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Diplomacy & Defense Think Tank News

Kasachstan: Gelingt die konservative Modernisierung?

SWP - Wed, 03/02/2016 - 13:02
Institut für Friedensforschung und Sicherheitspolitik an der Universität Hamburg/ IFSH,

Deutscher OSZE-Vorsitz 2016

SWP - Wed, 03/02/2016 - 12:28

In der schwersten Sicherheitskrise Europas seit Ende des Kalten Krieges hat Deutschland mit dem OSZE-Vorsitz im Jahr 2016 weitere Verantwortung übernommen. Als Mitglied des Normandie-Formats trug die Bundesrepublik schon maßgeblich dazu bei, den Waffenstillstand von Minsk zu vermitteln. Nun führt sie auch jene Organisation, die die Waffenruhe im Donbas überwacht und die Umsetzung politischer wie militärischer Vereinbarungen vorantreibt. Jenseits des regionalen Krisenmanagements wird es darum gehen, die Gefahr einer dauerhaften politisch-militärischen Konfrontation in Europa abzuwenden. Dafür ist die OSZE als einzige inklusive Dialogplattform in Europa besonders geeignet, steht sie doch für eine umfassende Sicherheitskooperation und gemeinsame Normen. Deutschland wird diesen Anspruch zur Richtschnur seines Handelns machen und die Erneuerung des gesamteuropäischen Sicherheitsdialogs fördern. Trotz seines gewachsenen politischen Gewichts wird es dies jedoch nicht allein bewältigen können; es bleibt auf die Kooperation mit den Partnern in OSZE, EU und Nato angewiesen.

Ein gemeinsamer Energiemarkt in der Eurasischen Wirtschaftsunion

SWP - Wed, 03/02/2016 - 12:08

Im Osten der EU formiert sich unter dem Dach der Eurasischen Wirtschaftsunion (EWU) ein regionaler Energiemarkt. Diese Entwicklung dürfte folgenreich sein, auch wenn die Interessen der beteiligten Staaten divergieren und die weitere Ausgestaltung des Marktes noch offen ist. Einerseits droht sich die Fragmentierung der Energiemärkte in Europa und Asien zu vertiefen, andererseits könnten aus dem Prozess auch neue Kooperationsmöglichkeiten und größere Integrationsräume erwachsen. Insofern gilt es, frühzeitig auszuloten, inwiefern der entstehende Energiemarkt mit der EU und der europäischen Energiegemeinschaft kompatibel ist. Besonders wichtig ist es, die Auswirkungen auf die gemeinsame Nachbarschaft und vor allem die Ukraine im Blick zu haben, damit sich neue geopolitische Verwerfungen vermeiden lassen.

¿Sorpresas en Iowa?

Real Instituto Elcano - Wed, 03/02/2016 - 11:46
Opinión - 3/2/2016
Carlota García Encina
El caucus de Iowa ha demostrado que Bernie Sanders puede disputar codo con codo la nominación demócrata a Hillary Clinton. Por otro lado, la reciente derrota de Trump no significa que está fuera de la carrera.

Start des Adenauer-Huffington-Briefings: "Politik ist Kontaktsport"

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 03/02/2016 - 00:00
Wie kann Politik junge Menschen besser erreichen? In der Huffington Post bloggen unsere Auslandsmitarbeiter zum Thema „Jugend und Politik im 21. Jahrhundert“.

Visite de Raul Castro à Paris : quelle est la stratégie de Cuba ?

IRIS - Tue, 02/02/2016 - 18:36

Raul Castro a entamé ce lundi la première visite officielle d’un chef d’Etat cubain en France depuis 21 ans. Quels sont les enjeux de cette visite ? Cette visite peut-elle permettre à la France de s’affirmer comme le premier partenaire politique et économique européen de l’île des Caraïbes, voire relancer sa relation avec l’Amérique latine ?
Cet échange franco-cubain, qui constitue le retour diplomatique de la visite du président français à Cuba l’année dernière, est extrêmement important pour le gouvernement cubain dans le cadre de sa politique de normalisation des relations avec les Etats-Unis afin d’ouvrir d’autres portes, en particulier en Europe. La France a toujours eu des relations particulières avec Cuba dans la mesure où elle a toujours condamné la politique d’embargo unilatérale imposée par le gouvernement américain. L’enjeu de cet échange n’est pas essentiellement économique ; il est surtout symbolique, compte tenu du fait que Cuba, pendant et après la guerre froide, en particulier en Amérique latine mais aussi en Afrique et en Asie, a été perçu comme un pays ayant une dimension de petite nation en prise avec un gros pays. Il était considéré comme un symbole international qu’il fallait défendre. Dans ce contexte, la France, en appuyant la réinsertion de Cuba dans le jeu international par la démarche entreprise de rapprochement avec les Etats-Unis, en attend des retombées diplomatiques sur l’ensemble de l’Amérique latine et éventuellement au-delà, en Afrique et en Asie.

