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Vidéo : les étudiants de Sidi Bel Abbes protestent contre la désignation de Abdelkader Bensalah

Tue, 04/09/2019 - 15:27

Les étudiants de Sidi Bel Abbes protestent contre la désignation de Abdelkader Bensalah au poste du Chef de l’Etat.

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Ils demandent tous le départ du système: Plusieurs marches en cours à Béjaïa

Tue, 04/09/2019 - 15:22

Des étudiants, des enseignants et des travailleurs du campus universitaire de Béjaia, ont investi ce mardi la rue pour réclamer le départ de tout le système.

Des retraités se sont également rassemblés à la Place de la maison de culture Taos Amrouche de Bejaïa, pour porter les mêmes revendications.

Une autre marche pacifique des travailleurs du secteur des services économiques, a eu lieu dans la même place, pour demander, notamment, le départ du secrétaire général de la centrale syndicale UGTA, Sidi Saïd.

Par Sihem Benmalek

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Que se passe t-il à la tête du FLN?

Tue, 04/09/2019 - 15:03

Ould Abbès ancien secrétaire général du FLN, ou pas,présent à la réunion des deux chambres du parlement pour constater la vacance du pouvoir a déclaré aux journalistes présents sur place qu’il est toujours secrétaire général du parti du FLN  « Avez-vous vu ma démission ?  »

Le 23 novembre 2018 Mouad Bouchareb, lors d’une conférence de presse, remercie « l’ancien » secrétaire générale pour le travail qu’il a accompli au sein du parti du FLN.

Les déclarations de Ould Abbès laissent à croire qu’il lance un appel pour reprendre son poste, est-ce le cas?

M.A.Y

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Deux éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Tlemcen

Tue, 04/09/2019 - 15:02

ALGER – Deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés lundi  à Tlemcen par un détachement de l’Armée nationale  populaire (ANP), alors qu’une casemate contenant 4 bombes artisanales a été détruite à Skikda, indique mardi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué .

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 0 avril 2019 à Tlemcen (2e Région militaire), deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes, tandis qu’un autre détachement a découvert et détruit, à Skikda (5e RM), une casemate pour terroristes contenant quatre (4) bombes de confection artisanale, sept (7) détonateurs et d’autres objets », précise la même source.

Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’ANP « ont arrêté, lors d’opérations distinctes à Djanet (4e RM), Tamanrasset et In Guezzam (6e RM), 95 orpailleurs et saisi deux (2) véhicules tout-terrain, 39 groupes électrogènes et 28 marteaux piqueurs ».

D’autre part, des détachements de l’ANP, en collaboration avec les éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, à Rélizane (2e RM) et Ouargla (4e RM), douze (12) narcotrafiquants et saisi 49 kilogrammes de kif traité et 2.150 comprimés psychotropes, alors que trois (3) contrebandiers en possession de 3.542 unités de différents types de tabac ont été appréhendés à Ghardaïa (4e RM) », rapporte également le communiqué du MDN.

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Le président du Syndicat national des praticiens de la santé : le retard de mise en œuvre de la transition crée une situation de précarité dangereuse

Tue, 04/09/2019 - 15:01

La période d’attente de lancement de la période transition politique qui a tendance à perdurer, crée une situation de « précarité dangereuse » prévient le président du syndicat national des praticiens de la santé, souhaitant qu’elle ne débouche pas sur des problèmes conflictuels.

S’exprimant, mardi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Lyes Merabet note que le pays et les manifestants qui s’expriment chaque vendredi se trouvent confronté à « un dilemme », parce que, indique-t-il, ceux-ci considèrent que personne n’a le droit de représenter le mouvement populaire et que, d’autre part, nombre parmi eux, « inquiets, jugent indispensable de « sortir de cette situation le plus tôt possible ».

Entre les mots d’ordre portés, dit-il, par le mouvement populaire, né le 22 février, rejetant un 5ème mandat du président, appelant un changement des mœurs politiques et à une dénonciation de la corruption, M. Lyes Merabet relève que ceux-ci se sont élargis, devenant difficiles à circonscrire, d’où la nécessité, estime-t-il, de « recentrer le débat » et de revenir à l’essentiel en termes de revendications.

Observant, par ailleurs, que la gestion des affaires du pays, durant de très nombreuses années, n’a que trop duré et qu’elle nécessite donc d’être prise en charge, l’intervenant constate que les responsables politiques ayant été à la tête de divers secteurs d’activité n’a pas encore eu lieu.

Parmi ces derniers, « que les Algériens ne reconnaissent pas »,  il cite notamment MM  Bensalah, le président du Sénat,susceptible d’être désigné comme chef de l’Etat et Bedoui, l’ancien ministre de l’Intérieur, nommé à la tête du gouvernement, il estime indispensable d’entreprendre une « opération de toilettage » estimant que changer de système devrait tout naturellement amener à changer de mentalités et de comportement.

Pour ce qui concerne certains des autres commis de l’Etat, il propose de « les laisser » en attendant une étape « plus apaisée et plus sereine » pour, ajoute-t-il, pouvoir aborder certaines questions qui ne sont, d’après lui, ni essentielles, ni urgentes.

