bédié aime dire : «la politique est l’art de l’impossible ». Nonobstant, le septuagénaire Pr Ouattara a tout de même surpris plus d’un en claquant les portes du RPM, qui l’a amené à l’Assemblée nationale. Ainsi l’opinion publique a découvert que derrière sa mine intègre, se cache un autre visage, le vrai; celui d’un assoiffé d’argent. En effet, après avoir justifié sa démission du parti au pouvoir par une prétendue mauvaise gouvernance, il s’est dédit sur les antennes d’une radio de la place. Dans son argumentaire, il affirme avoir une dette à payer à l’ADP Maliba. Car, explique l’ancien député de la commune III, pendant la campagne législative en 2013 « c’est mon fils Gérard, comptable de l’ADP-Maliba qui a confectionné mes affiches, qui m’a offert un véhicule de marque « Touareg » pour que je puisse paraître beau, plus représentatif. En plus, il est marié à la fille du bailleur de fonds de l’ADP-Maliba, Diallo, et mes petits fils sont chez ce dernier. Donc je dois à ce parti. Je n’ai pas encore officialisé mon adhésion à ce parti. Mais je n’ai nulle part où aller si ce n’est à l’ADP». En plus, précisera-t-il, dans ce parti, ce trouve mon jeune frère élu sous les couleurs du Parena à Kadiolo. C’est moi qui lui ai suggéré de quitter l’opposition radicale du Parena pour un parti de la majorité. Et il a choisi le parti de mon fils. »
Au sujet du paiement de sa conscience, il a avoué. «Je ne dis pas que c’est le cas, mais, c’est aussi normal que si on quitte un parti, que le parti d’accueil pense à soulager l’arrivant. Ne serait-ce que pour un petit confort lui permettant de ne pas regretter son geste. Ou encore pour qu’il soit représentatif. Par exemple, après l’élection des députés, on leur accorde 10 millions chacun comme prime d’installation, je crois que c’est ce qu’on fait aussi pour les ministres. Donc, quand le parti d’accueil donne quelque chose, ce n’est pas condamnable», a-t-il déclaré. Malgré cet aveu, il tente de noyer le poisson dans l’eau en s’attaquant aux cadres de son ex-parti, le RPM. L’appartenance à un parti politique n’a jamais été une camisole de force. Pour bon nombre d’observateurs étant l’art de l’impossible, il n’est pas exclu que le Pr Ouattara revienne un jour au RPM ou adhère dans un autre parti aux dépens du parti du beau père de son fils.
Car, la politique n’est pas la médecine. Ne doit-il pas respecter les militants, sympathisants du RPM et de ses alliés qui ont voté pour lui pendant les législatives ? Si les affiches et le véhicule de marque « Touareg » pouvaient amener quelqu’un à l’Assemblée nationale, il ne faisait pas poids devant certains de ses adversaires lors des élections législatives derrières.
Par Fanta Togo (Stagiaire)
Source : Le Hogon
En Commune V du District de Bamako, c’est Mme Katilé Hadiaratou Sène qui défendra les couleurs du parti de l’abeille solitaire pour les élections communales du 20 novembre prochain. Tel est l’issue de la conférence de section du parti tenue la semaine dernière au Palais de la Culture Amadou Hampathé Ba. Cette conférence que d’aucuns assimilaient à l’oraison funèbre du parti en commune V a été l’occasion pour Boubacar Bah dit Bill, maire sortant de la Commune V et militant de première heure du parti et les siens de revigorer la cohésion entre les militants pour mieux affronter les échéances électorales du 20 novembre prochain. Annoncé comme candidat, Boubacar Bah dit Bill a surpris plus d’un par sa sagesse en cédant la place à Mme Katilé Hadiaratou Sène. La conférence qui a duré 7 heures regroupait les membres de la section, 5 représentants du bureau de la jeunesse que dirige le jeune Fabou Diarra, 5 représentantes du bureau des femmes dirigé par Koudjeye Niakaté et les 40 délégués des 8 sous-sections de la commune V. Comme à l’accoutumée, le secrétaire Général de la section V, Boubacar Bah dit Bill qui présidait cette assise, après les salutations d’usage, a présenté les 2 superviseurs et planté le décor en expliquant le seul point inscrit à l’ordre du jour. Il s’agit de l’élaboration de la liste pour les élections communales du 20 novembre 2016.
