Dans cet article qui est une reprise de son intervention à l’assemblée populaire nationale lors des débats sur la loi de finances 2017, Arezki Derguini, député du FFS lance un avertissement: nous sommes entrain de prendre le chemin de l’Egypte et probablement du Venezuela. L’enjeu politique, selon lui, « n’est pas de savoir s’il faut une vérité des prix, mettre fin à des subventions injustes et inefficaces, mais comment y aller? ».
Nous sommes en train de prendre le chemin de l’Égypte parce que nous n’avons pas le courage d’affronter la réalité. Nous refusons de nous demander comment est-il possible de vivre réellement comme le reste du monde sans trahir nos martyrs et la confiance de la population.
Nous sommes en train de prendre le chemin de l’Égypte et probablement du Venezuela parce qu’une partie d’entre nous ne croit pas en notre société et ne pense qu’à exploiter la situation en sa faveur. Avec l’indépendance, nous avons continué de falsifier nos comptes, nous avons laissé notre état d’esprit poursuivre son chemin de croix ; nous voilà en peine aujourd’hui de retrouver quelque sérénité.
Le problème aujourd’hui n’est pas de savoir s’il faut une vérité des prix, mettre fin à des subventions injustes et inefficaces, mais comment y aller ? Car il nous faudra y aller, bon gré en traçant notre chemin, mal gré en obéissant au diktat de nos créanciers. Que faire donc pour ne pas renoncer à l’État social, pour établir un nouveau système des prix favorable à la production et un nouveau système de subventions plus efficace et plus équitable qui défende le pouvoir d’achat de la population sans décourager l’épargne et l’investissement.
Les exemples de l’Égypte , de la Grèce et du Venezuela sont devant nous. Devons-nous attendre la faillite de l’Etat pour entreprendre les réformes qui préservent l’Etat social? Un Etat failli ne peut venir en aide à des citoyens démunis dont le nombre s’accroit. Devons-nous attendre la faillite de l’économie centralisée afin que des responsables se déchargent de leur responsabilité, vaquent à leurs comptes privés et que l’étranger prenne en charge nos comptes publics ?
Ou bien, plutôt que d’accepter la perspective de livrer nos comptes à l’étranger, ce à quoi nous nous sommes toujours refusés, pourquoi ne pas mettre nos comptes à jour et passer à un système de prix, de subventions, de soutien du pouvoir d’achat transparent, plus efficace et plus équitable?
Les pouvoirs publics, dans le cadre de la nouvelle loi de finances, escamotent ces questions, hésitent sur le cap à suivre. Elles réduisent timidement les subventions, augmentent timidement les prix et les taxes. Renationaliser l’économie en faisant de l’économie une affaire sociale.
Une question de doctrine
Tout d’abord une question de doctrine. Il faut se rendre compte que nous n’avons nulle maîtrise sur les conditions de production de la vie matérielle. La compétition internationale nous les impose. Il faut renoncer à la croyance selon laquelle nous pouvons décider unilatéralement de ce que ce que nous voulons échanger, des termes dans lesquels de tels échanges peuvent avoir lieu.
Ce qui est en notre nôtre pouvoir, c’est la qualité de nos rapports, au sein de cette économie, avec cette économie. Il faut renoncer à faire de l’économie l’affaire exclusive de l’État et des grandes entreprises, ce qui a remis nos marchés aux mains d’une minorité qui finira par les céder aux grands groupes internationaux. Il faut qu’elle soit une affaire sociale avant de devenir des affaires publique et privée. Il faut faire en sorte que les volontés séparées des citoyens puissent constituer une volonté commune qui ne conspire pas contre leurs volontés séparées.
Car il n’est plus évident que la défense de l’intérêt particulier à l’ère de la globalisation puisse réaliser un autre intérêt que celui des multinationales. Une volonté commune qui accorde leur production à leur consommation présente et future.
Il faut renationaliser l’économie, c’est-à-dire redonner une cohérence sociale à l’économie qu’elle a perdu avec la globalisation des marchés, sur la base d’un état de droit où droits collectifs et droits privés, droit et normes sociales, ne s’excluent pas mais se complètent[1].
Soumettre le marché au contrôle social
Le gouvernement a commencé à toucher aux prix et taxes sans expliciter le système de subventions qu’il veut adopter. Et cela pour les trois années à venir. S’il persiste à monopoliser la gestion de l’économie, il risque de trébucher sur les embûches d’un nouveau système étatique de contrôle du marché qui finiront par l’en détourner.
La poursuite de la dépossession la société, autrement dit de l’ « accumulation primitive du capital », de la guerre non déclarée contre elle et son pouvoir d’achat va prendre la forme d’une spirale inflation-dépréciation de la monnaie.
On le sait, la défense du pouvoir d’achat ne peut plus être celui d’un pouvoir d’achat basé sur les hydrocarbures. Il doit être refondé. Pour y parvenir, il faut un nouveau système des prix qui encourage la production, qui permette d’aller vers une vérité des prix, un taux de change unique et une diversification de l’économie. De sorte à éviter la spéculation, à casser la spirale augmentation des prix/dévaluation de la monnaie (spéculation sur les prix et la monnaie) qui pénalise les pauvres, les fonctionnaires et les retraités et fait fuir les capitaux.