Commentant la naissance de l’imposant mouvement de contestation populaire qui a embrasé toutes les régions d’Algérie, il observe que celui-ci aura permis aux populations « d’exister » à nouveau dans leur pays, à charge, dit-il, aux responsables de donner l’exemple en revenant à une situation de légitimité et d’égalité.

Du nouveau chef de l’Etat qui aura à présider aux destinées de l’Algérie, il attend de le voir proposer un projet de révision de la Constitution au travers de laquelle tous les Algériens pourront se retrouver.

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Accidents de la route : 8 morts et 13 blessés durant la journée de lundi

Tue, 04/09/2019 - 14:46

Huit (08) personnes ont trouvé la mort et 13 autres ont été blessées dans 10 accidents de la route survenus lundi dans plusieurs wilayas du pays, indique mardi un communiqué des services de la Gendarmerie nationale.

La Gendarmerie nationale rappelle que son numéro vert « 10-55 » reste au service et à la disposition des citoyens pour demander aide et assistance en cas de nécessité.

Elle rappelle également que les conducteurs et les usages de la route peuvent consulter le site électronique « TARIKI.DZ » et l’application « Tariki » pour s’informer de l’état des routes et des nouvelles y afférentes en temps réel, comme les itinéraires probables, la météo, les routes connaissant une grande densité et les points noirs sur le réseau routier.

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La police fait usage de force contre les étudiants à Alger

Tue, 04/09/2019 - 13:35

Les policiers antiémeute répriment violemment la manifestation des étudiants à Alger-centre

#alger pic.twitter.com/rAMBQ7rLKM

— Zahra Rahmouni (@ZahraaRhm) April 9, 2019

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Forte présence des forces de sécurité: Manifestation des étudiants à Alger

Tue, 04/09/2019 - 13:00

Les étudiants marchent pour un septième mardi consécutif à Alger contre le pouvoir en place et pour le respect de la constitution.

De retour des vacances de trois semaines imposées par l’ex-ministre de l’Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, la manifestation a été marquée par une forte présence des forces de sécurité, qui ont tenté de freiner le cours de la marche, en dressant un imposant cordon sécuritaire à hauteur de la Fac centrale.

Les étudiants ont ainsi été empêchés de traverser le tunnel des facultés pour rejoindre la Place Audin.

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Djamel Zenati hier à l’université de Béjaïa: “Il y a des prémisses d’un retour du militaire dans la gestion du politique”

Tue, 04/09/2019 - 12:28

L’implication de l’armée dans la politique est justifiée, argumente-t-il, par la mise en avant de l’article 28 de la Constitution, qui évoque la défense de la souveraineté nationale.

L’ancien animateur du Mouvement culturel berbère, Djamel Zenati, a animé hier, au campus de Targa Ouzemour, une conférence-débat ayant pour thème : “Algérie : espoir et inquiétudes.” Dans son exposé, de plus d’une heure, il a plaidé pour la mise en place d’une transition démocratique qui durerait jusqu’en décembre 2020. Car, a estimé le conférencier, il ne pourrait y avoir une élection sans une nouvelle Constitution, considérant que c’est même une priorité. Djamel Zenati a plaidé, en outre, pour un État de droit régional, qui doit être mis en place “dans le cadre des principes démocratiques”.  Il dira qu’“avec cela, on aura concrétisé la 2e République”.

La question des hommes est, pour lui, secondaire. Il a rappelé que l’on est dans le cas d’une société qui s’oppose tout entière à un système dans sa globalité. “Ils veulent nous faire croire que le problème se limite à une bande criminelle. Ils ont débarqué Bouteflika. Ils veulent poursuivre sans qu’il y ait un état des lieux. Ils  nous offrent certains noms, pour capter l’opinion et la tromper ensuite”, a-t-il déploré. L’ancien député a affirmé que cette entreprise poursuit de fabriquer des profils par certains médias afin de les présenter ensuite comme l’ultime recours.

“On est dans le néo-patrimonialisme. Un système politique autocratique ou oligarchique dans lequel tous les pouvoirs découlent des dirigeants, et dont les différents niveaux hiérarchiques sont en relation de codépendance ou de dépendance avec les dirigeants, et dans le cas algérien les militaires. Il suffit de regarder la télévision”, a-t-il considéré, ajoutant qu’“il y a les prémisses d’un retour du militaire dans la gestion directe du politique”. Cette implication de l’armée dans le politique est justifiée, argumente-t-il, par la mise en avant de l’article 28 de la Constitution, qui évoque la défense de la souveraineté nationale. “Mais qui menace la souveraineté nationale ? Ce sont les accointances avec Israël, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite, etc. On n’a jamais entendu un officiel dire quoi que ce soit à ce sujet”, a-t-il dénoncé. Aussi, il n’exclut pas que cette situation évolue en conflit entre le peuple et les militaires bien que personne ne le souhaite. “Mais elle n’est pas exclue”, a-t-il mis en garde.

