You are here

Afrique

Le président de l'Association des mauritaniens d’Espagne: «Nous ne connaissons pas ce député par ses pairs ...

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 13:12
Le Calame - ... prétendument en notre nom, pour défendre nos intérêts, il ne connaît pas nos problèmes, nous ne l’avons pas élu, il ne...
Categories: Afrique

Quand Samuel Etoo et Habib Beye conseillent un jeune attaquant

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 12:33
Sport-Ivoire.Ci - Les acteurs du football mauritanien ont été distingués le samedi 26 janvier à Nouakchott à l’occasion des #FFRIMAWARDS18,...
Categories: Afrique

L'AJT Accrombessi, répond du tac au tac aux questions des avocats

24 Heures au Bénin - Fri, 02/01/2019 - 12:18

Suspendu suite à une demande d'instruction supplémentaire de la partie civile, le procès ICC-Services a repris ce jeudi 31 janvier 2019 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

A l'ouverture de cette 28ème journée d'audience, la Cour a demandé à la partie civile sur la base de quels fondements juridiques certaines personnes physiques ou morales sont appelées à comparaître devant la juridiction.
« En dehors de la BCEAO dont le nom figure dans notre citation directe, ceux dont les noms sont cités dans cette procédure que nous avions formulé ont déjà leurs noms cités depuis le début de ce procès. Il y en a qui ont déjà déposé mais nous ne sommes pas satisfaits de leurs déclarations. Il y en a qui ne se sont même pas présentés. Parmi eux, certains sont passés devant votre Cour et ont promis d'amener des pièces mais jusqu'à ce jour rien », à déploré Me Gustave Anani Cassa. Pour ce dernier, la BCEAO a été cité tout simplement parce qu'à un moment donné de cette rocambolesque affaire, elle a pris l'initiative de convoquer une réunion où il a été demandé aux promoteurs de ICC-Services de diminuer progressivement les taux appliqués.
La Cour invite la partie civile a fait débat sur les textes relatifs à l'immunité de la BCEAO. Au regard de ces textes, Edouard Cyriaque Dossa a décidé de ne pas écouter la BCEAO.
S'agissant des établissements bancaires, Me Agathe Affougnon confie : « Nous avions déjà vu comparaître devant votre Cour toutes ces banques sauf UBA. Il y a même une banque qui est passée par ici où nous avions demandé à avoir d'éclaircissements sur certains documents qu'ils nous ont demandés et vous avez rejeté ça à plus tard. Leur silence nous inquiète et nous voulons comprendre ».
Pour Me Gbaguidi, le débat est purement technique. « Vous avez demandé à la partie civile sur la base de quels fondements juridiques certaines personnes sont appelées à comparaître devant votre juridiction. Il revient aux avocats de la partie civile de répondre et nous allons évoluer », a expliqué l'avocat de la défense.
« Je concède aux techniciens leur technicité », a lancé Me Gustave Cassa, tout en affirmant que de mardi à aujourd'hui quelque chose s'est passée. Sur ces mots, la Cour prévient l'avocat : « Lorsque vous servez que de mardi à aujourd'hui quelque chose s'est passée, vous devriez apporter des preuves ».
L'avocat de l'Etat béninois Me Spero Quenum estime que son confrère Gustave Cassa n'a pas répondu à la question. Me Gustave Cassa n'est pas d'accord avec cette déclaration de son confrère. L'ambiance s'est dégradée, ce qui a conduit à une première suspension de l'audience dans le but de ramener le calme.

Iréné Accrombessi, représentant de l'Etat

A la reprise des débats, la Cour a encore longuement épilogué sur la question relative aux fondements juridiques avant d'inviter à la barre l'Agent judiciaire du trésor (AJT) Iréné Accrombessi.
Représentant de l'Etat, l'actuel AJT a confié à la Cour que plusieurs préjudices ont été causés à l'Etat béninois. Selon lui, l'Etat a perdu à double titre. « Au plan substantiel, vous allez constater qu'il y a des bras valides qui sont allés déposer de l'argent à ICC- services et sont allés se reposer attendant les intérêts. Cela a contribué à la paresse et économiquement l'Etat a perdu beaucoup. Secundo, l'image de l'Etat a été écorché sur le plan international et je termine sur ces points en disant que l'Etat est victime », a expliqué Iréné Accrombessi.
La Cour demande à l'AJT quelles sont les initiatives prises par l'Etat entre 2006 et 2010 pour éviter la crise ICC-Services. « Je crois qu'il y a des organes mis en place par l'Etat pour réguler les activités de ces structures. Et lorsqu'il s'est'l agi pour ces structures de prendre l'autorisation pour exercer, l'Etat s'est opposé, ce qui explique le fait que ces promoteurs n'ont pas eu l'agrément pour exercer », répond le représentant de l'Etat béninois.

