Une nouvelle Ambassadrice des États-Unis en Algérie a été nommée dernièrement. Hier vendredi, le Sénat américain a confirmé Elizabeth Moore Aubin comme représentante permanente des USA auprès de l’Algérie.
Selon un communiqué de l’Ambassade des États-Unis en Algérie, parvenu à notre rédaction, « le Sénat américain a confirmé vendredi 17 décembre la nomination d’Elizabeth Moore Aubin comme ambassadrice des États-Unis en Algérie ».
L’arrivée de la nouvelle représentante diplomatique des USA en Algérie « est prévue pour le début du mois de février », indique la même source. En outre, L’Ambassade a rappelé que la nouvelle Ambassadrice « a déjà servi à Alger entre 2011 et 2014 au poste de chef de mission adjoint ».
Ainsi, Elizabeth Moore Aubin aura pour mission dans le cadre de son nouveau poste de « renforcer la coopération en matière de sécurité, promouvoir la stabilité régionale, étendre les échanges commerciaux et les investissements entre les États-Unis et l’Algérie », indique-t-on encore.
Qui est Elizabeth Moore Aubin, la nouvelle Ambassadrice des USA en Algérie ?Pour rappel, le président américain Joe Biden a nommé, le 15 avril 2021, Elizabeth Moore Aubin nouvelle ambassadrice auprès de la République algérienne. Avant, elle occupe le poste de secrétaire adjointe principale adjointe par intérim du Bureau des affaires du Proche-Orient (NEA) depuis janvier 2021.
Du mois d’août au mois de décembre de l’année dernière, elle a été conseillère principale à NEA (Assistant Secretary for the Bureau of Near Eastern Affairs). Auparavant, elle était Directrice exécutive du Bureau exécutif conjoint des Bureaux des affaires du Proche-Orient et des Affaires de l’Asie du Sud et centrale.
En mai 2016, elle était chef de mission adjoint, puis Chargée d’Affaires à Ottawa, Canada en 2017. De 2014 à 2016, elle a été directrice exécutive du Bureau des affaires de l’hémisphère occidental. De 2011 à 2014, elle a occupé le poste de chef de mission adjoint à l’ambassade des États-Unis à Alger, à la tête de l’équipe qui a remporté le prix du plaidoyer commercial du département en 2013.
En juin dernier, Elizabeth Moore Aubin avait déclaré lors de son audition devant le comité des relations étrangères du Sénat : « L’ambassade à Alger soutient un large éventail de programmes qui renforcent nos liens sécuritaires, économiques, de gouvernance, éducatifs et culturels ».
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Le taux de change du dinar algérien connait une flambée sans précédant sur le marché officiel, mais aussi parallèle. Une hausse qui s’explique notamment par la reprise des dessertes aériennes et maritimes entre l’Algérie et plusieurs autres pays.
D’ailleurs, un seul euro s’échange sur le marché noir contre pas moins de 213 dinars algériens à l’achat et 215 dinars Algérien à la vente. En outre, la monnaie étasunienne connait ces derniers temps une hausse considérable.
L’unité s’échange sur le marché noir contre 189 dinars algériens à l’achat et 192 dinars algériens à la vente. Un seul dollar canadien vaut par ailleurs 143 dinars algériens à l’achat et 146 dinars algériens à la vente.
La livre sterling demeure, sans grande surprise, extrêmement chère face à la dégringolade de la monnaie nationale. Aujourd’hui, samedi 25 décembre, un seul pound est cédé sur le marché noir contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algérien à la vente.
Taux de change officiel (Banque d’Algérie)Les cotations commerciales de la banque d’Algérie connaissent une légère hausse, ce samedi 24 décembre. En effet, un seul euro vaut 157.12 dinas algériens à l’achat et 157.15 dinars algériens à la vente.
La monnaie étasunienne quant à elle s’échange contre 138.80 dinars algériens à l’achat et contre 138.82 dinars algériens à la vente. D’un autre côté, le dollar canadien est cédé contre 108.25 dinars algériens à l’achat et contre 108.27 dinars algériens à la vente.
Par ailleurs, la prestigieuse monnaie britannique ne perd jamais sa valeur. Aux guichets de la banque d’Algérie, un seul pound est cédé contre pas moins de 185.54 dinars algériens à l’achat et 185.61 dinars algériens à la vente.