Quelle est la stratégie de coopération globale de Cuba ? Tisse-t-il de nouveaux partenariats analogues avec d’autres pays ou la France constitue-t-elle une spécificité ?
En Europe, l’Espagne représente un partenaire économique fort pour Cuba. Néanmoins, la relation diplomatique avec l’Espagne n’est pas de même niveau qu’avec la France, en raison des contentieux accumulés à partir de l’époque du gouvernement du président Aznar, qui avait pris des distances avec Cuba en alignant l’Espagne sur la politique non pas d’embargo mais d’isolement diplomatique qui était souhaitée par les gouvernements républicains, en particulier celui du président George W. Bush. Pour les Cubains, la France, comme déjà évoquée, est déterminante dans le jeu que mènent les autorités cubaines actuellement avec les Etats-Unis. Les relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis ont été officiellement rétablies au mois de juillet 2015. Les mesures d’embargo ont été allégées bien que maintenues. L’objectif des autorités cubaines, par le biais de l’Europe, est donc de faire passer des messages aux Etats-Unis, et cela semble dans une certaine mesure atteint.

Alors que le pays semble s’ouvrir à l’économie de marché et opère un processus de normalisation de ses relations sur le plan international, qu’en est-il de la situation générale à Cuba ?
Cela fait relativement longtemps que Cuba a normalisé ses relations avec son environnement immédiat, c’est-à-dire avec l’ensemble des pays d’Amérique latine, où il est considéré comme un pays en mesure d’apporter des solutions à des questions compliquées. Il faut rappeler que les négociations de paix entre les FARC et le gouvernement colombien se déroulent actuellement avec les bons offices du gouvernement cubain à La Havane. Au-delà de cette bonne relation de Cuba avec les pays de son environnement latino-américain, ce dernier en attend des investissements et des retombées économiques. Un investissement conséquent est actuellement effectué par le Brésil à quelques kilomètres de La Havane pour créer une plateforme portuaire dans la perspective d’une levée de l’embargo et de l’élargissement du canal de Panama (le port de Mariel). Il y a également des approches en direction du Mexique, qui traditionnellement a été le grand pays voisin n’ayant jamais isolé Cuba. Il a en effet été l’un des rares soutiens latino-américains pendant les années difficiles, même s’il s’était éloigné à la fin des années 1990. Aujourd’hui, il semblerait que cette page ait été tournée et que les relations diplomatiques s’améliorant, l’économie devrait suivre.
Avec l’amélioration des relations avec l’Amérique latine, l’ouverture sur l’Europe et également sur l’Asie, en particulier sur la Chine, Cuba attend un renforcement de son économie à travers des investissements étrangers dans le tourisme, la prospection pétrolière, l’exploitation du nickel, etc. Tout cela dépend de la mise en œuvre d’une sorte d’aggiornamento de la politique économique à la chinoise, ce vers quoi se dirige Cuba. Il faudra pour cela attendre les résultats du prochain congrès du parti communiste annoncé pour le mois d’avril. Cet ajustement déboucherait sur un système dans lequel le parti communiste resterait le parti unique mais où il y aurait une économie de marché dont l’espace serait de plus en plus large. Si les autorités cubaines ne veulent pas lâcher grand-chose en matière de démocratisation pluraliste, la contrepartie serait pour les Cubains d’avoir un mieux-vivre, un développement économique, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui.

Vers un début de solution politique en Syrie ?

IRIS - Tue, 02/02/2016 - 18:10

Sous l’égide de l’Organisation des Nations unies (ONU), viennent de s’ouvrir à Genève, en ce début février, des pourparlers de paix entre plusieurs composantes de la guerre qui fait rage en Syrie depuis maintenant presque cinq ans. Au vu des conditions actuelles et des rapports de forces qui prévalent, les chances de succès de ces pourparlers sont ténues. La situation en Syrie est terrible : 250 000 morts, 4 millions de personnes sur les routes de l’exil, la moitié de la population déplacée. La difficulté à trouver une solution provient de l’imbrication des niveaux politiques et militaires et, bien sûr, de l’implication contradictoire des puissances régionales et internationales qui se livrent en Syrie à une guerre par procuration.

