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A Bouira, les habitants de la localité de M’Chedallah ont organiser ce samedi une marche contre le système dans les rues de leur ville. Les marcheurs ont scandé des slogans anti-pouvoir et contre le processus électoral en cours.
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Un écrivain africain vivant en France a démontré, preuve à l'appui, comment Michel Houellebecq a pu réécrire son roman « Soumission », qui a connu un succès impressionnant
By Cheikh Dieng - 29 septembre 2019
Michel Houellebecq a-t-il plagié le livre d'un intellectuel africain, ancien correspondant de presse ? C'est en tout cas le point de vue de El Hadji Diagola, journaliste sénégalais devenu romancier depuis quelques années. En effet, dans une interview accordée à une association française, l'intellectuel noir accuse l'écrivain français de lui avoir volé son roman : soumission.
Dans l'interview, M. Diagola explique tout. Dans sa version des faits, tout a commencé en 2005 alors qu'il était en vacances en Afrique. Cette même année, la question des banlieues était devenue un thème central en France. Au milieu de cette crise sociale qui agitait la classe politique française, El Hadji Diagola dit avoir eu l'idée d'écrire un roman dans lequel le président français serait un musulman noir.
Dans son roman, l'idée était de travailler sur un personnage qui serait un migrant clandestin africain recruté en France en tant que professeur de français. L'écrivain divise le roman en trois parties. Dans la première, le professeur clandestin, du nom de Mohamed, va se naturaliser français, puis deviendra sénateur avant d'être désigné président par intérim en remplacement au président élu qui vient de rendre l'âme des suites d'une longue maladie.
Dans la deuxième partie du roman, Mohamed, devenu président intérimaire, va organiser des élections anticipées. Il élira un président célibataire, d'où le titre de cette deuxième partie : « un célibataire à l'Elysée ». Dans la troisième partie, le président célibataire, fragilisé par une sévère crise politico-économique, ne tiendra pas longtemps. Il finira par présenter sa démission.
Des élections anticipées auront lieu et Mohamed, le clandestin déjà désigné président par intérim, remportera ces élections et deviendra président démocratiquement élu de la France, ce qui poussera l'auteur du livre à choisir pour titre de cette troisième partie : « un musulman à l'Elysée ».
« La première partie a été publiée en 2008 », dit l'écrivain, montrant dans la vidéo son livre intitulé : « Un Noir à l'Elysée ». L'auteur explique que la deuxième partie « un célibataire à l'Elysée » a été publiée en 2011. Et preuve à l'appui, il montre dans la même vidéo le livre dont on pouvait voir sur la couverture un président noir, vêtu d'un costume noir et assis dans un bureau de l'Elysée.
Dans l'interview, El Hadji Diagola a insisté sur la troisième partie qui a finalement été publiée en 2015 et qui a été à l'origine du problème qui l'oppose à Michel Houellebecq. En effet, l'auteur sénégalais dit avoir déposé cette partie aux éditions Gallimard (aussi appelées Flammarion). Dans un contexte où l'immigration de masse commençait à inquiéter de plus en plus de Français et où on montrait à la télé des images de clandestins sautant des fils barbelés pour rejoindre l'Occident, il intitule cette partie « la chute des barbelés » et l'envoie à l'édition Gallimard.
Gallimard rejette le livre en 2013 dans un mail. Dans la vidéo, El Hadji Diagola montre, preuve à l'appui, le mail qui lui a été envoyé par la maison d'édition. Après avoir retravaillé le manuscrit, il change le titre et lui donne celui-ci : « un musulman à l'Elysée ». En 2014, il envoie ce livre « un musulman à l'Elysée » aux éditions Gallimard (Flammarion) par lettre recommandée. Dans un réponse par mail, la maison d'édition refuse une deuxième fois de le publier.
Vers la fin de 2014, un véritable tintamarre médiatique annonce le livre de Michel Houellebecq dont la sortie est programmée en janvier 2015. L'auteur sénégalais est surpris d'entendre dans la presse que le roman de Houellebecq parle d'un président musulman en France. Une fois le livre sorti, El Hadji Diagola va l'acheter pour pouvoir ensuite confirmer ou infirmer la thèse d'un éventuel plagiat.
