par A. E. A.
Les citoyens concernés par la dernière liste des bénéficiaires de logements sociaux demandent que son affichage ait lieu comme annoncé, à savoir au mois de mars prochain, laissant clairement entendre qu’ils sont contre le report de cet affichage qui a été fixé par la suite après l’élection présidentielle. Les bénéficiaires des décisions des pré-affectation ont trop attendu et s’intéressent à tous les développements concernant ce dossier, disent-ils.C’est ce qu’indique plus explicitement le président de l’association de la cité Fadila Saadane dans une lettre adressée au wali de Constantine, A. Saidoune, dont nous détenons une copie. «Je vous demande, écrit-il, de procéder à l’affichage de la dernière listes des bénéficiaires de logements sociaux durant le mois de mars 2019 et non après l’élection présidentielle du mois d’avril de la même année, comme annoncé au cours de la réunion du 18 février dernier». L’auteur de la lettre fait état de ses craintes que la conjoncture particulière de ce rendez-vous politique crucial ne soit l’occasion qui sera exploitée pour cause de cet ajournement, pour semer le doute et la zizanie dans les rangs des bénéficiaires. Le dossier du logement social a trop souvent été utilisé pour créer l’anarchie et le désespoir parmi les citoyens concernés, selon notre humble lecture de la situation», est-il encore noté.
En effet, il est à rappeler que ce dossier de par son caractère très sensible a pratiquement et de tout temps fait l’objet de rumeurs et de manœuvres de la part de gens mal intentionnés, dont l’objectif est d’atteindre le moral des demandeurs de logement et ébranler leur confiance en ce dossier. Et c’est ainsi que d’innombrables sit-in des détenteurs des fameuses pré-affectations ont été organisés ces dernières années devant la daïra et devant le cabinet du wali pour demander dans la plupart des cas de simples explications officielles sur des dates ou procédures décidées en la matière et dont le but visé est de les rassurer et surtout de démentir les rumeurs qui les ont fait monter au créneau.
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Par Hadj Mostefaoui
Disposant d’énormes potentialités agricoles et touristiques, la daïra de Brezina est promise à un bel avenir pour peu que ses élus locaux mettent de côté leurs sempiternelles divergences, puisque, actuellement la collectivité locale est gérée par un administrateur. Les espoirs sont permis, selon M. Mohamed Jamal Khanfar, wali d’El-Bayadh, qui s’est dit très confiant pour l’avenir de cette commune lors de sa récente visite d’inspection et de travail dans cette cité, appelant les élus locaux à mettre de côté leurs divergences et à œuvrer collectivement pour concrétiser l’ensemble des projets socio-éducatifs et culturels retenus dans le cadre des différents programmes de développement.
Et de souligner au passage qu’il ne tolérera plus les retards enregistrés auparavant dans la réalisation et la livraison des projets prioritaires. Le wali s’est rendu sur le chantier de réalisation de la nouvelle ville de 80 logements sociaux en cours de réalisation, insistant sur la nécessité de livrer l’ensemble des établissements socio-éducatifs et culturels prévus dans le tissu urbain de cette nouvelle agglomération avant la prochaine rentrée scolaire. Cette nouvelle ville, implantée à plus de 05 kilomètres du chef-lieu de la daïra, en plein milieu du désert, à la merci des vents de sable, suscite de nombreuses interrogations sur le choix insensé du site exposé à découvert et en permanence.
Rappelant les récentes mesures décidées par le gouvernement en matière de dégel des projets, le wali a invité les responsables des secteurs de l’urbanisme et de la construction ainsi que celui de la DDE (ex-Sonelgaz) à ouvrir rapidement et sans tarder les chantiers de viabilisation et d’alimentation en gaz de ville afin de donner une âme à cette ville fantôme, au même titre que la nouvelle maison de jeunes, située à plusieurs enjambées de ce centre urbain totalement achevé. Il y a lieu de rappeler qu’une vaste opération de bitumage et de mise à niveau des six quartiers de la ville, y compris ceux du village attenant de Khellef, a été menée à terme vers la fin de l’année écoulée.
Ce dernier centre urbain a bénéficié de la réalisation d’une nouvelle école primaire et dont le taux d’exécution des travaux a déjà franchi le seuil des 60 %. Avant de visiter l’hôpital de la ville pour s’enquérir des conditions d’accueil et prise en charge des malades, le wali a procédé à l’inauguration d’une nouvelle agence postale.
La tournée s’est achevée dans la soirée par la visite d’un second chantier de réalisation d’un nouveau complexe sportif. Selon le wali, l’avenir de cette immense daïra réside dans le développement des activités agricoles, notamment celles arboricoles et maraîchères avec l’exploitation de la plaine de Dahayet El-Bagra qui totalise 550.000 hectares par le biais des concessions agricoles. La production de la pomme de terre pour la fin de cette saison sera destinée à l’exportation en attendant celle des céréales qui augure d’une production record.
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par Belkecir Mohamed
La police a arrêté deux individus impliqués dans deux tentatives de vol avec violence et effraction dans deux bijouteries. Les faits remontent à la fin du mois de janvier dernier lorsque deux bijoutiers ont déposé plainte après que des inconnus ont tenté de les agresser et de les voler.Après investigations et exploitation des vidéos, les deux suspects ont été appréhendés. Les deux victimes ont immédiatement reconnu les malfaiteurs. La justice a ordonné leur placement en détention.
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par Rachid Boutlelis
Une vingtaine de contrevenants ayant opéré des modifications et des extensions illicites de leurs appartements ont été mis en demeure par les services de l’Urbanisme de l’APC d’Aïn El Turck, apprend-on d’une source proche de ce dossier.Cette opération, actuellement en cours, menée dans les grandes cités à concentration d’habitants, en collaboration avec les éléments de la police, a été lancée dans le cadre de la lutte contre toutes formes de dépassement dans ce domaine et vise à assainir les paysages de cette municipalité ayant été enlaidie par l’illicite. Un délai a été accordé à ces contrevenants pour la remise en l’état initial des espaces squattés. Après l’expiration du délai ces contrevenants s’exposent à des poursuites judiciaires.
