You are here

Diplomacy & Defense Think Tank News

Neue Verkehrskonzepte im Nahverkehr: Intelligente Mobilität ist auch, selber intelligent mobil zu sein

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 17/07/2017 - 16:07
Die Bayerische Staatsregierung plant, wie zahlreiche Medien berichten, einen kräftigen Investitionsschub für den öffentlichen Nahverkehr (ÖPNV). Gestern Abend hat die HSS – ganz im Zeichen der Zeit – ihr 15. Münchner Verkehrspodium abgehalten. Thema war ebenfalls der Nahverkehr unter dem Motto Intelligent und innovativ.

L’affaire Sarah Halimi et le tabou du «nouvel» antisémitisme

Fondapol / Général - Mon, 17/07/2017 - 12:47

FIGAROVOX/DECRYPTAGE – Kobili Traoré, l’homme qui a battu et défenestré Sarah Halimi le 4 avril à Paris, a été mis en examen pour homicide volontaire. A ce stade, le caractère antisémite du meurtre n’est pas retenu. Pour Caroline Valentin, cette affaire est symptomatique du déni français autour de l’antisémitisme arabo-musulman. Dans la nuit du 4 […]

Cet article L’affaire Sarah Halimi et le tabou du «nouvel» antisémitisme est apparu en premier sur Fondapol.

Dr George Tzogopoulos writes in Global Times about the Trump-Macron Paris meeting, 17/07/2017

ELIAMEP - Mon, 17/07/2017 - 12:27

Transatlantic relations have entered a difficult period since the inauguration of Donald Trump. While during the administration of Barack Obama collaboration and mutual understanding were taken for granted on a plethora of issues of joint interest, the new US president does not significantly count on Europe. Although he has softened his rhetoric in comparison to his comments before the election of last November – principally regarding his support for NATO – the US and the EU have not yet worked out how their new symbiosis will look in the next four years.

Meetings between Trump and European leaders help both sides formulate their approaches. In that regard, the third visit of the US president to the EU deserves particular attention as he decided to go to Paris, accepting the invitation of his French counterpart Emmanuel Macron to attend the Bastille Day celebrations. The timing is symbolic. This year, American troops joined their French allies in the annual parade, to mark 100 years since the US intervened in World War I.

Until their recent meeting in Paris, Trump and Macron had met on the sidelines of other multilateral summits and events such as a NATO gathering in Brussels. One of their initial handshakes is still attracting the attention of international media. Macron treated Trump to a strong handshake in front of the cameras in May, which he then refused to release for several long moments. As he explained to French media, he wanted to show he would not make small concessions to his American counterpart.

In the French capital, the two presidents had of course much more to say than focusing on handshakes and publicly explaining them. Although their meetings started with Trump’s bizarre compliment of Macron’s wife, Brigitte, on her figure, the two leaders did later start serious discussions about Syria and terrorism. As Macron asserted during the press conference, both countries are “determined to take any necessary measures in order to root out terrorism and to eradicate it no matter where, in particular the narrative on the Internet” and also tackle cyber crime.

Also, the two presidents agreed to work together in Syria supporting a political roadmap for the post-conflict days, months and years. It is important to mention – as Macron revealed – that Paris no longer requires Assad’s departure. This constitutes a fundamental shift in French policy.

From the American side, however, the outlook for the future is obscure. Trump praised Macron in the press conference saying that “the friendship between our two nations – and [themselves] is unbreakable.” However, as it is the case with almost all of his public remarks, he was ambiguous on critical issues.

It is not clear how the US and France will cooperate on trade as Trump advocates a new type of protectionism and Macron is always talking about free trade, or more recently about fair trade, possibly as a courtesy to his American counterpart. France is enjoying a trade surplus with the US that amounted to $15.6 billion in 2016 with the total trade volume reaching approximately $78 billion.

Cooperation between the US and France on climate change also remains a mystery. Trump sent ambivalent messages about the Paris agreement when he said, “Something could happen with respect to the Paris Accord. We’ll see what happens.” With regard to NATO contributions, Trump is demanding member states spend two percent of GDP on defense. France’s current contribution is 1.8 percent. It is close to the target but still falls short of satisfying Washington’s interests.

