La start-up montpelliéraine Matahi a inventé et commercialise une boisson énergétique naturelle au jus de fruit de baobab. L'entreprise Matahi travaille avec une coopérative béninoise au Bénin à laquelle elle achète les fruits, favorisant un complément de revenus à 400 familles.
Vendues en circuit bio en France, ces boissons sont issues des fruits provenant d'une coopérative béninoise de femmes. Ce qui permet d'assurer un complément de revenus à 400 familles durant la période de récolte de janvier à mars. « Nous tenons à payer les agriculteurs locaux au juste prix », a signalé Raphaël Girardin, fondateur de Matahi. Aussi, mis à part cette démarche de commerce équitable veille-t-il à la préservation des baobabs dans la région.
Raphaël Girardin a eu l'idée de faire du jus de baobab lorsque qu'il a vu ce « gros fruit un peu bizarre » pour la première fois, il y a dix ans, dans un labo.
Les vertus énergisantes de cette première boisson bio au fruit de baobab sont scientifiquement reconnues. « Son taux de vitamines C équivaut à celui de 30 oranges. Et c'est aussi un super antioxydant pour le corps ! », renseigne le fondateur de l'entreprise.
Matahi, créée en 2013 à Montpellier a mis sur le marché plusieurs gammes de boissons. Les valeurs de cette société montpelliéraine est de « Préserver les ressources de la planète et favoriser le commerce équitable ».
Les produits sont distribués dans le réseau des magasins bio, en France, Belgique et Suisse.
En dehors de cette grande distribution, « Nous visons plus la pérennité que le profit », déclare Raphaël Girardin.
Akpédjé AYOSSO
L'Office centrale de répression du trafic illicite des drogues et des précurseurs (Ocertid) a procédé à la saisie de 1,8 tonne de Khat à l'aéroport international Cardinal Bernadin Gantin de Cotonou. En provenance d'Addis-Abeba (Ethiopie), ces stupéfiants ont été présentés par les porteurs aux éléments de l'Ocertid comme des feuilles de moringa.
Selon le porte-parole de la police républicaine, il s'agit d'un réseau qui excelle dans le commerce illicite de ce type de stupéfiant. Leur stratégie, indique-t-il, consiste à présenter le produit comme des feuilles de moringa pour tromper la vigilance des forces de l'ordre. « Le mode opératoire de ce réseau, c'est que ces trafiquants procèdent au recrutement de leurs compatriotes vivant dans les pays ciblés. Ceux-ci, à leur tour, utilisent des compatriotes béninois pour atteindre leur objectif. Ils récupèrent leurs adresses et les envoient à leurs recruteurs. Et c'est à ces adresses que plusieurs cartons sont expédiés puis réexpédiés vers les Etats-Unis et l'Europe », a expliqué le porte-parole de la police.
Cette saisie à l'aéroport de Cotonou est la preuve que, malgré les peines infligées aux trafiquants de stupéfiants et la création de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET), des hors la loi continuent de faire du Bénin, une plaque tournante de la drogue.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Lors d'une série de manifestations artistiques, sportives et culturelles, organisées dans le cadre du festival du Printemps chinois 2019, l'ambassadeur de la Chine près le Bénin, Peng Jingtao a été intronisé Dah Dèhouénagnon, le dimanche 27 janvier 2019, à l'espace Adjadi de Pahou, dans la commune de Ouidah.
Drapé d'un pagne blanc orné de bas-reliefs, de perles et autres objets qui font référence à la singularité de la cour royale d'Abomey, Dah Dèhouénagnon est apparu dans un hamac majestueux accompagné de chants, danses, litanies, panégyriques et divers cris de joie jusqu'à son installation dans un fauteuil apprêté pour la circonstance.
L'intronisation de sa majesté fait suite à l'interprétation de la troupe de l'Orient de Chine qui a séduit le public à la place Adjadi dimanche dernier.