Notons que l’urbanisation illicite a pris des proportions démesurées, dans le chef-lieu, au même titre que dans les trois autres municipalités que compte la daïra d’Aïn El Turck. Certains résidents, soucieux de la préservation du cadre de vie, ont pris attache avec Le Quotidien d’Oran’ pour exprimer leur vif désappointement et « revendiquer plus d’opérations pour tenter d’endiguer ce phénomène. Les responsables locaux doivent agir, en amont, afin d’éviter que ce massacre ne prenne des proportions incontrôlables. Les autorités locales doivent reprendre les choses en main, au plus vite, en commençant par obliger ces contrevenants à démolir ce qu’ils ont illégalement construit », avant de renchérir, avec une pointe dépit non dissimulée, « ces contrevenants ont squatté carrément l’espace public, une situation qui risque de se généraliser à d’autres lieux sur le domaine public de l’APC.
Chacun tente de s’approprier une parcelle, assuré que son voisin, qui l’a déjà fait, il y a quelques années, n’a jamais été inquiété ! Et c’est la course pour confisquer les terrains pour construire des habitations et autres structures.
Cette situation ne fait que s’aggraver malgré les mesures prises par les autorités publiques et en particulier la loi 08/15 relative à la mise en conformité des constructions ». Il importe de noter dans cette optique que l’ultimatum adressé par le ministère de l’Habitat pour la régularisation des constructions inachevées, dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions de cette loi a expiré le 3 août dernier. L’objectif de cette loi était de mettre un terme à l’anarchie régnant dans le domaine, sur les plans urbanistiques, juridiques et autres, et donner aussi une meilleure image des villes et des campagnes, qui ne cesse de se dégrader au fil des jours.
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Un sit-in a été tenue cette après-midi au niveau du siège de l’ENTV pour dénoncer la couverture médiatique des manifestations contre le 5e mandat.
Par ailleurs, une lettre a été adressée par les journalistes, techniciens et réalisateurs de l’ENTV au Directeur général de leur entreprise pour exprimer leur refus d’être « l’outil » utilisé pour « dissimuler ou tronquer » les informations.
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Par J. Boukraâ
Pour combler l’énorme retard accumulé et répondre aux nombreuses doléances des habitants, la wilaya d’Oran vient d’accorder une enveloppe financière de 24 milliards de centimes au profit de la commune de Aïn El Bia, a-t-on appris de sources proches de la wilaya.
Cette enveloppe sera consacrée aux opérations d’amélioration urbaine. Il s’agit notamment de réhabilitation des réseaux d’assainissement, de la réfection de la voirie et des espaces verts, entre autres. Selon nos sources, une réunion de concertation se tiendra prochainement pour débattre des projets à inscrire au profit de cette municipalité.
En 2018, et dans le cadre de la prise en charge des préoccupations des citoyens, surtout celles concernant l’amélioration du niveau de vie et après avoir effectué deux visites au groupement de logements de Haï Es-Salem dans la commune de Aïn El Bia, la wilaya a octroyé une aide financière d’une valeur de 10 milliards de centimes provenant de la Caisse d’assurance et de solidarité des collectivités locales, ce qui représente une première tranche pour la prise en charge des travaux d’aménagement extérieurs et de bitumage des rues en détérioration permanente.
L’amélioration urbaine, un préalable du projet de modernisation de la wilaya d’Oran, est une des priorités de la wilaya d’Oran pour permettre une mise à niveau de ses cités. Le programme d’amélioration urbaine mené ces dernières années a contribué, malgré les retards enregistrés, à offrir un meilleur cadre de vie aux habitants, ce qui est visible dans certaines cités.
A maintes reprises, les habitants de Aïn El Bia avaient interpellé les autorités pour la programmation de projets visant à améliorer leur cadre de vie. Les habitants ont soulevé à maintes reprises les problèmes liés au manque d’infrastructures, défectuosité des réseaux d’assainissement et d’AEP, voirie, éclairage public en plus de l’isolement ressenti par les habitants comme un abandon, pur et simple, de la part des pouvoirs publics.
La dernière visite du wali d’Oran avait permis de faire un constat de visu sur la situation et des mesures ont été prises pour la prise en charge de ces problèmes.
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Plusieurs avocats ont manifesté, aujourd’hui mercredi, à Annaba, contre un cinquième mandat du Président Abdelaziz Bouteflika, selon des sources locales.
Le rassemblement s’est tenu devant le bâtiment d’une structure judiciaire, fraichement livrée, et que le ministre de la justice, garde des sceaux, Tayeb Louh, en visite de travail dans cette wilaya, devrait inaugurer.
Les services de l’ordre ont procédé à l’arrestation de plusieurs avocats, selon des images publiées sur des pages facebook de la ville d’Annaba.
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Les insultes et les « taisez-vous » ont fusé au sein de l’APN
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Par Yazid Alilat
La grève à laquelle ont appelé six syndicats de l’Education nationale a été «bien suivie» à travers les établissements scolaires ce mardi, a-t-on indiqué de sources syndicales.
Les membres de l’intersyndicale (Satef, Cnapest, Snapeste, Snte, Unpef et Cela) ont appelé à une grève pour les 26 et 27 février, suivie de quatre sit-in régionaux à l’appui de revendications syndicales et pour protester contre «la volonté du ministère de refuser le dialogue» avec les syndicats. «Dans l’ensemble, c’est acceptable», a indiqué au Quotidien d’Oran M. Boualem Amoura, coordinateur du Satef. «L’administration est en train de terroriser les enseignants et les travailleurs grévistes», a-t-il accusé.
Selon M. Amoura, «il y a de terribles pressions sur les travailleurs. Ils sont allés jusqu’à demander dans une wilaya aux inspecteurs d’aller garder les enfants en classe». «A Tizi Ouzou, ils ont demandé aux enseignants leur CCP, comme s’ils ne le connaissaient pas, pour éventuellement faire des ponctions sur salaires». M. Amoura s’est plaint également des «entraves aux libertés syndicales. Ils veulent casser la grève par tous les moyens».
Dans un point de presse dimanche, l’intersyndicale de l’Education nationale avait accusé le ministère de tutelle de bloquer la résolution des problèmes soulevés, et n’a pas «la volonté» de répondre favorablement aux revendications des syndicats.
Sadek Dziri, coordinateur de l’Unpef, a expliqué que «le ministère n’a pas la volonté de tenir un dialogue sérieux» avec les syndicats, dénonçant les rencontres menées avec des représentants de la tutelle mercredi et jeudi avec les six syndicats, qui n’ont rien donné. «Nous avons eu les mêmes réponses que celles d’avant la grève du 21 janvier dernier», a-t-il dit. «Le ministère nous a dit que les dossiers que nous lui avions soumis ne relèvent pas de ses prérogatives et que ces dossiers le dépassent».