Une stabilisation du taux de change, une inflation contrôlée sont les conditions d’une relance de l’investissement et une refondation du pouvoir d’achat. Il faut donc mettre fin à une guerre globale contre la société : on ne pourra pas protéger les « riches » contre les pauvres, ni les pauvres sans les « riches ».
Faire de l’économie une affaire sociale c’est reconnaître que le contrôle du marché, la gestion de l’économie de marché, ne peut plus être une affaire étatique. La globalisation ne le permet plus, le contrôle du marché doit devenir une affaire sociale s’il veut échapper au contrôle des grands groupes internationaux. On ne peut plus imposer des frontières à l’économie de marché, on lui prescrit des normes : normes de production, de circulation et de consommation.
Faire de l’économie une affaire sociale doit nous permettre tout d’abord de soustraire le marché à l’activité des spéculateurs, de soumettre le droit aux normes et non à la discrétion de l’administration. Qui fabrique de la rareté, détermine les prix, pour pouvoir s’enrichir, accroître ses revenus?
Si l’État veut augmenter les prix de certaines matières qu’il ne peut plus soutenir, il peut avoir le concours de certains spéculateurs et soutenir ensuite le point de vue selon lequel c’est là la seule façon de lutter contre la spéculation. Comment éviter que les subventions par les prix et leur contrôle, ne se transforme en guerre contre la société ? Comment éviter que le chômeur ne passe pas du côté de la spéculation et de la hausse des prix ? Comment éviter que les plus démunis ne participent à l’aggravation de leur condition ?
La société doit refuser que le lait et d’autres matières de large consommation puissent être vendus ou achetés à un autre prix que celui qu’elle a fixé. Sous le contrôle des marchands, nos marchés ont chassé les voleurs ; il faut maintenant que les citoyens en chassent les spéculateurs. Ce n’est pas à l’État et à ses gendarmes de contrôler, de gérer la vie des quartiers, des marchés de proximité.
Si la société enraye les processus de spéculation sur les matières de large consommation, la solidarité avec les plus démunis ne sera pas un vain mot. Un quartier, un village ou un autre type de regroupement qui se démet de sa responsabilité de solidarité envers ses plus démunis mérite-t-il la justice ? Pourquoi cette vérité est-elle devenue si étrangère à nos foyers ? Parce que nous avons donné libre cours à certains de nos penchants sous prétexte d’obéir à la loi. L’Etat ne doit pas faire ce qu’un quartier peut faire sans frais.
Passer d’une économie informelle à une économie formelle et d’une « sectorialisation » à une décentralisation de l’économie
Outre un nouveau système de prix, un nouveau système de subventions, il faut produire un consensus social et politique sans lequel on ne pourra pas fixer la société dans un état de droit, des droits clairs du travail et de la propriété. La propriété est la base de l’état de droit. Le droit du travail celui de la démocratie.
Il faut se décider, et tracer sa voie entre une société salariale que nous n’avons pas réussi à construire et une société de propriétaires dont nous avons été défaits. Le désordre foncier qu’a entraîné l’héritage colonial est autrement un obstacle insurmontable pour l’établissement d’une économie de marché basée sur la circulation des droits de propriété, la multiplication des contrats, base d’une fiscalité ordinaire nécessaire au financement de l’état de droit.
Comment responsabiliser des collectivités locales qui ont été dépossédées de leurs responsabilités par la sectorialisation de l’économie[2], de leurs ressources par la destruction ou l’expropriation ? Il faut établir les ressources et les champs d’action des nouvelles collectivités. Il faut mettre les collectivités en mesure de se découvrir de nouvelles ressources, de valoriser leurs ressources sous employées.
NOTES
[1] Il faut se référer ici à l’exemple de l’économie sociale de marché allemande et aux rapports de l’économie et de la société dans les autres sociétés du nord de l’Europe avec lesquels la comparaison est possible.
[2] L’Algérie est découpée en secteurs un demi-siècle après son indépendance. Pour chaque habitant il fallait son ratio en matière d’éducation, de santé, d’équipement etc. Pas besoin du marché, ni d’une autorité locale.
S’il existe un champ de compétences où l’action des éléments de l’Armée nationale populaire, opérant en parfaite coordination avec les autres corps constitués que sont les Douanes, la Gendarmerie nationale et la DGSN, est des plus déterminantes, c’est bel et bien la sécurisation de nos frontières, jusque-là sauvegardées de manière hermétique face à un environnement régional le moins que l’on puisse dire hostile.
C’est d’ailleurs en tenant compte de cette réalité, avec, en relief, les troubles auxquels sont confrontés des pays comme le Mali et la Libye, sans oublier les fléaux de contrebande et de narcotrafic sévissant sur la bande frontalière séparant l’Algérie du Maroc, qu’il a été procédé à un important raffermissement des moyens de surveillance et de contrôle de nos frontières.
En ce sens, et outre et le renforcement des patrouilles et la consolidation des brigades mixtes chargées de la mission de sécurisation de frontières, c’est aussi un lourd mécanisme électronique et ultramoderne qui sera mis en place progressivement pour cette même finalité. Il est d’abord question de l’augmentation du nombre des caméras à infrarouge dont disposent les services de sécurité en postes au niveau des frontières. Ensuite, la décision a été prise de recourir également aux radars mobiles et autres moyens de surveillance aérienne, notamment des drones. Le recours au contrôle par satellites est aussi inclus dans cette nouvelle stratégie d’optimisation de l’action de surveillance, notamment de la bande frontalière du sud-ouest s’étalant sur une distance dépassant les 3.000 km. La nouvelle stratégie en question a été dévoilée, tout récemment à Béchar, lors d’une rencontre de concertation et d’échange d’informations entre les différents services de sécurité.