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L’épidémie du coronavirus semble repartir de plus belle dans le monde, notamment en Europe. Durant la journée d’hier, la France a enregistré un nombre de contaminations jamais atteint depuis le début de l’épidémie en mars 2020.
Selon les chiffres publiés hier soir par Santé publique France, le pays a franchi, la barre des 94.000 nouveaux cas de Covid-19 durant 24 heures. Il s’agit de la 5e vague de l’épidémie, poussée par le nouveau variant Omicron jugé beaucoup plus contagieux que les autres.
Le dernier chiffre enregistré en France est jugé comme un important rebond de l’épidémie, si l’on prend en considération que la moyenne établie sur les derniers 7 jours était de 66,417 cas.
Force est de constater que ce pays connait, depuis la fin de la dernière semaine, de nouveaux records de contaminations journalières depuis le début de l’épidémie. Jeudi dernier par exemple, les nouveaux cas ont atteint 91.000.
La situation épidémiologique en France en chiffreLes autres chiffres dévoilés font également état d’une pression qui continue de monter au niveau des structures hospitalières. En effet, la France compte désormais plus 3.254 patients admis dans les services de soins critiques, dont 316 nouvelles admissions.
Au total, pas moins de 16.173 personnes sont actuellement hospitalisées contre 16.060 la veille, avec 1.398 nouvelles admissions. Pour ce qui est du nombre de décès depuis le début de l’épidémie, la France compte 122.462, soit 169 de plus que la veille.
Il convient de noter que ce nouveau record est intervenu à la veille de la célébration des fêtes de fin d’année, notamment celles de Noël, caractérisées par des regroupements familiaux et amicaux.
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Les services de météo Algérie ont mis en garde ce samedi contre des vents et une agitation particulière de la mer sur plusieurs zones côtières du pays. Les rafales peuvent, en effet, provoquer des « vagues dangereuses ».
Selon la carte de vigilance publiée sur le site de l’Office de météorologie, les régions côtières concernées par cette alerte de niveau « jaune » sont les côtes de Bouharoune, Ténés, Mostaganem, Arzew, Orna et Beni Saf.
Pour ce qui est des autres régions du pays, aucune vigilance particulière n’a été émise concernant le temps. Ainsi, le soleil et le beau temps devront persister durant tout le long de cette journée, hormis quelques passages nuageux avec quelques gouttes de pluie sur les hauts plateaux et le nord du Sahara.
Concernant les températures maximales attendues pour la journée de ce lundi, Météo Algérie prévoit entre 9 et 21 degrés sur les régions côtières, entre 11 et 14 degrés sur les régions intérieures et entre 13 et 23 degrés sur les régions sahariennes.
Vers le retour des pluies sur plusieurs régionsCette situation ne devra tarder selon les prévisions de météo Algérie, puisqu’une perturbation active est attendue pour cette soirée sur plusieurs régions de l’ouest du pays. Ce changement devra également regagner les autres régions du nord du pays durant la journée de demain dimanche.
En effet, les prévisions météo font état de chute de pluie à compter du début de la semaine avec des quantités estimées à 50 mm localement, et ce, jusqu’au lundi prochain.
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(Par Roger Gbégnonvi)
Modernes et civilisés, on s'offrit deux bonnes guerres qu'on baptisa mondiales pour saluer leurs résonances sismiques jusqu'au plus profond de peuples disparates et lointains. L'Afrique contrainte, l'Amérique affolée, l'Union Soviétique, pas encore disloquée, alertée avec sa part d'Asie, furent mobilisées pour aider l'Europe tourmentée à retrouver son âme perdue. Ces deux fêtes sauvages mirent le monde en harmonie avec Paul Valéry au XXème siècle : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » Mourir pour ressusciter á quoi ? En tout cas les civilisations reprirent du poil de la bête.