Meziane Meriane, coordinateur du Snapeste, a, de son côté, affirmé que «nous tournons en rond. A chaque fois, on revient à la case départ». Pour lui, «la matrice principale du conflit, c’est la non-reconnaissance (par les autorités) des syndicats autonomes comme des partenaires sociaux à part entière. Si cette reconnaissance est évidente sur le terrain, on serait reçus à la source, je dirais le gouvernement pour trouver des solutions».
Et, à chaque fois «qu’on soumet des dossiers lourds, tels que le pouvoir d’achat, le dossier de la retraite, entre autres dossiers, on nous répond que ce ne sont pas les prérogatives du ministère. Mais s’ils ont la volonté de solutionner définitivement le problème, qu’est-ce qui les empêche d’incorporer aux négociations, un représentant du ministère des Finances, un représentant de la Fonction publique et là, on sortira avec des résolutions, qui vont mettre fin à ces conflits dont la responsabilité incombe au ministère de l’Education et non pas aux syndicats», s’est interrogé M. Meriane.
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Par Karim Kebir
Après avoir brandi la menace, à peine voilée, à l’égard des manifestants, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, semble s’être rétracté, puisque le passage évoquant les manifestations et diffusé par la télévision publique, dans son discours tenu hier à Tamanrasset, a été supprimé dans le texte publié sur le site du MDN et de l’APS. “Les résultats réalisés par l’ANP au niveau de nos frontières Sud, à l’instar de toutes nos frontières nationales, voire à travers l’ensemble de notre territoire national, sont le fruit d’une vision globale de la sécurité, qui a été adoptée par le Haut Commandement de l’ANP”, a déclaré Gaïd Salah dans une allocution devant les personnels des unités de la 6e RM.
Et dans une séquence diffusée par les télévisions et qui, visiblement, suivaient ces propos, Ahmed Gaïd Salah évoquait les manifestations en ces termes : “Partant de cette vision et de cette orientation, l’armée, conformément à ses missions constitutionnelles, considère que celui qui appelle à la violence par n’importe quel moyen et sous quelque prétexte que ce soit, à l’ombre de la conjoncture, est un homme qui ignore le désir du peuple de vivre dans la stabilité et la sécurité.” “Est-il raisonnable que des Algériens soient poussés vers l’inconnu à travers des appels anonymes douteux, en apparence prétendument en faveur de la démocratie, mais dont l’idée sous-jacente est de pousser les égarés à des issues incertaines et dangereuses ?”, s’interroge-t-il. “Ce sont des issues qui ne servent pas l’Algérie, ses intérêts et son développement”, estime-t-il encore. Mais tout ce passage a été amputé du texte publié sur le site du MDN. C’est à croire que des “interférences” se soient opérées entre-temps, symptomatiques du malaise en “haut lieu” et sans doute par crainte que la situation ne s’envenime.
En tout cas, ce “sabrage”, qui suggère une volte-face, peut prêter le flanc à toutes sortes d’interprétations.
Engagement pour réunir les conditions au bon déroulement du scrutin
Dans le discours repris par le MDN, le général de corps d’armée a affirmé que “l’Algérie a payé un lourd tribut afin de recouvrer sa sécurité et sa stabilité et la préservation de cet acquis très cher devrait être au moins à la hauteur de ce prix payé”, réitérant son engagement personnel à “réunir toutes les conditions favorables au bon déroulement de la prochaine élection présidentielle dans un climat de quiétude, de sérénité, de sécurité et de stabilité”. “Le bon sens et le raisonnement juste et objectif nécessitent forcément d’observer et de considérer le bilan sécuritaire réalisé, après les années sombres par lesquelles est passée l’Algérie. Ce bilan témoigne du prix onéreux payé pour le recouvrement de la sécurité de l’Algérie et de sa stabilité, et confirme le degré de cohésion entre le peuple et son Armée et leur lien solide effectif et moral, et affirme que leurs chemins se rejoignent, que leur destin est le même et que leurs visions convergent, voire s’unissent, vers un même avenir. Ils constituent une seule et même entité car ils appartiennent à la même nation. Tel est le secret de la ferme détermination et de la grande volonté qui ont permis de recouvrer la sécurité du pays, et de le délivrer des griffes du terrorisme sordide”, dit-il, non sans rendre un hommage au président de la République dont la candidature est contestée.
Karim Kebir
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Par Kharroubi Habib
Si le pouvoir croit que les manifestations et marches anti-cinquième mandats sont vouées à l’essoufflement après celles magistrales qu’a connues la rue le 22 février et qu’il n’en subsistera que celles éparses et plus gérables qu’organisent en rangs dispersés certains secteurs de la société, il est alors dans une illusion suicidaire qui va se dissiper pour lui ce vendredi qui promet que l’Algérie va vivre un moment qui aura encore plus de résonance que celui qu’elle a vécu le précédent vendredi.
Tout présage en effet que ce 1er mars la protesta populaire sera encore plus impressionnante dans son expression et donc catégorique dans son opposition au délirant et humiliant projet du cinquième mandat. Si ce fait se vérifie, les « décideurs » perdront toute marge de manœuvre et à moins de se risquer à faire taire la contestation en imposant la paix des cimetières, il lui faudra composer.
Certains indices montrent qu’au sein de ce pouvoir il en est dont l’aveuglement et l’autisme sont quelque peu dissipés d’où l’émission par eux de ballons-sondes sur des sorties de crise qui tout en préservant l’essentiel pour leur camp pourraient donner un semblant de satisfaction à la protesta populaire.
Celle consistant à présenter Ramtane Lamamra, l’ex-ministre des Affaires étrangères et présentement ministre conseiller auprès du président de la République, comme pouvant être l’homme de la situation est évoquée avec une insistance qui serait qu’elle crédite qu’un cercle du pouvoir en fait le « plan B » salvateur de son point de vue. Sauf que pour aussi respectable et estimable que soit Lamamra, la dévolution de la succession à Bouteflika qu’envisagerait pour lui ce cercle en question n’en sera pas moins une cooptation -mode d’accession au pouvoir- dont les Algériens ne veulent plus.
