RELIZANE – Les participants à un colloque national sur le rôle de l’éducation sécuritaire pour développer et construire la sécurité sociale, ouvert mercredi à Relizane, ont plaidé pour des programmes d’éducation civique consacrant la culture sécuritaire.
Dr Karima Abed de l’université d’Alger 3 a insisté; dans sa communication abordant « la police de proximité et l’éducation sécuritaire », sur la révision des programmes d’éducation civique enseignés dans les établissements scolaires pour les adapter à la réalité de la société et aux mutations sociales, dans le but d’ancrer une culture sécuritaire prémunissant contre les différents maux sociaux.
Pour sa part, Dr lamia Mortad Nefoussi, qui a fait une analyse des leçons d’éducation civique au CEM, a insisté sur le rôle de l’école à ancrer les valeurs de l’éducation sécuritaire.
Le commissaire de police, Abderrazek Laroui de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a mis l’accent, dans sa communication abordant le travail de la police de proximité, sur la nécessité de renforcer la confiance entre dispositifs de sécurité et la société civile pour soutenir l’effort sensibilisation contre la cybercriminalité et les fléaux sociaux, appelant à la contribution du citoyen pour dénoncer les crimes et préserver l’ordre public.
Cette rencontre de deux jours est organisée par le laboratoire des études sociales, psychologiques et anthropologiques du centre universitaire « Ahmed Zabana » de Relizane avec la participation d’universitaires et chercheurs de différentes universités du pays et de cadres de la sûreté nationale.
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CONSTANTINE – Le coordinateur résident du système de Nation-Unies, Eric Oversvest, a appelé mercredi à Constantine les étudiants à s’approcher du Centre d’information des Nations-unies (CINU) d’Alger et à puiser dans les informations et la documentation disponibles pour accompagner les objectifs du développement durable.
S’exprimant lors d’une conférence-débat, organisée à l’université des Frères Mentouri (Constantine1) dans le cadre de la célébration de la Journée des Nations-unies (JUN), (24 octobre), le même intervenant a précisé que le CINU d’Alger permet au public et aux étudiants notamment « de mieux comprendre le rôle des Nations-unies dans la promotion et l’appui aux activités et objectifs de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ».
M. Oversvest a ajouté, dans ce sens, que ce centre est « une véritable source d’information et de documentation et un appui contribuant à la réussite des objectifs du développement durable (ODD) ».
Précisant que les Etats membres de l’ONU, dont l’Algérie, avaient adopté en 2015 un nouveaux programme de développement durable à l’horizon 2030 comprenant un ensemble de 17 objectifs du millénaire pour le développement (OMD) mondial et intégrant plusieurs préoccupations liées au changement climatique, la paix et la justice, entre autres, l’intervenant lors de la conférence, a rappelé que l’Algérie « a réussi à atteindre, avant terme, (2015) la quasi-totalité de ces OMD et ce, grâce, a-t-il soutenu, « aux politiques nationales efficientes mises en œuvre par le Gouvernement algérien en matière de protection sociale », a ajouté le même intervenant.
Le système des Nations unies (SNU) en Algérie rassemble 14 agences, fonds et programmes de développement, a rappelé le même responsable, précisant que l’Algérie bénéficie de plusieurs potentialités permettant le développement dont les jeunes et les énergies.
Cette conférence-débat a été une occasion pour expliquer aux étudiants le fonctionnement des Nations Unies, les objectifs du Développement durable et la coopération entre le Gouvernement algérien et le Système des Nations Unies.
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TIZI-OUZOU – La nécessité de mise en place d’un système d’information fiable pour pouvoir évaluer le système de santé national a été souligné, mercredi a Tizi-Ouzou, par des participants à un colloque internationale sur « Le système de santé face à l’évaluation à l’aune de la transition plurielle: regards croisés ».
« Le système d’information actuel est insuffisant. Il est du rôle des scientifiques qui sont sur le terrain de faire ce travail de manière neutre, intransigeante et parfois sacrificielle pour dire la vérité scientifique, afin de permettre aux décideurs de faire les choix nécessaires », a observé Pr. Messaoud Zitouni, au premier jour de ce colloque de deux jours.
Le praticien spécialiste qui est également responsable du Plan national anti-cancer a déploré la non exploitation du projet national d’information scientifique qui a été élaboré par des experts, « ce qui aurait permis d’avoir un débat basé sur une information et une situation vraie qui offrira une vision plus précise de la situation d’un secteur. »
Le Pr. Abdelhamid Aberkane, qui abonde dans le même sens, a, lui aussi, insisté sur l’importance d’avoir un « débat basé sur des faits ». Selon lui, les rapports « nombreux » produits par des chercheurs dans plusieurs secteurs et « qui offrent une information vraie, ne sont pas suffisamment valorisés et exploités ».
« Le système d’information chez nous n’est pas suffisant et chacun doit faire au mieux pour produire de l’information à différents niveaux de responsabilité du local au national », a-t-il observé.