Me Gbaguidi annonce que le registre de commerce a été délivré à la structure ICC-Services depuis 2007. « Une fois que l'agrément sollicité par ICC-Services n'a pas été donnée, aucune autre autorisation ne peut être considérée », a souligné le sieur Accrombessi.
Le procureur spécial Ulrich Togbonon clarifie : « (...) l'obtention du registre de commerce n'est pas synonyme d'obtention d'agrément. Avant d'exercer n'importe quelle activité, il faut d'abord avoir un registre de commerce et n'importe quel citoyen peut formuler la demande et l'avoir ».
Le représentant de l'Etat ajoute aussi qu'il ignore si ICC-Services doit des impôts à l'Etat. « Du moment où c'est une structure qui n'a pas de papier pour exercer, il est normal qu'elle ne paie pas ses impôts », avance-t-il. L'avocat de la défense prétend avoir des preuves. A cette déclaration le procureur spécial notifie que si le conseil insiste il fera le point des activités et immeubles. Ceci dans le but de calculer ce que ICC-Services doit comme impôts. « Ce n'est pas la guerre », a lancé Me Hervé Gbaguidi.

L'Etat n'est pas responsable de la crise selon Accrombessi

A la reprise de l'audience après la suspension de la mi-journée la Cour a continué avec l'audition du représentant de l'Etat. Pour Iréné Accrombessi l'Etat n'est en aucun cas responsable de la crise ICC-Services. « La présence du président de la République aux côtés des promoteurs de ICC-Services ne signifie pas une complicité puisque ICC- Services est une ONG qui fait des œuvres sociales et le président est pour tout le monde », estime-t-il.
Répondant à l'une des questions de Me Hounyèmè, Iréné Accrombessi soutient qu'aucun document au niveau de trésor ne justifie l'engagement de l'Etat béninois dans l'Affaire ICC-Services.
Un rapport du Fonds monétaire international (FMI), relatif à une alerte sur le danger de l'abondance des structures illégales de placement d'argent au Bénin serait produit à l'AJT. « Je n'ai pas encore pris connaissance de ce rapport mais si la Cour me le demande je le ferai », déclare-t-il.
La Cour veut comprendre à présent les différents mouvements qui ont été effectués sur un compte au trésor par le régisseur Evel Gomez, pour le remboursement des déposants des structures illégales de placement d'argent. Iréné Accrombessi précise que le compte ne concernait pas uniquement ICC-Services, mais aussi les autres structures illégales. Sauf que poursuit-t-il aucun remboursement n'a été effectué pour ICC-Services. Le compte abrite 575.596.781 FCFA comme solde des fonds de ICC-Services. Le montant initial étant 632.282.781 FCFA, une somme de 56.696.000 FCFA a été décaissée le 17 décembre 2012 pour l'immatriculation des immeubles et de la vente des véhicules. Les fonds proviennent du dégel des comptes bancaires primaires, de la vente aux enchères des biens et des dépôts directs et libéralités et autres.
Me Cassa signale qu'il n'y a pas les 3 millions de FCFA que la commission autonome d'enquête aurait découvert au domicile du sieur Tégbénou. « Il n'y a pas de clarification à cette somme-là », a mentionné l'AJT.
Selon les avocats de la partie civile, l'Etat a aussi des responsabilités à assurer dans ce scandale ICC-Services.
Avant de suspendre les débats, Cyriaque Dossa a demandé à l'AJT de tout faire pour produire le rapport du Fond Monétaire International sur l'Affaire ICC-Services.
Suite à une nouvelle prorogation jusqu'au 07 Février, le président de la Cour annonce que la lecture des pièces d'enquêtes de moralité et autres va débuter ce vendredi 1er Février tandis que la plaidoirie commencera lundi prochain.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Patrice Talon sème la joie au cœur de 23 000 retraités

24 Heures au Bénin - Fri, 02/01/2019 - 12:13

Le chef de l'Etat Patrice Talon vient d'honorer sa promesse à l'endroit des retraités. Les pensions de retraite de 2011 ont été virées à 23 000 retraités. De sources proches du ministère de l'économie et des finances, celles de 2012 sont programmées pour le mois de mars 2019.
A l'occasion de ses vœux à la nation le 31 décembre 2018, le président de la République avait promis de payer les pensions de retraite. C'est désormais chose faite.