Nonobstant Vaudou, Moïse, Jésus, Allah, ONU, UA, etc., on continua de se crêper le chignon, de se chercher les poux dans les cheveux. Rien de mondial, mais quelque chose de semblable si l'on embroche intifada à répétition, Bataclan fait enfer, migrants abandonnés à la mer, George Floyd étouffé, etc., etc. On en était à ces petites musiques de chambre sans rien d'une symphonie grandiose, genre 9ème de Beethoven, lorsque la pandémie s'en vint à pas létaux pour jouer sur l'homme le jeu homicide qu'il aime tant, mais sans bombardement cette fois-ci. En effet, l'ersatz de la 3ème guerre mondiale préfère le confinement et le feutré, quitte à emprunter au Barbier de Séville au XVIIIème siècle, pour la mélodique montée en puissance : « …D'abord un bruit léger, rasant le sol, comme une hirondelle avant l'orage… Et piano, piano, … [elle] germe, rampe, chemine et, rinforzando… », etc. Elle procède avec une telle maestria qu'elle met le monde en harmonie avec Jean de La Fontaine au XVIIème siècle : « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. » Par vague et variants, par Delta et Omicron, etc. Et elle aime bien les gens âgés. Ah, les vieux ! Stoïquement ils trimballaient diabète ou hypertension ou les deux à la fois, rebaptisés comorbidités, et ils avalaient par jour une quinzaine de cachets pour retarder l'appel du destin. Au XXème siècle, Jacques Brel les voyait traîner « Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit ». C'était souffreteux. A présent, leur peine se trouve raccourcie. La bonne fée pandémique vient à brûle-pourpoint et annonce par surprise à l'élu qu'elle l'emmène de suite, car pour lui, c'est maintenant le Golgotha. Aussitôt dit aussitôt fait. A Allada au Bénin, les préposés habillés en cosmonautes emballent le covidique macchabée dans une toile et, loin du regard des siens, le poussent dans un trou aussitôt bétonné. Car l'on ne veut pas se fâcher avec la bonne fée pandémique. Elle hait les pompes de l'autre civilisation : séjour à la morgue, enlèvement fleuri, veillée de ci et de ça, tambour et trompette, patati et patata et, cerise sur le gâteau, bombance autour des camions frigorifiques. La fée pandémique a décrété désuètes micmacs et tralalas et ramené les orgues des requiem à leur nulle expression. Et nul ne s'en plaint.
Et pour dire vrai, la fée pandémique a rétabli l'homme en sa sincérité. Le Marquis de Sade le fit en fiction atroce et se retrouva dans les geôles du roi. Molière le fit en fiction douce à travers Alceste dit ennemi du genre humain parce qu'il était véridique. Les Béninois le font en mode ironique quand ils entrevoient « derrière tous les jolis accoutrements deux fesses gondolées dont la laideur révélée n'attirerait pas leur regard ». Le propos de la fée pandémique est simple : vous ne vous supportez pas les uns les autres, vous en êtes au joli vocable de féminicide pour avouer que les hommes trucident les femmes. Alors moi, je viens chanter en chœur avec vous sur l'air de La Mort des Autres, que vous affectionnez tant.
En ce sens, et puisqu'elle semble ne pas vouloir se retirer, et chante à tue-tête depuis l'année 2019 et chantera encore en 2022, la pandémie en cours ne change pas la civilisation humaine, mais la conforte, la renforce. Si elle décidait de desserrer l'étau, voire de s'en aller et de disparaître, l'homme changerait-il sa civilisation au sens de la bonifier ? L'enchanter ?
Près de trois années de loyer impayé pour un locataire ! Ça se passe à Malanhoui, un quartier de la commune d'Adjarra dans le département de l'Ouémé.
A. André a été assigné en justice par son propriétaire. Le bailleur demande l'expulsion de A. A. de l'immeuble loué au quartier Malanhoui, dans la commune d'Adjarra et sa condamnation à lui payer la somme de 2.413.414 FCFA, soit 2.040.000 FCFA au titre de trente (33) mois d'arriérés de loyer à fin août 2021 ; à raison de soixante-deux mille (62.000) FCFA le mois et 367.414 FCFA représentant les frais d'électricité. Le locataire mis en cause a reconnu devant les juges qu'il doit trente-deux (32) mois de loyer à son bailleur et qu'il prend les dispositions pour l'apurement. Non ! rétorque le propriétaire qui a argué que les mises en demeure consécutives (19 juillet et 15 octobre 2021) adressées par exploit d'huissier et l'engagement d'apurer les arriérés pris par A. A. le 19 mai 2021 n'ont pas eu d'effet. A l'issue des débats, il a été ordonné la cessation du bail professionnel portant sur l'immeuble sis au quartier Malanhoui dans la commune d'Adjarra. Le locataire A. A. est condamné à verser la somme de deux millions quatre cent treize mille quatre cent quatorze mille (2.413.414) FCFA à son propriétaire, selon le jugement contradictoire rendu le 1er décembre 2021.
M. M.
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