Après cette mise au point de Bill, les superviseurs ont tour à tour pris la parole et ont tous plaidé pour l’unité et la cohésion au sein du parti pour une victoire éclatante au soir du 20 novembre. Mais les réalités étaient autres que l’entente car cette conférence mettait aux prises le camp de Boubacar Bah qui renferme le maximum de cadres et celui de Mme Katilé Hadiartou Sène. La tension était vive. Le point d’achoppement a été la vérification des mandats des 5 représentantes du bureau des femmes que le camp Sène a rejeté en bloc pour vice de forme. En cause, selon eux, la présidente des femmes a choisi ses délégués sans tenir une instance (conférence de section) digne de ce nom.
Sur la même question, un des superviseurs Ramata Haïdara a pris la parole et demanda l’expulsion des femmes déléguées. Les esprits se surchauffent, le camp Mme Katilé se livre en spectacle avec des injures. Le superviseur Tioulenta imperturbable et très serein appelle au calme et à la raison.
« A un moment de l’histoire du parti, il faut que les uns et les autres acceptent le sacrifice qui est l’apanage des grands hommes » a-t-il sagement conseillé.
Ainsi pour calmer les nerfs, le secrétaire général de la jeunesse Fabou Diarra a demandé à la conférence une suspension de 40 minutes. Et propose la constitution d’un collège de secrétaires généraux de sous-sections, des représentants des femmes et des jeunes et les 2 superviseurs. Selon lui, convoquer une conférence de section sous tension peu conduire à des conséquences fâcheuses pour le parti. Après de laborieuses discussions, le maire sortant Bill a décidé de céder le poste à Mme Katilé Hadiaratou Sène. De ces conciliabules est sortie une liste de 45 personnes lue par le rapporteur du collège des secrétaires généraux M. Fabou Diarra. Cette liste a été acclamée par les délégués à la conférence.
L’élaboration de cette liste a été fastidieuse et ardue. Il appartient à Mme Katilé d’enterrer la hache de guerre et créer une synergie d’action autour de cette liste pour offrir au parti de l’abeille solitaire une victoire. Chose qui ne sera pas facile devant des listes RPM, le parti au pouvoir, l’URD dont le ‘’bastion’’ a toujours été la Commune V pendant les communales et le MPR qui, sous la houlette de Mamadou Sinè Traoré dit Figneri monte en flèche.
Au regard des faits lors de la conférence, la recherche de cohésion au sein de la section passe impérativement par le Secrétaire Général de la jeunesse Fabou Diarra qui pourrait convaincre les inconditionnels du camp de Bill pour faire l’union autour de la candidate.
Mais, selon les observateurs, la liste de candidature comporte peu de représentants des sous-sections favorables à Boubacar Bah dit Bill. Alors que ce dernier reste toujours le secrétaire Général de la section V jusqu’au congrès de 2018.
Pour rappel, Mme Katilé Hadiaratou Sène avait défendu les couleurs de l’ADEMA/PASJ, lors des élections législatives de 2013.
Lassina NIANGALY
Source: Tjikan
Cette conférence avait pour objectifs, les préparatifs pour la mise en place du nouveau bureau qui aura la lourde tâche de conduire la destinée de cette législature. Pour ce faire, des tendances et des positions se dégagent déjà.
Mais d’ores et déjà, il y’a un projet de texte relatif à la relecture du règlement intérieur de l’institution qui sera soumis à l’aval d’une plénière qui se tiendra probablement dans la semaine.
