Après deux jours de trêve, la CAN 2023 reprend ses couleurs ce samedi 27 janvier 2024 avec au programme deux matchs des huitièmes de finale à suivre dans la soirée.
Le gros choc de ce début de la phase à élimination directe dans la compétition va opposer les Super Eagles du Nigéria aux Lions Indomptables du Cameroun. Qui pour passer en quarts ? Réponse ce samedi soir.
Voici le programme de ce samedi dans la CAN 2023 :
Angola vs Namibie, 18h
Nigéria vs Cameroun, 21h
J.S
Un projet de loi portant révision de la Constitution a été transmis, vendredi 26 janvier 2024, à l'Assemblée nationale 9è législature. Le projet est à l'initiative du député Assan Seibou du Bloc Républicain (BR), un parti de la mouvance. (Lire la proposition de loi et l'analyse qui l'accompagne.
I – EXPOSE DES MOTIFS
Par la loi n°2019-40 du 7 novembre 2019 portant révision de la loi n°90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin, le législateur a institué l'organisation d'une année électorale dans le but de l'alignement pertinent des élections en vue de correspondre la durée de tous les mandats électifs et d'assainir le rythme des élections. Les dispositions prévues à cet effet sont :
Article 153-1 :
« A titre d'élections générales, sont organisées dans une même année électorale, les élections législatives et communales simultanément, puis l'élection du président de la République.
Seules les listes ayant recueilli un minimum de suffrages exprimés au plan national pour chacune des élections, sont admises à l'attribution des sièges.
Ce seuil est fixé par la loi ».
Article 153-2 :
« Les élections couplées, législatives et communales, sont organisées le deuxième dimanche du mois de janvier de l'année électorale.
Les députés élus à l'Assemblée nationale entrent en fonction et sont installés le deuxième dimanche du mois de février de l'année électorale.
Les conseillers communaux élus entrent en fonction et sont installés entre le premier et le troisième dimanche du mois de février de l'année électorale ».
Article 153-3 :
« L'élection du duo président de la République et vice-président de la République est organisée le deuxième dimanche du mois d'avril de l'année électorale.
Un second tour de scrutin est organisé, le cas échéant, le deuxième dimanche du mois de mai.
En aucun cas, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République ne peut être organisée simultanément avec les élections législatives et les élections communales.
Dans tous les cas, le duo président de la République et vice-président de la République élu entre en fonction et prête serment le quatrième dimanche du mois de mai ».
L'article 153-1 alinéa 1 de la Constitution qui fixe l'ordre des élections au cours de l'année électorale, manque de préciser, en ce qui concerne la présidentielle, qu'il s'agit de l'élection du duo président de la République et vice-président de la République.
Ensuite, cette disposition fait précéder les élections législatives et communales de celle du duo président de la République et vice-président de la République. Or, l'ordre ainsi établi, d'une part, révèle des dysfonctionnements sur le terrain pratique et, d'autre part, affecte la nature du régime présidentiel.
Sur le terrain pratique en effet, l'organisation des élections législatives et communales avant l'élection du duo président de la République et vice-président de la République rend difficile l'organisation de la délivrance des parrainages par les élus procédant tous d'une même origine électorale. La décision DCC n°24-001 du 4 janvier 2024 a révélé quelques aspects de la rupture d'égalité entre les parrains de sorte que la haute juridiction a enjoint à la Représentation nationale de procéder à la correction du Code électoral.
Toujours sur le terrain pratique, si la Constitution confère aux élus nationaux et communaux le pouvoir de parrainer les candidats à l'élection du duo président de la République et vice-président de la République, c'est en raison de leur légitimité politique. Or, en l'état actuel du dispositif, certains élus auraient parrainé en ayant perdu les élections ou en n'étant plus candidats à ces élections.
L'élection présidentielle est l'élection majeure dans un régime présidentiel. Parce que le président de la République est le titulaire du pouvoir exécutif et la clé de voute du régime constitutionnel et du système politique. A ce titre, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République devrait être le fer de lance des séquences politiques déterminée par l'alignement des mandats électifs.
L'organisation des élections législatives et communales avant celle du duo président de la République et vice-président de la République n'est pas conforme à la nature présidentielle de gouvernance politique, économique et sociale.
