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Afrique

Samuel Ndour

Jeune Afrique / Economie - ven, 09/12/2016 - 11:42

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Complexe agro-industriel de Touba

Jeune Afrique / Economie - ven, 09/12/2016 - 11:40

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West African Oils

Jeune Afrique / Economie - ven, 09/12/2016 - 11:39

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Copéol

Jeune Afrique / Economie - ven, 09/12/2016 - 11:39

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Mali : Le ministère des transports au centre d’un détournement de véhicules mis en reforme à l’ANAC

Maliactu - ven, 09/12/2016 - 11:38

Le ministère des transports a initié courant cette année une réforme des véhicules du département dont 11 de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC). Le comité syndical de l’ANAC s’insurge contre la grosse magouille qui a entouré la répartition de ces véhicules reformés.

Dans le cadre de cette réforme des véhicules, le ministre des transports a mis en place une commission. Mais des irrégularités évidentes ont, malgré tout, terni toute la procédure de répartition des 11 véhicules concernant l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC).

Les véhicules de l’ANAC ont été attribués par le secrétaire général du ministère des transports Makan Fily Dabo. Ce dernier a donné une 4×4 à sa secrétaire particulière Nasoum Sidibé et une autre 4×4 à la secrétaire particulière du ministre, la nommée Naba Keita qui est la fille de Nakoma Keita. Au total, le Segal a donné 6 véhicules 4×4 de l’ANAC à l’entourage du ministre des transports. Pour camoufler les documents à l’ANAC le Segal a donné une 4×4 à l’adjoint du Directeur de l’ANAC Ibrahim Traoré qui était chargé de dissimuler les informations à l’ANAC.

Après vérification, la direction de l’ANAC a décelé le caractère faux de la dite reforme car les véhicules de l’ANAC ne figuraient pas sur la liste des véhicules à reformer du ministère des Domaines de l’Etat de cette année.

Pour justifier toujours la fraude les auteurs ont scanné la décision du ministre des Domaines de l’Etat pour ajouter les véhicules de l’ANAC.

Compte tenu de la fraude constatée le directeur de l’ANAC a refusé de livrer lesdits véhicules malgré l’instance du ministère des transports.

Le syndicat une fois informé a soutenu le directeur dans sa prise de décision. Pour obliger le directeur à délivrer les véhicules, le ministère a requis les services du commissaire-priseur Maitre Aly Dioro Cissé qui aussi a sollicité des policiers pour l’exécution des bons d’enlèvement des 11 véhicules.

Grace à la détermination du comité syndicale, malgré l’usage de la force, les véhicules n’ont pas été enlevés par les bénéficiaires. En guise de représailles, madame la ministre des transports a initié une décision pour demander l’annulation du décret de nomination du directeur Salif Diallo.

Pour ce faire, le syndicat national du transport et le syndicat de l’aviation civile se proposent d’aller en grève illimitée pour annuler cette décision.

Selon une source le ministère des transports a reformé environ une soixantaine de véhicules. Tout le cabinet du ministre de plusieurs homme politiques ont bénéficié soit directement, ou par un prête-nom de ces véhicules reformés qui sont en grande partie des 4×4.

La rédaction

© maliactu.net

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Egypte: six morts dans une attaque à la bombe au Caire

Maliactu - ven, 09/12/2016 - 11:34

Six personnes ont été tuées vendredi dans l’explosion d’une bombe près d’un check-point de la police au Caire, ont indiqué les médias d’Etat et des responsables.

L’attaque a eu lieu dans le secteur de Talibiya dans l’ouest de la capitale égyptienne.

Sur les lieux, un conscrit de la police gisait sur le sol, face contre terre, selon un correspondant de l’AFP sur place.

Il n’était pas clair dans l’immédiat si les six morts étaient tous des policiers.

L’explosion s’est produite juste après la prière hebdomadaire musulmane du vendredi, au moment où les rues du Caire ne sont pas bondées.

Des groupes extrémistes ont mené de nombreuses attaques contre les policiers et les soldats égyptiens depuis le renversement par l’armée en 2013 du président islamiste élu Mohamed Morsi et la répression qui a suivi contre ses partisans.

La plupart des attaques ont eu lieu dans la péninsule du Sinaï, où sévit la branche égyptienne du groupe jihadiste Etat islamique (EI). Mais d’autres se sont également produites dans la capitale égyptienne.

Début novembre, un juge égyptien arbitrant l’un des procès de Mohamed Morsi, a échappé à l’explosion d’une voiture piégée au Caire. L’attaque est intervenue quelques jours après l’explosion fin septembre d’une bombe visant un convoi de police au Caire, dans laquelle un passant avait trouvé la mort.