Contrairement à la session précédente, des sources dignes de foi indiquent que cette session s’affiche comme celui du renouveau car le président de l’Institution Issaka Sidibé serait davantage disposé à écouter ses collègues députés de toutes les tendances en vue d’une entente voire d’un consensus pour le renouvellement du bureau de l’Assemblée Nationale.
Toute chose dont l’institution a besoin pour redorer son image ternie lors du dernier renouvèlement de son bureau par des querelles de positionnement.
Lors de la session passée, certains députés de la majorité comme de l’opposition avaient boycotté une séance plénière pour manifester leur mécontentement contre la gestion interne des affaires de l’Assemblée Nationale.
Par ailleurs, l’agenda des élus de la Nation s’annonce très chargé pour cette session parlementaire. Car, plus de quarante (40) projets de lois seront inscrits à l’ordre du jour de cette session.
Souleymane Birama Minta (stagiaire)
Source: Tjikan
Cette pratique peu orthodoxe de certains agents de police véreux en complicité avec certains maires de la localité est décriée en longueur de journée par la population. Et si les autorités régionales, voire même nationales ne prennent pas des garde-fous, cette pratique aura des conséquences fâcheuses. La plupart des populations subit ce racket policier. Et le hic dans tout ça, même les détenteurs de toutes les pièces sont obligés de mettre la main à la poche. Impossible pour les citoyens de la localité de Kadiolo de se dérober à cette pratique qui a tendance à devenir une « règle ». Un enseignant de second cycle nous a expliqué son calvaire en partance à Misséni, l’une des communes rurales du cercle de Kadiolo. « J’ai quitté Kadiolo pour Misséni, arrivé au niveau du fleuve, je vois deux postes de contrôles qui font face. Les agents du premier poste m’ont demandé des pièces. Sans polémique, j’ai exhibé mes pièces, avec tout cela, ils m’ont dit de leurs donner le prix du thé. Chose que j’ai catégoriquement refusé. Et je leurs aient demandé l’intérêt de ces deux postes qui font pratiquement face. Sans se gêner, les agents véreux me rétorquent que chaque poste cherche sa part. Dès que je dépasse le fleuve, les agents du deuxième poste me demandent eux aussi les pièces. Je me suis exécuté sans murmure », a martelé notre interlocuteur. Selon cet enseignant, il y a une multitude de postes de contrôle dans la localité de Kadiolo qui ne répond même pas aux normes. « Si c’est la patrouille, on comprend aisément cela mais on crée des postes par ci par là pour pouvoir racketter les gens », a-t-il dit. Il n’est pas seul à subir cette pratique peu orthodoxe. Selon certaines victimes, même le juge Touré de Kadiolo a été témoin oculaire de ce racket policier. Chose qui le poussa d’ailleurs a invité les chefs militaires du cercle à éradiquer cette pratique, indique notre source. Mais apparemment, ce conseil n’a pas été entendu par les patrons militaires de la localité, car la pratique continue de plus belle. « Il y a trop de rackets des policiers actuellement à Kadiolo. Ils abusent et pillent nos parents pendant les jours de foire, souvent même sur la route de leurs champs. A cause des policiers, le marché n’est plus comme avant. Nos parents souffrent trop. Ils demandent la vignette pour un vélo, une carte grise pour la moto », a souligné Boubacar dit verron, un ressortissant de la localité. Pourtant lors d’une conférence de presse qu’il a animé le jeudi 21 janvier 2016 à son département, le Directeur général de la police, Moussa Ag Infahi a été clair à propos du racket policier. « La police est régie par un statut et règlement dans lequel il existe des sanctions. Les agents qui seront pris en faute seront sanctionnés par la loi. On vient pour servir la police mais on ne vient pas pour se servir de la police », avait-il dit. Le ministre doit donc lorgner vers Kadiolo où ses éléments continuent à faire du racket.