Au niveau militaire tout d’abord, force est d’admettre que les rapports de forces sont en train de s’inverser. Alors qu’au printemps dernier les troupes restées fidèles au régime de Bachar Al-Assad semblaient en difficulté sous les coups de boutoirs des groupes djihadistes et des différentes coalitions d’opposants armés, la situation s’est inversée, notamment depuis le début de l’intervention aérienne russe à la fin du mois de septembre 2015 et la présence accrue de combattants organisés par l’Iran en soutien aux partisans du régime de Damas. Ainsi, les djihadistes de l’Etat islamique (Daech) sont visiblement sur la défensive. Non seulement ils ne parviennent plus à élargir le territoire qu’ils contrôlent, mais ils ont en outre perdu au cours des derniers mois quelques villes importantes, reprises par les milices kurdes, et semblent, par ailleurs, commencer à connaître quelques difficultés financières. Cela ne signifie néanmoins pas que cette entité terroriste est éradiquée et il ne faut pas sous-estimer ses capacités de rebond et de nuisance, en Syrie comme au niveau international. L’Armée de la conquête, principalement composée du Front Al-Nosra, filiale syrienne d’Al-Qaïda, des salafistes de Ahrar Al-Sham et de quelques autres groupes, soutenue par l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, n’apparaît pas en meilleure situation et a vu ses capacités offensives diminuer. En ce qui concerne les autres composantes de la rébellion armée, dites modérées, force est de constater qu’aussi bien au Nord du pays (djebel Akrad et djebel Tourkman) qu’au Sud (carrefour stratégique de Cheikh Miskine), leurs défaites se succèdent et entraînent la perte de positions qu’elles contrôlaient parfois depuis de nombreux mois. Probablement la précision des frappes aériennes de l’aviation russe et le manque d’armes susceptibles de résister à ces bombardements expliquent-elles cette situation, mais les profondes divisions qui existent en leur sein est un autre paramètre non moins important. Ainsi, l’Armée syrienne libre ne fait plus illusion et s’avère aujourd’hui être plus un sigle qu’une entité combattante hiérarchisée et dotée d’une véritable chaîne de commandement.

Au niveau politique ensuite, la situation ne semble guère meilleure pour les opposants à Bachar Al-Assad. Même si ce dernier est considérablement affaibli, il continue néanmoins à contrôler le territoire de ce que l’on appelle la « Syrie utile » et son régime a finalement connu peu de défections. Bénéficiant d’un meilleur rapport de forces militaire et du soutien, à ce stade indéfectible, de la Russie et de l’Iran, ses représentants se présentent plutôt en position de force dans la négociation. Les opposants regroupés dans le Haut comité de négociations (HCN), créé au début du mois de décembre 2015, composé d’une centaine de membres, dit groupe de Riyad, parce que soutenu et sponsorisé par l’Arabie saoudite, arrive, a contrario, en position de faiblesse, puisqu’après avoir refusé de participer aux pourparlers de Genève, il a accepté d’y venir in extremis, ce qui est révélateur de ses divisions et de sa faiblesse politique. Une des principales difficultés réside dans l’interprétation du texte de compromis, pourtant adopté à l’unanimité par le Conseil de sécurité, le 18 décembre 2015. Outre la mise en œuvre d’un cessez-le-feu, cette résolution 2254 prévoit qu’au terme de six mois de pourparlers le processus doit établir « une gouvernance crédible, inclusive et non confessionnelle », veillant à la préservation des institutions étatiques et qui aura la tâche d’écrire une nouvelle Constitution. Des élections libres doivent ensuite être organisées dans les dix-huit mois, sous la supervision de l’ONU. Les tergiversations du HCN quant à sa participation à Genève sont justifiées par son exigence de voir la mise en œuvre de « mesures de confiance » humanitaires immédiates comme préalable au réel lancement des négociations : arrêt des bombardements aériens et levée du siège de certaines villes soumises à un blocus complet par les forces du régime syrien. Cette opposition risque, en effet, de perdre une partie de sa légitimité auprès de sa base en acceptant de négocier avec ceux qui continuent de bombarder et d’affamer les zones tenues par les rebelles. Mais, en réalité, c’est plus fondamentalement la question du sort du président syrien qui reste la question la plus délicate. La résolution 2254 n’en fait aucune mention, la Russie et l’Iran ayant bloqué toute référence explicite à ce propos. Au regard du HCN, Bachar Al-Assad devra quitter le pouvoir d’ici six mois au profit d’un organe de gouvernement transitoire ayant les pleins pouvoirs exécutifs (comme le prévoyait déjà la résolution dite de « Genève 1 » de juin 2012). Les partisans du régime considèrent, pour leur part, qu’un gouvernement d’union nationale devra être formé au bout de six mois et que le sort du président Assad serait tranché lors des élections prévues dans dix-huit mois. Les approches sont donc radicalement contradictoires.