Arrivé au Bénin depuis avril 2018, Peng Jingtao s'est engagé à travailler au renforcement des relations bilatérales entre la Chine et le Bénin. Ce qui témoigne de la présence de son pays dans la réalisation des infrastructures, la coopération culturelle, la logistique, l'éducation et plusieurs autres domaines.
Impliqué personnellement dans l'organisation du festival du nouvel an chinois, il s'est fait distinguer par les acteurs culturels béninois qui, sous la direction de Alladé Koffi Adolphe, l'ont intronisé.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Une énorme faille dans le système des iPhone et iPad vient d’être révélée ce mardi. Et elle est d’autant plus préoccupante qu’elle permet d’espionner une personne via le micro, voire-même la caméra de son téléphone.
En raison d’un bug qu’Apple n’a pas encore résolu, il est possible d’espionner une personne en utilisant l’application de conversation FaceTime sur iPhone ou iPad. En lançant une conversation de groupe, il est possible d’espionner votre interlocuteur via son micro, avant même que ce dernier ne décroche. Pire, la caméra présente sur le devant du téléphone peut s’activer dans certaines situations. La fonctionnalité d’appel de groupe est disponible sur FaceTime depuis octobre 2018 : la faille a donc existé pendant environ quatre mois.
Le procédé, qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis ce matin, est assez simple. Il faut appeler un de ces contact via FaceTime, cliquer sur « Ajouter une personne à FaceTime » et s’ajouter soi-même à la conversation. Le micro de votre interlocuteur s’active alors et il est possible d’entendre tout ce qu’il dit. Si votre contact décide de de décliner l’appel ou d’appuyer sur un bouton de contrôle du volume, la caméra s’active à son tour et vous pouvez non seulement l’entendre, mais aussi le voir !
Apple a rapidement réagit face à la découverte de cette faille et à sa diffusion massive sur internet. La firme a la pomme a indiqué qu’elle était au courant du bug et travaillait sur un correctif qui sera mis en place avec la prochaine mise à jour du logiciel iOS. Cette mise à jour devrait être disponible « au plus tard cette semaine », précise Apple. En attendant, les conversations de groupe sur FaceTime ont été désactivées pour tous les détenteurs d’un iPhone ou d’un iPad.
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WASHINGTON-L’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique se sont engagés, mardi à Washington, à renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines, notamment politique, sécuritaire, économique et culturel.
« Les deux gouvernements sont convenus de poursuivre leur coopération afin de promouvoir leur intérêt commun à la stabilité régionale et à la défaite des groupes terroristes, notamment AQMI et l’EI », ont affirmé Alger et Washington dans un communiqué conjoint publié à l’issue de la 4ème session de leur dialogue stratégique tenue, lundi à Washington, sous la coprésidence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et du secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo.
Les deux parties ont souligné, à l’occasion, leur « ferme soutien à un engagement accru des entreprises, à un commerce libre, juste et réciproque et à un partenariat économique plus étroit ».
Les deux Gouvernements ont également examiné, lors de cette nouvelle session de leur dialogue stratégique, « les programmes culturels et éducatifs entre les deux pays » et sont convenus d' »intensifier les efforts communs pour promouvoir les échanges éducatifs et protéger le patrimoine culturel ».
Le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel et le secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo ont souligné « leur attachement à une relation de longue date entre l’Algérie et les Etats-Unis », réitérant leur volonté de « poursuivre les consultations sur les sujets examinés lors de cette session du dialogue stratégique ».
La 4ème session du dialogue stratégique algéro-américain a été également l’occasion pour les ministres des deux pays d’examiner « le partenariat étroit et productif entre l’Algérie et les Etats-Unis » et de « débattre des domaines de coopération algéro-américaine future ».
Les deux ministres se sont entretenus, au siège du département d’Etat, sur les relations bilatérales et les questions régionales et internationales d’intérêt commun.
Cette session du dialogue stratégique s’est déroulée autour de la réunion de quatre commissions sectorielles portant respectivement sur les questions politiques, sécuritaires, économiques et commerciales ainsi que celles liées à l’éducation et à la culture.