Last but not least, it is worth-mentioning that both Trump and Macron referred to their Chinese counterpart Xi Jinping with great respect in the press conference. Trump described him as a “friend” who “loves China” and “wants to do what’s right for [it].” Macron announced that he will visit Beijing early next year, and said that he saw China as “a key partner in order to build peace all around the world” and commented positively on Xi’s multilateralism vision. When two world leaders meet to discuss other topics and simultaneously talk about the need for cooperation with China, this clearly shows the growing international role of the country.

Πηγή: Global Times

La diplomatie climatique du Bangladesh : le « weak power » en action

IRIS - Mon, 17/07/2017 - 12:03

Pays particulièrement vulnérable aux impacts du changement climatique, le Bangladesh a développé au fil des années un arsenal politique et institutionnel, ainsi qu’une expertise locale en matière d’adaptation qui lui ont permis d’acquérir un certain « weak power » pour défendre ses intérêts dans les négociations climatiques. Explications d’Alice Baillat, chercheuse à l’IRIS ayant rédigé sa thèse sur « Le weak power en action : la diplomatie climatique du Bangladesh » sous la direction de Guillaume Devin à Sciences Po.

Vous qualifiez le Bangladesh de « weak power », en quoi cela consiste-t-il ?

Le Bangladesh est le plus souvent connu pour être l’un des pays les plus pauvres de la planète et l’un des plus vulnérables au changement climatique. Plusieurs classements internationaux, comme celui de Maplecroft, place ainsi le pays en tête des pays les plus vulnérables, tandis que de nombreux rapports d’ONG et d’organisations internationales le présentent comme une victime emblématique du changement climatique, aux côtés des petits États insulaires. Si cette vulnérabilité lui a permis de gagner en visibilité sur la scène internationale, elle s’est aussi révélée être un levier d’action publique et diplomatique pour le gouvernement bangladais.

On a souvent tendance à confondre la vulnérabilité avec l’incapacité à agir. Cependant, au Bangladesh, on observe au contraire depuis les années 2000 une forte mobilisation du gouvernement et des acteurs de la société civile – notamment les ONG et les chercheurs – pour s’attaquer de front aux impacts du changement climatique qui menacent le développement économique et social du pays. Loin d’être une victime passive, le Bangladesh est donc au contraire une victime agissante. Proactif dans le développement d’instruments d’action publique nationaux, le Bangladesh est aussi devenu l’un des principaux porte-paroles des pays les moins avancés et les plus vulnérables dans les arènes climatiques.

La notion de « weak power » renvoie ainsi à la capacité d’un pays comme le Bangladesh à transformer sa faiblesse, en l’occurrence sa vulnérabilité aux aléas climatiques, en levier d’action publique et en avantage comparatif pour défendre ses intérêts dans une négociation internationale marquée par des rapports de force asymétriques qui lui sont a priori défavorables. Par exemple, la vulnérabilité du Bangladesh a rapidement transformé le pays en terrain d’expérimentation et de nouveaux savoirs sur l’adaptation au changement climatique pour des acteurs étrangers et locaux (chercheurs, organisations internationales, ONG, etc.), ce qui lui a permis de développer une expertise locale qui fait aujourd’hui figure d’exception parmi les pays les moins avancés. Subissant déjà des impacts visibles du changement climatique, le pays est en effet « assis » sur le problème climatique. Il est devenu un laboratoire de l’adaptation, avec le développement de nombreux programmes de recherche, de nouvelles méthodes et de projets pilotes sur le terrain. Cette expertise a conféré au pays un certain leadership scientifique auprès des autres pays vulnérables, qui s’inspirent désormais des leçons apprises au Bangladesh pour développer leurs propres programmes d’adaptation.