Cette information doit ensuite être assemblée et les différentes données confrontées puis classées pour pouvoir arrêter les choix, a-t-il ajouté, soutenant qu’un un système national d’évaluation « doit être bâti sur des indicateurs précis, universels et standardisés sur des normes qui permettront de définir les ajustements à apporter au système de santé ».
Le président du colloque, Madjid Salmi, également maître de conférences à la faculté des Sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion, a mis l’accent sur la nécessité de donner au système de santé un outil de contrôle qui est l’évaluation. « L’effort d’évaluation doit être porté sur le système de soins parce qu’on sait, avec une certaine précision, la richesse qu’il consomme, mais on ignore à peu près tout de ce qu’il produit », a-t-il dit.
Cet effort d’évaluation qui doit être entrepris sur le système de santé, « doit s’accommoder de la transition plurielle (démographique, épidémiologique, économique ) que traverse notre pays, afin que ce même système puisse répondre aux attentes et aux exigences des patients en matière de technicité de soins et de confort personnel » a-t-il dit.
M.Salmi a relevé, dans ce contexte, que l’évaluation qui se fait au niveau des structures publiques de santé « est celle qui a trait aux diverses activités développées par les services ». Néanmoins, a-t-il dit, « l’effort d’évaluation doit, de ce fait, être porté non seulement sur les activités développées, mais également sur les pratiques exercées par le corps médical ».
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Le ministre Saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir a estimé, mercredi, que les appels à reconnaître la responsabilité du prince héritier, Mohammed ben Salmane, dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi constituaient une « ligne rouge ».
Dans une interview à la télévision Britannique BBC, le diplomate a fait savoir qu’aucune discussion dénigrant le prince héritier ou son père, le monarque Saoudien, ne serait tolérée.
M. Jubeir a martelé que le prince héritier n’avait rien à voir avec le meurtre. « Nous avons été très clairs. Nous avons ouvert une enquête qui se poursuit et nous punirons les individus qui en sont responsables », a-t-il déclaré.
Il a également demandé à la Turquie de mettre à la disposition de son pays les informations dont elle dispose et d’arrêter de les transmettre aux médias.
Le ministre Saoudien a ajouté que le meurtre du journaliste était une « opération incontrôlée » d’agents du renseignement.
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Un annuaire regroupant les entreprises susceptibles d’intervenir dans le secteur de la sous-traitance est en étude au niveau du ministère de l’Industrie et des Mines, à indiqué mercredi le ministre de ce secteur, Youcef Yousfi.
Interrogé par la presse en marge de sa visite inaugurale du Salon international de la sous-traitance, ALGEST 2018, M. Yousfi a fait savoir que cet annuaire visera à lister les entreprises et les produits et composants qu’elles fabriquent notamment en terme de qualité et de coût.
Le ministre a également indiqué que son département ministériel vise à chercher les moyens de lier les entreprises entre elles, donneurs et sous-traitants.
« Nous cherchons les moyens de faire en sorte qu’elles puissent coopérer ensemble et produire les composants industriels dans les différents secteurs », a-t-il indiqué, estimant que la sous-traitance est un élément de base de l’industrie.
En outre, M. Yousfi a fait observer que plusieurs produits d’équipements peuvent être fabriqués localement.Comme le font les entreprises publiques du secteur de l’énergie faisant fabriquer une part de leurs pièces industrielles en Algérie.
A noter que lors de sa visite d’inauguration au niveau des différents stands du salon ALGEST 2018, M. Yousfi a appelé les opérateurs locaux présents à fournir plus d’efforts pour collaborer entre eux, les invitant à s’enquérir sur d’éventuels partenaires dans le cadre de la sous-traitance industrielle.
De plus, il a insisté sur la nécessité d’augmenter les taux d’intégration et la qualité des équipements produits par les entreprises locales pour répondre à la demande des donneurs d’ordre, notamment dans le secteur automobile.
Pour rappel, il s’agit de la 5ème édition de ce salon, qui se déroule jusqu’au 24 novembre au palais des expositions d’Alger.
Co-organisé par le World Trade Center Algiers (WTCA) et la Bourse algérienne de la sous-traitance et des partenariats (BASTP), le salon accueille cette année 92 exposants répartis entre donneurs et receveurs d’ordre dans les filières liées à la métallurgie, la sidérurgie, la mécanique, l’électricité, l’électronique et la plasturgie, ainsi que les métiers relatifs aux services.
Au-delà des secteurs traditionnels, cette édition voit la présence des secteurs du montage automobile, de l’énergie (Sonatrach et Sonelgaz notamment), du transport, du développement durable et de l’industrie militaire relevant du ministère de la Défense nationale (MDN). Des conférences et des rencontres B to B se tiennent également au cours de cet événement
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A three-day training course aimed at further strengthening the capacity of Tajikistan to counter terrorist financing was organized in Dushanbe, Tajikistan, from 19 to 21 November 2018.
The training seminar was delivered to Tajik experts and practitioners from the General Prosecutor’s Office, the Financial Monitoring Department of the National Bank of Tajikistan, the Ministry of the Interior, and the State Committee for National Security of the Republic of Tajikistan.