Au niveau international enfin, la situation n’est guère plus simple. Chacun comprend que la Syrie est devenue un enjeu qui dépasse largement le seul sort de ses habitants. L’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie, considérant toujours que la priorité est de faire tomber le régime de Bachar Al-Assad, continuent à soutenir les insurgés, notamment ceux regroupés dans le HCN, mais n’hésitent pas à l’apporter aussi à l’Armée de la conquête, à forte composante djihadiste. En outre, la Turquie inclut un autre paramètre, en exigeant que les Kurdes du Parti de l’union démocratique (PYD), considéré comme la projection syrienne du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), ne soient pas invités à Genève, n’hésitant pas à menacer de ne pas participer aux pourparlers s’ils étaient présents. Chantage d’autant plus regrettable que les combattants de la branche armée du PYD sont les seuls, à ce jour, à avoir infligé sur le terrain, avec l’aide des Etats-Unis, des défaites à Daech. La Russie et l’Iran considèrent a contrario que la priorité absolue est d’empêcher que les différentes composantes de la rébellion ne puissent parvenir au pouvoir, des positions connues de longue date. Ce qui semble plus significatif semble être les évolutions des Etats-Unis et, dans une moindre mesure, de la France. Le moins que l’on puisse dire est que, désormais, le soutien apporté à l’insurrection non djihadiste est beaucoup plus mesuré. Comprenant que le danger principal se concentre désormais dans l’affirmation des groupes djihadistes, Washington considère que son seul objectif est l’annihilation de Daech. C’est pourquoi les pressions états-uniennes sur le HCN ont été très fortes pour qu’il se rende à Genève, même dans le contexte d’un rapport de forces défavorable.

Au total, pour ces multiples raisons, il y a peu de probabilités qu’une solution de compromis soit rapidement trouvée à Genève. Un signe fort serait néanmoins de parvenir à des « mesures de confiance » permettant quelques succès tangibles, visibles sur le terrain, et qui constitueraient autant d’appuis concrets pour, dans un second temps, aller plus loin dans les négociations et aborder le fond des questions politiques, c’est-à-dire la mise en œuvre d’un processus de transition négocié. Parmi ces mesures de confiance, celle qui apparaît prioritaire serait la mise en place d’un cessez-le-feu. Il serait illusoire de penser qu’il puisse être imposé en même temps sur la totalité du territoire syrien, parce que des groupes, principalement djihadistes, s’y opposeront. Mais il faudrait que trois ou quatre villes puissent être concernées, elles pourraient alors avoir valeur d’exemple pour d’autres.

Tant que le fil des pourparlers n’est pas rompu, l’espoir subsiste pour qu’enfin le martyr du peuple syrien cesse. Seul un compromis pourra y parvenir. Pour ce faire, il faut que chacune des parties représentées acceptent de faire un pas vers l’autre. Ce sera douloureux, mais il n’y a pas d’autre solution.

La 203e session en région Île-de-France (11 janvier au 19 février 2016) en mission d’étude

IHEDN - Tue, 02/02/2016 - 18:01

Du 18 au 22 janvier 2016, les 72 auditeurs de la 203e session en région de l’IHEDN se sont rendus en Bretagne pour une semaine de séminaire. Après avoir découvert l’armée de terre par des visites aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan et ...

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Les inégalités extrêmes : quelle réalité ?

IRIS - Tue, 02/02/2016 - 16:08

Manon Aubry, responsable plaidoyer justice fiscale à Oxfam France, répond à nos question à propos du rapport d’Oxfam “Une économie au service des 1%”, dévoilé le 18 janvier :
– Selon votre rapport, 62 personnes possèdent autant que la moitié de la population mondiale. Comment en êtes-vous arrivés à cette conclusion ? Si le constat n’est pas nouveau, comment expliquez-vous que le fossé causé par ces inégalités soit aujourd’hui si important ?
– Quelles sont les mesures préconisées par Oxfam pour faire face à la crise des inégalités extrêmes ? La politique peut-elle encore quelque chose face à ce phénomène ?
– Quel bilan dressez-vous du forum économique mondial de Davos ? Le rapport d’Oxfam a-t-il été entendu et pensez-vous que l’appel à la mobilisation internationale débouchera sur des mesures contribuant à diminuer les inégalités dans le monde ?