Évoquant la conférence parlementaire qui va  se réunir aujourd’hui pour désigner le chef de l’État par intérim, il dira avec insistance qu’“il n’y a aucune solution dans la Constitution”. Pis encore, l’article 102 est même en recul par rapport à la feuille de route, préconisée par Bouteflika, lequel avait proposé une conférence nationale inclusive, un gouvernement de transition.  Aussi, pour Djamel Zenati, “le jeu des chaises musicales auquel on assiste n’est pas fait pour rassurer les gens”. Selon lui, la transition démocratique a ses exigences : l’engagement de toute la nation et de toutes les énergies qu’il y a dans la société et également le sens de la responsabilité. “On a cassé un paradigme. Ce modèle théorique ou courant de pensée est en passe d’être réinventé, car avec le mouvement populaire algérien, il est désormais possible de se mobiliser massivement tout en préservant le caractère pacifique.

Plus encore, le mouvement a suscité beaucoup d’attention et forcé l’admiration. C’est un nouveau modèle. L’expérience algérienne n’est pas achevée et elle est déjà un modèle”, a-t-il affirmé. Djamel Zenati a évoqué aussi le sens du compromis qu’il faut avoir. “Dans cette dynamique populaire nationale, on est obligé de trouver un compromis. Tout un chacun qui marche a un rêve. Le clivage se situe entre ceux qui cherchent une solution et les autres qui veulent le statu quo : le pouvoir et ses relais. Il y a ceux qui veulent utiliser cette dynamique pour revenir rapidement aux urnes. On l’a vécu en 1990, cela a favorisé la régénérescence du système et aux extrêmes.”

M. OUYOUGOUTE

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Nouvelle manifestation contre le système – Bouira : établissements publics et écoles bloqués

Tue, 04/09/2019 - 12:26

Après les institutions et les établissements publics, les enseignants rejoignent le mot d’ordre de grève générale. 

Pour la seconde journée consécutive de grève dans le secteur de la Fonction publique à Bouira, afin d’exiger le départ du système, le corps de l’éducation nationale a rejoint le mouvement. En effet, les établissements scolaires de la wilaya ont fermé leurs portes et les élèves ont été priés de rentrer chez eux. À Lakhdaria, à Kadiria, à Haïzer, en passant par M’chedellah et Sour El-Ghozlane, les enseignants des différents paliers ont débrayé dans le but de pousser le pouvoir et ceux qui le symbolisent à plier bagage.

“Nous ne pouvons rester indifférents à ce qui se passe dans notre pays et nous devons participer, à notre manière, pour faire comprendre à ce système que son temps est révolu”, affirme un enseignant gréviste du lycée Krim-Belkacem de Bouira. Les étudiants qui n’ont finalement pas marché comme il avait été décidé la veille, se sont contentés de débrayer. “Nous avons bloqué le campus, l’ensemble des départements sont en grève. Cependant nous avons préféré reporter notre marche au 10 du mois en cours pour des raisons d’organisation”, a indiqué Kaci Saïdani, un des leaders du mouvement estudiantin à l’échelle locale.

Pour notre interlocuteur, les étudiants de Bouira, à l’instar de leurs camarades de tout le pays, réclament le départ de tous les tenants du pouvoir. “Ni Bensalah ni Gaïd Salah ! nous revendiquons le départ de tous, sans exception”, a-t-il, en outre, souligné. Les fonctionnaires de la plupart des administrations publiques ont largement adhéré au mot d’ordre de grève générale et aucune défection n’a été signalée à travers l’ensemble des 45 communes que compte la wilaya. Idem pour les entreprises publiques à l’image du centre d’enfûtage de Naftal de Chorfa, qui assurait le service minimum, pour ne pas créer une pénurie de bonbonnes de gaz butane. Certains fonctionnaires, à l’instar de ceux de Sonelgaz ne se sont pas contentés d’un simple piquet de grève, mais ils sont sortis dans la rue pour exprimer leur refus du système et exiger le départ de tous ses symboles.

Tous les manifestants se sont ensuite regroupés devant le siège de la wilaya, d’où une marche grandiose a été entamée. Pour ce qui est des pancartes, banderoles brandies et autres slogans scandés lors de cette énième démonstration de force des travailleurs de la Fonction publique, ils vont des plus classiques tels que “Le peuple veut la chute du régime”, “Système dégage”, “FLN et RND dégagez !” aux messages clairs à l’intention des symboles du régime, tels que le chef du gouvernement : “Ya Bedoui prend tes clowns et dégage”, “L’Algérie est plus grande que le système”. Lors d’une halte dans l’espace de la maison de la culture Ali-Zamoum, l’immense foule a observé une minute de silence à la mémoire des martyrs de la guerre de Libération nationale, ainsi que ceux du Printemps noir, avant de se disperser dans le calme.

R. BOURAHLA

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Son chiffre d’affaires a baissé de 10,5% en 2018: L’assurance des personnes peine à se développer en Algérie

Tue, 04/09/2019 - 12:24

Cette situation, qui dépend fortement de facteurs conjoncturels, interpelle les assureurs sur la nécessité de diversifier davantage cette assurance.

L’assurance des personnes en Algérie peine à décoller. C’est du moins ce qui ressort de la dernière note de conjoncture publiée par le Conseil national des assurances.
Les réalisations des assurances des personnes, au 31 décembre 2018, marquent un repli de 10,5% par rapport à la même période de l’exercice précédent, passant de 13,6 milliards de dinars en 2017 à 12,2 milliards de dinars à fin 2018. Toutes les branches ont connu une baisse de la production à l’exception de la branche “accident”. Les primes émises au titre de la branche “accident” ont atteint 1,8 milliard de dinars, l’année dernière, en hausse de 1,6% par rapport à l’exercice 2017, générées par l’accroissement du chiffre d’affaires de la garantie “Personnes transportées automobile” (+1,6%) et qui accapare de plus de 50% du portefeuille de la branche.