Depuis qu’ils sont dans la rue, les Algériens s’époumonent à crier leur refus d’un cinquième mandat mais aussi à exiger le respect de la souveraineté populaire qui ne peut se démontrer que par la tenue d’une élection présidentielle dans les conditions lui assurant l’honnêteté et la régularité les plus indiscutables.
Un tel scrutin que le pouvoir sait fatal pour lui au point de discrédit dans lequel il est n’est pas envisageable pour ses tenants même si leur candidat est Lamamra.
Les Algériens sont conscients de cela qui leur fait raison de ne pas relâcher la pression sur le pouvoir et de ne pas dévier de leur revendication fondamentale qui est celle de la rupture avec un pouvoir en putréfaction et avec le sérail de ses serviteurs, fussent-ils crédités d’une réputation honorable.
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Par M. K.
Face à la situation » très difficile » à laquelle est confrontée l’Algérie, le président de la Confédération algérienne du patronat propose de mettre en exergue les difficultés qui existent « , notant que le programme que le gouvernement présente, aujourd’hui, aux élus du peuple » est des plus approprié « .
Accueilli, ce mardi, a l’émission l’Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, M. Boualem M’rakèch relève que les acteurs économiques, malgré tous les efforts entrepris, » sont dépassés par les problèmes « . Des manifestations populaires observées ces derniers jours, M. Boualem M’rakèch considère que les pouvoirs publics se doivent, en réaction, d’inaugurer de » nouvelles perspectives « , en adoptant » une vision, une démarche et une action « .
Outre la lutte contre la corruption, il relève que les autorités ont tardé à mettre en place les réformes économiques, administratives, celles du système financier et de la justice, soulignant que les pays où règne » la rente » sont toujours à la traîne.
Notant que l’Algérie a le taux de croissance le plus bas des pays arabes, M. M’rakèch mentionne l’exemple de la Mauritanie qui, dit-il, possède une croissance trois fois plus importante « que la notre ». Il nous faut, plaide-t-il, sortir de cette » décroissance grave » dans laquelle le pays s’est installé » durablement « .
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Suite au succès qu’a connu sa solution dédiée à la protection de la vie numérique des enfants, Ooredoo lance une nouvelle solution « Kaspersky Internet Security » pour sécuriser au mieux la vie numérique de ses clients avec une multitude de fonctionnalités.
Plus qu’un simple anti-virus, la solution Kaspersky Internet Security de Ooredoo assure une protection globale des données personnelles, notamment : une protection avancée de l’identité et des activités en ligne ainsi qu’un module de gestion des mobiles volés (Blocage du mobile, suppression de données à distance, détection de l’emplacement du mobile, etc.) et ce, sur tous les types de terminaux : ordinateurs (PC / MAC), Smartphones et tablettes, sous Android et iOS.
Cette nouvelle solution innovante est proposée par Ooredoo avec des formules trimestrielle, semestrielle et annuelle et ce à partir de 1249 DA seulement, valables pour trois terminaux.
Pour profiter des solutions « Kaspersky Safe Kids » et « Kaspersky Internet Security », révolutionnant le monde digital en Algérie, il suffit d’accéder à la page choof.ooredoo.dz via sa connexion Ooredoo, et choisir l’une des formules proposées.
Avec le lancement de « Kaspersky Internet Security », Ooredoo accompagne ses clients en leur proposant des solutions efficaces leur assurant une protection optimale de leurs données personnelles.
Solution accessible sur la page : ooredoo.dz
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LG Electronics (LG) captive l’imagination des consommateurs du monde au Mobile World Congress 2019 avec la révélation simultanée de ses nouveaux smartphones phares des séries G & V. Au Centre de Convention International de Barcelone (CCIB) à Barcelone, LG introduit son premier téléphone 5G, LG V50ThinQ 5G, ainsi que le nouveau LG G8ThinQ , pour une double dose de plaisir.
Le Parfait Smartphone pour l’ère 5G
Donnant la possibilité aux consommateurs de profiter de tout ce que la 5G a à offrir dès que le service sera disponible, le révolutionnaire LG V50ThinQ 5G a été soigneusement conçu pour fournir une expérience utilisateur exceptionnelle. Le premier mobile 5G de LG dépassera les attentes, offrant une fiabilité irréprochable et permettant aux utilisateurs de découvrir du contenu en haute qualité à une vitesse 5G, 20 fois plus rapide que la 4G.
LG ont mis le paquet pour optimiser les performances de l’écran et audio du LG V50ThinQ 5G.Un écran QHD + OLED FullVision de 6.4 pouces avec un ratio d’aspect 19.5 :9 offrant aux utilisateurs un sens de l’immersion accru lorsqu’ils visionnent une vidéo ou profite d’un jeu.
La performance audio a été enrichie pour réaliser une superbe performance stéréo qui peut être appréciée avec ou sans écouteurs. Doté d’une technologie DTS:X, le LG V50ThinQ 5G permet aux utilisateurs d’expérimenter le son surround optimisant la qualité de tout contenu pour créer un paysage sonore réaliste avec une excellente clarté et profondeur. Le téléphone, est également doté de la technologie audio Qualcomm® aptX et aptX HD pour une qualité audio Bluetooth premium et une faible latence, idéal pour expérience d’écoute immersive à travers les casques ou mini-écouteurs.
Le smartphone 5G de LG dispose d’innovations optiques qui permettent aux utilisateurs de réaliser des photos et des vidéos de la plus haute qualité. Au-delà des images figées, LG a implémenté une fonction de contrôle de profondeur vidéo sur les caméras avant et arrière afin de garantir que les éléments mouvants restent en focus. En analysant la distance et la profondeur grâce à la technologie Dual FOV, les utilisateurs pourront capturer exactement ce qu’ils perçoivent permettant ainsi de réaliser des vidéos incroyablement professionnelles et soignées.
Le premier appareil 5G de LG est alimenté par la nouvelle plateforme Qualcomm® Snapdragon 855 avec le modem Snapdragon X50 5G et le logiciel optimisé LG pour délivrer la puissance de traitement avancée requise par la 5G. Le téléphone est également équipé d’une batterie 4.000mAh, soit 20% plus grande que celle du V40ThinQ, et équipé d’un système de refroidissement avec une nouvelle chambre à vapeur, plus efficace que le caloduc conventionnel maintenant des températures internes basses.