F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

La police met un site web à la disposition des populations

24 Heures au Bénin - Fri, 02/01/2019 - 12:09

Le Directeur général de la police républicaine, Nazaire Hounnonkpè, a officiellement lancé, ce jeudi 31 janvier 2019, le site web www.dgpr.bj.
A travers ce site, les populations pourront avoir accès aux informations concernant la police mais aussi échanger des informations utiles sur tout ce qui a trait à la sécurité du pays. Selon le directeur général, c'est dans le cadre de l'amélioration des relations entre les populations et la police républicaine, que ce site web a été développé. La particularité ici, c'est qu'à partir de ce site, on peut recueillir les déclarations et des plaintes, a-t-il expliqué avant d'ajouter qu'on peut également recueillir des dénonciations aussi bien sur les criminels que sur les fonctionnaires de la police républicaine.
Selon le général Nazaire Hounnonkpè, ce site web va également mettre fin aux fausses informations distillées sur les réseaux sociaux et à toutes formes de tracasserie des usagers de la police. Quelle que soit votre position sur la planète, vous pouvez avoir accès aux différentes structures de la police républicaine, a-t-il indiqué. « Depuis votre chambre, si vous avez des préoccupations, si vous êtes victime d'une infraction, dès que vous avez la connexion, vous pouvez déjà envoyer la plainte. Elle sera étudiée et, l'unité à laquelle elle est déclassée, vous sera notifiée à travers votre adresse mail. Vous pouvez également nous faire des suggestions pour améliorer nos prestations », a renchéri le directeur général de la police.
F. A. A.

Categories: Afrique

Les exclus s’organisent

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 11:54
L'Authentique - Depuis quelques temps, une certaine force est en train de naître. Dans les rues de la capitale comme dans l’intérieur du pays....
Categories: Afrique

Mauritanie -Algérie : les deux secteurs privés se renforcent

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 11:11
Les Mauritanies - Les secteurs privés mauritaniens et algériens ont décidé de donner encore une fois du tonus dans leurs relations de...
Categories: Afrique

L'Assemblée nationale adopte le projet de loi sur le terrorisme et le blanchiment d’argent

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 10:35
AMI - L'Assemblée nationale a adopté jeudi soir au cours d'une séance plénière présidée par son premier vice- président, le député...
Categories: Afrique

180 kg de faux médicaments saisis par la Police

24 Heures au Bénin - Fri, 02/01/2019 - 10:15

180 kg de produits pharmaceutiques de contrebande saisis à Sèmè-Kpodji, 05 cybercriminels arrêtés à Porto-Novo, 01 cambrioleur de moto à Cotonou sous les verrous. Ce sont les résultats des actions menées par la Police Républicaine la semaine passée. La présentation des objets saisis a été faite ce jeudi 31 janvier 2019 lors d'un point de presse au siège de l'institution à Cotonou.

Selon Pascal Odeloui, porte-parole de la Police Républicaine, les policiers en service au commissariat d'arrondissement de Sèmè-Kpodji ont été alertés dans la matinée du dimanche 27 janvier 2019 d'un cas d'accident de circulation. Sur les lieux, ils ont découvert « quinze cartons de produits pharmaceutiques dans la brousse environnant les lieux où l'un des véhicules accidentés avait été éloigné ». Le conducteur ayant disparu avant l'arrivée de la police, des recherches sont lancées dans le but d'appréhender les personnes impliquées dans le trafic des faux médicaments dissimulés dans des cartons.
A Porto-Novo, la Police Républicaine a mis la main sur 05 personnes. Ces dernières sont de jeunes cybercriminels âgés de 18 à 22 ans et de nationalité nigériane.
« L'ingéniosité de ces personnes réside dans le fait de partager la connexion à l'aide de téléphone portable à défaut d'un modem de connexion. Ils sont, de ce fait, à l'abri de détection dans les rayons de leur exploitation », a expliqué le porte-parole de la Police Républicaine.
01 ordinateur portatif et 02 téléphones androïdes ont été saisis à leur domicile. Ces 05 personnes ont été elles-mêmes, victimes de cambriolage. Sur ce dernier point, la Police a retrouvé 01 ordinateur portatif, 06 téléphones portables androïdes de différentes marques, un cric, des talismans et gris-gris.
Aussi, un cambrioleur de moto a- t-il été interpelé par la Police à Lokokokoumè dans l'arrondissement d'Agblangandan. Mis sous verrous, le voleur est un repris de justice qui avait été libéré le 09 janvier 2019.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Alliance des députés de l'opposition démocratique : Communiqué de presse

