You are here

Institut Montaigne

Subscribe to Institut Montaigne feed
Updated: 1 day 15 hours ago

Nouveau monde arabe, nouvelle "politique arabe" pour la France

Thu, 27/07/2017 - 10:45
Date de publication: Mardi 01 Août 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Nos liens historiques, humains et économiques avec les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient sont profonds et appelés à s’amplifier au cours des prochaines décennies. Avons-nous pris la mesure de ce destin commun ? Notre stratégie est-elle à la hauteur des défis d’une région en pleine transformation et porteuse de risques comme d’opportunités majeurs ?

Le défi de l'équité, de l'innovation et de l'amélioration de nos système éducatifs

Fri, 07/07/2017 - 19:33
Date: Lundi 24 Juillet 2017Description: L'Institut Montaigne et OCP Policy Center organisent conjointement un séminaire regroupant des experts marocains et français sur le thème de l'éducation, une problématique fondamentale pour nos deux pays.Au Maroc comme en France, l'enseignement primaire s'est généralisé, pour les jeunes filles, comme pour les jeunes garçons, dans les zones urbaines comme dans les zones rurales. Au Maroc comme en France, se pose désormais le défi de l'équité de nos systèmes éducatifs.Ceux-ci partagent en outre des défis communs que cette collaboration tentera d'éclairer.Seront donc abordés deux aspects prioritaires pour l'amélioration des systèmes éducatifs des deux pays : l'équité et la qualité de l'enseignement à l'école primaire et le rôle du numérique dans l'apprentissage des fondamentaux.Adresse: OCP Policy Center, Rabat

Enseignement supérieur et numérique : connectez-vous !

Mon, 26/06/2017 - 10:28
Date de publication: Lundi 26 Juin 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Nos universités, écoles et centres de recherche peuvent tirer parti des potentialités du numérique pour accroître la qualité de leurs modèles pédagogiques, renforcer l’insertion professionnelle des étudiants, lutter contre le décrochage et améliorer leur attractivité.

Entretiens de la cohésion sociale

Tue, 20/06/2017 - 15:05
Date: Mardi 12 Septembre 2017Description: Sur le thème de la sécurisation des parcours professionnels.Programme et inscriptions à venir

2e tour des élections législatives

Mon, 12/06/2017 - 11:00
Date: Dimanche 18 Juin 2017

Énergie : priorité au climat !

Wed, 07/06/2017 - 10:14
Date de publication: Mercredi 07 Juin 2017Couverture: Type de publication: NoteRésumé long: La France s’est fixé des objectifs ambitieux de lutte contre le changement climatique. Mais ni les priorités d’action ni les leviers à actionner pour atteindre cet objectif n’ont été clairement définis. Cette étude propose une approche rationnelle du problème et livre une feuille de route opérationnelle pour engager une action efficace pour le climat.

Syrie : en finir avec une guerre sans fin

Mon, 29/05/2017 - 19:31
Date de publication: Mardi 20 Juin 2017Couverture: Type de publication: NoteRésumé long: Depuis 2011, la Syrie est le théâtre d’une terrible guerre ayant causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes et le déplacement de millions de réfugiés. Michel Duclos, ancien Ambassadeur de France en Syrie, appelle la France et l’Europe à définir une stratégie claire pour permettre la résolution du conflit et engager la Syrie sur la voie d’une reconstruction politique durable.

Quelle place pour la voiture demain ?

Mon, 29/05/2017 - 14:24
Date de publication: Lundi 29 Mai 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Quelle place pour la voiture demain ? Est-elle vouée à disparaître ou reste-t-elle un élément indispensable pour les citoyens ? Nous avons interrogé les Français sur leurs usages de la voiture et nous avons formulé dix propositions pour penser la mobilité de demain.

1er tour des élections législatives

Mon, 08/05/2017 - 11:51
Date: Dimanche 11 Juin 2017

2e tour de l'élection présidentielle 2017

Mon, 24/04/2017 - 10:21
Date: Dimanche 07 Mai 2017

De quelle Europe avons-nous besoin ?