Enfin, les alinéas 2 et 3 de cette même disposition de l'article 153-1 dispose que :
« Seules les listes ayant recueilli un minimum de suffrages exprimés au plan national pour chacune des élections, sont admises à l'attribution des sièges.
Ce seuil est fixé par la loi ».
Or, l'article 81 de la Constitution avait déjà fixé, quasiment à l'identique, que :
« La loi fixe le nombre des membres de l'Assemblée nationale, les conditions d'éligibilité, le minimum de suffrages à recueillir par les listes de candidatures au plan national pour être éligibles à l'attribution des sièges, le régime des incompatibilités et les conditions dans lesquelles il est pourvu aux sièges vacants.
La Cour constitutionnelle statue souverainement sur la validité de l'élection des députés ».
Les alinéas 2 et 3 de l'article 153-1 de la Constitution constitue une réitération inutile et confuse de l'article 81 de la même Constitution.
En conclusion
1°) Il est proposé d'inverser l'ordre des élections en ce que cette inversion rétablit la prééminence des élections présidentielles dans le cycle électoral. Par ailleurs, cette inversion constitue également une solution législative qu'appelle la décision DCC n°24-001 du 4 janvier 2024 rendue par la Cour constitutionnelle, en vue de satisfaire aux principes de l'égalité et de légitimité des parrains.
Pour y parvenir, il suffit de modifier l'article 153-1 alinéa 1 ainsi qu'il suit : Article 153-1 alinéa 1 modification proposée : « A titre d'élections générales, sont organisées dans une même année électorale, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République, puis, simultanément, celle des députés et des conseillers municipaux ».
2°) Il est proposé, pour une meilleure clarté de la Constitution, de supprimer les alinéas 2 et 3 de l'article 153-1 de la Constitution et de restreindre l'article 153-1 à l'unique alinéa.
3°) Consécutivement, il est proposé que les articles 153-2 et 153-3 qui déterminent la date des élections soient modifiés dans le sens d'organiser l'élection du duo président de la République et vice-président de la République le premier dimanche du mois de février, le second tour de cette élection pourrait être alors organisé le quatrième dimanche du mois de février. A la faveur de cette modification, il est également proposé de corriger la soumission du vice-président de la République à la prestation de serment et à l'entrée en fonction qui s'est malencontreusement glissée dans le quatrième et dernier alinéa de rédaction actuelle de l'article 153-3. Il est proposé que ce texte soit modifié comme suit :
« L'élection du duo président de la République et vice-président de la République est organisée le premier dimanche du mois de février de l'année électorale.
Un second tour de scrutin est organisé, le cas échéant, le quatrième dimanche du mois de février.
En aucun cas, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République ne peut être organisée simultanément avec les élections législatives et les élections communales.
Dans tous les cas, le président de la République élu entre en fonction et prête serment le deuxième dimanche du mois de mars ».
L'article 153-2 fixant la période de l'organisation des élections législatives et communales pourrait devenir le nouvel article 153-3. Il est recommandé que les élections couplées législatives et communales soient organisées dans l'année électorale, après l'entrée en fonction du président de la République, pour une meilleure articulation politique et afin qu'il préside cette organisation. Dans ces conditions, le mois de mai est proposé, d'autant qu'il permet que ces élections soient organisées avant la saison des pluies. Enfin, l'installation des conseils municipaux relevant des prérogatives de l'administration, il est proposé qu'elle soit renvoyée à la loi.
Il est alors proposé de modifier l'article 153-2 (nouvel article 153-3) en vigueur comme suit :
« Les élections couplées, législatives et communales, sont organisées le troisième dimanche du mois de mai de l'année électorale.
Les députés élus à l'Assemblée nationale entrent en fonction et sont installés le deuxième dimanche du mois de juin.
Les conseillers communaux élus entrent en fonction et sont installés dans les conditions prévues par la loi ».
Enfin, la crainte du troisième mandat exprimé par une partie de l'opinion publique mérite d'être prise en considération. Or, on a pensé que l'alinéa 2 de l'article 42 avait définitivement épargné le Bénin d'une telle dérive. Toutefois, la rédaction de ce texte paraît malheureuse et prêterait à plusieurs interprétations, y compris celle qui autorise une troisième candidature après une double élection.