Comparativement à l’année 2017, la production de la branche maladie a enregistré une nette stagnation. Son chiffre d’affaires est estimé à 95 millions de dinars, affichant une production additionnelle de seulement 7 559 DA. Le chiffre d’affaires cumulé par les assurances des personnes au titre de la branche “assistance” s’élève à 2,5 milliards de dinars, marquant un recul de 13,6%, après la baisse du nombre de visas accordés, d’une part, et l’arrêt de la commercialisation du produit “rapatriement de corps”, d’autre part. La branche “vie-décès” a régressé de 18%. Cette branche, qui représente 34% du chiffre d’affaires global des assurances des personnes, a réalisé une production de 4,1 milliards de dinars au 31 décembre 2018, contre plus de 5 milliards de dinars à la même période de l’année 2017.

“Cette régression est engendrée, principalement, par le changement du mode de versement des primes de certaines sociétés, passant d’une prime unique à des primes mensuelles”, explique le Conseil national des assurances. La branche “prévoyance collective” a également chuté. Occupant 29% du portefeuille global des assurances des personnes, la branche totalise 3,5 milliards de dinars de production, à fin 2018, et décroît de 4% par rapport aux réalisations de l’exercice 2017, résultat de la régression des chiffres d’affaires des assurances “groupe” (-2,9%) et “perte de licence” (- 22,8%). Les chiffres du Conseil national des assurances révèlent la fragilité de l’assurance des personnes en Algérie. Cette fragilité de l’assurance des personnes, qui dépend fortement de facteurs conjoncturels, interpelle les assureurs sur la nécessité de diversifier davantage cette assurance.

La forte contribution de l’assurance dans la production globale du secteur des assurances dans certains pays développés n’est plus à prouver. En Algérie, elle est relativement modeste. Finalement, la séparation des assurances des personnes de celles de dommages décidée en 2006 n’a pas vraiment donné un nouvel élan et un coup d’accélérateur au secteur. Pourtant, les opportunités du marché sont considérables et le potentiel assurable n’a cessé d’évoluer. Une nouvelle génération de réformes est peut-être nécessaire pour faire des assureurs un véritable vecteur de la collecte de l’épargne, à travers le développement de l’assurance capitalisation, tributaire d’un marché financier dynamique.

Meziane Rabhi

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Acquisition de 1 541 véhicules par les APC : Les walis annulent le marché avec Tahkout

Tue, 04/09/2019 - 12:22

À travers cette annulation, les walis désavouent l’actuel Premier ministre qui, du temps où il était ministre de l’Intérieur, avait tout fait pour arranger un contrat-cadre avec Cima Motors.

Le marché illégalement attribué, au mois d’octobre 2018, par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, sous l’injonction du premier responsable du département et actuel Premier ministre, Noureddine Bedoui, au concessionnaire automobile Cima Motors appartenant à Mahieddine Tahkout, pour l’acquisition de 1 541 Creta de la marque Hyundai par les Assemblées populaires communales (APC), a été annulé par les walis.
Ce gros marché, qui, par ailleurs, allait être financé par le Fonds de garantie et de solidarité des collectivités locales (FGSCL), initialement destiné à la gestion, à l’entretien, à l’équipement et aux cantines scolaires du cycle primaire, avait été décrié par la plupart des présidents d’Assemblées populaires communales (P/APC) avant d’être bloqué par les walis. Ces derniers ont, en effet, instruit les directeurs des administrations locales (DAL) à saisir rapidement les chefs de daïras qui, à leur tour, devront informer les P/APC pour recourir à des consultations, et ce, en application des articles 5 et 13 du décret présidentiel 15-247du 16 septembre 2015 régissant les marchés publics.
Dans un message transmis aux chefs de daïras et aux P/APC, il était indiqué que l’offre de Cima Motors n’était pas concurrentielle par rapport aux autres opérateurs qui activent sur le marché de l’automobile. Cela va sans dire qu’une centaine d’APC (service contractant), qui avaient déjà envoyé des bons de commandes à Cima Motors (co-contractant), ne sont pas concernées par cette mesure prise par les walis. Ces bons de commandes ont été établis après la signature d’un accord-cadre pour la livraison de ces véhicules, sachant, qu’au départ, il était question de livrer 1 541 voitures de type SUV urbain pour un montant de 4 913 940 800 DA (près de 500 milliards de centimes hors taxes, soit 310 millions de centimes l’unité), d’une part, et ce, après l’envoi d’une directive, le 13 novembre 2018 aux 48 walis, par le secrétaire général dudit ministère intimant les P/APC à entamer la procédure d’acquisition de ces véhicules de tourisme, d’autre part.
Cette annulation intervient, apprend-on de bonnes sources, après que ce dossier explosif eut été remis à une section spéciale de recherche et d’investigation chargée d’élucider l’attribution opaque des marchés publics d’envergure, outrepassant le code des marchés, dont le recours aux consultations et aux avis d’appels d’offres au mieux-disant.
Si le wali de Tizi Ouzou a été le premier à avoir notifié, le 1er avril 2019, les 65 APC sur les 67 que compte la wilaya (2 APC, à savoir Tizi Ouzou et Larbaâ Nath-Irathen ne sont pas concernées), les autres walis ont également entamé, hier, des démarches administratives pour annuler ce contrat-cadre qui allait siphonner les caisses d’un Fonds alimenté à partir des subventions.
Ainsi, et selon de bonnes sources, les directeurs des administrations locales (DAL) ont été destinataires d’une notification officielle leur signifiant purement et simplement l’annulation dudit marché et l’ouverture de consultations à l’échelle locale pour lancer des avis d’appel d’offres pour l’acquisition de véhicules pour les besoins des services d’hygiène et de santé des APC dans la transparence chez l’ensemble des constructeurs qui exercent l’activité de montage en Algérie.
Si certains P/APC avaient été pressés à passer commandes chez Cima Motors après les directives de M. Bedoui, d’autres avouent n’avoir subi aucune pression et se sont tout simplement opposés à acheter des véhicules de tourisme avec l’argent du Fonds de garantie et de solidarité des collectivités locales (FGSCL), d’autant que ce mécanisme, qui, par ailleurs, revêt un caractère spécifique, était soumis à un contrôle très rigoureux au niveau des collectivités locales, notamment celles qui ne génèrent pas des recettes fiscales conséquentes pour faire face aux besoins des contribuables.

