Friedrich Merz a été élu chancelier par le parlement allemand mardi 6 mai dans l'après-midi, après avoir échoué à obtenir la majorité nécessaire au premier tour plus tôt dans la journée.
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Le gouvernement béninois a procédé depuis quelques mois à l'ouverture de plusieurs infrastructures marchandes dont celle de Ganhi à Cotonou. Ce nouveau marché de Ganhi offre un environnement propre, organisé et accueillant, tant pour les marchands que pour les clients.
Le marché moderne de Ganhi s'impose comme une référence en matière d'infrastructures marchandes propres et bien organisées à Cotonou. Dès l'entrée, le visiteur est frappé par l'ordre et l'hygiène dans ce marché. Tout est mis en œuvre pour offrir aux usagers un cadre agréable et sain. C'est le résultat d'une gestion quotidienne du site.
L'entretien du marché est assuré par l'entreprise ATALYS. Spécialisée dans le nettoyage, elle mobilise chaque jour ses agents pour assurer la propreté des lieux. Leur présence constante contribue à maintenir un haut niveau de propreté, essentiel dans le nouveau marché moderne de Ganhi. Ces efforts sont d'autant plus importants qu'ils participent à la préservation de la santé publique et à l'amélioration de la qualité de vie urbaine.
Étals de fruits et légumes au marché Ganhi, CotonouLes marchands eux-mêmes se réjouissent d'exercer leurs activités dans ces conditions.« Le marché est propre et quand les clients viennent, ils ne sont pas pressés de partir. On ne peut pas comparer à là où on était. Chacun jetait ses ordures où il veut », a souligné dame Odette, vendeuse de fruits depuis plus de 10 ans à Ganhi. Selon elle, le marché de Ganhi garde sa propreté depuis son ouverture. « C'est bon pour nous et les clients aussi », a-t-elle ajouté.
Pour dame Léonie, les agents d'entretien font bien leur travail. « Ils viennent chaque jour nettoyer les lieux. Nous aussi, nous sommes tenus de maintenir nos étals propres » , a indiqué la revendeuse de produits divers.
La discipline instaurée incite aussi les usagers du marché à adopter de meilleurs comportements en matière de gestion des déchets. « Tu ne peux pas venir dans ce marché et jeter les ordures au sol parce que c'est bien propre par ici. Honnêtement, je suis impressionnée. Je viens chaque semaine et je remarque que les coins sont entretenus. Cela donne envie de revenir faire ses courses » , a confié Viviane Nounagnon, usager du marché Ganhi.
Selon Julien Fernando, ces efforts doivent continuer pour maintenir la propreté au sein du marché de Ganhi. « Il ne faut pas s'arrêter là après quelques mois. Nous voulons toujours voir ce lieu propre. C'est avant tout une question de santé », a indiqué ce client.
Akpédjé Ayosso
L'écrivaine béninoise Elena Miro K. a publié son ouvrage « Penser. Être. Devenir », aux éditions Éditions Jets d'Encre. Il s'agit d'un guide puissant pour révéler sa force féminine et se réinventer.
Tous les outils-clés pour prendre conscience de ses capacités et de sa force féminine afin de renaître. C'est dans l'ouvrage « Penser. Être. Devenir » d'une écrivaine béninoise. Elena Miro K. invite à explorer les tréfonds de votre condition et à, un pas après l'autre, vous débarrasser des excuses pour marcher résolument vers une version plus épanouie de vous-même.
Cet ouvrage dévoile des outils inédits pour faciliter le voyage vers cette quête profonde de soi et de son environnement et ainsi permettre de s'ouvrir au bonheur et à la liberté. Ce guide comble un vide pour toutes celles qui, voulant croire en leurs potentiels et en leur force intérieure, veulent assumer la pleine responsabilité de leur bonheur et se révéler au monde dans toute leur puissance féminine.
À travers des histoires inspirantes, des exemples concrets, des témoignages et des exercices à réaliser, Elena Miro K. amène, chapitre après chapitre, ses lectrices à prendre peu à peu confiance en elles et à révéler la femme forte et courageuse qui sommeillait.
Qui est Elena Miro K ?
Elena Miro K. est une écrivaine engagée et stratège d'influence reconnue. Entrepreneure visionnaire, experte en personal branding et présidente de la Women's Empowerment Foundation, elle façonne des leaders et accompagne les personnalités à bâtir une empreinte durable. À travers ses écrits et ses engagements, elle fusionne art, leadership et impact stratégique pour inspirer et transformer.
Au Bénin, les services financiers mobiles ont enregistré 2 911,23 milliards de francs CFA en dépôts, au cours de l'année 2024, selon des données de l'ARCEP-Bénin.
Les dépôts effectués via les services financiers mobiles au Bénin ont totalisé 2 911,23 milliards de francs CFA en 2024, soit une baisse de 15,13% par rapport à l'année précédente.