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Le Caire: dans l'enfer des embouteillages, un combat quotidien

Slateafrique - ven, 09/12/2016 - 11:31

Dans un concert de klaxons in

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Le prix Africa Check décerné

Slateafrique - ven, 09/12/2016 - 11:31
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Maroc: la gratuité de l'école publique fait débat

Slateafrique - ven, 09/12/2016 - 11:31

Bientôt la fin de l'école gratuite au Maroc?

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Côte d'Ivoire: l'énorme défi de la réforme de l'armée

Slateafrique - ven, 09/12/2016 - 11:31

Équiper et moderniser, réduire les effe

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Maroc: près de 400 migrants forcent la frontière

Slateafrique - ven, 09/12/2016 - 11:31

Près de 400 migrants originaires d'Afrique subsaharienne ont forcé vendredi à l'aube la haute barrière entourant l'enclave espagnole de Ceuta au Maroc, a-t-on appris auprès de la préfecture locale.

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M. Gaïd Salah : « l’ANP est une armée républicaine ».

Algérie 360 - ven, 09/12/2016 - 11:30

Le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP), a rappelé jeudi à Blida les missions constitutionnelles de l’ANP, en tant qu' »armée républicaine » ayant pour « seul objectif de servir l’Algérie et uniquement l’Algérie », indique un communiqué du ministère de la Défense nationale.

Lors d’une visite de travail et d’inspection en 1ère Région militaire, le chef d’Etat-Major a prononcé une allocution d’orientation suivie, via visioconférence, par les éléments des unités de la Région, à travers laquelle il a « rappelé l’importance de cette rencontre qui coïncide avec le début de l’année d’instruction, de formation et de préparation 2016-2017, au regard de la grande importance qu’attache le Haut Commandement à la préparation au combat des forces armées », précise la même source.

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Maroc: près de 400 migrants forcent la frontière à Ceuta

Maliactu - ven, 09/12/2016 - 11:27

Près de 400 migrants originaires d’Afrique subsaharienne ont forcé vendredi à l’aube la haute barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc, a-t-on appris auprès de la préfecture locale.

Les migrants ont réussi à forcer les portes en deux points de la barrière de six mètres de haut entourant l’enclave, un assaut au cours duquel deux gardes civils et trois migrants ont été légèrement blessés, a précisé à l’AFP un porte-parole de la préfecture.

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Mohamed-Tahar Fergani, maître de la chanson classique algérienne, est mort

France24 / Afrique - ven, 09/12/2016 - 11:18
Mohamed-Tahar Fergani, maître du malouf, la chanson classique algérienne, est mort mercredi soir à Paris à l’âge de 88 ans. Virtuose du violon, il avait commencé à s’adonner au malouf au début des années 1950.
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Egypte : six policiers tués dans une explosion au Caire

LeMonde / Afrique - ven, 09/12/2016 - 11:09
Un attentat s’est produit sur la route d’Al-Haram, qui mène aux pyramides. Il n’a pas encore été revendiqué.
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Maroc: la gratuité de l’école publique fait débat

Maliactu - ven, 09/12/2016 - 11:07

Bientôt la fin de l’école gratuite au Maroc? L’évocation de la mise en place de frais d’inscriptions pour les élèves les plus aisés de l’école publique suscite une tempête de réactions dans le pays, où le système éducatif est à bout de souffle.

A la mi-novembre, la presse marocaine rapportait que le Conseil supérieur de l’éducation, une institution officielle, avait émis un avis -consultatif- pour mettre fin à la gratuité de l’école publique.

Levée de boucliers immédiate chez les syndicats, les associations de parents d’élève et étudiantes… « Touche pas à mon école! », fustigent des associations, qui crient à la « destruction de l’enseignement public ».

Pour calmer la polémique, le Conseil de l’éducation publie un communiqué assurant que « l’enseignement dans le préscolaire, le primaire et le secondaire collégial restera bien gratuit ». Mais à partir du lycée et jusqu’à l’université, il suggère que « les familles aisées s’acquittent des frais d’inscription », « une forme de solidarité nationale » qui « ne correspond pas au coût réel des études ».

A la télévision publique, le président de cette instance, Omar Azzimane, réitère cette position tout en prenant soin d’expliquer que le Conseil proposait seulement de diversifier les sources de financement en instaurant des frais d’inscription. Une décision qui ne pourra être prise que par l’exécutif, a souligné M. Azzimane.

-‘Solidarité’-

La mesure a la faveur du parti islamiste PJD, à la tête du gouvernement sortant et vainqueur des législatives d’octobre. Lahcen Daoudi, ministre sortant de l’Enseignement supérieur, se dit ainsi « partisan de la solidarité entre les riches et les pauvres ».