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 09:54
AOD - La première session parlementaire ordinaire de la présente législature s'achève le jeudi 31 janvier 2019, dans une atmosphère tendue du...
Categories: Afrique

Le joueur de l’MC Alger Cherif El Ouazani suspendu quatre ans !

Algérie 360 - Fri, 02/01/2019 - 02:49

L’attaquant algérien Hichem Cherif El Ouazani a écopé jeudi 31 janvier de 4 ans de suspension pour dopage !

L’attaquant de l’MC Alger Hichem Chérif El Ouazani a été suspendu pour une durée de quatre ans de toutes compétitions nationales et internationales pour dopage. L’Algérien avait subi un contrôle antidopage inopiné à l’issue du match derby contre le CR Belouizdad (1-1).

Voici ce que la Commission a décidé:

CHERIF EL-OUAZANI Hichem – n° Licence n°691010001 – joueur MC Alger 04 ans de suspension ferme  de toutes compétitions ou activités sportives à compter du 30/01/2019 plus 200.000 DA d’amende. Articles 06 et 19 du règlement antidopage de la FIFA et articles 109 et 110 du code disciplinaire de la FAF.

C’est un coup dur pour le joueur mais aussi pour son équipe qui se trouvera diminuée contre la JSK lors de la prochaine rencontre en championnat, le 09 février.

Massin.A

The post Le joueur de l’MC Alger Cherif El Ouazani suspendu quatre ans ! appeared first on .

Categories: Afrique

Lancement effectif des activités du projet régional de renforcement de la restauration des écosystèmes environnementaux

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 01:30
AMI - Les travaux d'un atelier régional sur le lancement effectif des activités de la composante Mauritanienne du projet de renforcement de la...
Categories: Afrique

La société Shell renforce sa présence sur les côtes mauritaniennes

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 01:00
Sahara Médias - Le gouvernement mauritanien a signé mercredi un nouvel accord de coopération avec la société Shell, une société...
Categories: Afrique

Savia Mint Bardass, candidate à l’élection présidentielle de 2019 | Déclaration

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 00:30
Adrar-Info - Préambule * Consciente des dangers, des défis et des menaces auxquels fait face notre pays ; * M’inspirant des aspirations...
Categories: Afrique