Aguibou Sogodogo, de retour de Kadiolo
Source: Le Républicain
C’est dire que le compte à rebours a commencé dans les Collectivités, où les jeux politiques sont beaucoup plus compliqués. Il s’agit là des élections de proximité. Dans ces conditions, les combats de positionnement sur les listes sont très rudes. En Commune V, la bataille pour s’offrir la tête de liste a opposé deux ténors de l’ADEMA-PASJ, le maire sortant, Boubacar Ba, dit Bill et son adjointe de la Section V, Mme Katilé Kadiatou Sène. Finalement, la bataille a tourné à l’avantage de Me Katilé. Selon nos sources, il était deux heures du matin quand Bill laissait le champ libre à son challenger. Mais, futé qu’il est, il s’est retiré à contre cœur contre la proposition d’accepter deux éléments de son bord pour former le trio de tête avec Mme Katilé. La proposition a été acceptée par le bloc Katilé, qui caressait l’idée de mettre fin au mythe Bill en Commune V.
Bill sauve les meubles
Mais, l’ouvrage politique n’a pas été sans peine. Selon notre source, le combat a commencé depuis le mois d’août dernier où, après de longs mois de léthargie orchestrée à la Section du PASJ en Commune V, le secrétaire général de la Section, en la personne de Boubacar Ba dit Bill, qui se trouve être le maire actuel de la Commune, un groupe de pétitionnaires a décidé de prendre des initiatives en réunissant des signatures des membres de la Section favorables à la reprise des réunions statutaires. La pétition a fait l’objet de correspondance adressée au Bureau de la Section. Mais, cette initiative lui a laissé de marbre. C’est ainsi que le même groupe enjoint à son adjoint, Mme Katilé de présider les réunions désormais, en l’absence du Maire/SG de la Section empêché. Ainsi, petit à petit, l’étoffe de son débarquement a commencé à être filée par ses camarades. Au moment où il s’est en rendu compte des enjeux, son sort avait fini par être scellé.
« Bill paie ainsi son mépris à l’égard de ses camarades », explique notre interlocuteur, qui l’accuse de regarder les autres de haut. Donc, c’est finalement Mme Katilé Kadiatou Sène, qui conduit la liste en Commune V.
Tous ceux qui se ressemblent ne s’assemblent pas forcement. En Commune VI, le maire sortant Souleymane Dagnon, aussi ambitionne de rempiler. Et, la Section, dirigée par Mahamane Touré, n’y voyait aucun inconvénient. Puisqu’il a été élu tête de liste des PASJ, à l’issue d’une conférence de Section, organisée en bonne et due forme. Mais, là aussi, Souleymane Dagnon fait face à une forte résistance d’une partie du PASJ, favorable au candidat malheureux du parti à la présidentielle de juin 2013, Dramane Dembélé. Il s’agit du bloc conduit par l’ex-ministre Harouna Cissé. Une forme de bicéphalisme né de la dernière conférence élective de la Section VI du PASJ, qui a porté Mahamane Touré à la tête de la Section VI, au détriment du secrétaire général sortant, Harouna Cissé. En son temps, le Bureau national avait usé de tout son poids pour éviter la cassure. Mais, souvent en politique, certaines positions sont difficiles à concilier. Les deux camps ont continué à se tenir loin l’un à l’égard de l’autre. Jusqu’au moment de choisir les délégués à la conférence de Section pour le choix des candidats. Selon le secrétaire général, Mahamane Touré, que nous avons joint au téléphone, c’est à la veille de la conférence qu’il lui a été demandé de reconsidérer les positions. En réaction, il a répondu que depuis la Conférence élective des membres de la Section, sur recommandation du BEN, son Bureau a fait profil bas pour permettre au camp d’en face de rejoindre les rangs. Toutes les tentatives de réconciliations sont restées vaines dit-il. Et Harouna Cissé et ses amis sont restés en marge des activités du parti. Mais, il s’est dit ouvert à toutes les propositions.