« La gratuité n’est pas en jeu, ce sont des frais d’inscription pour faire en sorte que les riches arrêtent de profiter du système », explique M. Daoudi à l’AFP. Il précise toutefois que cette mesure « n’est pas aujourd’hui à l’ordre du jour ».

Les craintes restent néanmoins vivaces du côté des défenseurs de l’école publique. Larbi Habchi, syndicaliste et ancien conseiller parlementaire, voit dans l’instauration de frais d’inscription « une manière détournée de privatiser l’éducation ».

Selon lui, « la gratuité de l’éducation est un acquis qu’il ne faut pas toucher, d’autant plus que la classe aisée et une partie de la classe moyenne ont depuis longtemps déserté l’école publique pour aller dans le privé », souligne-t-il à l’AFP.

« Comment convaincre les citoyens de s’acquitter de frais d’inscription alors que l’école publique produit des chômeurs? Avant de songer à instaurer des frais d’inscription, il faut d’abord mettre en place un système éducatif de qualité, en cohérence avec le marché du travail », poursuit ce syndicaliste.

Pour Nabila Mounib, secrétaire générale du PSU (Parti socialiste unifié, gauche), « l’Etat encourage le privé aux dépends du public », soit un « système à deux vitesses » qui accompagne un « manque de vision et de stratégie ».

– 30% d’analphabètes –

Car l’Education marocaine est au bord de l’implosion: classes surchargées, fermetures en cascade d’écoles, manque criant de professeurs, abandon scolaire, interminable querelle sur l’arabisation… Le taux d’analphabétisme dans le royaume flirte avec les 30%, et une Marocaine sur deux de plus de 15 ans ne sait ni lire ni écrire. Le roi lui-même a vivement critiqué la politique éducative « en butte à de multiples difficultés et problèmes ».

« Le secteur de l’éducation souffre de plusieurs problèmes comme la formation des enseignants, leur nombre et la densification dans les classes », concède M. Daoudi.

L’Etat met pourtant les moyens, avec 25% de son budget -son premier poste de dépense- consacré à l’enseignement. Et il a lancé une « vision stratégique de la réforme de l’éducation » visant « l’édification d’une école de l’équité et de la qualité » d’ici 2030.

Mais les résultats ne sont pas à la hauteur des investissements: le Maroc fait partie des 25 pays les moins avancés en termes de scolarisation, selon l’Unesco.

Les enfants des familles aisées vont dans le privé ou dans les écoles du système français, alors que des dizaines d’écoles publiques sont fermées chaque année, parfois pour laisser place à des projets immobiliers.

L’enseignement privé au Maroc se développe « très rapidement », s’est inquiété le Comité des droits de l’enfant des Nations unies, une privatisation qui risque « d’exacerber les inégalités déjà existantes ».

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Mali : Procès d’Amadou Haya Sanogo : «Un espoir et un pas vers la lutte contre l’impunité»

Maliactu - ven, 09/12/2016 - 11:07
LE COMBAT : Que pensez vous du procès d’Amadou Aya à Sikasso?

Issa Karounga Kéïta: Je pense que ce procès nous donne, en tant que défenseur des Droits humains, beaucoup d’espoir dans le cadre de la lutte contre l’impunité. Mais, je pense que ce procès ne doit pas nous faire perdre de vue, voire oublier les autres graves cas de violation des Droits humains qui ont été commis depuis le début de la crise en 2012 et qui d’ailleurs continuent à être commis.

Trouvez-vous légaux ces multiples reports du procès, Monsieur Kéïta ?

Je pense que c’est normal ; car, c’est un procès, que ce soit le cas d’Amadou Aya ou un autre cas de procès ordinaire, il y a toujours ces choses là qui dépendent, quand même, des moyens de défense des parties au procès. Tantôt c’est la partie civile qui est l’initiateur, tantôt c’est la défense et tantôt même cela dépend de l’attitude des magistrats et des juges qui sont sur l’affaire. Mais, je pense qu’on ne doit pas penser comme si le procès allait se faire en une journée. Mais plutôt, il doit prendre le maximum de temps qu’il faudra pour la manifestation de la vérité. Sur ce, les reports sont, donc, tout à fait normaux.

Issa K. Kéïta, que pensez-vous du transfert de ce procès à Sikasso ?

Je pense que vous-même vous observez déjà la tension qui est au tour de ce procès. Déjà, même à Sikasso où il est transféré, on voit la tension qui le suit. A mon avis, si ce transfert peut contribuer à la manifestation de la vérité je n’y vois pas d’inconvénients. Il faut, vu la situation actuelle du pays, essayer de sauvegarder l’ordre public. Le Mali est en crise ; donc, il ne faut jamais perdre de vue à cela, tout ce qu’on peut faire non seulement pour rendre la justice dans ce pays, mais on ne doit pas aussi oublier de tenir compte de côtés sociopolitiques et économiques de la nation et des citoyens. Car, le pays est toujours en crise.