Coris Bank apporte un appui financier de 25 millions à la Fbf

24 Heures au Bénin - Fri, 02/01/2019 - 00:00

Comme annoncé, le directeur des risques de Coris Bank, Léon AGBADJAGAN, représentant le directeur général, a officiellement remis un chèque d'une valeur de 25 millions de francs CFA à la Fédération béninoise de football (Fbf) dans l'après-midi de ce jeudi 31 janvier 2019. La cérémonie fort simple et empreinte de solennité, a eu pour cadre, le siège de Coris Bank à Cotonou.
Selon Léon AGBADJAGAN, directeur des risques, « ce n'est pas grand-chose face aux moyens énormes que requiert la conduite d'un championnat de haut niveau ». Il reste cependant convaincu que la Fbf appréciera à sa juste valeur. Pour lui, c'est pour traduire dans les actes les valeurs cardinales qui caractérisent l'institution bancaire à savoir : la confiance, l'originalité, le respect, l'intégrité et la sociabilité, qu'elle a décidé d'accompagner la Fédération béninoise de football à travers le sponsoring d'une de ses activités phares, que représentent les Championnats de football de ligue, ‘'Vitalor 1 et 2''. Les ambitions de Coris Bank sur le marché bancaire béninois, selon le directeur des risques, sont grandes. Pour y arriver, indique Léon AGBADJAGAN, elle a choisi de faire du chemin avec l'activité qui fédère les énergies de tout un peuple, de toute une nation, « Le sport roi ». L'engagement de Coris Bank, souligne-t-il, est la preuve de la confiance qu'elle fait au nouveau bureau exécutif de la Fbf avec à sa tête, le président de Chacus.
Le représentant du président de la Fédération béninoise de football, Magloire OKE, au nom du président de la Fbf et de tout son comité exécutif, a dit ses remerciements à Coris Bank. Citant en exemple la Ligue anglaise fortement soutenu par une banque, il a observé que c'est une première qu'une banque accepte d'accompagner officiellement le football au Bénin ; l'ambiance dans le pays n'étant pas favorable à sponsoriser. Mais avec le renouveau du football et le Nouveau Départ impulsé par le président Mathurin de Chacus et son comité exécutif, Coris Bank y a cru, et Magloire OKE, une fois encore a témoigné toute sa gratitude à la première banque décidée à soutenir le football au Bénin. Promettant qu'un très bon usage sera fait de cette somme d'argent, il s'est dit confiant qu'après ce premier pas, Coris Bank ne laissera pas les autres banques de la place lui ravir la vedette. Selon le représentant du président de la Fbf, contrairement à ce que les gens pensent au Bénin, « le sponsoring, surtout en matière de football, apporte toujours ». « Le retour, vous l'aurez toujours », a-t-il rassuré exhortant la banque à augmenter la cagnotte dès qu'elle aura senti l'impact.
F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

Présidentielle de Juin 2019 : Quid de la transparence ?

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 02/01/2019 - 00:00
Le Calame - Les Mauritaniens seront appelés aux urnes, en Juin prochain, pour élire leur nouveau président de la République. Celui qui dirige...
Categories: Afrique