FARID BELGACEM

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RND: Guerre ouverte au sommet

Tue, 04/09/2019 - 12:17

Surpris par la décision radicale du bureau d’Alger du RND qui a gelé son adhésion et demandé son départ de la tête du parti, Ahmed Ouyahia a été contraint de réagir, hier, de la manière la plus forte. Détenteur du pouvoir de décision, il a riposté par trois mesures touchant le meneur de la contestation, qui n’est autre que son désormais ex-bras droit, Seddik Chihab.

Karim Aimeur – Alger (Le Soir) – «Nous demandons au secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, de quitter immédiatement son poste de secrétaire général du parti». La demande, exprimée dans un communiqué sanctionnant une réunion du bureau d’Alger du parti, tenue la veille, a tout d’une balle assassine tirée contre l’ancien Premier ministre par l’un de ses plus fidèles lieutenants de cette dernière décennie, Seddik Chihab, porte-parole du parti.
Député d’Alger, ce dernier a présidé une réunion du bureau de wilaya, avec la participation des maires du parti et des secrétaires des bureaux communaux.

Autre décision non moins importante prise à l’encontre d’Ouyahia : son adhésion au bureau d’Alger du RND est gelée ! Autant dire, une exclusion en bonne et due forme.
La réaction d’Ouyahia ne s’est pas fait attendre. Elle était à la mesure de la gravité des décisions à son encontre.
Il a présidé une réunion du Bureau national suite «à la désobéissance» conduite par Seddik Chihab au niveau des structures du parti à Alger.
Ce dernier a été touché par trois mesures aussi radicales que celles qu’il a prises la veille contre son chef.
Il est ainsi décidé de mettre fin aux fonctions du député d’Alger en tant que porte-parole du parti, en attendant la désignant d’un successeur. Mohamed Guidji, ancien chef du groupe parlementaire du parti, est pressenti pour occuper ce poste.

Seddik Chihab perd aussi sa qualité de membre du Bureau national du RND comme il est mis fin à ses fonctions en qualité de secrétaire du conseil de la wilaya d’Alger.
Ces décisions et contre-décisions ouvrent la page d’une nouvelle crise organique au sein du RND qui est, au même titre que le FLN, décrié par le peuple dans les manifestations contre le système politique.
Les mesures prises à l’encontre de Seddik Chihab ne signifient pas que la partie est finie. Dans son communiqué d’avant-hier, du bureau de la wilaya d’Alger, M. Ouyahia est appelé à «assumer ses responsabilités morales envers le parti». Le bureau d’Alger a appelé, en outre, les militants à adhérer à la démarche de redressement du parti.

La démarche du bureau d’Alger du RND, qui s’est abstenu d’appeler le président du Sénat, Abdelkader Bensalah à répondre aux exigences du peuple, suscite beaucoup d’interrogations.
Seddik Chihab est resté en toutes circonstances fidèle à Ouyahia, y compris lors du mouvement de redressement de 2012 qui avait poussé le patron du parti à démissionner.
Certains estiment que le député d’Alger est chargé d’une mission bien précise, à savoir celle de redonner au RND une nouvelle virginité qui lui permettra de jouer un rôle dans le processus de transition qui s’annonce en le débarrassant d’Ouyahia, l’homme contesté par la rue.

Ce qui est considéré comme une manœuvre du système politique qui veut se régénérer en mettant en avant de nouveaux visages et contourner ainsi la revendication principale du tsunami humain qui se déverse sur les villes algériennes chaque vendredi, et ce, depuis le 22 février dernier. Seddik Chihab était, en effet, le premier responsable du cercle présidentiel à parler des forces non constitutionnelles qui dirigent le pays depuis des années, dans le sillage du mouvement populaire contre le système politique. Quelques jours plus tard, le ministère de la Défense nationale a évoqué ces «entités non constitutionnelles», affirmant qu’il ne reconnaîtra aucune décision émanant de ces forces.