Héritant du design fin et élégant de la série V, le LG V50ThinQ 5G est de seulement 8.3 millimètres d’épaisseur et ne pèse que 183 grammes. Afin de maintenir son profil épuré aux lignes ininterrompues, l’emplacement de l’objectif de caméra arrière est entièrement aligné avec la face arrière du téléphone. Tout cela est réalisé sans sacrifier la durabilité du LG V50ThinQ 5G, qui continue de se conformer aux standards du 14 U.S. military MIL-STD 810G.
Dans la perspective de lancement de son premier téléphone 5G, LG travaille en partenariat avec 10 grands transporteurs sur les marchés où le service 5G sera lancé cette année, incluant les Etats-Unis, la Corée du Sud, l’Australie et un bon nombre de pays européens.
Deux écrans pour une Expérience 5G Enrichie
Pour pousser l’immersion et le confort de l’utilisateur vers de nouveaux sommets avec son premier smartphone 5G, LG a développé un Double Ecran comme accessoire optionnel du LG V50ThinQ 5G. Conçu pour ressembler à un étui de téléphone, le Double Ecran s’ouvre pour offrir aux possesseurs de LG V50ThinQ 5G un second écran OLED de 6.2 pouces pour une double expérience de visionnage, de jeu et de polyvalence. Le Double Ecran et le LG V50ThinQ 5G peuvent être utilisés indépendamment, permettant divers scénarios d’utilisation intéressants. Par exemple, les utilisateurs peuvent visionner un film sur un écran tout en parcourant l’IMDB sur le second.
Lorsque le Double Ecran est connecté, une icône apparait sur l’écran du LG V50ThinQ 5G qui peut être touchée afin d’allumer le second écran ou basculer sans effort d’un écran à l’autre. La caractéristique de fenêtres multiples permet de diviser chaque écran en deux, permettant ainsi d’afficher et d’utiliser plusieurs applications en même temps. Sur une sélection de jeux, le Double Ecran peut être utilisé en tant que manette dédiée résolvant ainsi le sempiternel problème de pouces encombrant l’écran en pleine action. Le Double Ecran peut être positionné à deux angles pratiques – 104 et 108 degrés – et étant donné qu’il fonctionne grâce à la batterie du téléphone, il n’est pas nécessaire de le charger séparément.
Une Nouvelle Expérience Mobile
LG G8ThinQ perpétue la tradition visant à offrir aux consommateurs à travers le monde une série de caractéristiques améliorant le confort et met l’accent sur la livraison de capacités optiques et sonores avancées. A cela s’ajoute la subtile et sobre philosophie de design qui se débarrasse de tout élément de design facultatif et donne au LG G8ThinQ une apparence indéniablement chic. L’irréprochable esthétique ne se limite pas uniquement à l’avant de l’appareil puisque le l’aspect incrustée de la caméra arrière crée une surface plaisamment lisse. Le Crystal Sound OLED, une avancée audio utilisant l’écran du smartphone comme haut-parleur, élimine la nécessité d’un haut-parleur avant, venant compléter l’apparence minimaliste.
Le LG G8ThinQ est le premier smartphone au monde doté d’un système d’authentification avancé des veines palmaires, rendu possible grâce à l’association de la caméra Z ToF et de capteurs infrarouge. Plus sécurisé que la technologie de reconnaissance d’empreintes digitales, le Hand ID de LG identifie son propriétaire en reconnaissant la forme, épaisseur et autres caractéristiques individuelles des veines palmaires de la main. Placer simplement une main préenregistrée face à la caméra avant pendant une fraction de seconde suffit à déverrouiller le LG G8ThinQ et tout son contenu.
La caméra avancée Z entre également en jeu pour capturer d’attrayants selfies en mode portrait. La caméra Z mesure les rayons infrarouges reflétés par les objets afin de calculer la profondeur plus rapidement et plus précisément que les autres capteurs d’images, rendant possible d’intéressantes fonctionnalités telles que le Face Unlock. Etant donné que la caméra Z perçoit les objets en 3D, il est impossible de tromper le Face Unlock avec avec des images à deux dimensions d’un visage puisque les photos n’ont pas de profondeur. La technologie ToF (Time of Flight) de la caméra Z LG n’est pas affectée par la lumière ambiante, ainsi la précision n’est pas affectée par la lumière provenant de sources externes.
Grâce à de multiples formes d’authentification biométrique, LG fournit plus d’options pour la sécurité des smartphones qu’aucun autre fabricant de smartphones, permettant aux consommateurs de choisir quelle option leur convient le mieux, selon les circonstances.
La caméra Z est également mise en place afin d’améliorer l’expérience utilisateur avec Air Motion. Sans toucher le téléphone – utile lors de la conduite – l’utilisateur peut répondre ou terminer des appels, prendre des captures écrans, basculer d’une application à l’autre ou ajuster le volume. Contrôler le LG G8ThinQ est aussi simple qu’agiter une main ou pincer l’air, améliorant la commodité pour les consommateurs actifs lorsqu’ils nagent ou portent des gants.
Contrairement aux caméras existantes capables de distinguer uniquement le sujet et l’arrière-plan, la caméra frontale du LG G8ThinQ mesure la distance entre un sujet et la caméra en millimètres afin de contrôler l’intensité de l’arrière-plan jusqu’à 256 niveaux pour les selfies avec plus de profondeur. Avec un capteur d’images de 1.22 μm (approximativement 10% plus grand que celui du LG V40ThinQ), le LG G8ThinQ peut produire une image bien plus nette et également plus rapidement grâce à l’autofocus.
Le portrait vidéo fait ses débuts sur le LG G8ThinQ, permettant aux utilisateurs de contrôler le bokeh en filmant des vidéos en mode Portrait avec la caméra arrière.
Au-delà de l’optique, le LG G8ThinQ excelle en matière de performance multimédia, en étant le premier appareil de la série G de LG à disposer d’un écran à technologie OLED. Le grand écran QHD + FullVision mesure 6.1 pouces avec 564 pixels par pouce, capturant un nombre incroyable de détails.
Les Autres Options de la série G
Un autre membre de la famille G de LG sera disponible dans les prochains mois suivant le MWC pour les marchés à la recherche de quelque chose d’unique dans un ensemble offrant une finition premium sans sacrifier la performance ou les essentiels premiums qui rendent le LG G8ThinQ si spécial. Le LG G8s ThinQ dispose du Snapdragon 855 Mobile Platform de Qualcomm lié à un écran OLED de 6.2 pouces alimenté par une batterie robuste de 3.350mAh.