Tue, 11/04/2017 - 17:11
Date: Lundi 10 Avril 2017Description:  A l’occasion de la sortie de notre rapport L’Europe dont nous avons besoin, nous recevions :Ramon Fernandez, directeur général délégué, en charge des finances et de la stratégie, groupe Orange, (président de notre groupe de travail sur l’Europe) ;Pierre Moscovici, commissaire européen aux affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l’union douanière ;Emmanuel Moulin, Managing Director, Mediobanca, (membre du groupe de travail) ;Marwan Lahoud, ancien directeur général délégué à la stratégie, Airbus Group, membre du Comité directeur de l’Institut Montaigne ;Jean Lemierre, président du conseil d'administration, BNP Paribas, (membre du groupe de travail).Ainsi que les représentants de François Fillon, Benoît Hamon et Emmanuel Macron :Alain Cadec, député européen, représentant de François Fillon ;Isabelle Thomas, députée européenne, représentante de Benoît Hamon ;Sylvie Goulard, députée européenne, représentante d’Emmanuel Macron. Les échanges étaient animés par Sylvie Kauffmann, directrice éditoriale au Monde, et Nicholas Vinocur, correspondant à Politico.   En cinq points, l’avis des experts et des trois députés européens : 1 – L’Europe à la croisée des cheminsPour Pierre Moscovici, la période que traverse actuellement l’Europe est à la fois angoissante et stimulante. Angoissante, du fait de l’incroyable défi que représente le Brexit et du contexte électoral européen. Stimulante, parce que la période est propice à un sursaut et à une relance du processus d’intégration. L’Europe n’a pas d’autre choix que de prendre la mesure de la situation. L’unité du continent est maintenant contestée en interne, mais également sur la scène internationale par certaines puissances, à commencer par la Russie de Vladimir Poutine, ou les Etats-Unis de Donald Trump. 2 – Un rôle décisif pour la FrancePour Ramon Fernandez, l’issue de la prochaine élection présidentielle sera déterminante pour l’avenir de l’Union européenne (UE). En effet, le rétablissement de la confiance entre les Etats membres, et surtout entre la France et l’Allemagne, est indispensable pour relancer le projet européen. Les premières réformes du prochain président de la République seront ainsi scrutées de près par nos principaux partenaires.Selon Pierre Moscovici, un accord informel pourrait être passé entre l’Allemagne, qui accepterait de mettre ses excédents commerciaux au service de l’investissement en Europe, et la France, qui réduirait ses déficits et mènerait à bien les réformes structurelles dont elle a besoin. L’arrivée prochaine de nouveaux gouvernements dans les deux pays ouvre une fenêtre de tir à cet effet. 3 – Faire converger les économies européennes, surtout au sein de la zone euroPour Jean Lemierre et Ramon Fernandez, malgré de nombreuses critiques, l’euro est un atout indéniable en ce qu’il a permis de maintenir une inflation réduite. Néanmoins, la monnaie unique n’a pas permis la convergence des économies européennes, et les disparités des taux de croissance et de chômage font courir un risque politique important pour la zone. La construction de la zone euro semble ainsi inachevée. Pour Pierre Moscovici, citant Jacques Delors, “l’euro protège, mais il ne dynamise pas”.Pour Isabelle