L'auteur sénégalais est surpris d'apprendre que le titre choisi par Houellebecq est « soumission ». « Mais, ‘Soumission', je l'ai déjà fait moi », s'étonne-t-il. « Mon premier titre de ce livre-là, à l'époque quand j'ai commencé à écrire, c'était ‘Soumission », ajoute El Hadji Diagola qui dit avoir changé de titre en suivant les conseils de sa femme.
Les coïncidences dans les deux histoires (celle de Houellebecq et celle de Diagola) sont frappantes.
1ère coïncidence : dans le livre de Houellebecq, il est question d'un musulman, professeur qui deviendra président. C'est la même idée que celle de l'écrivain Diagola dans son premier livre.
2ème coïncidence : El Hadji Diagola avait commencé son livre par un poème, Houellebecq fera exactement la même chose ( avec une longue citation).
3ème coïncidence : le nom choisi par El Hadji Diagola pour le personnage de son roman fut Mohamed. C'est aussi le même nom choisi par Houellebecq.
4ème coïncidence : dans le roman de Diagola, la femme du personnage principal (Mohamed) est d'origine tunisienne. Dans celui de Houellebecq, le président musulman français est aussi d'origine tunisienne.
5ème coïncidence : El Hadj Diagola évoque Charles Martel dans son roman. Ce même Charles Martel a été cité par Houellebecq dans « Soumission ».
6ème coïncidence : El Hadji Diagola avait déposé son livre chez les éditions Flammarion. Ce sera cette même édition qui publiera le livre de Michel Houellebecq, « Soumission ».
« Il me semble franchement que quelqu'un a communiqué mon manuscrit à Houellebecq et qui pourrait peut-être s'en inspirer », dit M. Diagola. L'écrivain sénégalais explique avoir déposé deux plaintes auprès du procureur. Mais, elles n'ont jamais été recevables faute d'arguments solides pour soutenir la thèse du plagiat. Diagola nuance. En effet, selon lui, il peut ne pas s'agir de plagiat, mais il est évident que Michel Houellebecq s'est bien inspiré de son travail.
Rappelons que Michel Houellebecq avait déjà été accusé de plagiat en 2010 après avoir pris des passages de Wikipédia pour son roman « La Carte et le Territoire » paru en septembre de cette année.
https://lecourrier-du-soir.com/scandale-en-france-michel-houellebecq-aurait-plagie-son-
fameux-roman-soumission/
https://m.youtube.com/watch?v=kxY1mp7te3Y
(Par Roger Gbégnonvi)
Que les choses soient claires. L'Europe n'a pas tenté d'exterminer les Noirs comme elle a osé de le faire avec les Juifs. Les Noirs ne la menacent pas, au contraire des Juifs qu'elle perçoit comme un grave danger. Partout et toujours les Juifs se distinguent, unis par le Livre Un et Unique, la Torah, et par Yahvé-Dieu qu'ils ont fait également Un et Unique pour éviter la dispersion entre livres et dieux multiples. Doté d'une âme divine à l'instar des Européens et mêlé à eux, ce peuple, très soudé, apparaît capable de grande concurrence. L'Europe a décidé de l'exterminer en laissant aller sur lui la meute nazie. Face aux Juifs, voici les Noirs. Décrétés sans âme divine. Car ils n'ont aucun livre et sont manipulables. Dispersés entre langues et dieux multiples, ils apparaissent incapables de toute concurrence. L'Europe a décidé, en régime d'esclavage ou de colonisation, de faire travailler pour son compte ces Cro-Magnon inférieurs, de les traiter comme il convient à des animaux à forme humaine.
Une éloquente illustration du Noir-sans-âme est la présence d'aumôniers, surtout catholiques, sur les bateaux négriers. Ces pasteurs d'âme avaient la charge exclusive du salut de l'âme des Blancs négriers. Jamais ils ne déplaisaient à Dieu en conférant le saint baptême à l'un quelconque des Noirs-animaux gisant et gémissant au fond des cales. Dans son ouvrage La Mission catholique en République du Bénin (1999), Mgr Jean Bonfils rapporte que « en 1728, le père Court, aumônier du fort [français] le 30 juin 1775, se livrait avec d'autres collègues à la traite de l'or et des esclaves » (p. 24). Enchaînés sur mer ou sans chaîne au sol, les Noirs-sans-âme avaient statut de serfs pour les Blancs de tout acabit, prêtres compris.