Trois caméras arrière dédiées au Mode Nuit et une technologie HDR à faible éclairage font de cet appareil une centrale de créations de contenus, tandis que la caméra Z permet une sécurité renforcée grâce au Hand ID et au Face Unlock. Le Air Motion, une profondeur de champ précis et des haut-parleurs stéréos complètent le package qui séduira certainement les clients à la recherche de l’expérience G8 à prix compétitif.
Les participants au MWC 2019 peuvent visiter le stand LG au Hall 3 de Fira Gran Via du 25 au 28 février pour plus d’informations sur les nouveautés smartphones de LG ainsi que découvrir davantage d’innovations mobiles.
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Par Saïd B.
Le Salon de l’industrie agroalimentaire, DJAZAGRO a ouvert ses portes, hier matin, au Palais des expositions près d’Alger.
Le grand public pourrait donc bien faire un tour du côté du Palais des expositions pour s’enquérir des expositions et des propositions des professionnels de l’agroalimentaire regroupés en pas moins de 700 exposants représentant, outre des opérateurs algériens, des exposants de 34 pays.
En plus des habituels boulangers et pâtissiers qui y sont présents, figurent nombre de fabricants d’équipements et des transformateurs de produits alimentaires aux côtés des importateurs, exportateurs et distributeurs de ces mêmes produits.
Partenaire du salon, la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) organisera de son côté, des Invest et export business meetings sous forme de tables rondes traitant de divers thèmes, dont la réglementation algérienne des investissements, la sécurisation financière et contractuelle ainsi que les taxes et douanes à l’export.
De plus, et durant le déroulement de cet évènement, la Chambre algérienne de commerce et d’Industrie (CACI) proposera aussi aux visiteurs et aux exposants, des ateliers dédiés à l’investissement et à l’export en Algérie.
Des conférences techniques sont également au programme, comme celle sur « l’emballage et la valorisation de la production locale ».
Lors d’un point de presse tenu en marge de l’inauguration de la 17ème édition du Salon international de l’agroalimentaire « Djazagro » à Alger, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Kamel Chadi a indiqué que la multiplication des grandes coopératives agricoles contribuerait à l’amélioration de la production et de la valorisation des produits nationaux.
Le représentant du ministère a par la suite énuméré les défis à relever par son secteur. Ainsi, il a fait savoir que le premier des défis était la création de grandes coopératives agricoles dans les différentes filières. Ces grandes coopératives doivent regrouper l’ensemble des capacités des agriculteurs afin de développer la production nationale et mener au mieux la « bataille » de l’exportation des produits agricoles et agroalimentaires nationaux.
Par ailleurs et s’agissant du deuxième défi national auquel le secteur est confronté, le même responsable précise qu’il réside dans la multiplication des centrales d’achat destinées au stockage, à la valorisation et à l’emballage des produits.
Quant au troisième défi de l’agroalimentaire en Algérie, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Kamel Chadi, indique qu’il consiste à mettre à contribution les acteurs de la grande distribution à travers les grandes surfaces, outre les petits distributeurs.
Mieux encore, le SG du ministère de l’Agriculture a tenu à expliquer que la filière agroalimentaire est une « chaîne » dans laquelle interviennent plusieurs acteurs. Pour lui, le but étant de cette » chaîne » que l’ensemble de ces acteurs jouent pleinement leurs rôles pour transformer et valoriser les produits agricoles.
Des exportations
M. Chadi a, en outre, estimé que les produits nationaux connaissent également un « succès certain » au niveau des marchés étrangers.
Et c’est donc directement le cas de l’exportation qu’a abordé le même responsable en soulignant le rôle que devrait jouer la branche agroalimentaire dans l’absorption des excédents de la production agricole enregistrés au cours de ces dernières années.
C’est ainsi que le représentant du ministère de l’Agriculture a cité des chiffres en précisant bien qu’au cours de l’année 2018, l’Algérie avait produit plus de 150 millions de quintaux de produits maraîchers et près de 52 millions de quintaux de fruits.
« L’opération d’exportation débute au niveau des champs à travers un accompagnement technique, suivi par une valorisation en post-production », a conclu le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Kamel Chadi.
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Lors d’une séance à l’assemblée nationale, le député MSP, Said Zouar qui critiquait le bilan du président Bouteflika et qui annonçait être contre le 5e mandat de ce dernier, s’est vu à de nombreuses reprises couper la parole par le président de l’APN, Mouad Bouchareb qui a déclaré que “Le président de la République est une ligne rouge” .
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Par Akram Belkaïd
Il y a quelques mois, cette chronique abordait l’actualité boursière souvent tumultueuse des grands groupes miniers et notamment aurifères (1). Il s’agissait, pour un montant de 5,4 milliards de dollars, de la fusion, par échange d’actions, entre le canadien Barrick Gold et le britannique Randgold en une seule compagnie pesant alors 18 milliards de dollars (aujourd’hui, Barrick Gold pèse près de 23 milliards de dollars à la Bourse de New York).
L’opération avait conforté Barrick dans sa position de premier groupe mondial dans le secteur de l’or mais c’était sans compter les manœuvres stratégiques de ses rivaux. L’un d’eux surtout intéressait les marchés et les observateurs. Il s’agissait du groupe américain NewmontMining, premier rival de Barrick avec lequel une fusion avait capoté au dernier moment en 2014 pour des raisons encore ignorées mais que l’on met souvent sur le compte de l’absence d’accord sur la répartition des postes entre dirigeants des deux sociétés.
Garder le leadership
Pour éviter d’être avalé par Barrick et pour faire plaisir aux marchés en menant une opération de croissance externe, Newmont vient donc de racheter Goldcorp pour un montant (en actions) de 10 milliards de dollars. De quoi le faire «grossir» et devenir difficilement «digérable» par Barrick ? Pas si sûr. Car dans l’actualité boursière, il n’y a pas que les retours sur investissement, les valorisations ou le ratio bénéfice par action qui comptent. L’ego et les intérêts personnels des dirigeants pèsent aussi. Et ceux qui sont à la tête de Barrick refusent de voir leur groupe passer au second rang derrière Newmont. Pour eux, il n’y a pas mille solutions pour empêcher le mariage Newmont-Goldcorp de bouleverser la hiérarchie des groupes miniers.