Les volumes des opérations de dépôt et de retrait d'espèces enregistrés auprès des trois fournisseurs de services financiers mobiles (MTN MOBILE MONEY, MOOV MONEY et CELTIIS CASH) sont respectivement estimés à 272,24 millions et à 242,55 millions en 2024.
Selon le rapport annuel d'activités 2024 de l'Arcep Bénin, ces opérations de rechargement de porte-monnaie électronique et de retrait d'espèces sont respectivement en hausse de 19,35% et de 12,51% par rapport à 2023, et représentent respectivement 10,8% et 9,7% du volume global des transactions enregistrées en 2024.
« Les transactions effectuées via la téléphonie mobile au Bénin sont relatives aux dépôts et retraits d'argent, aux achats de crédit téléphonique, aux transferts push et pull, aux paiements des salaires, aux paiements marchands, aux transferts P2P, aux transferts P2C et aux transferts internationaux entrants et sortants ».
« Le volume des transactions des services financiers mobiles est évalué à 2 512 millions de transactions en 2024, soit une moyenne journalière de 6,88 millions d'opérations. Comparé aux données de 2023, cet indicateur a connu une croissance de 21,15%.
Ce volume est constitué de 99,5% de transferts nationaux et de 0,5% de transferts internationaux ».
Chiffre d'affaires et part de marché
Le chiffre d'affaires des fournisseurs du service financier mobile est estimé à 64,2 milliards de francs CFA au 31 décembre 2024. Ce chiffre d'affaires a connu un accroissement de 22% par rapport à 2023.
MTN MOBILE MONEY, MOOV MONEY et CELTIIS CASH en part de marché selon la valeur des opérations mobiles en 2024Cette valeur de marché des services financiers mobiles est répartie entre les opérateurs avec 85,4% pour MTN MOBILE MONEY, 13,2% pour MOOV MONEY et CELTIIS CASH 1,4%.
M. M.
En 2024, le marché des opérateurs de téléphonie mobile au Bénin affiche une croissance de 1,4% soit un chiffre d'affaires global de 339,578 milliards de FCFA pour les 3 réseaux de communication électronique (CELTIIS, MTN et MOOV AFRICA).
Le marché des opérateurs de téléphonie mobile au Bénin a généré en 2024 un chiffre d'affaires global de 339,578 milliards de francs CFA. Ce chiffre d'affaires est en hausse de 1,4% comparativement à l'année 2023. Cette tendance masque, toutefois, des disparités entre les acteurs du marché.
« De 2023 à 2024, on note une baisse des chiffres d'affaires de SPACETEL BENIN et de MOOV AFRICA BENIN », selon le rapport annuel d'activités 2024 de l'Autorité de Régulation des Communications Électroniques et de la Poste (Arcep Bénin).
« La baisse est plus prononcée au niveau de l'opérateur SPACETEL BENIN dont le chiffre d'affaires est passé de 223,3 milliards de francs CFA à 186,7 milliards de francs CFA sur la période revue, soit une baisse de 16,4%. Au cours de la même période, le chiffre d'affaires de MOOV AFRICA BENIN est passé de 99,3 milliards de francs CFA à 97,6 milliards de francs CFA, soit une baisse de 1,8% ».
« L'opérateur CELTIIS nouvel entrant poursuit sa pénétration du marché mobile au Bénin à travers les multiples stratégies commerciales déployées par ce dernier. Son chiffre d'affaires est passé de 12,3 milliards de francs CFA en 2023 à 55,4 milliards de francs CFA en 2024 », précise la même source.
M. M.
Even with its high healthcare expenditures, the US continues to lag behind other developed countries on virtually every measure of the chances of dying and living, including preventable and treatable deaths. Credit: Shutterstock
By Joseph Chamie
PORTLAND, USA, May 6 2025 (IPS)
On the crucial matters of life and death, the United States is a costly anomaly. Simply stated, women and men in the US pay more for health but get less life.
Although the United States has the highest healthcare costs per capita among developed countries, it does poorly compared to other developed countries on the vital issues of life and death.
The US spends close to twice the amount on healthcare per capita as other developed nations. In 2023, for example, the United States spent approximately $13,400 per person on healthcare, while the comparable average for other OECD countries was about $7,400 (Figure 1).
Source: OECD.
Even with its high healthcare expenditures, the US continues to lag behind other developed countries on virtually every measure of the chances of dying and living, including preventable and treatable deaths.
Despite the US paying higher healthcare costs per capita than other developed countries, men and women in the United States are ending up with higher death rates and shorter lives than their peers abroad
The poor standing of the United States on measures of life and death persists despite the US having: (1) the world’s largest economy; (2) the most powerful military; (3) the third largest land area, population and workforce; (4) enormous amounts of resources; (5) a highly educated population; (5) a top migration destination; and (6) higher expenditures on health care per capita than other developed countries.
Starting at birth, the comparatively poor standing of the United States on matters of life and death is strikingly evident. The US has a higher infant mortality rate than the majority of other developed countries.