La Cour déclare certaines dispositions contraires à la Constitution

24 Heures au Bénin - Thu, 01/31/2019 - 23:47

La Cour constitutionnelle a rendu la DECISION DCC 19-055 du 31 Janvier 2019 suite à un recours en date à Cotonou du 11 novembre 2018. Cette requête pour laquelle messieurs Arthur A. BALLE, Sadikou Ayo ALAO, Victor ADIGBLI, Francis DAKO, Barnabé G. GBAGO, Claude-Olivier HOUNYEME, Hermann Yves YENONFAN, Renaud AGBODJO, Roméo GODONOU, Ayodélé AHOUNOU, Avocats inscrits au Barreau de Cotonou, forment un recours en inconstitutionnalité de la loi n° 2018-13 modifiant et complétant la loi N°2001-31 du 27 août 2002 portant organisation judiciaire en République du Bénin et création de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme, en ses articles 5, 12 et 19.
Les sages de la haute juridiction se sont penchés sur le recours des avocats afin de statuer.
Par décision DCC 18-130 du 21 juin 2018, la juridiction constitutionnelle a déclaré, il y au quelques mois seulement, que cette loi querellée était conforme à la Constitution et ce, en toutes ses dispositions. Mais les requérants sollicitent que la haute juridiction se prononce d'office en ce que leur recours élève à la connaissance de la Cour une situation de violation d'un droit fondamental ou de remise en cause d'un impératif ou d'un principe à valeur constitutionnelle. Aussi, soutiennent-ils que l'objet du recours porte sur la violation des droits fondamentaux de la défense que contiendrait la loi visée
Les requérants soulignent que la loi déférée viole le principe du double degré de juridiction par référence à l'article 14 § 5 du pacte international relatif aux droits civils et politiques selon lequel « Toute personne déclarée coupable d'une infraction a le droit de faire examiner par une juridiction supérieure la déclaration de culpabilité, conformément à la loi », alors que le préambule de la Constitution réaffirme l'attachement du Peuple béninois aux principes définis dans divers instruments internationaux de protection des droits de la personne et que l'article 147 de la même Constitution dispose que les traités ou accords régulièrement ratifiés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve pour chaque accord ou traité, de son application par l'autre partie ». Ils font ensuite grief « à la loi déférée de violer le principe de l'égalité de tous devant la loi et l'égale protection de tous par la loi en ce que son application impliquerait que des citoyens relèvent, pour des faits identiques, de juridictions répressives différentes et bénéficient de droits fondamentalement différents de même que les parties au procès pénal devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme seraient légalement traitées de façon inégalitaire ».
Les requérants indiquent que « la loi déférée viole le droit à un procès équitable en ce que l'égalité des armes ne serait pas assurée du fait que cette loi dispose en son article 12 que Les décisions de la Commission d'instruction ne sont susceptibles de recours ordinaires. Toutefois, l'arrêt de non-lieu peut être frappé d'appel devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Selon le cas, la Cour évoque et juge l'affaire ou rejette le recours ».
Me Ibrahim D. SALAMI, Avocat, agissant pour le compte du Président de la République, conclut à l'irrecevabilité de la requête en ce que, d'une part, la saisine des avocats ne défendant : aucune partie dans un procès et donc agissant, en tant que particuliers ne peut être recevable, d'autre part, la loi querellée a déjà été soumise au contrôle de conformité à la Constitution (DÇC 18-130 du 21 juin 2018) et qu'il y a ainsi autorité de chose jugée.
Ainsi, au regard des articles 26 ; 117, 124 alinéas 2 et 3, 147 de la Constitution, 3 et 7 de la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples d'une part. Considérant que lorsque, par application de l'article 117 de la constitution, il a été procédé au contrôle de constitutionnalité a priori ; les alinéas 2- et 3 de l'article 124 de la Constitution ne s'opposent pas à l'expurgation de l'ordre juridique dont la Constitution est la source fondamentale d'une disposition dont l'application révèle une contrariété irrémédiable avec un droit fondamental où une liberté publique qu'elle est censée protéger ; qu'en l'espèce ; les requérants soumettent à l'examen de la Cour, non un contrôle général de conformité de la loi déférée, mais certaines de ses dispositions dont ils mettent en cause la conformité à la Constitution, que par ailleurs, les requérants quoique avocats n'en sont pas moins des citoyens et à ce titre, ont le droit de saisir la Cour constitutionnelle conformément aux dispositions en vigueur ; qu'il y a lieu, de recevoir la requête et de l'examiner au fond.
La Cour analyse donc la requête selon les différents niveaux querellés et décide :
Sur la violation du double degré de juridiction
" Considérant, que d'une part, l'article 14 § ,5 du Pacte international relatif aux droits civil et politique qui dispose : « Toute personne déclarée coupable d'une infraction a le droit de faire examiner par une juridiction supérieure la déclaration de culpabilité, conformément à la loi ». Il faut en entendre, premièrement, qu'il est conféré par ce texte une faculté à toute personne de faire examiner sa cause par une juridiction supérieure. Deuxièmement, lorsque la législation nationale organise un tel recours, il ne s'entend pas comme un devoir prescrit ou une obligation impérative imposée aux Etats parties d'instituer en toute matière le double degré de juridiction ; que quoique général, le principe du double degré de juridiction n'est ni fondamental pas absolu ; qu'il ne s'oppose pas ; en matière répressive, à ce que la Haute Cour de Justice, juridiction compétente ratio ne personae pour connaître des infractions commises par le Président de la République ou les membres de son Gouvernement, statue en dernier ressort, et que la chambre de l'instruction à elle attachée apprécie les faits aux fins de rapport non susceptible de recours ; que, d'autre part, le double degré de juridiction n'étant pas un principe constitutionnel, ne s'impose pas au législateur ; qu'il n'y a donc pas la violation alléguée de la Constitution.
En ce qui concerne la violation du principe de l'égalité,
Considérant qu'à la suite de l'article 3 de la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples, l'article 26 de la Constitution dispose que : " L'Etat assure à tous l'égalité devant la loi sans distinction d'origine, de race, de sexe, de, religion, d'opinion politique ou de position sociale ... » ; qu'en l'espèce, la loi déférée crée en son article 5 une juridiction spéciale et lui confère une compétence matérielle déterminée ; qu'en procédant ainsi, elle n'a pas caractérisé par voie de discrimination a priori les personnes à juger par la Cour instituée ; qu'il n'y a pas violation des dispositions visées.
La violation du droit à un procès équitable.
Considérant que la loi déférée dispose en son article 12 que : « les décisions de la Commission d'instruction ne sont susceptibles de recours ordinaires : Toutefois, l'arrêt de non-lieu peut être frappé d'appel devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Selon le cas, la Cour évoque et juge l'affaire ou rejette le recours » ; que si l'alinéa 1er de cette disposition est en cohérence avec l'orientation générale de "la loi qui confère à la juridiction instituée le pouvoir de statuer en dernier ressort, l'alinéa second qui institue une voie d'appel en ce qui concerne exclusivement la décision de non-lieu rendue en faveur d'une personne poursuivie rompt cette cohérence et viole le principe de l'égalité des armes, composante essentielle de l'égalité de tous devant la loi, protégée par l'article 3 de la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples et l'article 26 de la Constitution ; que dès lors, l'alinéa 2 de l'article 12 de la loi N°2018-13 du 18 mai 2018 modifiant et complétant la loi n° 2001-37 du 21 août 2002 portant organisation judiciaire en République du Bénin et création de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme est contraire à la Constitution.
Après avoir étudié le recours et les différents argumentaires, la Cour décide de la recevabilité de la requête des requérants. Elle confirme par ailleurs que le défaut du double degré de juridiction n'est pas contraire à la Constitution.
Pour la Cour, " L'article 5 de la loi N°2018-13 du 18 mai 2018 modifiant et complétant la loi n° 2001-37 du 21 août 2002 portant organisation judiciaire en République du Bénin et création de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme n'est pas contraire à l'article 26 de la Constitution". Néanmoins, elle signale que " l'alinéa 2 de l'article 12 de ladite loi est contraire à la Constitution".