« Malheureusement, les gens parlent de réconciliation, mais quand on leur demande de faire des propositions concrètes, ils restent muets. Parce qu’à ce niveau de travail, il n’était plus possible d’entreprendre quelque chose en leur faveur. Et pour cause, la conférence de section est le couronnement d’une procédure de sélection qui commence depuis les comités à la base. Et, le hic qui fait tilt ici, c’est que les amis d’Harouna Cissé depuis la conférence élective des membres de la Section, ont cessé de participer aux activités du parti depuis les comités. Or, ce sont les comités qui proposent les candidatures. Comment des camps qui se regardent en chiens de faïence peuvent s’unir pour affronter ensemble les défis ? », s’interroge-t-il.
Dans tous les cas, en commune VI, les militants de l’ADEMA-PASJ vont rangs dispersés. Selon nos sources, une partie du groupe, notamment Awa Koné de Banankabougou, Issa Traoré de Missabougou et Abadalla Diarra, est allée en alliance avec le mouvement politico-religieux Sabati 2012. L’autre aille est inscrite sur la liste de l’APM-Maliko de l’ancien ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, Modibo Kadjoké. Mais, approché par nos soins, l’ancien chef de cabinet du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, non moins ancien maire signataire de Sénou, Lazare Tembelly dira que son parti ne souffre d’aucune division, sans rentrer dans les détails bien sûr.
Le RPM aussi atteint par le démon
Dans le parti majoritaire, le démon de la scission y est aussi à l’œuvre. En tout cas, en Commune VI, les Tisserands vont en rangs dispersés. D’un côté, le secrétaire général de la Section VI des Tisserands, Baba Sanou, conduit une liste et de l’autre, le secrétaire général de la sous-section de Banankabougou, Ibrahim Diallo aussi, conduit une autre liste, constitué des membres de sa sous-section et les mécontents RPM d’autres quartiers. C’est la liste dénommée « Alternative Pour la Commune VI » (APC).
La constitution unilatérale de liste est à l’origine du divorce. Selon nos sources, l’histoire remonte aux premières dates avortées des élections communales et régionales. A cette occasion, Baba Sanou fort de sa position, s’était cru en territoire conquis pour avoir imposé une liste établie en catimini dans un Hôtel dans la Commune, qui exclut la sous-section de Banankabougou du jeu électoral. En réaction, il lui a été demandé de revenir sur la liste, mais sans succès. Toutes les démarches sont restées vaines. C’est pour cette raison, que la sous-section de Banankabougou a décidé de claquer la porte pour se porter candidat en Indépendant. Mais, selon nos sources, le divorce n’est que provisoire. Une fois les élections terminées, ils rejoindront la famille. Car, chaque camp s’estime être le plus fort. Il s’agit donc de jauger ses capacités de mobilisation de part et d’autre. Comme l’élection est le meilleur baromètre de mesure politique, donc chaque camp veut savoir son poids politique réel dans la Commune pour peser sur les décisions de la Section.
Comme pour dire que l’ADEMA et le RPM risquent d’être victimes de leur position de dominance. Ce qui n’est pas sans conséquence sur leur performance dans les urnes. Les deux partis devraient faire preuve d’intelligence politique comme l’a fait Bill en Commune V qui a perdu, mais en bon stratège, a réussi à sauver les meubles dans son parti. Il a évité la cassure de son parti. Or, malgré les assurances de notre interlocuteur du RPM, après le scrutin, la conciliation n’est pas garantie. Idem pour le PASJ.
M A. Diakité
Source: Tjikan
Donald Trump, az amerikai republikánusok elnökjelöltje Twitter-bejegyzésben tudatta kedden, hogy a saját pártjából ellene indított támadások “megszabadították” őt a pártkötöttségektől, és immár nem a Republikánus Párt jelöltjének tartja magát.
Ennek megfelelően Trump éles kirohanásokat intézett a republikánusok azon vezető politikusai ellen, akik az elnökjelöltségről való lemondásra és visszalépésre szólították őt fel.
