La Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-HerzégovineLa Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-HerzégovineLa Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-Herzégovine, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierLa Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-Herzégovine, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierLa Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-Herzégovine, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierLa Commission européenne a présenté son rapport annuel sur les « progrès » réalisés par les candidats à l'Union européenne ce mardi 4 novembre. Dans les Balkans, à part pour l'Albanie, la Moldavie et le Monténégro, le constat est sévère.
- Le fil de l'Info / Elargissement UE, Kosovo, Questions européennes, Courrier des Balkans, Moldavie, Monténégro, Albanie, Turquie, Serbie, Bosnie-Herzégovine, Une - Diaporama, Une - Diaporama - En premierOnze personnes sont décédées dans l'incendie qui a ravagé une partie de la maison de retraite de Tuzla dans la nuit du 4 au 5 novembre. Le directeur de l'établissement a annoncé sa démission et la ville a déclaré ce jeudi, jour de deuil dans le canton. Des manifestations sont prévues.
- Articles / Retraites, Une - Diaporama, Bosnie-Herzégovine, Société, Santé, Courrier des BalkansOnze personnes sont décédées dans l'incendie qui a ravagé une partie de la maison de retraite de Tuzla dans la nuit du 4 au 5 novembre. Le directeur de l'établissement a annoncé sa démission et la ville a déclaré ce jeudi, jour de deuil dans le canton. Des manifestations sont prévues.
- Articles / Retraites, Une - Diaporama, Bosnie-Herzégovine, Société, Santé, Courrier des BalkansLa stratégie de l'Occident à l'égard des Balkans et de l'Ukraine s'apparente à l'observation d'un patient : le processus semble se dérouler de lui-même, sans intervention décisive.
- Notes et racines. Le blog de Valentin Smoliak / Blogs - DiaporamaEn Slovénie, la mort est un sujet tabou dont on ose rarement parler en public. La loi sur l'assistance au suicide volontaire, parfois qualifiée d'euthanasie divise profondément la société : les opposants à la loi dénoncent une atteinte à la vie ; ses partisans défendent le droit au choix et à la dignité en fin de vie. Un référendum aura lieu le 23 novembre.
- Articles / Slovénie, Santé, Société, Courrier des BalkansLe feuilleton Veliaj rebondit. Emprisonné depuis avril, le maire de Tirana avait été démis par le Conseil municipal. Une décision cassée par la Cour constitutionnelle, ce qui sonne comme un désaveu pour le régime d'Edi Rama.
- Le fil de l'Info / Albanie, PS Albanie, Défense, police et justice, Politique, Courrier des BalkansLe feuilleton Veliaj rebondit. Emprisonné depuis avril, le maire de Tirana avait été démis par le Conseil municipal. Une décision cassée par la Cour constitutionnelle, ce qui sonne comme un désaveu pour le régime d'Edi Rama.
- Le fil de l'Info / Albanie, PS Albanie, Défense, police et justice, Politique, Courrier des Balkans, Une - DiaporamaFace à la Nation Béninoise dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, le chef de l'Etat Patrice Talon a évoqué les deux ‘'phénomènes'' ayant conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), et à la création du parti Les Démocrates (LD).
Le refus d'adhérer aux réformes politiques et le refus de toute collaboration avec le régime de la Rupture et du Nouveau Départ à son avènement en 2016 au Bénin, auraient conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), puis à la création du parti Les Démocrates. Le chef de l'Etat Patrice Talon l'a fait savoir dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, lors d'une émission spéciale sur Bénin TV. Il a déploré au cours de l'entretien, la dynamique électorale actuellement en cours dans le pays ; laquelle ne l'enchante pas du tout et porte préjudice à l'image du pays. Toutefois, il n'y a pas lieu selon lui, d'indexer la réforme du système partisan, encore moins le code électoral. Les malheurs que connait le parti Les Démocrates en cette période électorale d'après lui, sont la conséquence des actions de son prédécesseur, Boni Yayi, engagé « avec beaucoup d'énergie » à faire échec à tout ce qu'il entreprend comme réforme. « Avant 2016, tout le monde priait pour une réforme du système partisan. Nous l'avons engagée, et j'en suis fier. Elle consistait à encourager, voire contraindre les partis politiques au regroupement. Les FCBE qui étaient à l'entame de la réforme le parti le plus grand de la centaine de petits partis que comptait le Bénin avait l'opportunité d'absorber un grand nombre de ces petits partis et de devenir un grand parti d'envergure nationale, pour peu qu'elle en ait la volonté. Mais comme c'est une réforme engagée par Patrice Talon, pas question. Pas question que cette réforme prospère, même si FCBE devait en profiter », a rappelé le chef de l'Etat. Il en a été de même de l'appel à entrer en partenariat avec ce parti, et à accueillir ses cadres dans la gouvernance politique et technique du pays. Cet appel déplore Patrice Talon, a été également refusé à tous ceux qui ont montré leur disponibilité à collaborer.
