La corruption gangrène les universités de Bosnie-Herzégovine
Bosnie-Herzégovine : Universités non reconnues, diplômes sans valeur
Réformes majeures à l'Université de Sarajevo
Bosnie : les divisions politiques bloquent la réforme de l'Université
Bosnie : Université en crise, réformes en panne
Bosnie : la fuite des cerveaux, à toute vitesse
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Place: European Convention Centre (KIRCHBERG building), Luxembourg
All times are approximate and subject to change
If EUNAVFOR Med is launched, a press briefing on the operation will be held in Luxembourg after the adoption of the A-items. This briefing will be retransmitted live to the Council press centre in Brussels (accreditation to the Euro summit will be required for access to the press centre).
In the margins of the Council:
Az Agria Nyári Játékok és az egri Gárdonyi Géza Színház közös produkcióját, A fejedelem című történelmi rock-musicalt láthatja a kárpátaljai közönség júliusban.
A Kárpátaljai Magyar Nagycsaládosok Egyesülete (KMNE) által szervezett nem mindennapi rendezvény helyszínéül a beregszászi amfiteátrumot választották. A szabadtéri előadás időpontja július 25., esős idő esetén július 26., 19.45 óra (közép-európai idő szerint). Jegyek igényelhetőek a KMNE irodájában (Beregszász, Rákóczi tér 6.), illetve a 095-838-62-56-os telefonszámon és a kmne2012@gmail.com e-mail címen.
A Moravetz Levente által írt darabot Balásy Szabolcs és Horváth Krisztián zenésítette meg. A musicalt a Rákóczi-szabadságharc 300. évfordulójának tiszteletére 2011-ben mutatták be Egerben. II. Rákóczi Ferenc szerepében Kelemen Csaba színművészt láthatjuk, míg Bercsényi Miklóst a Jászai Mari-díjas Sasvári Sándor testesíti meg.
A szervezők minden érdeklődőt szeretettel várnak.
Kárpátalja.ma
Csaknem kilencezer orosz katona tartózkodik jelenleg Ukrajna területén – jelentette ki pénteken Szerhij Halusko ezredes, a Kijev által terrorellenesnek nevezett hadművelet parancsnokhelyettese.
Az ezredes által ismertetett adatok szerint az országban lévő orosz csapatok összesen 532 páncélozott harceszközzel, 153 tüzérségi fegyverrel, 190 harckocsival, 89 rakéta-sorozatvetővel, 66 légvédelmi rendszerrel és 4 Tocska-U típusú harcászati rakétarendszerrel rendelkeznek. A “törvénytelen fegyveres csoportok”, vagyis az oroszbarát kelet-ukrajnai szakadár erők jelenlegi összlétszáma 33 ezer fő. Egy hónappal korábban még 43 ezer főre tette a parancsokság a szakadár fegyveresek számát.
A parancsnokhelyettes hozzátette, hogy a kelet-ukrajnai szakadároknak jelenleg legalább 368 harckocsijuk, 940 egyéb páncélozott harcjárművük és 375 lövegük van.
A kijevi parancsnokság péntek reggeli közleménye szerint nem csitulnak a szakadárok támadásai a kelet-ukrajnai front mentén, az elmúlt nap alatt mintegy 90-szer sértették meg a “törvénytelen fegyveres alakulatok” a tűzszünetet.
A leghevesebb támadás a Donyeck környékén, a marjinkai katonai állásokat érték, amelyekre legalább tízszer nyitottak tüzet a szakadárok. Két újabb ostromot indítottak a településnél a támadók, a katonák a kijevi parancsnokság tájékoztatása szerint mindkettőt visszaverték.
A belügyminisztérium Donyeck megyei részlege pénteken közölte, hogy Marjinka lakóövezetében is csapódtak be lövedékek. Egyelőre egy civil sérültről tudnak, egy 38 éves nőt, repeszek okozta sebekkel szállította kórházba.
A Luhanszk megyei kormányzóság pénteken arról tájékoztatott, hogy előző nap Grad rakéta-sorozatvetővel 20 lövést adtak le a szakadárok a frontvonal ukrán ellenőrzésű oldalán fekvő Popaszna városra. A támadás következtében egy nemzeti gárdista megsebesült, és több, frissen felújított lakóházban súlyos károk keletkeztek.
Az elmúlt egy napban a szakadárok a frontvonal teljes hosszán lőtték az ukrán katonák állásait Grad rakéta-sorozatvetőkkel, tüzérségi eszközökkel, harci járművekről, valamint gránátvetőkkel és kézi lőfegyverekkel. Sötétedés után még hevesebben támadtak, az éjjel 55-ször tüzeltek katonai állásokra és lakóházakra – írta közleményében a parancsnokság.
