Le maire Rufino d'Almeida a fêté la Noël avec les enfants démunis de la commune de Bohicon. Le jeudi 23 décembre 2021, il a offert des présents à plusieurs enfants en situation de pauvreté.
Rufino d'Almeïda a semé la joie dans le cœur des enfants. L'autorité communale a pensé aux enfants démunis. Le maire a réuni les enfants du Centre de Promotion Sociale (CPS), du centre féminin de Bohicon, de l'ONG DAPI (orphelinat), du centre Ibaretha (orphelinat) et du centre des enfants sourds et muets CEFIS sur l'esplanade de l'hôtel de ville. Les enfants démunis de la commune de Bohicon sont repartis avec des cadeaux de Noël.
A.A.A
Le budget de la commune de Malanville, gestion 2022 n'a pas été adopté à la session du Conseil communal tenue ce vendredi 24 décembre 2021. Et pour cause un groupe de dix-huit conseillers ont rejeté l'adoption du budget.
18 voix contre 11 pour...C'est le résultat du vote lié à l'adoption du budget de la commune de Malanville ce vendredi 24 décembre 2021. De sources concordantes, les dix-huit conseillers communaux qui ont voté contre l'adoption sont des élus Union Progressiste (UP) et Bloc Républicain (BR). C'est la quatrième fois d'affilée que l'adoption du budget est rejeté par un groupe de conseillers communaux. Le plan annuel d'investissement de la commune de Malanville n'a pu également être adopté à l'issue de la session du Conseil communal tenue ce vendredi 24 décembre 2021. A quelques heures du début d'une nouvelle année, il est impérieux que la commune dispose d'un budget pour conduire les actions au cours de l'année 2022. Il est souhaitable que les états-majors des blocs UP et BR donnent des instructions à leurs élus communaux pour le vote du budget communal. Le développement de Malanville est au-dessus des divergences et clivages politiques.
M. M.
Plus de 80 œuvres seront présentées par l'artiste à l'Institut culturel roumain, pour la plupart inédites et exposées pour la première fois, fruits de sa dernière année de création.
Tudor Banuş est un artiste d'envergure internationale, dont les œuvres furent l'objet de plus de 70 expositions personnelles en France, Etats-Unis, Suisse, Autriche, Allemagne, Belgique, Grande Bretagne.
Bien que son œuvre évolue dans la modernité, Tudor Banuş est un artiste de « l'immortalité » - selon les mots de Mircea (...)
Elle persiste depuis plusieurs mois, la crise de l’eau s’approche-t-elle de la fin ? Une question à laquelle le premier responsable du secteur en Algérie a répondu.
Lors d’une plénière hier jeudi au conseil ; le ministre des Ressources en eau et de la sécurité hydrique, Karim Hasni, est revenu sur le dossier de la crise de l’eau, dont l’Algérie fait face actuellement.
En effet, le ministre a affirmé que la réalisation de stations de dessalement de l’eau de mer était l’unique solution perenne, à même de venir à bout du problème de la crise de l’eau.
« Le recours aux eaux dessalées dans les opérations d’alimentation en eau potable permettra d’affecter les eaux superficielles et souterraines à l’agriculture pour répondre aux besoins des agriculteurs notamment les agriculteurs de la wilaya d’Ain Temouchent, étant une wilaya à vocation agricole », a-t-il expliqué.
Le ministre rappelle la mise en place de programme d’urgenceDans le même sillage, le ministre a tenu à rappeler que les autorités avaient mis en place un programme d’urgence. Ce dernier vise, selon le ministre, à régler le problème de perturbations de l’alimentation en eau potable.
« Ce programme repose essentiellement sur des projets de réalisation d’un grand nombre de forages à travers les wilayas touchées par le déficit hydrique, outre des programmes de réalisation de stations de dessalement de l’eau de mer », a-t-il ajouté.
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Le président de la Société algérienne d’immunologie, Kamel Djenouhat a fait le point aujourd’hui concernant la situation pandémique avec la radio de Constantine. Revenant sur la hausse des cas de contaminations enregistrée depuis trois semaines, le professeur a indiqué qu’entre la flambée des cas et les décès, on compte une durée entre deux à trois semaines.
Compte tenu du deuxième cas du variant omicron recensé en Algérie, cette souche dite « préoccupante » par les spécialistes semble gagner du terrain partout dans le monde. Au sujet des variants, Pr Djenouhat a affiché son inquiétude expliquant que le variant Delta, connu jusqu’à présent comme étant le variant le plus dangereux du Covid-19, sera à l’origine de la quatrième vague. Puisque ce dernier s’est montré mortifère dans plusieurs pays.
Dans le même sillage, Pr Djenouhat que pour atteindre une immunité collective, on doit vacciner entre 90 et 95% de la population notamment pour faire face aux nouveaux variants du Coronavirus, rappelant que l’Algérie possède quatre vaccins parmi lesquels les citoyens pourront choisir.
Le pass sanitaire, est-il nécessaire ?Le professeur a souligné l’importance de rendre le pass sanitaire obligataire dans les espaces fermés. Ajoutant, que le futur de la pandémie demeure entre les mains du citoyen qui choisit ( ou pas ) de se faire vacciner et de respecter le protocole sanitaire et les mesures préventives.
Concernant la vaccination des enfants, un sujet plus que clivant ces derniers temps, il a indiqué que le dernier mot revient au Conseil scientifique, rappelant que les enfants sont souvent un élément de transmission comme ça a été le cas en France.
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Depuis la rentrée sociale en septembre dernier, les embouteillages ont refait surface à Alger. Les habitants de la capitale ainsi que des régions limitrophes se retrouvent presque tous les jours bloqué au milieu de bouchons.
Face à ces embouteillages interminables ; le gouvernement a lancé trois grands chantiers pour ma décongestion du trafic routier à Alger. Où en sont les travaux de ces nouveaux projets ?
Lors d’une visite de terrain hier jeudi, le secrétaire général du ministère des Travaux publics a fait le point sur l’avancement des trois projets ; constatant « un avancement ».
« Un avancement dans la réalisation des projets a été constaté ; après la mobilisation des moyens supplémentaires par les maîtres d’œuvres (…) Ces projets visent essentiellement à fluidifier le trafic routier dans la partie ouest de la capitale », a-t-il dit, selon un communiqué du ministère.
« L’importance de respecter les délais fixés dans les contrats de ces projets est primordiale. L’installation de la signalisation routière adéquate pour les chantiers est aussi importante », a ajouté le même responsable.
Quels sont les trois nouveaux projets ?Le premier projet concerne la réalisation de la route reliant le stade olympique du « 5 juillet » à la rocade 2 (rocade Draria), confié à Cosider-travaux publics et ouvrages d’art sur une longueur de 10 km (le premier tronçon de 2,5 Km).
Le deuxième chantier concerne le parachèvement des travaux d’accessibilité aux Zones d’expansion touristique (ZET) de Sidi Fredj et Palm Beach, confiés à deux entreprises publiques.
Quant au troisième projet, il concerne l’aménagement des bretelles reliant la rocade 2, le stade de Douera et la route nationale N 36, l’ouvrage d’art y afférent est confié à l’entreprise publique « SAPTA ».
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