Mais, il semble qu’Ouyahia qui a cédé, en 2013, à un mouvement de redressement sans consistance, en démissionnant sous le motif de préserver le parti et l’unité de ses rangs, ne va pas se laisser faire cette fois-ci.
En 2016, lorsqu’il est revenu de nouveau à la tête du parti, il était ciblé par un nouveau mouvement de redressement. Ouyahia, appuyé par le même Chihab, avait juré de ne plus céder à «la dictature des minorités».

K. A.

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Selon le ministre de l’énergie : «Pas d’inquiétude chez les partenaires européens»

Tue, 04/09/2019 - 12:15

Pas d’inquiétude chez les partenaires européens de l’Algérie. Le ministre de l’Energie est formel : l’Algérie offre des garanties et ses partenaires en sont conscients. Pour Mohamed Arkab, la nature pacifique du mouvement populaire en cours envoie des signaux rassurants sans compter, dit-il, le potentiel dont jouit le pays qu’il s’agisse de ressources conventionnelles ou pas.

Nawal Imès – Alger (Le Soir) – Le mouvement populaire en cours depuis plus d’un mois n’a pas eu d’impact sur la coopération algéro-européenne dans le domaine de l’énergie. C’est le ministre de l’Energie qui l’affirme.
Pour Mohamed Arkab, les partenaires de l’Algérie sont « confiants » mais également « conscients » du fort potentiel dont recèle le pays.
La nature pacifique du mouvement, dit-il, est en elle-même un gage de stabilité du pays qui ambitionne, dit-il, d’élargir sa présence dans la région euro- méditerranéenne en proposant, en plus du gaz, de l’électricité. Le ministre s’exprimait en marge des travaux du Forum des énergies d’Alger qui s’est ouvert hier.
L’occasion pour Arkab de dresser un bilan du partenariat entre les deux rives. Il le décrit comme étant « en deçà des objectifs escomptés et surtout des potentialités des deux parties ». Il s’agira, dit-il, de dépasser le stade du constat en adoptant une démarche plus inclusive en perspective du sommet des deux rives de la Méditerranée occidentale, prévu le 24 juin prochain à Marseille.

Pour le ministre de l’Energie, le secteur dont il a la charge est un facteur de rapprochement entre les deux rives et constitue un élément majeur pour la réussite de la transition énergétique.
Les défis, dit-il, sont majeurs notamment avec la croissance de la demande et les enjeux climatiques. Ils imposent de passer d’un modèle basé sur les importations et les exportations à un nouveau modèle énergétique régional fondé, dit-il, sur la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité. La région fait également face au défi du développement économique pour répondre à des besoins pressants tout en prenant en compte la dimension de l’accès durable à l’énergie. Dans ce contexte, le financement des projets reste problématique pour de nombreux pays de la rive sud de la Méditerranée.

Il est aujourd’hui plus que nécessaire, selon le ministre de l’Energie, de trouver les mécanismes qui devraient à terme permettre aux pays de la région et aux institutions financières de faciliter le financement des projets. Toutes ces problématiques seront débattues en juin à Marseille au cours du sommet des deux rives de la Méditerranée occidentale. Les pays qui y prennent part, forts de leurs potentiels en termes de ressources énergétiques conventionnelles et non conventionnelles, espèrent concrétiser la transition vers des modèles économiques sobres en carbone et durables. Le gaz naturel se place au cœur de cette transition. Il continuera à jouer un rôle prépondérant dans le mix énergétique des pays de la région grâce aux ressources disponibles mais également aux nombreuses infrastructures développées.

Conscients de leur interdépendance et de leur complémentarité, les pays des deux rives tenteront ainsi de réinventer un modèle énergétique qui puisse prendre en compte l’ensemble des problématiques.

N. I.

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Urgent: Abdelkader Bensalah désigné chef de l’Etat par intérim

Tue, 04/09/2019 - 11:49

Conformément à l’article 102 de la constitution algérienne, et après avoir constaté la vacance de pouvoir. Abdelkader Bensalah est désigné aujourd’hui, 9 avril 2019 chef de l’Etat par intérim pendant une période de 90 jours. 

Le congrès du Parlement qui s’est réuni aujourd’hui a désigné le président du conseil de la nation, Abdelkader Bensalah président de l’Etat pour une durée de 90 jours, au cours de cette période des élections présidentielles doivent être organisé. Bensalah ne pourra pas se porter candidat à la présidence de la République.

Cette décision est prise conformément aux dispositions de l’article 102 qui stipule qu’en cas de “démission ou de décès du président de la République, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la présidence de la République”.

M.A.Y 

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Lyes Merebt s’exprime sur l’encadrement du mouvement populaire « il n y’a pas une autre issue de sortie »

Tue, 04/09/2019 - 11:08

Les ondes de la radio nationale Chaîne III on transmit aujourd’hui les opinions de monsieur Lyes Merebet, président nationale du syndicat des praticiens de la santé. Dans une interview questions réponses, le syndicalistes s’est exprimé ouvertement et a étaler ses opinions sur le mouvement populaire , les regards futures, et le tournant que pourrait prendre la contestation. L’entretien résumé par Algérie360.com.