Nonobstant cette opposition radicale du parti, la volonté de son régime à associer toutes les compétences et bonnes volontés, quel que soit leur bord politique, s'est manifestée « très tôt » dès la formation du premier gouvernement. Il a cité à titre indicatif, l'entrée au sein de l'équipe gouvernementale de Jean-Claude Houssou, membre du staff de campagne de Lionel Zinsou, son challenger au second tour de la présidentielle de 2016. « Beaucoup d'autres, en raison de leurs compétences techniques ou de leur leadership politique, ont été appelés pour servir le pays aux côtés de Patrice Talon élu comme président de tous les Béninois et non comme président d'une partie des Béninois », a laissé entendre le chef de l'Etat. « Mais par contre, certains restés fidèles à la ligne du parti et de son chef, sont manifestement entrés en quasi rébellion contre le nouveau régime et ceux qui ont choisi de servir le pays à mes côtés, ont été […] purement et simplement bannis », a-t-il ajouté. Deux phénomènes qui, à en croire le chef de l'Etat, ont conduit pratiquement à la scission des FCBE, puis à la création du parti les démocrates. Le président de la République a exprimé au cours de l'émission, son ambition de voir tous les enfants du Bénin travailler ensemble pour construire le pays malgré les divergences de points de vue.
F. A. A.
Dans un entretien diffusé ce mardi 4 novembre 2025, sur la télévision nationale, le président Patrice Talon, est longuement revenu sur les événements politiques qui ont marqué les élections législatives de 2019. Pour la première fois, le chef de l'État a clairement désigné son prédécesseur, Boni Yayi, comme principal responsable de la crise électorale qui avait plongé le pays dans la tension.
« Depuis 2016, mon prédécesseur le président Boni Yayi s'emploie avec beaucoup d'énergie à faire échec à toutes les réformes », a confié le président Patrice Talon. L'une des plus importantes, la réforme du système partisan, visant à mettre fin à la prolifération des petits partis politiques et à encourager leur regroupement pour créer de véritables formations d'envergure nationale.
« Avant 2016, tout le monde priait pour une réforme du système partisan. Nous l'avons engagée, et j'en suis fier », a affirmé le président Talon, regrettant que les Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), alors principal parti de l'opposition, ait refusé d'y adhérer par pure hostilité politique.
Le chef de l'État a rappelé avoir tendu la main à plusieurs cadres des FCBE pour les associer à la gouvernance nationale, une démarche rejetée, selon lui, par Boni Yayi. « Tous ceux qui ont estimé le contraire et ont montré leur disponibilité à collaborer, ont été bannis », a-t-il déploré. Pour le président du Bénin, le refus d'adhérer aux réformes politiques et le refus de toute collaboration avec le nouveau régime ont conduit pratiquement à la scission du parti Forces Cauris pour un Bénin Émergent puis à la création du parti ‘'Les Démocrates''.
Le consensus politique de 2019 saboté
Patrice Talon a détaillé les coulisses de la crise électorale de 2019, qui avait conduit à la tenue d'élections législatives sans participation de l'opposition. D'après lui, un consensus avait été trouvé entre les différentes forces politiques sur les textes encadrant la réforme du système partisan. « Ce consensus a été consigné dans un document le 18 mars 2019 », a-t-il rappelé. Mais, poursuit-il, « le président Boni Yayi a refusé que ce consensus soit adopté.
Pour Patrice Talon, ce refus a provoqué la rupture du dialogue et conduit à la crise électorale de 2019. « Tout ce qui s'est passé en 2019, c'est le président Yayi Boni qui en a été le seul responsable. Il a empêché la tenue normale des élections (…) que des textes consensuels soient mis en œuvre pour une élection apaisée. J'ai été vu comme celui qui est à l'origine des violences électorales que nous avons connues. J'ai assumé. Mais ce qui se passe et qui continue ne peut pas me permettre de rester silencieux indéfiniment », a-t-il déclaré. Malgré la crise et l'installation d'un parlement « qualifié de monocolore » après 2019, il n'était pas question d'arrêter les réformes.