Le Président de la République, Félix Tshisekedi, a organisé une brève cérémonie d’accueil en l’honneur des Léopards de la RDC, vainqueurs de la finale africaine des barrages du Mondial 2026. La cérémonie s’est déroulée lundi 17 novembre 2025 au stade des Martyrs de Kinshasa.
Brazilian Indigenous leader and environmentalist Cacique Raoni Metuktire (center) during the closing ceremony of the Peoples’ Summit in Belem on November 16, 2025. Credit: Tanka Dhakal/IPS
By Tanka Dhakal
BELÉM, Brazil, Nov 17 2025 (IPS)
Brazilian Indigenous leader and environmentalist Cacique Raoni Metuktire appealed for support for Indigenous peoples and their land. From the podium of the Peoples’ Summit, Cacique Raoni warned negotiators at the UN climate conference in Belém that without recognizing Indigenous peoples’ land rights, there will be no climate justice.
“It is getting warmer and warmer. And a big change is going on with the earth. Air is harder to breathe; this is only the beginning,” he said on Sunday while addressing representatives of the global climate justice movement at the Peoples’ Summit. “If we don’t act now, there will be very big consequences for everyone.”
Indigenous people and civil activists from around the world took part in the Peoples’ Summit. Credit: Tanka Dhakal/IPS
While Belém city is hosting world leaders, government officials, scientists, policymakers, activists, and more than 1,600 fossil fuel lobbyists to decide the future course of global climate action, the Peoples’ Summit gathered frontline voices.
About nine kilometers from the COP30 venue, at the grounds of the Universidade Federal do Pará (UFPA-Federal University of Pará), activists engaged in diverse dialogue for five days and issued the “Declaration of the Peoples’ Summit Towards COP30” in the presence of Indigenous leaders like Raoni, which was handed over to the COP presidency.
The Declaration states that the capitalist mode of production is the main cause of the growing climate crisis. It claims that today’s environmental problems are “a consequence of the relations of production, circulation, and disposal of goods, under the logic and domination of financial capital and large capitalist corporations.” It demands the participation and leadership of people in constructing climate solutions, recognizing ancestral knowledge.
Artists performing indigenous folklore during the closing event of the Peoples’ summit. Credit: Tanka Dhakal/IPS
Sebastián Ordoñez Muñoz, associated with War on Want, a UK-based organization and part of the political commission of the Peoples’ Summit, said the political declaration constructed through the summit process reflects peoples’ demands and proposals. “It has our solutions, people’s solutions,” he said. He explained that crafting the declaration was a convergence of diverse voices, uniting around clarity on what needs to happen to address the climate crisis.
“It is an expression of the autonomy of people’s movements coming together, converging to develop clear proposals that are based on the real solutions happening on the ground-in the territories, in the forests, in the seas, in the rivers, and so on,” he added. “It’s important to hand it over because we need to make sure that our voices are represented there [at COP]. Any space that we have inside the COP has always been through struggle.”
As a space for community members to come together and deliver the public’s point of view, Peoples’ Summits have been organized as parallel conferences of the COP. It did not take place during the last three COPs. But in Brazil, civil society is actively making its case.
The Peoples’ Summit attracted a large number of Indigenous leaders and community members, whereas at COP their access is limited. Credit: Tanka Dhakal/IPS
“We need to continue making our voices heard there, but also not to beg-to state that we have the solutions and that we must be listened to, because none of these answers, none of these solutions are possible without the communities themselves,” Ordoñez Muñoz told IPS News from the Peoples’ Summit ground. “I think it’s a statement and a road map. Where do we go from here?”
Unlike COP30, the Peoples’ Summit attracted diverse groups of community members and civil society leaders. The COP venue follows the process of negotiations, while the summit emphasizes collaboration to find solutions and celebrate unity. It blends discussion with Indigenous folklore and music to bring stories of community.
“If you go into the COP summit, it’s so stale. It’s so sterile. It’s so monotonous. So homogeneous. So corporate,” Ordoñez Muñoz said. “Over here, what we have is the complete opposite. We have such diversity-differences in voice, vocabulary, language, and struggles.”
He added that the COP process is moving in one direction, unjust in nature, and reproducing many of the dynamics that led to the crisis in the first place.
“Over here, we’re all moving together. We have unity.”
This feature is published with the support of Open Society Foundations.
IPS UN Bureau Report
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Le président de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin), Arnauld Akakpo, et le Président-directeur général du Conseil économique du Nouveau-Brunswick (CÉNB), ont procédé à la signature d'un accord de partenariat visant à encourager et structurer les échanges entre les entreprises francophones du Bénin et du Canada.
Un accord de partenariat lie désormais la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin et le Conseil économique du Nouveau-Brunswick. Les responsable des deux structures ont officialisé ce partenariat qui permet désormais d'identifier de nombreuses opportunités de coopération pour plus de 30 000 entreprises affiliées à la CCI Bénin, et des entreprises francophones du Nouveau-Brunswick.
L'accord signé prévoit également la création d'un Club d'affaires destiné à renforcer les relations commerciales entre les entreprises francophones des deux régions.
Cette plateforme offrira un espace d'échanges, de partage d'expériences et de prospection, facilitant ainsi le réseautage et le développement d'opportunités.
La signature de cet accord s'inscrit dans le cadre premier Forum CAP BLEU 2025 Afrique–Canada, organisé à Moncton avec 185 participants.
Cet événement, dédié au renforcement des relations économiques entre les deux espaces, a offert un cadre propice à l'officialisation de cet accord.
Par ce partenariat avec le CÉNB, la CCI Bénin confirme sa volonté de promouvoir les opportunités d'affaires pour les entreprises locales et d'accompagner leur ouverture vers des marchés internationaux. Cet accord illustre l'ambition du secteur privé béninois de renforcer ses capacités, de développer de nouveaux partenariats et d'explorer des perspectives porteuses, notamment en Amérique du Nord.
F. A. A.
La Confédération africaine de football (CAF) a dévoilé la liste des trois finalistes pour le prestigieux titre du Joueur de l'année 2025, prévu pour ce mercredi 19 novembre, à l'occasion des CAF Awards à Rabat, au Maroc.
Mohamed Salah (Egypte), Achraf Hakimi (Maroc) et Victor Osimhen (Nigéria), sont les trois finalistes qui se disputent le titre du Joueur de l'année 2025. La CAF a dévoilé leurs noms en prélude à la cérémonie des CAF Awards, prévue pour ce mercredi à Rabat.
Mohamed Salah, légende du football égyptien, plusieurs fois couronné, est à la recherche d'un nouveau sacre pour renforcer son statut de référence du football africain.
Face à lui, Achraf Hakimi, international marocain et latéral droit du Paris Saint-Germain. Auteur d'une saison exceptionnelle autant en club qu'en sélection, il s'impose comme l'un des défenseurs les plus influents du football mondial. Sa polyvalence, sa capacité offensive et son rôle déterminant dans les performances du Maroc en font un sérieux prétendant.
Enfin Victor Osimhen, l'une des plus grandes forces offensives du Nigeria, continue d'impressionner par sa puissance. Le joueur de Galatasaray part également favori.
F. A. A.