Au cours de cette importante rencontre, placée sous le thème «Sécurisation et surveillance des frontières nationales», une rencontre ayant regroupé des responsables du ministère de la Justice, de l’institution des Douanes, de la gendarmerie, de la DGSN et de l’ANP, les participants se sont entendus, à l’unisson, sur la nécessité d’une meilleure planification et d’une coordination une plus étroite des efforts dans l’action de lutte contre les différentes formes de crime organisé, de contrebande et de trafic de drogue, mais aussi contre toute tentative d’incursion terroriste où des armes acheminées d’ailleurs sont destinées à un usage criminel en Algérie.
Telle que préconisée par les différents participants, l’action de coordination «doit concerner l’ensemble de mécanismes de prévention et de lutte contre les formes de criminalité sévissant à travers nos frontières maritimes, terrestres et aériennes», ont précisé les intervenants à cette rencontre.
Ils s’accordent aussi sur le constat selon lequel «les frontières nationales, notamment terrestres du sud-ouest, sont en proie aux activités des narco-terroristes qui s’adonnent à des multiples activités illégales portant atteinte à la sécurité du pays et à notre économie».
La connexion entre les réseaux de crime organisés et les groupuscules terroristes a également été évoquée et profondément examinée au cours de ladite rencontre, dans l’objectif évident d’une meilleure adaptation du dispositif de lutte. «Les narcotrafiquants et les contrebandiers activent en commun avec les terroristes des différents groupes criminels des pays voisins, d’où la nécessité d’une vigilance constante et d’un renforcement de la coordination dans les domaines liés au renseignements, à la prévention et à la lutte sur le terrain», a-t-il été préconisé.
Ce qui a été également mis en exergue lors de cette rencontre, ce sont les «efforts accomplis à ce jour par les brigades mixtes de l’ANP, des Gardes-frontières, de la Gendarmerie nationale et des Douanes ainsi que l’apport considérable des différentes unités spécialisés de la DGSN, et qui ont permis la réalisation d’un résultats probant sur le terrain». À titre illustratif, «de janvier à la fin octobre 2016, et grâce à la vigilance des corps constitués chargés de la lutte contre la criminalité à la bande frontalière de Béchar, il a été procédé à la saisie d’une quantité dépassant les 12 tonnes de kif traité au cours de 22 affaires de trafic de drogue impliquant quelque 168 individus.
François Fillon, 62, has come first in the center-right Les Républicains primaries on Sunday, November 20. He is to face Alain Juppé, 71, in a runoff election on November 27. The Former President Nicolas Sarkozy, 61, conceded defeat coming third and has pledged his support to Fillon.
PrimariesOver three million people went to the polls in France to vote in the primaries of the center-right Les Républicains.
Seven candidates were seeking the nomination. The outsiders to the contest were Bruno Le Maire, 47, Nathalie Kosciusko-Morizet, 43, Jean-Francois Cope, 52, and Jean-Frederic Poisson.
These were the first open primaries of the centre-right party.
Anyone willing to pay €2 could vote. The result could very much determine who will be the next President of the Republic. Voting was not restricted to party members.
Former French Prime Minister Francois Fillon votes during the first round of the French right wing party ‘Les Republicains’ (LR) primaries in Paris, EPA/JEREMY LEMPIN
The nominee could be the next PresidentPollsters believe that Socialists have no chance of renewing their hold on the Élysée Palace. The Socialist Party introduced open primaries in 2011, but no one is watching the contest closely – if there is a contest rather than a coronation in January – since they look too divided politically to make a serious bid for The Elysée Palace.
For over a year, the favourite to win the first round of the French Presidential elections is the far-right leader Marine Le Pen. The Front National took 27% in regional elections in December 2015. The Economist estimates Ms. Le Pen has a 40% chance of becoming France’s next president. Recent polls suggest Le Pen could easily reach 30% in the first round of the French Presidential elections.
In theory, she would lose in the second round, as whoever comes second is likely to benefit from the pro-European vote across the board. However, the Brexit and Trump effect have largely discredited similar projections.
French Former President Nicolas Sarkozy in La Baule, France, 04 September 2016. EPA/EDDY LEMAISTRE EPA/EDDY LEMAISTRE
The candidates’ pitchAll candidates were running as “the opponent to Le Pen.”
Nicolas Sarkozy run a campaign as “Le Pen light.” He was seeking to return to the Élysée on a hard security and vehement anti-immigration and anti-Islamic agenda. That line of campaigning was echoed by Jean-Frederic Poisson, who emphasized the Christian identity of France, and Jean-Francois Cope, who wanted the right wing identity to be “uninhibited.”
Sarkozy was not merely polarizing but also tainted with scandals, most recently accused of taking money from Muammar Gaddafi for his 2007 Presidential campaign.
Alain Juppe submitted his candidacy as a unifying figure, willing to defend the notion of a multicultural albeit Republican France. Juppe emphasizes the private nature of religious belief and remains committed to multiculturalism. Pollsters considered him the front-runner, but he carried much of the “establishment luggage” that is unpopular. Juppe has been convicted of illegal party financing and he is not perceived as charismatic.