Dans les négociations internationales sur le climat, la vulnérabilité peut aussi devenir un ‘avantage’ pour le Bangladesh pour défendre ses intérêts nationaux. La situation et les besoins spécifiques des pays les plus vulnérables sont en effet reconnus par la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui prévoit ainsi des mesures particulières pour les aider à s’adapter. La reconnaissance internationale de la vulnérabilité du Bangladesh légitime notamment ses revendications en matière de transferts technologiques et financiers des pays développés vers les pays en développement.

Plus précisément, quelles sont les stratégies développées par le Bangladesh pour conduire une telle diplomatie ?

Le Bangladesh met en avant, de manière stratégique, à la fois sa vulnérabilité et son statut de « champion de l’adaptation » pour jouer un rôle dans les négociations internationales, se faire entendre et influencer le processus. La Première ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, s’est d’ailleurs vu décerner en septembre 2015 par le Programme des Nations unies sur l’Environnement le prix des Champions de la Terre dans la catégorie « leadership politique », en reconnaissance des efforts gouvernementaux pour lutter contre le changement climatique.

D’un côté, on observe la mobilisation de stratégies discursives de victimisation et de dramatisation pour convaincre le reste du monde de la vulnérabilité du pays et de ses besoins d’adaptation, qui supposent notamment d’importants transferts financiers. Des déclarations sont ainsi tenues dans les négociations par la Première ministre du Bangladesh et par le ministre de l’Environnement pour mettre en avant la fragilité du pays face aux aléas climatiques. Ils insistent en particulier sur le risque d’importants déplacements de population liés aux impacts du changement climatique, que le gouvernement ne pourra gérer seul et qu’ils présentent comme un facteur de déstabilisation nationale et internationale. Par la mise en avant de sa vulnérabilité, le Bangladesh exerce ainsi un « leadership moral » visant à exercer une pression sur les pays développés pour les contraindre à remplir leur devoir moral d’aider les pays les plus vulnérables à lutter contre le changement climatique, ces derniers étant aussi les moins responsables du réchauffement planétaire et les moins dotés en ressources technologiques, économiques et politiques.

D’autre part, le Bangladesh s’efforce de s’imposer comme un acteur moteur et proactif de l’action climatique mondiale en développant des stratégies individuelles et collectives. Il se positionne tout d’abord comme un « bon élève » de la lutte contre le changement climatique, capable de donner des leçons et de servir de modèle à d’autres pays en matière d’adaptation. Outre la valorisation de son expertise mentionnée précédemment, le pays a aussi été précoce dans le développement d’instruments de politiques publiques, avec et sans le soutien de l’aide internationale. Il a mis en place en 2009 une stratégie nationale de lutte contre le changement climatique ambitieuse, afin d’intégrer les enjeux d’adaptation à ceux de développement et de lutte contre la pauvreté. Il a ainsi été le premier pays parmi les moins avancés à proposer une telle stratégie et à l’accompagner de mécanismes de financement innovants et alimentés sur les fonds propres du gouvernement.

Dans les négociations internationales, le Bangladesh noue aussi des alliances politiques pour renforcer ses capacités de négociation et accroître son influence. Si tous les Etats négocient à travers des groupes de négociation dans une enceinte multilatérale, la nécessité de mettre en place une diplomatie collective est d’autant plus importante pour les pays faiblement dotés en ressources diplomatiques : l’union fait la force. En s’alliant, ces pays peuvent ainsi défendre leurs intérêts communs – la reconnaissance de leur droit au développement et de leur vulnérabilité, le besoin de transferts technologiques et financiers, la reconnaissance des pertes et dommages, etc. – et porter une voix commune dans les négociations internationales. En mutualisation ainsi leurs ressources – humaines, politiques, scientifiques, économiques –, ils accroissent collectivement leur pouvoir de négociation et peuvent davantage peser sur le processus et la mise sur agenda de nouveaux enjeux. Tous ces pays font ainsi partie du G77+Chine, le groupe de négociation qui rassemble l’ensemble des pays en développement. Néanmoins, l’hétérogénéité de ce groupe – largement dominé par les pays émergents comme la Chine et l’Inde – a conduit les plus vulnérables à former des sous-groupes d’influence afin de défendre les intérêts qui leur sont propres. C’est ainsi qu’on a vu apparaître le groupe des pays les moins avancés et plus récemment, le Climate Vulnerable Forum et le V20.