Thomas, soutien de Benoît Hamon, renforcer les institutions de la zone euro équivaut à partager davantage la souveraineté des Etats membres, ce qui requiert de mettre en place des procédures de contrôle démocratique. Sans une appropriation par les enceintes parlementaires nationales des décisions macroéconomiques prises pour la zone euro, les opinions publiques continueront à se détourner du projet européen.Pour Sylvie Goulard, soutien d’Emmanuel Macron, il faut commencer par respecter enfin les règles - notamment budgétaires - de la zone euro, avant de concevoir de nouvelles institutions ou de nouveaux outils. C’est la condition indispensable au retour de la confiance entre les différents gouvernements.Alain Cadec, soutien de François Fillon, place lui au rang de priorité la convergence économique entre la France et l’Allemagne, ainsi que le rétablissement d’une volonté politique commune aux deux gouvernements. 4 – Marché intérieur, politique commerciale, politique de la concurrence :quels leviers actionner ?Pour Emmanuel Moulin, le retour à la prospérité économique en Europe nécessite que l’on achève la construction du marché intérieur. Pour cela, il faut poursuivre la “défragmentation” des marchés nationaux dans de très nombreux secteurs d’activités, comme la banque ou les télécoms. Concernant la politique commerciale, l’UE doit prendre acte du risque actuel de retour du protectionnisme et faire preuve de moins de naïveté.Pour Alain Cadec, l’Europe doit défendre davantage ses intérêts commerciaux en faisant respecter le principe de réciprocité dans ses accords commerciaux.Sylvie Goulard considère qu’il est nécessaire pour l’Europe qu’elle continue à défendre le principe d’ouverture des échanges et à faire de sa politique commerciale un des principaux outils de son action internationale.Isabelle Thomas considère que la politique commerciale européenne devrait protéger davantage certains secteurs, ceci afin de permettre à l’Europe de bénéficier à terme d’une autonomie agroalimentaire et énergétique. 5 – Assurer la sécurité des citoyens européensSelon Marwan Lahoud, pour la première fois depuis plusieurs décennies, les Etats membres partagent une même conception des menaces qui pèsent sur le continent : le terrorisme et le retour des puissances russe ou encore turque. De même, la France comme l’Allemagne partagent le même diagnostic sur la nécessité d’augmenter leur effort de défense. Toutefois, il est nécessaire de s’interroger préalablement sur la stratégie que les Etats membres entendent mener collectivement.Sylvie Goulard a rappelé la réticence historique de la France à la mise en place d’une politique de sécurité et de défense européenne. La France semble avoir évolué sur ce point, mais elle doit encore en convaincre ses principaux partenaires. L’Allemagne a elle aussi évolué politiquement au cours des dernières années. La récente augmentation de son budget de la défense représente une véritable  révolution culturelle pour sa classe politique.En accord avec Sylvie Goulard, Alain Cadec a insisté sur l’importance de maintenir une coopération étroite en matière de défense et de sécurité avec le Royaume-Uni, et ce malgré la sortie de ce pays de l’UE.(Isabelle Thomas n’a pas pu prendre part à cette dernière discussion).  