The course was organized by the OSCE’s Transnational Threats Department, in co-operation with the OSCE Programme Office in Dushanbe and the UN Office on Drugs and Crime’s Global Programme against Money Laundering. The training was delivered by international experts from UNODC, the Western Union and the Federal Service for Financial Monitoring of the Russian Federation.
The aim of the training course was to assist Tajikistan in the implementation of international standards, in particular UN Security Council Resolutions, the Financial Action Task Force on Money Laundering (FATF)’s recommendations and OSCE commitments.
Based on country- and region-specific scenarios, the training course included sessions on national, regional and transnational threats, sources of information and money flows, including hawala (a traditional system of transferring money). More than half of the course was devoted to practical exercises highlighting specific instruments and techniques that play an important role in countering the financing of terrorism. The course emphasized the key role of inter-agency co-operation in countering terrorist financing.
The course was organized with the financial support of Germany, Norway and the Russian Federation, as part of a comprehensive multiannual capacity-building programme to support national efforts to counter terrorist financing in Central Asia.
Jelentette ki tegnap Liviu Dragnea, a Szociáldemokrata Párt elnöke az Európai Parlament Elnökeinek Értekezletével folytatott bukaresti tárgyaláson. A megbeszélésen szó volt azokról témákról, amelyek az unió napirendjén lesznek majd 2019 első félévében, amikor Románia tölti be az Európai Unió Tanácsának soros elnöki tisztségét.
A Kovászna, Hargita és Maros Megyei Románok Civil Fóruma több oldalas közleményt adott ki, amely szerint a magyar nyelv használata a román rovására történik. A Ioan Lăcătușu által vezetett fórum nehezményezi, hogy az önkormányzatokban csak magyarul zajlanak a tanácsülések és az oktatásban, közigazgatásban, sajtóban elterjedt a magyar nyelv. Azt is kifogásolják, hogy teljes intézményi rendszerek működnek magyarul, ahol a magyarországi hatóságok kizárólag magyar nyelvű rendezvényeket szerveznek a térség jövőjéről tanácskozva. Emellett utcákat neveznek el, a fórum szerint fasiszta magyar személyiségekről. A közlemény felszólítja a magyar közösségek vezetőit, hogy ismerjék el, hogy Románia teljesítette a Gyulafehérvári nyilatkozatban foglaltakat és ne népszerűsítsék a románellenességet.
Az euróövezethez csatlakozás és az ehhez szükséges konvergencia erőltetése, illetve halogatása egyaránt káros – jelentette ki tegnap Mugur Isărescu, a Román Nemzeti Bank kormányzója. Közölte, hogy a kormány által márciusban létesített bizottság, amelynek feladata előkészíteni az euró bevezetését, várhatóan decemberben teszi közzé első jelentését. A Szociáldemokrata Pár rendkívüli kongresszusa március 10-én szavazta meg Liviu Dragnea pártelnök javaslatára, hogy 2024-ig bevezetik Romániában az európai közös fizetőeszközt.
Plus de 4.000 migrants sont arrivés à Tijuana, au nord-ouest du Mexique, ont Indiqué, mercredi, les autorités de cette ville frontalière jouxtant San Diego en Californie.
Des centaines de ressortissants de pays d’Amérique Latine ont continué d’arriver par bus, mercredi matin, dans cette localité de Basse-Californie, en provenance de Mexicali, à environ 180 kilomètres, alors que d’autres continuaient d’arriver à pied.
Les nouveaux arrivants ne trouvent plus de place dans les refuges parvenus à saturation et certains campements improvisés ont commencé à apparaître aux alentours. Des migrants y faisaient la queue pour recevoir de la nourriture distribuée par des activistes et des associations religieuses, ont rapporté des médias.
Sur les 4.000 migrants actuellement hébergés dans la ville, on dénombre plus de 400 enfants, selon les autorités municipales.
Dans l’Etat du Chiapas (sud), environ 300 Centraméricains ont été arrêtés, mercredi, par les forces de l’ordre après être entrés illégalement dans le pays en traversant le fleuve Suchiate, séparant le Guatemala du Mexique.
Les migrants, qui circulaient avec des drapeaux du Salvador et du Honduras, ont été conduits par bus dans la ville de Tapachula, où selon les autorités, ils pourront déposer une demande d’asile. S’ils ne le souhaitent pas, ils pourraient être expulsés vers leur pays d’origine.
A Tijuana, de nombreux migrants comptent déposer des demandes d’asile aux Etats-Unis, mais l’attente pour que leur dossier soit étudié pourrait prendre plus d’une année.
Un juge Californien a suspendu, lundi, un décret du président Américain, Donald Trump, instaurant un rejet automatique des demandes d’asile déposées par des migrants ayant traversé illégalement la frontière.
« C’est une honte », a réagi ce dernier, qualifiant l’arrivée de la caravane et faisant déployer près de 6.000 militaires tout le long de la frontière sud pour la stopper.
Fuyant la violence et la pauvreté, les migrants ont, pour certains parmi eux, parcouru plus de 4.000 kilomètres, à pied ou en auto-stop, pour atteindre la frontière Américaine.
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