Ce texte dispose en effet que :
« En aucun cas, nul ne peut, de sa vie, exercer plus de deux mandats présidentiels »
Il est proposé de réécrire l'alinéa 2 de l'article 42 comme suit :
« Dans tous les cas, nul ne peut, de sa vie, exercer plus de deux mandats présidentiels »
C'est au bénéfice de ces observations que je vous prie, monsieur le Président de l'Assemblée nationale, de soumettre à l'examen de la Représentation nationale la présente proposition pour son étude et son adoption.
II – PROPOSITION DE LOI
portant modification de la loi n°90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin modifiée par la loi n°2019-40 du 7 novembre 2019
L'Assemblée nationale a, conformément à la loi n°90-32 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin modifiée par la loi n°2019-40 du 7 novembre 2019, délibéré et adopté en sa séance du…., la loi dont la teneur suit :
Article 1er :
Les alinéas 2 et 3 de l'article 153-1 sont supprimés.
Entre les article 153-2 et l'article 153-3, l'ordre est inversé. En conséquence, l'article 153-2 est le nouvel article 153-3 ; l'article 153-3 est le nouvel article 153-2.
Sont modifiés, les articles 42 alinéa 2 ; 153-1 ; 153-2 ; 153-3 ainsi qu'il suit :
Article 42 alinéa 2 nouveau :
« Dans tous les cas, nul ne peut, de sa vie, exercer plus de deux mandats présidentiels »
Article 153-1 nouveau :
« A titre d'élections générales, sont organisées dans une même année électorale, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République, puis, simultanément, celle des députés et des conseillers municipaux »
Article 153-2 nouveau :
« L'élection du duo président de la République et vice-président de la République est organisée le premier dimanche du mois de février de l'année électorale.
Un second tour de scrutin est organisé, le cas échéant, le quatrième dimanche du mois de février.
En aucun cas, l'élection du duo président de la République et vice-président de la République ne peut être organisée simultanément avec les élections législatives et les élections communales.
Dans tous les cas, le président de la République élu entre en fonction et prête serment le deuxième dimanche du mois de mars ».
Article 153-3 nouveau :
« Les élections couplées, législatives et communales, sont organisées le troisième dimanche du mois de mai de l'année électorale.
Les députés élus à l'Assemblée nationale entrent en fonction et sont installés le deuxième dimanche du mois de juin.
Les conseillers communaux élus entrent en fonction et sont installés dans les conditions prévues par la loi ».
Article 2 :
La présente loi constitutionnelle entre en vigueur dès sa promulgation et sera exécutée comme loi de l'Etat.
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Les fonctionnaires de la Police républicaine, de la douane, des eaux et forêts, de l'armée mis à la retraite d'office bénéficient d'une mesure d'accompagnement suivant le décret portant modalités d'allocations au personnel des forces de défense et de sécurité et assimilés. Voici les modalités, selon les explications du Secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement.
Tous les corps armés ou assimilés ont dans leurs textes des dispositions qui prévoient la mise à disposition d'office. Et les agents sont informés dès qu'ils intègrent le corps qu'ils peuvent être mis à la retraite d'office lorsque les conditions sont remplies.La mise à la retraite d'office n'est pas une pratique nouvelle. Elle remonte à des années en arrière, a expliqué Wilfried Houngbédji, secrétaire général et porte-parole du gouvernement, vendredi 26 janvier 2024 face aux journalistes.
La mesure est « moins politique que professionnelle ».
D'ailleurs, le gouvernement du président Talon porte une attention particulière aux Forces de Défense et de Sécurité.
« Nous avons investi beaucoup dans la logistique, les équipements et la formation. Donc cela montre l'intérêt du gouvernement pour le corps. En conclusion, vous devriez vous dire que si on arrive à une telle mesure, c'est forcément parce qu'il y a des raisons qui la fonde », a expliqué Wlifried Houngbédji.
« La mesure n'est pas punitive ». Pour preuve, le porte-parole du gouvernement indique qu' « aucun » des agents objet de « procédures disciplinaires » ne figure sur la liste de mise à la retraite d'office.
La décision concerne un peu moins de 700 agents qui bénéficient de mesure d'accompagnement, selon le porte-parole du gouvernement.