Francois Fillon, 62, is offering “blood and tears.” He wants deep market reforms, of the kind compared to Margaret Thatcher. He found his constituency crowded with both the “technocrat” Bruno Le Maire and the “liberal” Nathalie Kosciusko-Morizet.
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L’Algérie et la Finlande ont signé dimanche à Alger un mémorandum d’entente dans le domaine phytosanitaire ouvrant la voie aux échanges commerciaux des produits agricoles entre les deux pays.
L’accord a été signé par le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, Abdesslem Chelghoum, et son homologue finlandais, Kimmo Tiilikainen, qui conduit une délégation d’homme d’affaires pour une visite de trois jours en Algérie.
Cette délégation conduite par M. Tiilikainen est composée d’une dizaine de chefs d’entreprises et de multinationales activant dans différents secteurs tels les énergies propres, le bois, le traitement des eaux usées et la valorisation des déchets, le commerce de céréales et aliments de bétail et les machines agricoles.
Le mémorandum d’entente, qui porte sur la protection des végétaux et la quarantaine végétale, « va encadrer toutes les opérations d’importation et d’exportation en matière de produits végétaux », a expliqué M. Chelghoum à la presse en marge de la cérémonie de signature de l’accord.
Pour sa part, le ministre finlandais a souligné que ce protocole avait fait l’objet de discussions et de préparation depuis plusieurs années: « nous espérons que l’accord servira de base pour davantage de coopération entre nos deux pays dans d’autres domaines », a-t-il avancé.
Durant leur rencontre qui a précédé la cérémonie de signature de ce mémorandum d’entente, les deux ministres ont relevé la nécessité de renforcer les relations économiques et commerciales entre les deux pays.
« Nos pays convergent en ce qui concerne la nécessité de booster cette coopération dans les domaines de l’agriculture, de la pêche et des forêts », a soutenu M. Chelghoum.
S’adressant aux opérateurs finlandais, le ministre leur a expliqué que le secteur agricole est dotée d’un cadre d’investissement favorable et que tous les segments de ce créneau étaient ouverts au partenariat.
« Nous souhaitons vivement que les Finlandais s’impliquent dans des actions d’investissements en Algérie », a-t-il insisté.
Il a aussi mis en exergue la politique du gouvernement de diversifier l’économie à travers, entre autres, les exportations agricoles. D’autant plus que le pays commence à dégager des volumes importants de production notamment en matière de produits maraîchers frais (primeurs) qui peuvent être exportés vers la Finlande.
Il s’agit aussi des produits phoenicicoles (dattes et dérivés), des vins et de l’huile d’olive.
Les deux parties ont également salué la réussite du projet de fabrication de moissonneuses-batteuses de nouvelle génération conclu entre la société publique algérienne de commercialisation du matériel agricoles (Pmat) et le complexe de machinisme agricole (CMA) et la firme finlandaise Sampo Rosenlew.
Ce projet a donné naissance en 2010 à la société CMA-Sampo implantée à Sidi-Bel-Abbes, dont le capital est détenu à hauteur de 38% par la firme finlandaise, tandis que le reste (62%) est réparti entre les entreprises publiques CMA et Pmat.
La société est passée d’un taux d’intégration de 15% à 62% actuellement, et avec une production de 500 moissonneuses-batteuses en 2013 à 1.000 en 2015.
« C’est un excellent exemple de joint-venture ici en Algérie. Mais la société doit dès maintenant prospecter d’autres marchés à l’export en profitant de sa position par rapport au Maghreb et à l’Afrique », a noté M. Chelghoum.
Une rencontre B2B s’est aussi tenue dimanche à la Chambre nationale d’Agriculture pour permettre aux opérateurs des deux pays de discuter des opportunités d’affaires et de partenariat.
«Les données récentes issues de l’enquête sur l’emploi et le chômage, réalisée par l’Office national des statistiques, en avril 2016, font ressortir une amélioration des principaux indicateurs de l’emploi et du chômage», a relevé, avec satisfaction, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale.
Dans son allocation, à l’issue de la rencontre annuelle des directeurs de l’emploi de wilaya, M. Mohamed El-Ghazi a indiqué que cette enquête fait état d’une création nette d’emplois appréciable entre septembre 2015 et avril 2016, puisque l’évolution de la population occupée dégage un solde positif de 301.000 emplois, correspondant à un accroissement de 2% de la population occupée durant la période de septembre 2015 à avril 2016. Ceci s’est traduit également, selon le ministre, par une réduction du nombre de chômeurs de l’ordre de 139.000 chômeurs par rapport à septembre 2015, et une réduction du taux de chômage global qui passe de 11,2% en septembre 2015 à 9,9% en avril 2016, soit une baisse de 1,3%.
«Cette baisse de 1,3% du taux de chômage constitue une performance remarquable dans le contexte économique mondial actuel, d’une part, et de la conjoncture économique que traverse le pays suite à la réduction de ses ressources financières, d’autre part», a-t-il affirmé.
Près de 400.000 placements réalisés durant les dix premiers mois de 2016
Le premier responsable du secteur a rappelé que malgré le contexte difficile, l’économie nationale a pu créer un nombre d’emplois suffisant qui a permis d’absorber la demande additionnelle d’emploi et de puiser dans le stock des chômeurs existants.