A minszki egyezmény által tiltott, nagy kaliberű fegyvereket a Donyeck és Luhanszk között fekvő Artemivszk város környékén vetettek be, ahol 152 milliméteres tarackokkal támadtak, valamint az Azovi-tenger partján fekvő Mariupol kikötővárostól északkeletre Csermalik településnél támadtak 120 milliméteres aknavetőkkel.
Le Soudan du Sud, jeune nation indépendante depuis l’année 2011, est ravagé par une guerre civile qui a débuté en décembre 2013 le menant aujourd’hui au bord de l’implosion. Quelles en sont les raisons ?
Il faut bien sûr se souvenir de l’histoire de ce pays. Le Soudan du Sud a été victime de guerres conduisant à l’indépendance qui ont duré plusieurs décennies et ont fait deux millions de morts, sans compter les déplacés, les réfugiés et les drames humains liés à ces conflits. Suite au référendum de 2011, l’indépendance du Soudan du Sud fut proclamée la même année, contre la règle de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) reprise par l’Union africaine, imposant l’intangibilité des frontières. C’est l’armée, dirigée par Salva Kiir, qui a lutté pour l’indépendance du pays et qui a ensuite pris le pouvoir. Malgré cet état de fait, beaucoup de problèmes n’ont pas été réglés lors de l’indépendance, ce qui explique la conflictualité actuelle dans laquelle se trouve ce jeune État. Un facteur d’instabilité majeur tient au fait que le Soudan du Sud est un des pays les plus sous-développés au monde avec un niveau extrêmement faible d’infrastructures, de formations, de système de santé, et de possibilités de nourrir la population. La seule ressource – qui a d’ailleurs été un des enjeux de l’indépendance – est le pétrole qui, pour 80% du territoire soudanais, était localisé au Sud. Par ailleurs, la difficulté à construire une nouvelle nation est dûe au fait que les milices et les mouvements armés agissant pour l’indépendance ont eu beaucoup de mal à se reconvertir en partis politiques structurés. Il faut savoir que les déterminants ethniques sont très importants au Soudan du Sud et que les rivalités entre ces groupes ethno-régionaux sont grandes. Il existe des conflits ancestraux entre les Dinka que représente Salva Kiir, l’actuel président du pays, et les Nuer que représente Riek Machar, principal opposant au pouvoir. De plus, le Soudan n’a pas réglé tous ses contentieux avec le Soudan du Sud et interagit également sur ces mouvances. Le Soudan est encore présent dans certains conflits au Soudan du Sud, et réciproquement.
Il existe donc une conjonction de facteurs qui font que, malgré les accords d’Addis-Abeba de 2014, et malgré les derniers accords d’Addis-Abeba de février 2015, la montée en puissance de la conflictualité au Soudan du Sud ne diminue pas, avec un nombre de morts qui continue de croître et des drames humanitaires qui se multiplient en termes de réfugiés, de déplacés et d’insécurité alimentaire.
Selon vous, la non-résolution de ce conflit est-elle en partie imputable aux jeux des acteurs régionaux ? Quid de la position de l’Union africaine ?
Dès le départ, de très fortes oppositions entre les États africains sont apparues quant à la légitimité de l’indépendance du Soudan du Sud, dans la mesure où elle n’avait pas de raisons historiques de s’opérer, si ce n’est en raison des conflits existant entre les groupes « négro-africains » et « chrétiens » du Sud et les groupes arabes et musulmans du Nord. Les pays comme l’Égypte ou les membres de la Ligue arabe étaient contre l’indépendance du pays, alors qu’au contraire, les États-Unis et Israël, en accord avec l’Ouganda, le Rwanda, ou encore l’Éthiopie, y étaient favorables.
Par ailleurs, les enjeux pétroliers sont considérables dans ce conflit qui est aujourd’hui devenu un jeu de géopolitique pétrolière et une source de rivalités entre les pays de la région. Le pétrole produit par le Soudan – désormais seulement 20% environ des réserves – est évacué par Port-Soudan, afin d’être ensuite exporté vers la Chine notamment. Le Soudan du Sud, quant à lui, est pour l’instant obligé d’utiliser les oléoducs du Soudan pour acheminer son pétrole, faute d’infrastructures nationales. Il a donc pour projet, en relation avec le Kenya et l’Éthiopie, de construire un nouvel oléoduc qui permettrait d’évacuer son pétrole vers la Mer rouge, sans passer par le Soudan. Ceci dit, les enjeux pétroliers ne sont pour le moment que moyennement touchés par les conflits, puisque les puits de pétrole continuent malgré tout de fonctionner. Un autre point de crispation entre les pays de la région concerne les problèmes non réglés liés à la citoyenneté. Il y a en effet un grand nombre d’apatrides qui ne sont ni Soudanais, ni Soudanais du Sud, vivant actuellement dans un certain nombre de pays voisins. Cette situation engendre des problèmes de migrations et de réfugiés que les pays voisins doivent gérer par eux-mêmes. Il y a donc tout un ensemble de problèmes qui rétroagissent d’une manière évidente sur la région.