Mesures d'accompagnement…
« Les mesures d'accompagnement de cette décision, c'est de faire en sorte que sur un certain temps, les intéressés puissent avoir encore leur salaire avant de commencer à jouir de la pension de retraite elle seule », a indiqué Wilfried Houngbédji.
« Nonobstant la pension de retraite normale à laquelle les intéressés ont droit dès la mise à la retraite d'office, ils bénéficient d'une allocation complémentaire. (…) Leur pension est normale, c'est la pension de quelqu'un qui a été jusqu'au bout de sa carrière », a fait savoir le porte-parole du gouvernement.
« Mais pendant la première année, le complément qu'on vous fait vous permet de garder votre salaire actuel hors prime de responsabilité. Si vous étiez à un poste de responsabilité par exemple, vous avez des primes qui vont avec. Si vous êtes concerné par la mesure, vous n'auriez plus ces primes de responsabilité mais vous avez une allocation qui va compléter votre pension et qui ferait que sur toute la première année, vous avez votre salaire normal. Sur la deuxième année, ça diminue un peu mais après vous avez votre pension normale jusqu'à la fin », a expliqué le porte-parole du gouvernement sur la base du décret portant modalités d'allocations au personnel des Forces de défense et de sécurité et assimilés.
M. M.
Le budget qui a été réservé au départ pour les Vodun days célébrés du 9 au 10 janvier 2024 a été dévoilé. Le secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement, Wilfried Houngbédji a fait des clarifications sur le sujet, vendredi 26 janvier 2024, lors de ses échanges hebdomadaires avec les professionnels des médias.
Le gouvernement béninois n'a pas dépensé la bagatelle somme de 60 milliards FCFA pour l'organisation des Vodun days comme distillé dans l'opinion publique. Dépenser une telle somme qui aurait pu servir à la mise en place d'infrastructures ou autres, est une « folie » voire une « hérésie », à en croire Wilfried Houngbédji, le secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement. C'est le vendredi 26 janvier 2024 lors d'une rencontre d'échanges avec les professionnels des médias. « Ce qui était prévu, c'est 1 milliard. (…) Je vous le dis formellement, le budget des Vodun days au départ, c'est plafonné autour de 1 milliard », a expliqué Wilfried Houngbédji.Si le chef de l'Etat Patrice Talon n'a pas indiqué le budget lors de l'interview qu'il accordée à la presse internationale, « ce n'est pas (…) pour entretenir l'opacité. (...) Le gouvernement tient à la bonne gouvernance ». C'est parce que « le ministre de la culture n'avait pas encore fait les réunions avec ses équipes pour arrêter le bilan et savoir exactement ce qui a été dépensé », a expliqué le porte-parole du gouvernement.Wilfried Houngbédji a fait savoir que le ministre de la culture, aux soins après s'être investi à fond dans l'organisation de l'événement, est déjà de retour. A l'en croire, le ministre Jean Michel Abimbola va rencontrer ses équipes pour faire le bilan. « (…) Ils vont finaliser et certainement, soit lui-même, il ira au-devant de la presse, tirer les enseignements de Vodun days, soit il fera un point au gouvernement et nous aurons une idée au franc près de ce que (…) nous a coûté cette 1ère édition des Vodun days », a rassuré le secrétaire général adjoint et porte-parole du gouvernement.
M. M.
(B2) Le projet Hunger de l'artiste Yona Tukuser vous projette à la figure cette famine du XXe siècle en Ukraine un peu oubliée jusqu'à l'intervention russe de 2022. Des peintures d'une rare symbolique
Durant quatorze ans, l'artiste de nationalités bulgare et ukrainienne a rassemblé des documents historiques sur la famine en Ukraine entre 1921 et 1947, utilisant des informations provenant des archives d'État et des entretiens personnels avec des témoins qui ont survécu à la famine, ainsi que de nouvelles sources vidéo documentaires.
Ces peintures issues de cette matière humaine recréent une atmosphère sombre, agressive, d'un réalisme parfois troublant, où la puissance et le tragique semble égaler l'horreur. Une exposition qui entend commémorer le 90e anniversaire de la tragédie de l'Holodomor de 1932-1933, famine reconnue par le Parlement européen comme un génocide.