C’est donc ainsi que Barrick vient officiellement de lancer une Offre publique d’achat (OPA) sur Newmont. Comme c’est souvent le cas dans le secteur minier, l’opération, si elle se fait, porte sur un échange d’actions qui valorisent le groupe américain à 19 milliards de dollars.
Au total, et toujours dans l’hypothèse où le mariage se réalise, on assistera à la naissance d’un géant de l’or (et d’autres métaux dont le cuivre) pesant 40 milliards de dollars. Les actionnaires de Barrick détiendraient alors environ 55,9% de la société fusionnée, le solde revenant aux actionnaires actuels de Newmont. Mais rien n’est encore joué car le groupe américain ne veut pas entendre parler de cette union. L’un de ses dirigeants a même qualifié l’offre de Barrick de «tentative bizarre et désespérée».
Opa hostile
L’Opa de Barrick sur Newmont est donc hostile puisqu’elle ne résulte pas d’un accord ou de négociations préalables. C’est un peu le retour aux années 1980-2000 quand le fonctionnement des marchés était moins policé (du moins en surface).
Pour la presse économique et financière, ce genre de bagarre est une bénédiction car les protagonistes sont dans l’obligation de communiquer pour faire entendre leurs arguments et convaincre les actionnaires, petits et grands, du bien-fondé de leur position. D’assemblées générales en conférences de presse, l’actualité boursière fera une part belle à cette bagarre dont l’issue demeure incertaine.
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Par Kenneth Rogoff
Dix ans après la crise financière mondiale de 2008, les dirigeants politiques nous assurent en permanence que le système est aujourd’hui beaucoup plus sûr. Les plus grandes banques opérant au cœur du système auraient en effet réduit leurs paris risqués, et tous les acteurs – investisseurs, consommateurs et banquiers centraux – seraient désormais très vigilants. Les régulateurs auraient par ailleurs travaillé dur pour garantir une plus grande transparence et responsabilisation dans le secteur bancaire. Mais sommes-nous réellement beaucoup plus en sécurité ?
En temps normal, la réponse serait affirmative. Cette forme de crise financière mondiale systémique et totale survenue il y a dix ans est en effet incomparable avec une récession septennale classique. La fréquence bien inférieure des crises systémiques illustre deux réalités : les dirigeants politiques répondent par des réformes visant à prévenir leur récurrence, tandis que les investisseurs, consommateurs et acteurs politiques mettent généralement beaucoup de temps à oublier la dernière.
Seulement voilà, nous ne vivons pas une époque normale. La gestion de crise ne peut s’effectuer sur pilote automatique, et la sécurité du système financier dépend considérablement de la compétence des acteurs qui le gèrent. La bonne nouvelle, c’est que les banques centrales demeurent dans l’ensemble composées d’excellents effectifs et dirigeants. La mauvaise, c’est que la gestion de crise fait intervenir le gouvernement tout entier, pas seulement l’autorité monétaire. Et à cet égard, de nombreux motifs de doute existent.
Certes, si la prochaine crise se révèle parfaitement similaire à la dernière, les décideurs politiques pourront se contenter de suivre le manuel élaboré en 2008, avec des résultats probablement au moins aussi efficaces.
Mais qu’arrivera-t-il si la prochaine crise s’avère totalement différente, par exemple provoquée par une grave cyberattaque, ou par une augmentation inattendue et rapide des taux d’intérêts réels mondiaux, qui viendrait perturber des marchés fragiles en situation de dette à haut risque ? Qui peut affirmer avec certitude que l’administration du président américaine Donald Trump est suffisamment compétente et expérimentée pour faire face à un effondrement majeur ? Difficile de le savoir, dans la mesure où la seule véritable crise connue par les Etats-Unis sous la présidence de Trump réside précisément… dans la présidence Trump.
Le président de la Réserve fédérale Jay Powell et son équipe sont des gens brillants, mais quelles seront les autres grandes personnes présentes dans la pièce si une crise financière en provenance de l’extérieur vient à menacer ? La Fed ne peut tout entreprendre seule ; il lui faut le soutien politique et financier du reste du gouvernement.
En réalité, la Fed dispose d’une moindre marge de manœuvre par rapport à 2008, dans la mesure où les réformes financières Dodd-Frank ont nettement restreint sa capacité à renflouer des institutions privées, même en cas de risque d’effondrement du système tout entier. Un Congrès en situation de blocage sera-t-il à la hauteur ? Ou peut-être Steven Mnuchin, qui produisait des films à Hollywood avant de devenir secrétaire du Trésor des Etats-Unis, pourra-t-il tirer quelques astuces de son rôle d’acteur dans le film de 2016 «L’Exception à la règle».
L’Europe est de son côté confrontée à des difficultés similaires, voire plus problématiques encore. À l’heure où le populisme alimente défiance et divisions, la résilience financière est certainement bien moindre aujourd’hui qu’il y a dix ans. Il suffit d’observer le Royaume-Uni, autre grand centre financier mondial, que les élites politiques ont poussé jusqu’au bord de la falaise du Brexit. Peut-on réellement attendre de ces acteurs qu’il gèrent avec compétence une crise financière exigeant décisions politiques difficiles et réflexion agile ? Le Royaume-Uni a la chance de pouvoir compter sur d’excellentes équipes au Trésor et à la banque centrale du pays, mais les experts même les plus brillants ne peuvent pas faire grand chose lorsque les dirigeants politiques ne leur fournissent pas un appui.
Dans le même temps, de l’autre côté de la Manche, les profondes divisions autour du partage de la charge dans la zone euro sont vouées à compliquer la mise en œuvre d’une politique convaincante face à un épisode de stress majeur. Une hausse significative des taux d’intérêt réels mondiaux pourrait par exemple semer le chaos sur les marchés de la dette balkanisés de la zone euro.
Mais la prochaine grande crise financière ne devrait pas survenir avant 20 à 40 ans, ce qui devrait nous laisser tout le temps nécessaire pour nous y préparer ? Espérons-le, car ce n’est absolument pas certain. Bien que les réglementations soient parvenues à circonscrire les risques au niveau des banques, il est probable que les sources majeures de risque se soient tout simplement déplacées vers un système financier de l’ombre moins réglementé.