Aussi, selon lui, près de 400.000 placements ont été réalisés durant les dix premiers mois de l’année 2016, à travers les dispositifs publics d’appui à la promotion de l’emploi salarié. «Au total, 398.438 placements ont été réalisés durant les dix premiers mois de l’année en cours, à travers les dispositifs publics d’appui à la promotion de l’emploi salarié, dont 14% dans le cadre du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP), et 2% de placements effectués par les agences privées», a précisé le ministre.
«L’évolution de la structure de l’emploi reflète parfaitement cette dynamique de création d’emplois, dans la mesure où l’emploi salarié (permanent et temporaire) a connu une progression de près de 18% durant la période 2010- 2016, et sa part dans l’emploi global est passée de 66% en septembre 2010 à 70%, en avril 2016», a-t-il détaillé. Le ministre du Travail a tenu à mettre en exergue le fait que son secteur a apporté sa contribution à la création d’emploi et à la réduction du chômage, à travers les dispositifs publics d’appui à la promotion de l’emploi salarié et de soutien à la création d’activités par les jeunes promoteurs et les chômeurs promoteurs.
Ce qu’il faut retenir également, d’après le responsable, c’est l’importante baisse du taux de chômage des jeunes qui est passé de 29,9%, en septembre 2015, à 24,7%, en avril 2016, soit une baisse de 5,5%. «Ceci constitue une illustration de l’impact des dispositifs en direction des jeunes, notamment les dispositifs ANSEJ – CNAC», a-t-il dit. Dans ce cadre, il est important de souligner que 94% des placements dans le cadre du Dispositif d’aide à l’insertion professionnelle ont été réalisés dans le secteur économique. Pour ce qui est de la création d’activités, 17.655 micro-entreprises, représentant un potentiel de près de 39.000 postes de travail, ont été financées durant les dix premiers mois de 2016, dans le cadre des dispositifs gérés par l’ANSEJ et la CNAC.
les défis demeurent encore nombreux
Mohamed El-Ghazi a par ailleurs rappelé qu’en dépit des progrès importants accomplis dans le cadre de la promotion de l’emploi et de la lutte contre le chômage, les défis demeurent encore nombreux, notamment pour assurer des emplois de qualité conformes aux attentes des demandeurs d’emploi.
«C’est à ce titre que la question de l’emploi et de la lutte contre le chômage est placée au cœur de notre politique de développement, et constitue une des priorités du programme du gouvernement qui a maintenu et renforcé les dispositifs publics de promotion de l’emploi, d’une part, et continue d’encourager davantage l’investissement productif générateur d’emploi, d’autre part, à travers, notamment l’élaboration d’un nouveau code des investissements plus attractif, dans le cadre d’une approche visant à promouvoir la diversification de l’économie nationale», a-t-il dit.
Mit einem Doppelpack von Suso scheint die AC Milan das Mailänder Derby gegen Inter mit 2:1 zu gewinnen. Scheint. Denn in letzter Sekunde schiesst Perisic das 2:2. Blerim Dzemaili leitet derweil den Erfolg Bolognas über Palermo ein. Die AS Roma patzt gegen Remo Freulers Atalanta.
Die AC Milan ist auf Kurs, das berüchtigte Mailänder Derby im San Siro mit 2:1 zu gewinnen. Dies dank zwei Toren des Spaniers Suso. Aber Perisic sichert Inter in letzter Sekunde einen Derby-Punkt.
Aber der Reihe nach: In der 42. Minute schlägt Suso erstmals zu. Mit einem satten Linksschuss in die linke Ecke bringt er Milan in Führung.
Schöne Tore? Das können wir auch, scheint sich Inters Candreva zu sagen und hämmert den Ball nach der Pause nicht minder schön zum 1:1 (53.) in die Maschen.
Doch Suso ist nur wenige Minuten Später erneut zur Stelle, um im Strafraum seinen Gegenspieler auszutanzen, den Ball einzuschieben und Milan wieder in Führung zu bringen.
Doch Milan wirkt fortan zu passiv – und tatsächlich gleicht Inter in der letzten Minute aus! Perisic würgt eine Flanke am langen Pfosten über die Linie und sichert Inter doch noch den verdienten Punkt.
Milan steht damit mit 26 Punkten auf Platz 3 hinter Roma (26 P.) und Juve (33 P.). Inter ist etwas weiter unten auf Platz 9 (18 Punkte) zu finden.
Dzemaili erwischt Glanztag in BolognaDer Schweizer ist massgeblich am 3:1-Sieg gegen Palermo beteiligt. In der 67. Minute zieht der 30-Jährige an der Strafraumgrenze ab und lässt Palermo-Keeper Posavec keine Chance – 2:1.
Nur fünf Minuten später (72.) macht Viviani den Deckel drauf. So fügt Bologna den Gästen aus Palermo die sechste Pleite in Serie zu.
Herber Rückschlag für RomaDie AS Roma lässt gegen Remo Freulers Atalanta Federn. Statt dem Leader Juventus Turin weiterhin im Nacken zu sitzen, klafft nun ein Siebenpunkte-Abstand zur Tabellenspitze. Der Grund: Atalanta gewinnt zuhause 2:1.
Zusätzlich bitter: Die Giallorossi führen nach 40 Minuten dank eines verwandelten Elfmeters durch Perotti. Knapp eine Viertelstunde nach der Pause kommt Remo Freuler in die Partie – und diese kippt. In der 62. Minute gleicht Caldara für die Heimmannschaft aus. Kurz vor Schluss gibts den Genickbruch für die Hauptstädter. Kessie entscheidet die Partie mittels Penalty (91.).