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Amateur de grosses coupures, apprêtez-vous à verser une larme. Depuis ce dimanche, 17 des 19 banques centrales des pays de la zone euro ont mis fin à l’impression des billets de 500 euros.
Seules les banques centrales allemande et autrichienne continueront d’émettre le billet violet jusqu’au 26 avril 2019, au grand désespoir des habitants de ces deux pays, où des pétitions avaient même été lancées pour protester contre sa disparition. En effet, Allemands et Autrichiens utilisent plus que la moyenne des Européens l’argent liquide dans la vie courante, y compris pour le règlement de fortes sommes.
Après l’arrêt total de l’émission des billets de 500 euros, ces derniers continueront d’avoir cours légal et ils garderont leur valeur. Ils pourront donc toujours être utilisés pour payer ou pour mettre de l’argent de côté. De plus, la coupure de 500 € pourra être échangée auprès des banques centrales nationales de l’Eurosystème pendant une période illimitée.
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ALGER – L’Etablissement public de télévision (EPTV) a toujours honoré ses engagements financiers « malgré une défaillance dramatique en matière de protection de ses droits », indique mardi un communiqué de l’EPTV au sujet des droits de retransmission des rencontres du championnat national de football.
« En dépit d’une conjoncture difficile, les engagements financiers de l’EPTV ont toujours été honorés malgré une défaillance dramatique en matière de protection de ses droits par le piratage systématique de certains éditeurs de service de télévision ainsi qu’à l’intérieur des enceintes de compétition », lit-on dans le communiqué de l’EPTV.
Cette réaction fait suite à la sortie du président de la Ligue de football professionnel (LFP), Abdelkrim Medouar, qui a déclaré lundi lors d’une réunion avec les présidents des clubs de Ligues 1 et 2 que « l’EPTV n’a jusqu’à présent pas renouvelé son contrat qui a expiré le 31 juillet 2018 et n’a pas encore honoré les 3e et 4e tranches de la convention précédente ».
Les clubs ont alors demandé à la LFP d’organiser une journée de championnat sans matches télévisés pour exprimer leur mécontentement, avant de passer au boycott « pur et simple de l’EPTV, jusqu’à apurement de la situation ».
« La violation flagrante des termes du contrat liant les deux partenaires autoriserait (l’EPTV) à ne pas payer », dénonçant, par ailleurs, la « programmation anarchique et hasardeuse de la compétition qui ont provoqué un impact financier négatif important dont l’évaluation précise sera portée à la connaissance de la LFP ».
La Télévision publique a fustigé également « le nombre sans cesse croissant de matches à huis clos (qui) pénalise le téléspectateur, encore une fois privé d’une compétition dont l’objectif est d’apporter du spectacle et de la convivialité ».
« Compte tenu de ce qui précède et du nouveau paysage audiovisuel caractérisé par l’apparition de nouveaux acteurs, l’EPTV invite la LFP à lancer un appel à candidatures pour l’attribution des droits de retransmission en toute équité », a conclu le texte.
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Le média marocain arabophone Al Ousboue Assahafi rapporte que «Netanyahu aurait(…) proposé sa médiation pour la résolution du différend entre Rabat et John Bolton», le conseiller à la sécurité nationale de Trump, qui opère actuellement un forcing à l’Onu en faveur de la tenue d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, chercherait à se rendre en visite d’Etat au Maroc afin d’y rencontrer Mohammed VI. Des sources révèlent à ce propos d’intenses tractations entre le cabinet de Netanyahu et plusieurs responsables marocains. Netanyahu a, rappelle-t-on, fait du travail diplomatique en direction de l’Afrique et des pays arabes un objectif central de sa politique étrangère. Il chercherait actuellement, explique-t-on, des visites de haut niveau pour mettre en exergue ses «victoires» diplomatiques au cours de sa campagne pour les législatives du 9 avril prochain. Des législatives auxquelles il se présentera.