G.A.

Categories: Afrique

Samsung Galaxy S10+ : un rendu presse détaillé montre bien son écran doublement percé

Algérie 360 - Thu, 01/31/2019 - 23:30

Par Cassim KETFI.

Une image du Samsung Galaxy S10+ qui semble provenir des bureaux de la marque a été diffusée sur le web. Elle montre bien le nouveau design du smartphone, avec notamment son écran doublement percé.

Le Samsung Galaxy S10 sera bientôt dévoilé, et les fuites autour du smartphone se multiplient. Le site 91Mobiles a mis la main sur une nouvelle image, qu’il affirme être un rendu presse officiel de Samsung.

Un écran doublement percé

L’image montre les faces avant et arrière du Galaxy S10+. La qualité de l’image permet de souligner les bords assez fins et uniformes tout autour de l’écran. On remarque une nouvelle fois la présence du bouton Bixby en plus des boutons de volume et d’alimentation du téléphone. Sur l’écran de verrouillage, on peut noter la date du vendredi 8 mars, qui correspondrait à la date de sortie du téléphone.

Rendu presse supposé du Galaxy S10+

Ce qui saute aux yeux, c’est surtout les deux capteurs photo à l’avant.

Si ces images sont avérées, alors la barre de notification ne sera pas alignée avec les capteurs du Galaxy S10+. On peut noter sur l’autre côté de l’image, la présence des trois capteurs photo pour la première fois sur un smartphone haut de gamme de la marque.

Difficile de tirer d’autres éléments de ces images, d’autant que l’on connait déjà presque toutes les caractéristiques du smartphone.

The post Samsung Galaxy S10+ : un rendu presse détaillé montre bien son écran doublement percé appeared first on .

Categories: Afrique

L'album « Pour Elles » en hommage à Affo Love

24 Heures au Bénin - Thu, 01/31/2019 - 23:21

En commémoration des 10 ans d'anniversaire de feue Affo Love, un album intitulé « Pour Elles » sera lancé, ce vendredi 1er février 2019, par Tranquilline, sœur de la reine de Chokanawa et de Yêyê Dingbo. L'annonce a été faite, ce jeudi 31 janvier 2019, au cours d'une conférence de presse à l'Hôtel Sun Beach en présence des membres de la famille de la défunte. Cette réunion a été également marquée par les artistes tels que Vincent Ahéhéhinnou et Sèna Joy Jelia.