Lazio kommt näherLazio Rom wahrt dank eines 3:1-Heimerfolgs über Genua den Anschluss an die Tabellenspitze. Bei den Gastgebern schreiben sich Anderson (10.), Biglia (57.) und Dos Santos (65.) in die Torschützenliste ein.
Der zwischenzeitliche Ausgleich von Ocampos (52.) bleibt nicht lange bestehen. Damit rückt Lazio bis auf einen Punkt auf Stadtrivale AS Roma (26 Pkt.) heran.
Auch Fiorentina gestaltet das Wochenende siegreich. Die Mannen aus Florenz feiern auswärts bei Empoli einen ungefährdeten 4:0-Erfolg. (sag(/wst)
Die weiteren Ergebnisse:
Crotone - Torino 0:2
Sampdoria - Sassuolo 3:2
Tout le monde est mécontent et observe ce déclin planifié par le FMI, la Banque Mondiale et les multinationales lesquelles trouvent leur dû aussi bien du côté financier que celui de la médiocrité du niveau des études. La réforme de 2003 continue même si elle a prouvé son échec chez nous et partout dans le monde.
Si on regarde de près la masse budgétaire déboursée et dont ont profité surtout les multinationales, il suffit de voir le nombre de tableaux blancs, les marqueurs, les livres, les calculatrices, les data-shows, les PC, achetés en devise chaque année, nous pouvons alors comprendre pourquoi doit on maintenir ce nouveau système. Jusqu’à ce jour, cette réforme n’a pas encore utilisé tous ses moyens car jusqu’à ce jour les élèves n’ont pas encore utilisé la calculatrice graphique qu’ils devraient utiliser suivant leur livre scolaire surtout dans le secondaire et imaginé que chaque machine coute plus de 10 000 DA.
Les responsables n’ont pas jusqu’à ce jour opté pour son utilisation officielle, mais il faut s’attendre qu’une pression va bientôt être faite sur nos responsables pour l’imposer et l’utiliser lors des examens car celle-ci se trouve depuis 2003 sur le marché algérien. Aujourd’hui au niveau du secondaire on compte plus de 2 000 000 élèves, alors faisons notre opération 2 millions x 10 000 ce qui fait 20 milliards de dinars qui renfloueront directement les caisses des multinationales et qui prendront en otage les élèves et leur parents pendant de longues années avec la collaboration de nos responsables.
Donc, chaque année ces multinationales seront assurées d’un minimum de gain sur les calculatrices graphiques de 10 milliards de dinars. Ce projet est pour bientôt car nous avons appris dernièrement qu’un séminaire a été organisé à Alger pour présenter une calculatrice graphique de marque Casio pour des inspecteurs et certains professeurs surement dans le but de l’introduire dans les programmes et ainsi ficeler à grande échelle le marché de la calculatrice graphique. Ces multinationales nous imposent même la marque et le numéro de celle-ci.
Ceci pour expliquer un des points essentielles pourquoi la réforme imposée dans le monde n’est pas pédagogique et ne répond pas aux besoins des pays mais elle obéit à un objectif financier et non pédagogique. Je ne veux pas m’étaler sur tous les moyens importés et utilisés par les systèmes éducatifs partout dans le monde. Aujourd’hui après la TI 83+ proposée dans les manuels scolaires on parle d’une nouvelle calculatrice Casio qui sera mentionnée dans les nouveaux livres scolaires qui couteront eux aussi une bagatelle d’argent.
On a appris aux élèves par les moyens TIC importés par les multinationales à tricher même dans les examens.
Aujourd’hui, une génération a été formée ainsi, convaincue que l’effort était inutile, plus habituée à quémander (ou « acheter ») les bonnes notes qu’à « réussir » réellement.
La réalité fut un peu différente : on a vu les enseignants gonfler les notes. Certains enseignants continuent à se battre soit en refusant ces cours particuliers ou en refusant de faire des cours particuliers à leurs élèves soit pratiquant ces cours mais dans le vrai sens.
Etre débrouillard était devenue la règle d’or de la réussite scolaire et sociale. Dans les lycées, la fréquentation des bibliothèques a sensiblement chuté : elles se sont vidées des lecteurs, alors que, pourtant, elles regorgeaient de livres, inscrits aux programmes, acquis à grands frais par l’administration dans l’indifférence totale des élèves, au grand dam de quelques professeurs, des « dinosaures », qui se battaient pour inciter leurs élèves à lire !
Notre problème en Algérie, c’est qu’on n’est pas encore arrivé à nommer un ministre de l’éducation suivant son projet reconnu prêt à être appliqué et qu’on aimerait adopter à nos générations car seuls les algériens du terrain peuvent proposer un système propre à l’Algérie.
Les ministres de l’éducation ne sont pas aujourd’hui désignés suivant leur publication ou leur expérience dans le domaine et aucun d’eux n’a refusé ce poste qui demande une connaissance particulière du domaine et un projet de société. Mais malheureusement, nous ne sommes pas encore libres de nos choix et tous les algériens se trouvent aujourd’hui des cobayes de l’étranger et des multinationales. Le laboratoire éducatif algérien continue quel que soit le ministre qui sera là. Demain, un autre ministre viendra pour dire du mal de celui-ci, mais il appliquera lui-aussi les mêmes directives.