Cette exposition résonne avec ce qui se passe aujourd'hui en Ukraine. S'y adjoint en effet, un film documentaire et une installation d'authentiques grains brûlés résultant d'une attaque de missile russe. sur un entrepôt de céréales dans un port du Danube en 2023, ainsi qu'un fragment d'un drone russe qui a brûlé ces céréales.
VALLETTA/WARSAW/WASHINGTON, 27 January 2024 – On today’s International Holocaust Remembrance Day, the OSCE honours the victims of Nazi persecution, reflecting on the painful lessons from one of the darkest chapters of human history and seeking to learn from them, both for the present and future. The immense suffering and anguish endured by six million Jews, as well as millions of other innocent people, cannot be overstated or much worse forgotten.
“On Holocaust Remembrance Day, we honour the resilience of those who survived the unimaginable horrors of the Holocaust and remember those who perished, with the unwavering pledge to ensure that such atrocities are never repeated,” said OSCE Chair-in-Office, Minister for Foreign and European Affairs and Trade of Malta Ian Borg. “As we strive to learn from the past, let us forge a path towards a world where tolerance triumphs over hatred, and where these lessons guide us in building a future marked by compassion, unity, and the shared pursuit of peace.
As we pay tribute to the victims and survivors, we also recognize the ongoing need to stand against hatred, discrimination, and acts that threaten the principles of humanity. Across the OSCE region, we continue to witness instances of violence, ranging from online and offline anti-Semitic hate speech, through damage to property and threats, that test our commitment to these principles. This adds to other major challenges, with social media algorithms playing a key role in amplifying malicious content, including posts containing anti-Semitic conspiracy theories, as well as content that denies or distorts the Holocaust.
The recent attacks by Hamas in Israel on October 7th and human suffering in the ensuing violent conflict in the Middle East serve as a stark reminder that the echoes of history's atrocities remain with us. Chair-in-Office Borg added that “as we continue to bear witness to conflicts that inflict immeasurable suffering on countless innocent lives, the pervasive threat of discrimination and intolerance persist, casting shadows of insecurity across our world. It is against this backdrop that we are reminded of the profound importance of never allowing the tragic lessons of the Holocaust to fade from our collective memory.”
The Holocaust is a historical truth, and it is our duty to honour the memory of those who perished by educating future generations about the consequences of hatred, discrimination, and prejudice.
Also for this reason, ODIHR joined other international organizations including the United Nations and the European Commission in #ProtectTheFacts, a global awareness-raising campaign created by the International Holocaust Remembrance Alliance that focuses on countering Holocaust distortion.
“Anti-Semitism is an age-old and insidious prejudice that has no justification and no place in our societies,” said Matteo Mecacci, Director of the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR). “Young people’s awareness of the Holocaust is declining, while their exposure to Holocaust denial and distortion online continues to grow. With ever fewer survivors left to provide eye-witness accounts, our societies must all work harder to ensure the memory of this terrible tragedy remains alive.”
Especially on this day, we commit ourselves to promoting tolerance, empathy, and understanding, fostering a world where diversity is celebrated, and the inherent dignity of every individual is recognized and respected. Governments have a particular responsibility for combating intolerance and preventing anti-Semitism while ensuring the safety of all citizens.
“This day of remembrance is not only about looking back but also a warning to be alert to present dangers,” said Rabbi Andrew Baker, Personal Representative of the OSCE Chairman-in-Office on Combating Anti-Semitism. “In recent months we have witnessed the most lethal attack on Jews since the Holocaust and an explosion of antisemitic incidents around the world. There is still much for us to do to combat this age-old hatred.”
Today ODIHR publishes the eighth edition of Holocaust Memorial Days: An overview of remembrance and education in the OSCE region. With this regular overview of the commemoration and study of the Holocaust and the genocide of Roma and Sinti, ODIHR seeks to encourage governments to further develop their activities to combating anti-Semitism, discrimination, and all forms of hatred.
All OSCE countries have unequivocally condemned intolerance and anti-Semitism. This year also marks the twentieth anniversary of the Berlin Declaration, when OSCE states acknowledged that anti-Semitism has assumed new forms and poses a threat to security and stability across the region, and pledged to develop targeted and practical measures to combat the phenomenon. Through its hate crime database, ODIHR collects data on anti-Semitism and other crimes of bias that are published each year on a dedicated website.
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