Sécurité nationale : quels moyens pour quelles priorités ?

Thu, 30/03/2017 - 16:30
Date de publication: Mardi 04 Avril 2017Couverture: Type de publication: NoteRésumé long: Accroître les dépenses de défense, voilà qui fait l’objet d’un relatif consensus. Mais la question centrale, celle des objectifs, est pourtant laissée de côté : que voulons-nous faire ? quelles missions souhaitons-nous assurer ? quelles priorités en découlent ?

Des déserts médicaux aux oasis de santé

Mon, 27/03/2017 - 12:46
Date: Jeudi 23 Mars 2017Description: Jeudi 23 mars, à l’Académie de médecine, la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), l’Institut Montaigne et Santé au 55 Faubourg réunissaient les responsables Santé des principaux candidats à l'élection présidentielle de 2017 : Olivier Véran pour En Marche!, Noam Ambrourousi pour France Insoumise, Nicolas Leblanc pour le Parti socialiste / EELV et Valérie Boyer pour Les Républicains. Mickaël Ehrminger (Front national) a annulé sa participation.4 thèmes ont été débattus à cette occasion :- Comment fédérer les professionnels au service du patient ? Avec Gérard Raymond, Président, Fédération française des diabétiques- Comment attirer les professionnels de santé dans les territoires ? Avec Pierre de Haas, Ancien Président, Fédération française des maisons et pôles de santé,- Comment profiter des innovations et mettre en lien hôpitaux et médecine de ville ? Avec Michel Claudon, Président, conférence nationale des présidents de commission médicale d'établissement (CME) de CHU- Urgences et territoires : comment concilier proximité, compétence et rapidité ? Avec Pierre Carli, Médecin chef, Samu de Paris. Déserts médicaux : de quoi parle-t-on ?L’accès aux soins est aujourd’hui la première priorité en matière de santé. Les déserts médicaux désignent des zones du territoire où la concentration de professionnels de santé est insuffisante par rapport aux besoins du territoire. Cette désertification est croissante compte tenu des départs à la retraite de nombreux médecins non remplacés, de la baisse du temps médical disponible, de la hausse des délais d’attente et de la croissance des besoins de la population. Elle ne touche pas que les zones rurales et périurbaines mais commence également à être une réalité dans les grandes villes. Le dispositif de lutte contre les déserts médicaux mis en place par le ministère de la Santé touche près de 12 millions de Français. La situation s’aggrave notamment dans la médecine générale et d’après le Conseil de l’Ordre, si rien n’est fait, la France aura perdu un quart de ses généralistes entre 2007 et 2025.Les déserts médicaux : un enjeu prioritaire pour tous les candidatsPour tous, le politique doit accompagner, voire coordonner les acteurs du monde de la santé et donner une impulsion et une cohérence aux politiques de santé, afin d'assurer le respect du principe de continuité territoriale. Dans chaque territoire doit être mis en place un système de santé adapté et choisi par les professionnels de santé du territoire, au service des patients.A part Nicolas Leblanc (PS), les autres représentants des candidats s’accordent sur l’inefficacité du numerus clausus en France jugé décourageant et inadapté, notamment par Olivier Véran (EM). Celui-ci qui souligne que ce système encourage les étudiants français à "délocaliser leurs études" avant de revenir exercer sur le territoire.  Maisons de santé et centres de santé : le regroupement des professionnels en débatUnanimement, les candidats proposent de regrouper les professionnels pour rendre leur exercice plus attractif. Olivier Véran (EM) comme Noam Ambrourousi (FI) souhaitent 2 000 maisons de santé de plus sur le territoire, Nicolas Leblanc (PS) en vise 1 500.Les modalités sont en réalité assez différentes : là où l’exercice libéral et les statuts plus souples sont mis en avant par Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM), Nicolas Leblanc (PS) indique que l’exercice salarié est à envisager pour permettre de lutter contre les déserts médicaux. Le recours au salariat et aux médecins fonctionnaires au sein de centres de santé est mis en avant par le représentant de France Insoumise.Mesures coercitives ou liberté des médecins ?Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM) affirment la ferme opposition de leurs candidats face aux mesures coercitives. Ils jugent primordial de préserver le caractère libéral de la médecine en laissant aux médecins le choix du lieu de leur installation.Les représentants de France Insoumise et du Parti socialiste n’excluent pas l’intervention de l’Etat et le recours aux mesures coercitives. Nicolas Leblanc (PS) envisage ainsi de retirer leurs conventionnements aux médecins qui voudraient s’installer en zone surdotée. Noam Ambrourousi (FI) n’exclut pas non plus de recourir à des mesures contraignantes, en cas d’échec des dispositions incitatives, que Jean-Luc Mélenchon souhaite cependant privilégier. Il considère également que l’origine sociale des médecins est un facteur non-négligeable des déserts médicaux et pense donc que la mixité sociale au sein des études de médecines pourra jouer.Valérie Boyer (LR) veut mettre fin au tiers payant pour restaurer la confiance avec les professionnels de santé là où Olivier Véran (EM) souhaite le rendre "généralisable mais pas généralisé " afin de laisser la liberté aux acteurs de s’en emparer. Pour Nicolas Leblanc (PS), il s’agit d’une mesure qui va dans le sens de la simplification et d’un meilleur accès aux soins.Le numérique est une priorité pour l’ensemble des représentants des candidatsFédérer le monde médical au service du patient passe aussi par une meilleure utilisation du numérique et des nouvelles technologies dans le cadre de la télémédecine (gain de temps médical) ou encore du dossier patient numérique. Les professionnels de la santé doivent être formés à ces enjeux.Valérie Boyer (LR) considère que les nouvelles technologies peuvent faire le lien entre la médecine de ville et l’hôpital, et que celles-ci sont un important facteur de libération du temps médical. Nicolas Leblanc (PS) voit dans la télémédecine un important levier d’accès aux soins et encourage l’émergence de nouvelles pratiques telles que les télédiagnostics. Selon lui, l’hôpital doit être au centre de ces nouvelles pratiques et son financement doit être revu à cet effet.Olivier Véran (EM) déplore de son côté que la France soit toujours en retard sur les innovations et a pour objectif de mieux les anticiper. Il souhaite développer la recherche interventionnelle pour une meilleure organisation et développer les expérimentations. Comme Valérie Boyer (LR), il affirme que les nouvelles technologies peuvent permettre de désencombrer les urgences et rappelle qu’Emmanuel Macron a promis 5 milliards d’euros pour "numériser le système de santé".  Noam Ambrourousi (FI) prône de son côté l’unification des systèmes informatiques pour faciliter les parcours patients. Des études médicales à réformerTous les les candidats s’accordent sur l’importance de former tous les professionnels de santé aux nouvelles technologies et à la médecine générale encore peu valorisée dans les parcours de formation des médecins.Olivier Véran (EM) et Valérie Boyer (LR) veulent encourager les stages dans les cabinets libéraux. Nicolas Leblanc (PS) s’est également exprimé sur la volonté de son candidat de développer les stages en ambulatoire, afin de faire connaitre et apprécier les différentes modalités d’exercice. Noam Ambrourousi (FI) déclare de son côté qu’il faut former les médecins aux traitements spécifiques, réformer les études et encourager les stages en médecine de ville pour l’ensemble des professionnels de santé (pas uniquement les médecins).Les urgences : comment concilier rapidité et qualité de soins ?Les urgences ont longtemps été cantonnées au seul périmètre hospitalier. La médecine générale et son rapport à l'urgence doivent aujourd'hui être repensés, d'un point de vue à la fois organisationnel et financier. Les mutations profondes qu'ont connu les urgences ces dernières années ont entraîné des attentes nouvelles de la part des patients (demande de prise en charge rapide, composante sociale, santé mentale, etc.). Ces demandes doivent être intégrées grâce à un meilleur continuum entre la ville et l'hôpital.Pour Olivier Véran (EM), l’enjeu de la tarification est central pour permettre un meilleur parcours de soin et une véritable coordination ville-hôpital. Le paiement à l’acte doit également être entièrement revu pour France Insoumise.Donner plus de temps aux professionnels de santéValérie Boyer (LR) rappelle que son candidat souhaite augmenter le temps de travail à l’hôpital et rétablir le jour de carence pour redonner des moyens aux hôpitaux. A l’inverse, Noam Ambrourousi (FI) est fermement opposé à l’augmentation du temps de travail et souhaite embaucher massivement à l’hôpital pour répondre aux besoins des patients.Valérie Boyer propose de libérer le médecin de certaines tâches en déléguant les compétences, notamment aux infirmières cliniciennes, et en réduisant les contraintes administratives. 