Les syndicats et le mouvement populaire 

Dans un premier lieu Lyes Merebet s’y exprimé sur le rôle des syndicats dans le mouvement populaire,  » nous sommes interpellés plus que jamais. »
La journaliste pose la question  » faut-il rompre les liens avec l’UGTA. » l’interlocuteur réponds « il n’est pas question qu’elle disparaisse, mais il faut renforcer le syndicats a travers de nouvelle unions. » Il profite également de la question posé pour dénoncé  » ce que des militants affiliés à l’UGTA on vécu, ils ont été embarqués et d’autres malmenés, parce que il ont demandé un changement »

Mouvement populaire et encadrement.

La masse dans la rue a bien fait de tracer les grandes axes sur la plateforme de revendications pour pouvoir aller rapidement et trouver des mécanismes pour mettre en place ses revendications. Pendant certaines personnes  » le disent clairement personne n’a le droit de représenter le mouvement populaire » et que d’autres pense que c’est trop tôt, Lyes Merebet accentue sur le fait que nous devons s’organiser  » autour de quelque chose de concret », même si nous vivons actuellement un dilemme « on doit y penser parce qu’il n y’a pas une autre issue de sortie. »

Médias et Fake news.

Suite aux fake news qui circulent   » on est dans un débat virtuel notamment Facebook qui a été l’outil essentiel utilisé dans cette révolutions mais il faut dire que c’est un débat qu’on ne retrouve pas dans l’espace publique.

Contestation et économie, l’action et sa réaction! 

« Nous avons de l’argent mais l’économie n’arrive pas a décoller »

Lyes Merebet pense que oui la contestation pourra affecté l’économie algérienne, cependant il pense que c’est une situation qui ne va pas s’éterniser. Il pense aussi que c’est le prix a payer pour un changement. Il cite les propos d’un intervenant:  » pour le changement nous sommes prêts, pendant cinq ans, à manger uniquement que du pain et buvant que de l’eau. »

Il s’exprime sur la période de transition et dit.

« Trois mois c’est insuffisant pour organiser des élections çà va aller au delà de 6 mois. » Dans le même contexte le syndicaliste lance un appel pour mettre en point tout les mécanisme essentiels et nécessaires pour des élections transparentes. Pendant ce temps il déclare son refus contre toute ingérence étrangère en Algérie  durant cette « période difficile »,  » nous sommes assez mures pour trouver des solutions. »

Dans un point finale et après avoir adressé  un message au future président que le syndicaliste espère voir élu par la voix du peuple et à travers des élections transparentes ‘le futur président doit mettre dans son programme un projet  de révision de la constitution. » Il déclare son refus contre toute ingérence étrangère en Algérie,  » nous sommes assez mures pour trouver des solutions. »

M.A.Y

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40e jour du décès de l’artiste Malika Nedjadi : Avant-première du film «Innocents, mais» à Oran

Tue, 04/09/2019 - 10:51

Le court métrage «Innocents, mais», dans lequel l’artiste défunte Malika Nedjadi a participé, sera projeté à Oran en avant première, en hommage à l’artiste, décédée la semaine passée à l’âge de 52 ans des suites d’une longue maladie, a-t-on appris dimanche du réalisateur de cette production cinématographique.

Ce film à caractère social, qui sera projeté lors du 40e jour du décès de la défunte artiste, est la dernière úuvre dans laquelle Malika Nedjadi a participé, malgré son état de santé qui l’a obligé à s’aliter durant plus de deux années, a indiqué Bouzeboudja Ghaffour El-Houari, signalant que les scènes de ce court métrage ont été filmées au sein de la maison de la défunte comédienne, qui a beaucoup donné au 4e Art et qui a défié la maladie pour offrir des úuvres grandioses au public. Le film «Innocents, mais» raconte l’histoire d’un enfant souffrant d’une maladie psychique, ce qui la pousse à commettre un crime horrible au sein de sa famille, a indiqué le réalisateur.

L’œuvre, dont le scénario a été écrit par Nadia Lafraka, a vu la participation de huit acteurs dont Malika Nedjadi et Bouzid Hadj Brahim et traite des méthodes d’éducation des enfants et des mensonges qu’on leur raconte, ce qui peut provoquer chez eux des troubles psychiques pouvant les pousser à avoir des comportements négatifs, a souligné le réalisateur.
Pour rappel, l’artiste Malika Nedjadi activait au sein de plusieurs troupes théâtrales au Théâtre régional d’Oran «Abdelkader Alloula» et a participé dans plusieurs pièces dont «Toufah» d’Abdelkader Alloula, «La statue vivante» de Medjahri Missoum, qui a été présentée au Canada en 2010, ainsi que «Hama le cordonnier», écrite par Azzeddine Mihoubi et mise en scène par Mohamed Adar, présentée en Arabie Saoudite en 2007.

L’artiste a participé également dans des úuvres à caractère historique, notamment «La perle» et «Siphax» et d’autres úuvres télévisuelles comme «Ness El Houma» et «El waqaa», ainsi que des pièces radiophoniques. Bouzeboudja Ghaffour a, à son actif, plusieurs úuvres artistiques de sa composition, notamment une úuvre de pantomime «Les clowns» et des mises en scènes de plusieurs pièces dont «La découverte», «La tempête solaire», ainsi que des participations dans plusieurs festivals comme le festival international du théâtre de marionnettes à travers le web organisé en Egypte.