L’Union africaine cherche effectivement à faire avancer le dossier. Elle a à cet effet nommé et envoyé sur place l’ancien président malien Alpha Oumar Konaré en tant que représentant de l’Union africaine chargé d’assurer la paix. En outre, les accords d’Addis-Abeba ont été réalisés sous l’égide de l’Autorité intergouvernementale sur le développement (IGAD), groupement régional associant huit pays Est-africains. Par conséquent, l’Union africaine n’est pas totalement absente mais elle est d’une certaine manière impuissante en raison notamment des positions différentes adoptées par ses États membres sur le dossier. La communauté internationale, quant à elle, se désintéresse du conflit. Les États-Unis, qui ont œuvré pour l’indépendance du Soudan du Sud, sont très peu impliqués dans la résolution de cette crise. Le Conseil de sécurité des Nations unies a certes envoyé sur place la force de la MINUSS (Mission des Nations unies au Soudan du Sud) composée d’environ 14 000 hommes, mais ces derniers ne sont pas une force d’interposition, ils font juste en sorte qu’un minimum d’aide alimentaire puisse être acheminée dans le pays.
Toutes les tentatives de médiation menées par les instances régionales depuis le début de cette guerre ont échoué. Face à l’afflux de réfugiés et à la situation humanitaire catastrophique que connaît le pays, faudrait-il envisager une médiation internationale sur ce dossier ? Comment expliquer le manque d’intérêt de la communauté internationale ?
C’est un conflit de plus qui ne mobilise que très peu les médias et auxquelles les opinions publiques ne sont pas très sensibles. Ces dernières ont été beaucoup plus impactées par le génocide perpétré par le Soudan au Darfour, qui a fait 300 000 morts. A l’époque, de grandes mobilisations avaient vu le jour. Il me semble qu’à l’inverse, le conflit actuel au Soudan du Sud est un des drames du monde qui laisse les opinions publiques relativement indifférentes parce qu’elles n’en sont pas informées, ni sensibilisées.
A mon sens, ce sont les Etats-Unis qui sont concernés au premier chef. L’opinion publique américaine a été favorable à l’indépendance mais, aujourd’hui, aucune réaction ni de la presse, ni des partis politiques américains n’est observable.
Côté français, on peut peut-être expliquer ce manque d’intérêt par le fait que le Soudan du Sud n’est pas un pays francophone et n’a jamais fait partie de la zone d’influence de la France. Cette dernière est par ailleurs déjà engagée au Mali, en Centrafrique, et se préoccupe également de la situation des pays sahéliens. La France ne peut pas être sur tous les fronts en même temps et par conséquent, n’est pas particulièrement responsable de cette situation. L’Union européenne a selon moi sa part de responsabilités en ne mobilisant pas suffisamment les opinions publiques sur ce drame. C’est un conflit occulté, comme beaucoup de drames de l’humanité qui ne sont pas sur le devant de la scène. Paradoxalement, un attentat suicide mobilise beaucoup plus les opinions publiques qu’un génocide provoquant la mort de 300 000 êtres humains.
Der Rat hat am 13. März 2015 den Beschluss (GASP) 2015/432 des Rates [1] angenommen.
Mit diesem Ratsbeschluss werden die geltenden Maßnahmen bis zum 15. September 2015 verlängert, werden die Einträge zu bestimmten Personen geändert und wird die im Anhang des Beschlusses 2014/145/GASP enthaltene Liste der Personen, Organisationen und Einrichtungen, die restriktiven Maßnahmen unterliegen, geändert.
Die Bewerberländer Montenegro* und Albanien* und die dem Europäischen Wirtschaftsraum angehörenden EFTA-Länder Island, Liechtenstein und Norwegen sowie die Ukraine schließen sich diesem Beschluss des Rates an.
Sie werden dafür Sorge tragen, dass ihre nationale Politik mit dem genannten Ratsbeschluss im Einklang steht.
Die Europäische Union nimmt diese Zusicherung mit Genugtuung zur Kenntnis.
[1] Am 14.3.2015 im Amtsblatt der Europäischen Union (ABl. L 70, S. 47) veröffentlicht.