In 2023, the US ranked 33rd out of 38 OECD countries in terms of infant mortality. The US infant mortality rate of 5.6 deaths per 1,000 live births, which in 2023 resulted in 20,162 infant deaths, is more than three times the infant mortality rates of Japan, Norway and Sweden, which were about 1.7 deaths per 1,000 live births.
If the US had experienced an infant mortality rate of any of those three countries in 2023, the number of infant deaths would have been about 6,113, or 30% of the actual number of infant deaths.
Regarding maternal deaths, the United States also has one of the highest maternal mortality rates among wealthy nations. Its standing on maternal mortality is well below other developed countries, ranking 30th among OECD countries. In 2021, the US maternal mortality rate was three times the OECD average, i.e., 33 deaths per 100,000 versus 11 deaths per 100,000.
Furthermore, the life expectancy at birth of the United States ranks at about 32nd among OECD countries. In 2023, the US had a life expectancy of about 78 years, compared to an average of about 83 years among peer countries. The US life expectancy at birth is well behind countries such as Canada, France, Japan, Sweden and Switzerland (Figure 2).
Source: OECD.
It is the case that life expectancy at birth varies considerably across the large territory of the United States. Nevertheless, the life expectancies of all 50 US states fall below the average for comparable developed countries.
With respect to premature death before age 70 years, the US level is substantially higher than those of other developed countries. In 2021, the premature death rate before age 70 years of the United States was approximately twice the average for similar wealthy countries, i.e., 408 versus 228 per 100,000 people below age 70 years.
In the ages 25 to 29 years, men and women in the US experience death rates nearly three times higher than their counterparts in other developed countries. In particular, men and women in the United States are almost twice as likely as those in peer countries to die of cardiovascular diseases before age 70.
Also, US death rates from chronic diseases of the liver, kidneys and respiratory system as well as diabetes are increasing, especially among young people. In contrast, the death rates from those diseases in other developed countries have generally not changed or decreased during the recent past.
The reasons for the increase in chronic diseases among young people in the US are believed to be related to health behavior. For example, the prevalence of diabetes is strongly influenced by diet, respiratory diseases are linked to smoking and chronic liver conditions often result from heavy alcohol consumption.
The poor standing of the United States on the chances of survival continues well into old age. With respect to life expectancy at age 65 years, for example, the US is ranked 30th among OECD countries. Again, the US level is well below the life expectancies at age 65 years of other developed countries, including Australia, Canada, France, Japan, Sweden and Switzerland.
Many societal, communal, institutional and cultural factors influence life and death outcomes across the United States. Income, inequalities, access to healthcare, delays for care, lack of health insurance coverage, costs, affordability, shortages of healthcare professionals, administrative complexities and related shortcomings within the healthcare system are certainly critical determinants of survival outcomes and longevity in the US.
Moreover, the United States continues to be in a class by itself in the underperformance of its healthcare sector.
That underperformance is expected to worsen in the near future with the US administration’s proposed tax reduction legislation disproportionally going to the rich that is to be partially offset by huge cuts in Medicaid healthcare coverage, food assistance and related programs aimed at people with limited income, resources and security.
In contrast to the underperformance of the US healthcare, many high-income developed countries have found ways to meet most of the basic healthcare needs of its citizens, including universal coverage.
In addition to the shortcomings of the US healthcare sector, health behavior, including cigarette smoking, alcohol misuse, illicit drug use, motor vehicle crashes, firearms deaths, violence including homicides, obesity and the lack of exercise, also affect preventable deaths and average lifespans.
With respect to health behavior, men and women in the United States are doing relatively poorly in comparison to their peers in other developed countries. In terms of obesity, for example, the US level of approximately 42% is the highest among OECD countries with the percentages of many countries being a fraction of the US level, including Italy, Japan and South Korea, all at less than 10 percent.
In terms of daily food consumption, the United States consumes more calories and sugar per capita than any other OECD country. The US also has the highest level of ultra processed food consumption in the world, estimated to account for approximately half of the calorie intake of the average person in the United States.
Regarding motor vehicle crashes, the United States has one of the highest motor vehicle death rates among OECD countries. Among the reasons believed to account for the higher vehicle fatality rate of the US are distracted driving, speeding and impaired driving.
In 2022, for example, the US fatality rate from registered motor vehicles was one of the highest among OECD countries. The motor vehicle fatality rates of some OECD countries, such as Canada, Denmark, Italy, Japan, Sweden and the UK, were less than half of the US rate (Figure 3).
Source: OECD.
In sum, despite the US paying higher healthcare costs per capita than other developed countries, men and women in the United States are ending up with higher death rates and shorter lives than their peers abroad. Moreover, considering the recent actions and proposed legislation of the US government, the existing healthcare system and the health behavior of the country’s population, the anomaly of healthcare costs and length of life in the United States is not likely to improve any time soon.
Joseph Chamie is a consulting demographer, a former director of the United Nations Population Division and author of numerous publications on population issues, including his recent book, “Population Levels, Trends, and Differentials”.