L'Europe dont nous avons besoin

Fri, 24/03/2017 - 14:33
Date de publication: Vendredi 24 Mars 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Au lendemain du soixantième anniversaire de la signature des traités de Rome et suite au déclenchement du Brexit, nous appelons les dirigeants de l’Union européenne à ne pas se laisser enfermer dans cette négociation et à concentrer leurs efforts sur la relance du projet européen.

Tourisme en France : cliquez ici pour rafraîchir

Wed, 15/03/2017 - 20:19
Date de publication: Mercredi 15 Mars 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Dix propositions pour que le digital donne un nouvel élan au tourisme en France.

Dernière chance pour le paritarisme de gestion

Tue, 28/02/2017 - 17:55
Date de publication: Mercredi 01 Mars 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Retraite, chômage, maladie, logement, formation professionnelle : derrière chacun de ces volets du modèle social français se cache le paritarisme de gestion. Le terme est méconnu, mais la réalité qu’il recouvre est centrale tant il structure la vie sociale et syndicale de notre pays.

Primaire de la gauche

Mon, 27/02/2017 - 14:27
Date: Dimanche 29 Janvier 2017

Primaire de la droite et du centre : le grand décryptage

Mon, 27/02/2017 - 14:13
Date: Dimanche 27 Novembre 2016

1er tour de l'élection présidentielle 2017

Mon, 27/02/2017 - 11:03
Date: Dimanche 23 Avril 2017

Environnement et croissance : <br />just married?

Mon, 13/02/2017 - 18:14
Date: Lundi 06 Février 2017Description: L'Institut Montaigne recevait Laurence Tubiana, ambassadrice chargée des négociations sur le changement climatique pour la COP21 et la COP22, Yannick Jadot, député européen, candidat d'Europe Ecologie-Les Verts à la présidentielle, Jean-Louis Chaussade, directeur général de SUEZ et Jean-Dominique Senard, vice-président de l'Institut Montaigne et président de Michelin, et co-présidents de notre groupe de travail sur l'économie circulaire.Les échanges étaient animés par Hedwige Chevrillon, rédacteur en chef du Grand Journal de BFM Business et éditorialiste BFMTV.Comment accélérer le développement de l'économie circulaire ?Quelle place lui faire dans la campagne présidentielle ?Les réponses du débat en cinq points.1 - L’économie circulaire permet de répondre à l’épuisement des ressources.Notre modèle de croissance économique doit désormais répondre à un triple défi :- le changement climatique, qui impose la réduction de nos émissions de gaz à effet de serre (GES) ;- l’épuisement des ressources, qui nous force à optimiser leurs utilisations dans nos modes de production ;- l’explosion démographique, qui nous oblige à satisfaire des besoins de plus en plus importants.Il est pour cela nécessaire de découpler la croissance économique de notre consommation de matières et de nos émissions de GES. Cette transition est déjà amorcée, mais il faut poursuivre les efforts dans ce sens.2 - L'innovation est décisive pour le développement de l'économie circulaire. C’est elle qui permet d’inventer de nouvelles façons de produire, de consommer, d’échanger, de réutiliser, de recycler. L’impression 3D est à ce titre particulièrement pertinente : elle permet ainsi d’optimiser la consommation de matière, de relocaliser la production et donc de limiter le transport des marchandises, ou encore de mieux réparer en fabriquant sur mesure.Et cette innovation n’est pas que technologique : elle est aussi organisationnelle, politique et sociale. Elle suppose que notre cadre réglementaire s’adapte pour accompagner et encourager cette dynamique.3 - L'économie circulaire incite les parties prenantes à mieux collaborer. Dans une économie circulaire, les déchets des uns constituent des ressources pour les autres. Il s’agit donc de repenser les synergies possibles sur les territoires afin d’inventer de nouveaux leviers de croissance. La coopération entre les acteurs privés et les acteurs publics est à cet égard fondamentale : sur la base de contrats conclus à l’échelle locale, les intérêts peuvent converger vers un même objectif de réduction des externalités négatives.4 - La mesure permet de fixer des objectifs et de progresser. La mesure des externalités - négatives comme positives - répond à un double enjeu : elle tranche la question de la responsabilité des acteurs, d’une part ; elle incite à la prise d’initiative, d’autre part. Les pouvoirs publics peuvent ainsi se fixer des objectifs ambitieux en termes de performance environnementale, à l’instar des entreprises. Ainsi de San Francisco, qui a lancé son plan “zéro déchets”, ou des contrats de transition énergétique pour des territoires à énergie positive en France.5 - L'économie circulaire constitue l'opportunité de repenser notre modèle de croissance. L’économie circulaire associe les notions de durabilité et de croissance. Elle participe de l’évolution de notre perception de l’économie et de notre imaginaire collectif : les citoyens considèrent l’entreprise comme un agent impliqué dans l’intérêt général ; les entreprises mettent en avant leurs innovations plutôt que leurs préoccupations ; les dirigeants politiques proposent une nouvelle vision du développement, qui réconcilie croissance et environnement.

Pages