Ce qui est sûr, c’est que le système financier mondial continue de s’étendre, la dette mondiale approchant les 200 000 milliards $. De meilleures réglementations financières ont sans doute contribué à contenir l’augmentation connexe du risque, mais ce risque n’est pas nécessairement réduit.
Par exemple, bien que les grandes banques semblent effectivement présenter moins de risque «au bilan», les régulateurs doivent travailler dur pour contrôler une dette à risque qui s’est déplacée vers le système financier de l’ombre, et qui est susceptible de gonfler très rapidement, comme nous l’avons appris douloureusement en 2008. Les régulateurs sont prompts à faire valoir désormais un plus haut niveau de marge de précaution lié aux actifs «liquides», de nature à prévenir les retraits massifs de dépôts ainsi que les difficultés de refinancement de la dette. Malheureusement, les actifs considérés comme «liquides» en temps normal se révèlent bien souvent hautement illiquides en période de crise.
Les dirigeants politiques ont raison d’affirmer que des améliorations ont été apportées au système depuis 2008. Pour autant, les réformes parcellaires qui ont été mises en œuvre ne sont pas à la hauteur de la première des nécessités : exiger des banques qu’elles lèvent une plus grande part de leurs fonds via l’émission d’actions (ou le réinvestissement de dividendes), comme le recommandent les économistes Anat Admati de Stanford et Martin Hellwig du Max Planck Institute. Malheureusement, croissance inexorable du système financier et existence d’un environnement politique de plus en plus toxique signifient que la prochaine grande crise financière pourrait bien survenir plus tôt que prévu.
Traduit de l’anglais par Martin Morel
*Ancien économiste en chef du FMI, est professeur d’économie et de politique publique à l’Université d’Harvard.
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Par J. Boukraâ
Afin de permettre aux estivants de passer de bonnes vacances et leur garantir les meilleures prestations et en prévision de la saison estivale 2019, la direction du tourisme a lancé une opération d’inspection des différents établissements hôteliers et infrastructures touristiques de la wilaya.
Une commission mixte composée d’inspecteurs du commerce et ceux du tourisme sillonne les communes côtières afin de traquer et déceler les éventuelles anomalies et autres pratiques ne cadrant pas avec les normes requises édictées par le ministère du Tourisme.
Près de 80 hôtels dont une cinquantaine dans la commune d’Aïn El Turck feront l’objet d’une inspection. Dans ce cadre, 10 établissements hôteliers (hôtels et restaurants) ont déjà fait l’objet de mise en demeure cette année.
Parmi les infractions relevées par la direction du tourisme, on note le manque des conditions d’hygiène, les infractions aux normes de sécurité et le non-respect de la loi n°99-01 du 6 janvier 1999 fixant les règles relatives à l’hôtellerie. Une loi qui détermine les droits et obligations de l’hôtelier et du client ainsi que les règles relatives à la construction et à l’exploitation des établissements hôteliers, ainsi que les obligations en matière d’hygiène et de sécurité, notamment celle de faire subir, au moins deux fois par an, une visite médicale au personnel des établissements. Ces mesures ont été prises dans le cadre d’une campagne menée par une commission mixte.
Pour rappel, en prévision de la tenue des Jeux méditerranéen 2021 à Oran, le secteur du tourisme sera renforcé par la réalisation de 174 projets touristiques. La wilaya verra ainsi son parc renforcé par 27.000 lits répartis sur plusieurs communes. Ces lits s’ajoutent à plus de 13.000 lits disponibles au niveau du parc hôtelier d’Oran qui compte actuellement 168 hôtels exploités. Ce sont près de 10.000 emplois qui sont prévus d’ici les Jeux méditerranéens de 2021 dans la wilaya d’Oran, un atout et un dynamisme qui devraient avoir un impact sur la croissance de toute la région et bien au-delà.
Oran, qui prépare les JM 2021, est devenue un chantier ouvert aux projets de structures hôtelières. Dans le cadre de la stratégie d’équilibre géographique entre les 26 communes de la wilaya, le secteur du tourisme œuvre à ce que chaque commune puisse avoir au moins quatre hôtels, surtout les communes défavorisées afin d’attirer les investissements, notamment Misserghine, Boutlélis, Oued Tlélat, El Braya et Boufatis.
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Par J. Boukraâ
Entamée en 2008, l’opération de réception des demandes de régularisation des constructions inachevées pour se mettre en conformité avec les dispositions de la loi 08/15 fixant les règles en la matière, devait être achevée, en août 2012. Le délai a été prorogé, une première fois, jusqu’à août 2013 puis une deuxième, à août 2016, après approbation du Parlement.
L’opération a été prorogée une troisième fois jusqu’à août 2019. Dans la daïra d’Es-Sénia, des sources proches des services de l’Urbanisme indiquent que près de 12.500 dossiers ont été reçus par la commission et plus de 8.000 ont été traités et normalisés par les brigades mixtes.
Après plus de 8 ans de son entrée en vigueur et après une troisième prolongation de 3 années (soit jusqu’au 02 août 2019) la loi n°08-15 , fixant les règles de mise en conformité des constructions et leur achèvement, ne semble pas attirer l’engouement des citoyens, notamment dans certaines communes.
Actuellement des commissions vont poursuivre leurs missions en délivrant les permis pour l’achèvement des travaux ; passé ce délai, des sanctions fermes seront appliquées. Cette loi concerne les constructions à usage d’habitation ou professionnel, achevées sans permis de construire ou non conformes (ajout d’étage) au permis de construire, délivré par l’APC.
La loi n°08-15 a pour but de faire face à l’anarchie et régulariser ce secteur de l’Habitat surtout que bon nombre de constructions ne répondent pas aux normes de l’Urbanisme. La mise en conformité des constructions et leur achèvement est un acte déclaratif volontaire. Le certificat de conformité est, cependant, exigé dans toutes les transactions immobilières et les procédures administratives, comme la délivrance des registres de commerce.
La loi prévoit des sanctions allant de la simple amende à la prison ferme, à l’encontre des contrevenants. L’objectif de cette loi étant de mettre un terme à l’anarchie régnant dans le domaine, sur les plans urbanistique, juridique et autres, et donner, aussi, une meilleure image des villes et des campagnes qui ne cesse de se dégrader au fil des jours, des mois et des années.
Dans ce sens, les citoyens désireux de régulariser la situation de leur construction sont tenus de faire une déclaration de mise en conformité de leur construction au président de l’Assemblée populaire communale (APC) territorialement compétent.
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