Benyamin Netanyahu se dit donc qu’il pourrait gagner des points en se rendant au Maroc, surtout si sa visite se solde par une normalisation des relations diplomatiques entre Rabat et Tel-Aviv. Le site marocain Le Desk, qui rapporte l’information, fait savoir à ce propos que c’est au conseiller à la sécurité nationale israélienne, Meir Ben-Shabbat, qu’il a été demandé de rendre cette visite possible. La chaîne israélienne Hadashot, reprise par le Jerusalem Post,précise même que la visite en question pourrait avoir lieu vers le 30 mars, juste après une visite du pape François au Maroc.
Y a-t-il des chances que Mohammed VI accède à la demande du Premier ministre israélien ? Le Desk considère que «oui», surtout que le roi du Maroc aurait aussi à y gagner. Pour le média marocain francophone, Mohammed VI pourrait en effet retenir l’idée que «le développement de liens plus étroits avec l’Etat juif lui permettra de faire une percée auprès de l’administration Trump – que le Maroc courtise» dans le but évident de l’amener à lâcher les Sahraouis. Il se dit justement que les Israéliens ont promis à Mohammed VI de l’aider à arriver à ses fins.
Le média marocain arabophone Al Ousboue Assahafi rapporte ainsi que «Netanyahu aurait (…)proposé sa médiation pour la résolution du différend entre Rabat et John Bolton», le conseiller à la sécurité nationale de Trump, qui opère actuellement un forcing à l’Onu en faveur de la tenue d’un référendum d’autodétermination au Sahara occidental. Mais pour le moment, signalent les médias marocains et israéliens, «ni le gouvernement marocain ni le bureau du Premier ministre israélien n’ont confirmé ces informations».
«Israël ne répond pas aux informations portant sur des contacts avec des Etats avec lesquels Israël n’entretient pas de relations diplomatiques», a fait savoir le bureau du Premier ministre à la chaîne Hadashot, que reprend le Jerusalem Post. Mais il semble bien que Mohammed VI ait donné son feu vert à cette visite de Netanyahu. La preuve en est donnée par le séjour effectué la semaine dernière à Rabat par les leaders de la Coalition juive républicaine (RJC), un groupe de pression juif américain.
Ils s’y trouvaient en compagnie d’autres lobbyistes américains engagés par le royaume chérifien à Washington, rapporte la presse américaine. A en croire toujours le Desk, ce séjour a été préparé dans la plus grande discrétion par Serge Berdugo, ambassadeur itinérant de Mohammed VI et secrétaire général de la communauté israélite du Maroc. Sur place, les leaders de la RJC ont rencontré le ministre des Affaires étrangères marocain, Nasser Bourita.
Une photo de cette rencontre a été d’ailleurs postée mercredi dernier par le président de la RJC, Norm Coleman, sur son compte Tweeter. Cet ancien sénateur du Minnesota, qui travaille pour le compte de la firme Hogan Lovells, a été engagé en 2018 comme lobbyiste de l’Arabie Saoudite à Washington.
Sur cette photo, le chef de la diplomatie marocaine apparaît également aux côtés de Matt Brooks, directeur exécutif de la RJC ; d’Ari Fleischer, ancien secrétaire de presse de la Maison-Blanche ; d’Andrew King, lobbyiste de la firme Glover Park Group, engagée par l’ambassade du Maroc à Washington pour polir l’image du royaume aux Etats-Unis ; et d’Elliott Abrams, ancien conseiller adjoint à la sécurité nationale.
«Mon seul commentaire est que j’ai beaucoup d’amis au Maroc, en particulier parmi la communauté juive, et que je suis heureux de les revoir», a répondu Elliott Abrams aux sollicitations du média américain Al Monitor. Selon toute vraisemblance donc, la machine de la normalisation des relations diplomatiques entre Israël et le Maroc est bien en marche
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Par Hafidh BESSAOUDI.
Après avoir annoncé dans notre édition d’hier que le corps du jeune Mohamed Achour avait été repêché, et ce après avoir pris connaissance du communiqué de la Protection civile algérienne sur sa page Facebook confirmant l’information, il s’est avéré que cette nouvelle était infondée.