Notre ministre, aujourd’hui a commencé pour imposer les 36 semaines de scolarisation et non pas d’enseignement une rentrée scolaire le 28 août 2017 et une diminution des vacances scolaires sans tenir ni des conditions climatiques de notre pays, ni de l’intérêt de l’élève, ni de ses parents et tout cela sans consultation des enseignants du terrain. Et là c’est une première fuite en avant des responsables comme si le problème de l’éducation se trouve dans les 36 semaines.
Au lieu d’attaquer le vrai problème qui est le niveau des élèves et la charge des programmes, elle s’attaque au calendrier scolaire.
La deuxième sortie maladroite est la ponction effectuée sur les salaires à cause de leurs grèves légitimes ce qui poussera certainement les enseignants mécontents de ce geste à ne pas terminer leur programme car ils ne rattraperont pas les cours perdus ce qui nous fera de nouveau revenir au seuil des programmes qu’on croyait disparut à jamais et les leçons du passé n’ont servi à rien.
La troisième sortie malheureusement fut la décision de changer le déroulement du baccalauréat 2017.
Comment peut-on changer le déroulement d’un baccalauréat en laissant toujours les sujets au choix qu’élèves alors qu’enseignants, pédagogues et parents d’élèves trouvent cela perturbateurs ; en diminuant d’une demi-heure chaque matière ainsi que l’obligation de passer pendant une même journée trois matières pour libérer une demi-journée de la durée de l’examen n’a aucun sens pédagogique.
Donc, ce changement est beaucoup plus économique que pédagogique. Cette nouvelle improvisation montre encore les décisions unilatérales prises par le ministère qui fait appel aux syndicats uniquement pour cautionner les décisions ou bien en période de crise.
Tout le monde s’attendait à une vraie diminution de la durée de l’examen et non des épreuves et à la suppression des sujets au choix et pour cela la solution la plus efficace était d’organiser l’examen en deux étapes sérieuses permettant à l’élève lui-même de rester sérieux pendant deux années successives et cela à partir de 2017 pour l’appliquer en 2018 pour l’étape 1 (un) et en 2019 pour l’étape 2 (deux) sans se précipiter. Je ne sais pas comment réfléchissent les décideurs car on ne dirige pas un secteur éducatif comme une usine car on a affaire à des êtres et non à des robots.
Qui arrêtera cette débâcle, la faillite de l’école nous oblige aujourd’hui à lancer un S.O.S tout d’abord à la société, au gouvernement, aux responsables, … de sauver l’éducation dont le déclin a commencé depuis longtemps sans vraiment trouver la solution car tant que la réforme ne viendra pas des vrais hommes du terrain et des vrais pédagogues nous continueront à dépendre à 100% de la mondialisation et à l’abrutissement des sociétés pour toujours encore plus de dépendance.
Une refondation de l’école algérienne à l’algérienne suivant nos vrais besoins pour 2030 indépendamment du FMI, de la Banque Mondiale et des multinationales s’impose car nous pouvons produire tous les besoins dont on a besoin l’école chez nous. Pourquoi importer un marqueur, un tableau blanc, un data-show, un programme, une simple calculatrice, une calculatrice graphique,…
Remontons notre enseignement technique dans nos lycées techniques, ne cherchons pas la quantité des hauts diplômes mais leurs qualités, remontons nos trousses et tous ensemble la main dans la main sauvons notre système éducatif car c’est nous la solution de l’avenir de nos générations futures.
ZÜRICH - Mit ihren Hits bringt Chaka Khan jede Disco zum Kochen. Jetzt bringt die US-Sängerin gar das Eis zum Schmelzen.
Mit ihrer Stimme könnte sie das Eis zum Schmelzen bringen: Chaka Khan (63). Die Königin des Funk und Soul freut sich riesig auf ihren Auftritt im Februar bei Art on Ice in Zürich, Lausanne und Davos GR. Schlittschuh laufen muss sie dazu nicht können. «Ich bin zum Singen da!», sagt sie mit ihrer unverkennbaren Stimme. Mit ihren Songs wird sie den Eiskunstläufern einheizen. Etwa mit «Ain’t Nobody», einem der grössten Disco-Hits aller Zeiten. Ein Song, den sie noch immer liebt: «Aus irgendeinem Grund wird er nie alt.»
Ähnlich wie Chaka Khan – denn ihr Gesicht strahlt fast faltenfrei. Ihr Schönheitsgeheimnis? «Nur Wasser und Seife. Ich bin von Gott mit guten Genen gesegnet. Dafür bin ich sehr dankbar», meint sie bescheiden. Das Alter spiele für sie keine Rolle: «Ich fühle mich eigentlich immer gleich alt. Nur das Reisen und die Zeitverschiebung sind etwas beschwerlicher geworden.»
In die Schweiz kommt die Sängerin besonders gerne, in bester Erinnerung ist ihr Montreux VD. Nicht nur, weil sie mehrmals am Jazz-Festival aufgetreten ist. «Ich habe fast ein ganzes Jahr hier verbracht, um eine CD aufzunehmen», erinnert sie sich. Die Schweiz sei perfekt. «Da kann kein anderes Land auf der ganzen Welt mithalten», schwärmt sie und ist überzeugt: «Darum sind die Schweizer auch so zufrieden und freundlich.»
Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement combiné de l’Armée Nationale Populaire a arrêté, le 19 novembre 2016 à Sidi Bel Abbès/ 2ème RM, un élément de soutien aux groupes terroristes. Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des éléments de la Gendarmerie Nationale ont saisi à Relizane/ 2ème RM, (137) kilogrammes de kif traité.
De même, des Gardes-frontières ont saisi une autre quantité s’élevant à (75) kilogrammes. A Biskra et El Oued/ 4ème RM, des détachements combinés de l’Armée Nationale Populaire ont saisi (1403) bouteilles de différentes boissons et (1146) unités de produits détergents. Tandis que des détachements combinés de l’ANP ont saisi (2554376) unités de produits pyrotechniques à bord de deux (02) véhicules à Sétif/ 5ème RM et Tissemsilt/ 2ème RM.
La Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) et la Ligue de football professionnel (LFP) signeront le 6 décembre un accord pour la mise en œuvre des dispositions du nouveau décret qui plafonne la déclaration des joueurs à un salaire maximum de 270.000 DA, a indiqué la Fédération algérienne de football (FAF) dimanche sur son site officiel.
Lors de cette rencontre, qui devait se dérouler dans un premier temps ce dimanche avant d’être reportée, la CNAS prodiguera à tous les clubs professionnels « les conseils et recommandations pour la meilleure gestion de ce dossier important et procédera dans le futur à des accords club par club pour la régularisation des dus antérieurs et la normalisation des déclarations », souligne la même source.
La cérémonie se déroulera en clôture de la rencontre qui sera organisée sous le parrainage de la FAF et de la LFP, avec la participation des cadres de la CNAS et des présidents des clubs de football de Ligue 1 et de Ligue 2. Ce rendez-vous a pour objectif essentiel d’assister les clubs professionnels dans leur démarche de régularisation de leur situation financière vis-à-vis de la CNAS, à la lumière des dispositions de la loi de finances complémentaire de 2015 en la matière (avantages, exonérations des majorations de retard, échéancier de paiement…).
Kylie Jenner zeigt ihrem Tyga ziemlich viel Haut, Irina Beller robbt füdliblutt am Strand herum und Kerstin Cook geniesst den späten Herbst. Willkommen zu den Foto-Storys des Tages.
Les opérations de déguerpissement des populations installées anarchiquement aux abords de la voie inter-Etat Cotonou-Porto-Novo, lancées par les autorités, pour le bien-être des citoyens, évoluent à grands pas sous la direction du chef de la compagnie de gendarmerie de Sèmè-Podji. Seulement, certaines bandes d'individus en profitent pour arnaquer les opérateurs économiques.
Dans la Commune de Sèmè-Podji, les opérations de déguerpissement des populations installées pêle-mêle aux abords de la voie inter-Etat Cotonou-Porto-Novo vont bon train. Sous la direction du nouveau chef de la compagnie de gendarmerie de Sèmè-Podji, André Dah Lokonon, du carrefour ‘'Le Bélier'' en passant Sèkandji, Pk 10, Pk 18, Djèrégbé jusqu'à l'entrée de la ville de Porto-Novo, tous les étages de marchandises, boutiques et ateliers sont systématiquement démolis par les forces de l'ordre. Mécaniciens, coiffeuses et coiffeurs, vendeurs de coco, de canne à sucre d'essence frelatée sont désormais loin de la grande voie. Même, les gares routières, artificiellement érigées, le long de la voie inter-Etat Cotonou-Porto-Novo, sont interdites. Tous les conducteurs de taxi qui tentent de violer les nouvelles dispositions voient leurs véhicules en fourrière. Les forces de sécurité veillent au grain pour éviter toute réinstallation des populations sur les lieux. « J'appliquerai la loi si c'est pour le bien-être des populations. La fois dernière, deux enfants d'une vendeuse de coco ont été tués par un véhicule qui a déraillé. Nous n'allons pas laisser nos parents continuer de mourir dans ces conditions. C'est pourquoi, l'opération de déguerpissement des voies est très bonne… », a fait savoir le chef de la compagnie de gendarmerie de Sèmè-Podji, André Dah Lokonon, lors d'un entretien.
Malheureusement, ces opérations de déguerpissement sont en train de devenir la vache à lait de certains individus. Ces derniers vont mettre la croix sur certaines boutiques non ciblées par les autorités compétentes. « Après les opérations de déguerpissement par la compagnie de gendarmerie, certains ont mis des croix sur ma boutique. Ils me demandent de l'argent pour m'aider. C'est grave ce qui se passe dans ce pays, alors que c'est des millions que j'ai dépensés pour réaliser cette infrastructure… », se plaint un promoteur de centres de vente de portables à Sèkandji. Au carrefour-Sèmè, c'est un propriétaire de buvette qui crie au scandale. « Après le passage de compagnie, un groupe de personnes est venu mettre des croix sur ma buvette pour dire qu'elle sera détruite. Je ne suis pas dans l'illégalité…. », a-t-il déploré. De son côté, le chef de la compagnie de gendarmerie de Sèmè-Podji a promis de sévir contre d'éventuelles tentatives d'arnaque des populations. Il a annoncé une grande opération de déguerpissement, le 1er décembre prochain, pour faciliter le pèlerinage des fidèles de l'église du christianisme céleste qui se tient, les 24 et 25 décembre de chaque année.
Paul Tonon