Roundtable Discussion: “The Syrian Refugee Crisis – A proposal for a Rational Approach”, 2 February 2016

ELIAMEP - Tue, 02/02/2016 - 15:46

The Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) and the European Stability Initiative (ESI) organised on February 2nd 2016 a roundtable discussion with Mr. Gerald Knaus, Chairman, ESI on the theme of “The Syrian Refugee Crisis – A proposal for a Rational Approach”.

The discussion was held at ELIAMEP’s offices with the participation of researchers, technocrats and journalists.

The report is available here.

Dr Eleni Panagiotarea discusses the status of the Greek economy in Kathimerini, 02/02/2016

ELIAMEP - Tue, 02/02/2016 - 15:06

Dr Eleni Panagiotarea wrote an article in Kathimerini discussing the status of the Greek economy. The article was published on 2 February 2016 and is available here.

Reden allein bringt Syrien nicht weiter.

SWP - Tue, 02/02/2016 - 12:05
Die Passivität des Westens lässt Syrien explodieren.

Angèle Malâtre-Lansac dans C dans l’air sur France 5

Institut Montaigne - Tue, 02/02/2016 - 10:59
Date de parution: Mardi 26 Janvier 2016Nom de l'editeur: France 5Image de l'editeur: Description: Angèle Malâtre-Lansac, directrice adjointe de l’Institut Montaigne réagissait à la remise du rapport Badinter devant les caméras de C dans l’air sur France 5 le 26 janvier.Type de parution: L'institut s'exprimeType de média: Télévision

Frais de scolarité : les écoles de commerce toujours plus haut

Institut Montaigne - Tue, 02/02/2016 - 10:48
Date de parution: Mercredi 13 Janvier 2016Auteur: Martin RhodesNom de l'editeur: EducPro.frImage de l'editeur: Description: (...) Une prévision réaliste au regard de la baisse, voire de la disparition, des aides de l'État (taxe d'apprentissage, dotations des Chambres de commerce et d'industrie), et de l'évolution durable des tarifs. "En vingt ans, les frais de scolarité ont été multipliés par deux et demi, écrit l'Institut Montaigne dans un rapport publié en 2014. En 1994, les trois années passées dans une business school coûtaient, au total, entre 100.000 et 110.000 francs – soit 15.000 à 16.000 euros." (...)Type de parution: L'institut est citéType de média: WebLien: http://www.letudiant.fr/educpros/enquetes/frais-de-scolarite-les-ecoles-de-commerce-toujours-plus-haut-1.html

L'apprentissage en trois leçons

Institut Montaigne - Tue, 02/02/2016 - 10:43
Date de parution: Jeudi 28 Janvier 2016Auteur: Xavier FontanetNom de l'editeur: Les EchosImage de l'editeur: Description: L'Institut Montaigne vient de sortir une étude intéressante sur l'apprentissage. Elle contient un graphique montrant que plus la part de l'apprentissage dans l'enseignement secondaire est élevée, plus le chômage des jeunes est bas. Les trois champions sont l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suisse ; le chômage des jeunes y est quatre fois moins élevé et le taux d'apprentissage quatre fois plus fort qu'en France. Ces trois pays ont chacun un message fondamental à nous adresser.Type de parution: L'institut est citéType de média: PresseLien: http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021651961985-lapprentissage-en-trois-lecons-1195825.php

De la gestión de Obama sobre Latinoamérica sólo destaca Cuba

Real Instituto Elcano - Tue, 02/02/2016 - 05:27
ARI 14/2016 - 2/2/2016
Emili J. Blasco
A pocos meses de las elecciones presidenciales estadounidenses, es hora de balances sobre la era Obama. ¿Qué juicio cabe hacer sobre la política de la Casa Blanca hacia Latinoamérica en estos últimos ocho años?

Proteste in Griechenland: Steuer- und Rentenreform verlangt der Bevölkerung viel ab

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 02/02/2016 - 00:00
In Griechenland gehen die Proteste gegen eine neue Rentenreform sowie Steuererhöhungen weiter. Denn Tsipras Pläne belasten den Mittelstand.

Nordafrikanische Flüchtlinge: Marokkanische Migrationsmentalität

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 02/02/2016 - 00:00
Helmut Reifeld spricht im Interview über afrikanische Flüchtlinge in Marokko, die Migrationsgründe der Marokkaner und wofür Europa dem Land dankbar sein sollte.

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