Le capitaine Nassim Bernaoui, chef de bureau de l’information et de la sensibilisation au niveau de la Direction générale de la Protection civile, a démenti l’information quelques heures plus tard, en affirmant qu’une masse sombre aurait été repérée par un citoyen et que les hommes de la Protection civile qui étaient sur place n’ont absolument rien repêché: «Nous ignorons s’il s’agit d’un cadavre d’un animal qui a été repéré, mais je peux vous assurer que la Protection civile n’a repêché aucun corps sur la zone en question», a-t-il affirmé.
Pourtant la direction de la Protection civile de Bouira, qui n’a, ni confirmé, ni infirmé l’information en temps réel, s’est contentée de diffuser des directs montrant des plongeurs de la Protection civile auxquels des cordages avaient été lancés ainsi que des projecteurs braqués sur certaines zones des berges de l’oued D’hous.
Ceci au moment même où les conditions climatiques étaient extrêmement défavorables car en plus de la nuit tombée, le retour de la pluie avait considérablement restreint les actions de recherche.
De même, les pompiers ont dû travailler dans des conditions «très difficiles» pour reprendre leur expression, car les milliers de citoyens qui ont accouru de partout à l’annonce de la nouvelle de la découverte du corps ont considérablement ralenti l’opération et la communication.
Il faut dire que plusieurs chaînes de télévision ont diffusé l’information faisant état de la découverte du corps, et même les autorités de wilaya ainsi que les parents de la victime avaient effectué le déplacement pour assister au repêchage du corps.
Hier matin, les personnes ayant assisté sur place aux interventions des pompiers étaient mitigées devant la réalité: «Hier soir pourtant, même les éléments de la Protection civile y croyaient lorsqu’ils ont jeté des cordes aux plongeurs pour remonter le corps. Nous étions tous confiants sur place et pensions que le cauchemar prenait fin», déplore un des volontaires qui ne comprend pas ce qui s’est passé.
Pourtant la version officielle est indiscutable, car il n’y a aucune nouvelle du corps. Hier malgré le brouillard et la pluie, les recherches continuaient dans les différentes zones recensées entre le point où a chuté la victime jusqu’au déversoir de l’Oued D’hous.
Toutefois, avec les précipitations de dimanche soir et la crue de l’oued, les zones de recherches s’étendent désormais en aval jusqu’aux berges du barrage Tilesdit avec les embarcations des sapeurs pompiers, des équipes cynotechniques ainsi que les civiles bénévoles prenant part aux recherches.
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https://www.vinyculture.com/kamel-daoud-sciences-
Par ALLECH Aymen.
Kamel Daoud sera présent à l’école Sciences Po – Paris pour une conférence autour de l’écriture créative le 30 janvier prochain. École ou l’écrivain est désormais responsable de la chaire « écrivain ».
L’auteur de « Meursault : contre-enquête » qui s’est vu décerner le prix Goncourt du premier roman donnera une conférence autour de l’écriture créative à Sciences Po.
C’est dans le cadre d’une récente nomination à la tête d’une chaire de la célèbre école parisienne que Kamel Daoud s’exprimera.
Cette présentation, qui débutera à 17h, abordera les sujets du quoi et du pourquoi : qu’est-ce que l’écriture créative et pourquoi écrire des livres ?
Rappelons que Kamel Daoud vient d’une formation de chroniqueur politique et gère une carrière littéraire depuis le succès de « Meursault : contre-enquête », son premier roman.
Cette récente nomination prendra effet le soir même de sa conférence et durera le temps d’un semestre.
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Selon des sources médiatiques, une femme de la commune de El Akla dans la wilaya de Tébessa est décédée suite à la blessure qui lui a été infligée à la tête par son fils. Les services de la protection civile ont évacué la victime aux urgences, où elle a rendu le dernier souffle suite à l’hémorragie du coup qu’elle a reçu sur la tête. Les forces de police ont arrêté le suspect, qui est le fils de la victime, et les premiers rapports indiquent que ce dernier souffre de troubles psychologiques.
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