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Oran : La CNAS prend en charge plus de 3 900 malades cancéreux

Tue, 04/09/2019 - 10:50

La Caisse nationale d’assurances sociales pour salariés (CNAS) d’Oran a pris en charge plus de 3 900 malades atteints de différentes maladies cancéreuses, durant l’année 2018, a-t-on appris de cet organisme.

Pas moins de 3 939 malades cancéreux ont été pris en charge à Oran, soit par la dotation en médicaments ou par la couverture des congés de maladie, a expliqué, à l’APS, le responsable de l’Agence de la CNAS d’Oran. Le malade cancéreux bénéficie d’un remboursement de 100%, a déclaré Docteur Lotfi Mesli, soulignant que ce remboursement comprend même les maladies qui ne sont pas liées au cancer, comme par exemple le rhume. Dans ce cadre, 1 767 assurés sociaux ont été pris en charge, ainsi que 1 540 ayants droit (conjoint), 49 ascendants et 21 enfants atteints de cancer, selon Dr Mesli, qui a signalé que la CNAS prend aussi en charge les malades non assurés, à travers la direction de l’action sociale (DAS).

Chaque travailleur atteint de cancer l’empêchant de travailler et d’accomplir ses activités est pris en charge par la Caisse à hauteur de 100%, notamment en ce qui concerne les maladies de longue durée, et ce à compter du premier jour d’arrêt de travail, en application de la loi relative aux assurances sociales, a-t-il dit . L’Agence CNAS d’Oran apporte également une aide aux couches vulnérables de la société atteintes de cancer, à travers l’assistance sociale initiée par la Caisse depuis trois années. Ces malades sont accompagnés dans l’obtention de rendez-vous de radiologie et de chimiothérapie, afin de leur épargner les déplacements, selon le même responsable.

Concernant le volet prévention, la Caisse réalise des séances de dépistage précoce de maladies cancéreuses, notamment le cancer du sein au profit des femmes assurées et ayants droit âgées de 40 ans et plus, au niveau du centre de radiothérapie de Magnai (Tlemcen), a précisé la même source, ajoutant que le diagnostic précoce par mammographie est gratuit, avec le remboursement des frais de transport et la prise des rendez-vous. Dans le cadre d’une convention avec les médecins généralistes et quelques spécialistes, la CNAS couvre les frais d’auscultation et entreprend une sensibilisation sur les dangers du tabagisme et de l’alcool sur la santé, sachant que le tarif des consultations médicales est estimé à 450 DA pour un seul malade, a-t-on fait savoir.

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Skikda : Distribution de 12 000 ruches pleines aux apiculteurs

Tue, 04/09/2019 - 10:48

Pas moins de 12 000 ruches pleines ont été distribuées aux producteurs du miel dans les zones rurales de la wilaya de Skikda, a-t-on appris dimanche auprès du directeur des services agricoles (DSA), Miloud Maâmeri. L’opération est inscrite dans le cadre du développement de l’agriculture de montagne à travers le soutien des jeunes agriculteurs, notamment les apiculteurs pour la promotion de cette filière qui a connu durant les années dernières un « bond qualitatif » à l’échelle locale, a précisé à l’APS le même responsable.

« La démarche vise également à encourager les agriculteurs à adhérer au monde apicole et à ouvrer à intensifier et diversifier la production du miel, très sollicité pour divers usages en traitement médical, notamment », a-t-on noté. M. Maâmeri a également relevé que « les services agricoles œuvrent pour la labellisation du miel de la wilaya de Skikda avec l’ambition de lui donner une dimension nationale et internationale », soulignant que « la souche de l’abeille dans la wilaya de Skikda est très distincte et unique en son genre et son miel est considéré comme l’un des meilleures variétés ».

La filière apicole et la production du miel de la wilaya de Skikda, selon la même source, connaît depuis l’an 2000 « un rythme de développement accéléré estimé à 2.000 % », assure-t-on. Actuellement, le nombre de producteurs du miel dans la wilaya est estimé à 3 000 apiculteurs en plus de 3 500 travailleurs saisonniers relevant de cette filière qui contribue à offrir 6 500 emplois, selon les statistiques établies par les services de la DSA qui a recensé huitcoopératives spécialisées dans l’apiculture qui alimentent plus de vingt wilayas en ruches et produits de la ruche.
De son côté, le président de l’association professionnelle des apiculteurs de la wilaya de Skikda, également président de la fédération nationale des apiculteurs, Hicham Kouti, qui a indiqué à l’APS que la wilaya de Skikda dispose de 3500 ruches réparties sur les diverses communes, prévoit « une progression qualitative et quantitative de cette filière ».

La production du miel, réalisée dans la même wilaya au titre de la campagne agricole précédente a atteint 12 000 quintaux, soit une moyenne évaluée de 7 à 8 kg par ruche, selon le même responsable, soulignant que 50% du patrimoine apicole sont destinés à la production du miel tandis que le reste est utilisé entre autres dans la production du pollen et de la cire d’abeille.

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