Mais il se produisit un couac à cause des abolitions de l'esclavage en mode va-et-vient. La dernière abolition française sans rétropédalage date de 1848. La toute dernière dans toute l'Europe chrétienne est la hollandaise, qui date de 1860. Le 8 avril 1861 débarqua au Bénin, alors Dahomey, le prêtre catholique Francesco Borghero, de la Société des Missions Africaines. Contrairement à ses ci-devant collègues sur les bateaux négriers ou dans les forts pour esclaves en transit à Ouidah, il se mit à catéchiser et à baptiser les Dahoméens comme s'il pouvait y avoir une âme divine dans leur corps noir. Un retournement inexpliqué.
Au vu du face à face 1860-1861 et de la volte-face soudaine, les Chinois cultivés demandent s'il est une encyclique, un édit, avouant que : 1- l'Occident a menti en décrétant les Noirs sans âme, 2- les Noirs ont toujours eu, comme tous les êtres humains, une âme divine, 3- l'Occident demande pardon pour les chaînes et la mort imposées aux Noirs sur la base d'un mensonge délibéré. S'il n'est point de texte confessant le mensonge, quel est le but du catéchisme enseigné aux Noirs ? S'il n'y a pas eu clair aveu de la faute, l'attelage catéchisme-baptême n'a-t-il pas le même objectif que l'attelage esclavage-colonisation, soit la soumission des Noirs à la volonté et aux intérêts des Européens ? Last but not least, les Noirs sont-ils sérieux quand ils acceptent d'être dits chrétiens, voire catholiques ?
Or, l'Occident se moque des Chinois cultivés. Il maintient en douce le statu quo ante. Car en Occident, on continue d'agresser Juifs et Noirs, d'en abattre un de temps en temps sans sommation, parce que c'est un Juif, parce que c'est un Noir. Et puis, en ces temps où l'intelligence artificielle triomphe en Occident, il existe la probabilité que les Noirs en restent à l'intelligence tout court. L'Occident sera alors justifié à leur reprendre l'âme qui leur a été concédée dans une totale confusion. On béatifiera Mgr Bartolomé de Las Casas à l'origine en 1542 de l'enfer des Noirs. Les choses reprendront leur cours d'avant. L'histoire bégaiera beaucoup. Sans invoquer l'éternel retour du bon philosophe Nietzsche, la nouvelle descente se fera accélérée vers des fonds jamais explorés. Nouveau retournement. Plausible. Hélas.
Des centaines de personnes sont sortis, ce samedi, à Kherrata, dans la wilaya de Bejaia, pour réitérer leur refus de l’élection présidentielle du 12 décembre prochain. Les manifestants ont scandé des slogans hostiles à Gaid Salah et ont exigé la libération des détenus du Hirak.
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Le collectif des algériens de Strasbourg a indiqué, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, que plusieurs algériens ont manifesté pacifiquement le 17 Octobre 2019, afin de commémorer le massacre des algériens à Paris le 17 Octobre 1961, après avoir déposé une déclaration de manifestation conformément à la lois et obtenu une autorisation préfectorale. « Cette […]
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L'ancien recteur de l'Université d'Abomey-Calavi, professeur Brice Augustin Sinsin sera admis au grade d'Officier de l'Ordre International des Palmes Académiques du CAMES, le 4 décembre 2019, au cours d'une céremonie solennelle à Ouidah. Selon la correspondance du secrétaire géneral, Grand Chancelier de l' OIPA/ CAMES, adressée au récipiendaire, cette admission sera prononcée pour tenir compte de ses initiatives en faveur de la promotion de l'enseignement supérieur et de la recherche.
‹‹Par la même occasion, votre Brevet des Palmes Académiques vous sera remis par le Grand Chancelier de l'Ordre››, indique le Secrétaire général au professeur Brice Sinsin.
A.A.A