Marquer jour pour jour, le 10ème anniversaire du décès de Affo Love ; tel est l‘objectif que s'est assignée Rose Tranquilline Djiguy, sœur de l'ex vedette de la chanson béninoisePour lui rendre hommage, Tranquilline lance ce vendredi, un album intitulé : « Pour Elles ». Cet opus contient 07 titres dont 03 œuvres inachevées de feue Affo Love.
Selon Laurent Djiguy, frère aîné de l'artiste Affo Love, Tranquilline pense « par cet acte être plus spirituellement proche de sa sœur en vue d'appeler son attention sur elle dans sa nouvelle carrière ».
« Je crois que si elle décide de chanter, c'est normal », a déclaré l'artiste Vincent Ahéhéhinnou en ajoutant que Tranquilline a démontré ses potentialités dès leur première rencontre.
Selon l'artiste, la disparition de sa sœur aînée ne saurait rester sans lendemain. « Elle peut faire carrière parce qu'elle se donne à l'art musical », a notifié Vincent Ahéhéhinnou.
Pour Tranquilline, Affo Love avait un rêve, celui de boucler complètement son 1er album, voire réaliser les clips de chacun des titres. D'après la chanteuse, le choix du titre « Pour Elles », c'est pour rendre non seulement hommage à Affo Love « mais aussi encourager toutes les artistes femmes décédées qui n'ont pas pu finir leurs œuvres avant de mourir››. Aussi, rend-t-elle hommage à toutes les femmes talentueuses mais qui ont du mal à décoller faute de moyens financiers ou de soutien moral adéquats.
Intégrant ainsi le monde artistique, la chanteuse de profession a fait plusieurs chorales, groupes folkloriques et artistiques en compagnie de sa défunte sœur. Et ce, par l'entremise de leur mère Louise Zohoun qui en étant professeure de musique donnait des cours de danse et de théâtre à tous les enfants de la famille.
Tranquilline rend hommage à Affo Love à travers 02 titres de l'album. Le choix de ces titres selon elle s'explique par le fait que Affo préparait le tournage du premier titre qui est ‘'Wô Zozo'', mais deux semaines avant le tournage, elle est tombée malade puis la mort a eu raison d'elle.
Concernant le deuxième titre, poursuit Tranquilline, elle cherchait d'une part à compléter le texte par des paroles d'amour plus émotives, mais hélas. Poussée par l'arrangeur Freddy Assogbah, dans son œuvre Tranquilline a pu actualiser certains titres sans trop s'éloigner du genre qui caractérise Affo Love.
« Après cette soirée de lancement, je pourrai commencer ma promotion proprement dite, avec la fierté d'avoir respecté mon engagement par rapport à mon projet d'hommage à Affo Love », a confié Tranquilline. Cette dernière envisage de chanter l'amour et les récits de la vie dans un mélange de sons variés. « Sans être Affo Love, je vais continuer ce parcours artistique sans doute à ma façon », a-t-elle ajouté.
L'artiste Sèna Joy Jelia qui a eu la chance de côtoyer la défunte n'a pas manqué de parler de son vécu avec Affo Love. Sèna Joy Jelia a confié l'avoir connue suite à la reprise de son morceau ‘'Messi''. « Elle a fait du bon boulot », avoue-t-elle.
La reine du Yêyê Dingbo faisait sa fierté. Elle a invité sa sœur Tanquilline à mettre les pas dans ceux de Affo Love.

Une cérémonie assez sobre
Dans le cadre de la commémoration des 10 ans d'anniversaire du décès d'Affo Love, plusieurs activités sont au programme. Il s'agit entre autres d'une messe d'hommage à Affo Love dans la matinée du vendredi 1er février 2019 à l'église catholique Saint-Paul de Porto-Novo, suivie du dépôt de gerbe sur la tombe de la défunte à Aglogbé.
Dans la soirée du vendredi, un concert hommage à Affo Love suivi du lancement de l'album aura lieu dans un premier temps au Tropical Bar sis à Fidjrossè-Calvaire et ensuite au Sun Beach Métro Nigth Club Karaoké.
Une seconde soirée sera également organisée le samedi 02 février 2019.
De son vrai nom, Affodohounto Kouemaho Yvette, l'artiste Affo Love fut une icône de la musique béninoise. Danseuse depuis l'âge de 9 ans, elle faisait du Coupé-Décalé en Côte d'Ivoire. Elle avait à son actif 02 albums, le Chokanawa et Yèyè dingbo.
Affo Love est née le 18 mai 1978 à Aglogbé-Adjarra, au Bénin.
Elle est décédée le 1er février 2009.
Même une décennie après sa disparition, ses œuvres rappellent toujours de bons souvenirs pour les mélomanes.
Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Ibrahima Thiaw nommé Secrétaire Exécutif de la Convention des Nations Unies sur la Lutte Contre la Désertification

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 01/31/2019 - 23:15
UN - Le Secrétaire Général des Nations Unies António Guterres a annoncé jeudi 31 janvier courant, la nomination de Ibrahim Thiaw, au poste de...
Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.