Que proposerez-vous pour le bon déroulement de ce procès longtemps attendu ?

Ce que moi je proposerais d’abord, c’est de demander au gouvernement de mettre tous les moyens nécessaires à la disposition de la justice. Car, cela est très important pour la tenue correcte et impartiale d’un procès. Que ce ne soit pas seulement pour le cas de Sanogo, qui nous donne de l’espoir, mais, depuis 2012 à nos jours, il y a eu de milliers de Maliens qui ont été victimes de toutes sortes d’actes de violations graves des droits humains ; il y a de très hauts Responsables de l’Etat qui ont été sauvagement tués même à Kidal en 2014 , et les cas de l’insécurité qui est d’actualité un peu partout à travers le pays. Je pense que l’Etat doit essayer de mettre l’accent sur la quiétude et ce n’est pas la position actuelle qui peut favoriser cela. Il lui faut, donc, de mettre des moyens financiers, des moyens matériels et techniques à la disposition de la justice pour qu’elle puisse jouer véritablement son rôle.

Et je demande également à plus de courage à nos magistrats ; parce que, souvent, quand ça ne va pas, même les politiques ont tendance à se rabattre sur eux. Les magistrats sont censés être indépendants et autonomes. Ils doivent toute leur indépendance pour pouvoir faire régner la justice dans ce pays.

Propos recueillis par Sanogo Sheibou : LE COMBAT

Source : Le Combat

 

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Sébastien de Montessus

Jeune Afrique / Economie - ven, 09/12/2016 - 11:06

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La décision de réduire les vacances d’hiver répond à des critères internationaux.

Algérie 360 - ven, 09/12/2016 - 11:05

La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, a affirmé jeudi à Alger, que la décision portant réduction des vacances d’hiver de 15 à 10 jours « répond à des critères internationaux ».

« Les vacances d’hiver n’ont pas été écourtées de manière anarchique mais sur la base d’une étude comparative entre l’Algérie et d’autres pays afin d’adapter les vacances scolaires aux critères internationaux », a déclaré à la presse Mme Benghabrit en marge d’une séance plénière au Conseil de la nation

Elle a annoncé le lancement début janvier à Biskra, d’une stratégie nationale de traitement pédagogique qui a pour objectif « la maîtrise de la langue d’enseignement soit l’arabe et les matières de mathématiques et de français ».

A une question d’un membre du Conseil de la nation sur les principaux partenaires sociaux consultés pour l’adaptation de l’application de la réforme de 2003, elle a indiqué que « les portes du ministère de l’Education restent ouvertes à tous les avis fondés sur des données objectives ».

Elle a précisé à cet effet, que ce qu’entreprend actuellement le ministère tendait à « renforcer les acquis de cette réforme dans le cadre de la mise en exécution du programme du président de la République en prenant en charge deux questions à savoir les pratiques pédagogiques et la gouvernance ».

A cette occasion, Mme Benghabrit a réitéré son engagement à « asseoir une consultation franche et permanente avec tous les intervenants en associant les professionnels et les partenaires à la réflexion lors des différentes rencontres ».

Elle a rappelé à ce propos, les deux conférences nationales d’évaluation de l’application de la réforme en 2014 et 2015 et auxquelles avaient pris part plus de 1000 personnalités de la société civile et des membres de la famille éducative et les différents partenaires présents aux ateliers thématiques.

Elle a expliqué en outre, que l’association de tous les acteurs visait essentiellement la mobilisation de tous et leur droit à être informés sur toutes les décisions et mesures à prendre.

D’autre part et à une question sur le contenu de la convention signée avec le ministère français de l’Education, elle a souligné que la coopération avec les pays étrangers encadrait les échanges entre les pays en matière d’expérience, de formation et de recherche.

Elle a estimé que la coopération algéro-française dans le domaine de l’éducation était sous-tendue par un cadre référentiel à savoir un document cadre de partenariat entre les gouvernements algérien et français signé le 4 décembre 2007, la Déclaration d’Alger sur l’amitié et la coopération en date du 19 décembre 2012 et le programme d’action entre les ministères algérien et français de l’éducation conclu le 19 juin 2013.

Par ailleurs, Mme Benghabrit a relevé que toutes les opérations programmées au titre de la coopération bilatérale s’inscrivaient dans le cadre de la poursuite de l’application du programme d’action signé le 19 juin 2013 et qui comporte le développement de projets intégrés afférents aux questions pédagogiques importantes comme l’approche par compétences et l’évaluation de la formation.

Elle a cité enfin, les améliorations apportées en 2014 et 2015 et qui ne touchent pas les axes comme la méthodologie, le développement des compétences professionnelles dans des domaines précis et la formation en direction des inspecteurs.

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