A milliárdos üzletember délután Floridában kampányolt, de egész nap Twitter-üzenetekkel bombázta az amerikai közéletet.
“Olyan szép, hogy levették rólam a bilincseket, és most a magam módján harcolhatok Amerikáért” – fogalmazott az egyik bejegyzésében, hozzátéve, hogy ezután a maga szája íze szerint kíván megküzdeni demokrata párti vetélytársával, Hillary Clintonnal.
“Nincs szükségem Paul Ryan támogatására” – írta egyebek közt délelőtt. Este pedig már leszögezte, hogy ha ő lesz az elnök, Paul Ryan nem számíthat arra, hogy továbbra is a republikánusok képviselőcsoportjának vezetője lehet. Ezzel próbált visszavágni a házelnök hétfői állásfoglalására, amikor Ryan szóvivője útján bejelentette, hogy a támogatását ugyan nem vonja meg, de többé nem kampányol Trumpnak. Egy harmadik üzenetében Trump “nagyon gyönge és kevéssé hatékony” vezetőnek titulálta Ryant, majd később hozzáfűzte még: nehéz jól szerepelni, ha Ryantől és másoktól “nulla támogatást” kap.
A republikánus elnökjelölt nekitámadt John McCain arizonai szenátornak is. “Ez a nagyon bolond beszédű John McCain szenátor könyörgött nekem, hogy támogassam őt a szenátusi székért folytatott előválasztásán, amit meg is nyert. Aztán pedig dobott engem az öltőzőben szokásos megjegyzéseimért” – írta Trump.
Az üzletember kedd este a Politico című lap tudósítása szerint egy texasi adománygyűjtő rendezvényen azt fejtegette, hogy “néha nehezebb megbirkózni a saját pártoddal, mint a másik oldalon lévő emberrel”.
A Republikánus Pártban példátlan módon eddig 331 politikus – képviselők, szenátorok, kormányzók egész sora – lázadt fel Trump ellen, s ítélte el pénteken nyilvánosságra került trágár megjegyzéseit a nőkről, amelyeket tizenegy évvel ezelőtt mondott egy titokban rögzített kamerafelvétel tanúsága szerint.
Ugyanakkor alelnökjelöltje, Mike Pence a Fox televízióban, Chris Christie New Jersey-i kormányzó egy rádiós interjúban, Reince Pribeus pártelnök pedig még hétfőn közleményben erősítette meg, hogy változatlanul támogatja Donald Trumpot.
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Warsaw tore up a mooted $3.5bn deal with Airbus, starting a diplomatic war with Paris and worsening an already strained relationship with Berlin in the process.
Read morePokolgéppel felszerelt, álcázott drónt küldött át a harcvonalon egy, az Iszlám Államhoz köthető csoport, és a drón robbanásában két francia katona súlyosan megsebesült, két pesmerga harcos pedig meghalt – írta a Le Monde című francia napilap.
Minden bizonnyal ez volt az első alkalom, hogy az Iszlám Állam (IÁ) harcosai egy távirányítású repülő szerkezettel hajtottak végre támadást az Irakban harcoló francia különleges erők ellen.
Az ellenséges drón, amelyet még a levegőben elfogtak, a földre kényszerítése után robbant fel.
Az október 2-án történt támadásban további francia katonák is könnyebb sérüléseket szenvedtek – tette hozzá a Le Monde.
Franciaországnak mintegy 500 katonája vesz részt Irakban az Iszlám Állam szervezete elleni harcra létrehozott, Egyesült Államok vezette katonai koalíció műveleteiben.
A francia kontingens egy része a kurd pesmerga erők kiképzését segíti az ország északi részében.
A francia védelmi minisztérium – szokásos eljárásának megfelelően – nem kommentálta a Le Monde jelentését. Az iraki hadsereg bagdadi szóvivője nem tudta egyből megerősíteni a francia sajtóértesülést, a pesmerga forrásokat pedig egyelőre nem sikerült megszólaltatnia a Reuters hírügynökségnek.