Concrètement, aujourd’hui, quel est le rôle joué par les ‘petits’ pays dans la lutte contre le réchauffement climatique ?

Ces ‘petits pays’, qu’il s’agisse des petits États insulaires du Pacifique ou des pays africains et asiatiques en développement, peuvent jouer principalement deux rôles. D’une part, ils peuvent faire pression sur les pays développés pour élever le niveau d’ambition de l’action climatique mondiale et notamment les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Grâce à la règle onusienne « d’un État égal une voix » en vigueur dans toutes les négociations multilatérales onusiennes et du poids numérique des pays les plus vulnérables, ces derniers peuvent peser sur le processus plus que leur pouvoir structurel ne peut le laisser penser a priori. Ils peuvent également jouer de leur leadership moral pour rappeler aux pays pollueurs leur responsabilité historique et les pousser à agir, au risque d’être montrés du doigt par les médias et les opinions publiques. Ainsi, lors de la COP21, les États vulnérables se sont mobilisés dès le premier jour de la négociation pour appeler à une limitation de l’augmentation de la température à la surface du globe à 1,5°C au lieu de 2°C, en insistant sur le risque de disparition des territoires insulaires et de pertes et dommages irréversibles que même une augmentation de 2°C représentait pour eux. Si le seuil des 2°C a été maintenu dans l’Accord de Paris, ces petits pays ont néanmoins connu une victoire symbolique, le texte final reconnaissant la nécessité de limiter si possible la hausse de la température à 1,5°C.

D’autre part, ces petits pays ont la capacité de mettre à l’agenda de nouveaux enjeux qui les concernent tout particulièrement. Alors que les négociations climatiques étaient à leurs débuts principalement orientées vers la question de la répartition des efforts d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre entre les pays industrialisés, les pays en développement, par le biais du G77+Chine, sont parvenus progressivement à inscrire de nouveaux enjeux comme l’adaptation et la reconnaissance de la primauté du droit au développement. Plus récemment, les pays les plus vulnérables – à travers les groupes des pays les moins avancés et l’Alliance des petits insulaires du Pacifique – sont parvenus à imposer la question des pertes et dommages dans les négociations internationales, ainsi que celle des migrations.

Si les petits pays peinent à véritablement peser sur les résultats des négociations, encore dominés par les rapports de force entre pays développés et émergents, ils peuvent néanmoins peser sur le processus de négociation à travers la mise à l’agenda de nouveaux enjeux qui leur sont chers ; usant ainsi de leur leadership moral pour rappeler l’urgence de répondre au problème climatique par une action mondiale et ambitieuse.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on the Cyprus Question, 13/07/2017

ELIAMEP - Mon, 17/07/2017 - 12:01

You can read here the article on the Cyprus Question, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 13 July 2017 [in Greek].

Mia san jetzad au mia!: Stipendiatencup 2017: Jubiläumssieg im Finale "Dahoam"

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 17/07/2017 - 10:53
Unsere Mannschaft hat es endlich geschafft! Ungeschlagen und mit nur einem Gegentor im "Finale Dahoam" konnten wir das von Turnier mit 60 Teilnehmer_innen in München bei herrlichem Kaiserwetter mit 2:1 gegen die Friedrich-Ebert-Stiftung gewinnen.

Nach dem Gipfel: G20-Afrika Kooperation auf der Suche nach Kontinuität, Einfluss und politischen Visionen

Bonn, 17.07.2017. Die Stärkung der G20-Afrika Kooperation ist ein wichtiger Erfolg der deutschen G20-Präsidentschaft. Die meisten afrikanischen Volkswirtschaften sind weder gut in die Weltwirtschaft integriert, noch haben sie wesentlichen Einfluss auf die Entscheidungsfindung in globalen Governance-Strukturen wie der G20, des IWF oder der WTO. Gleichzeitig ist Afrika weiterhin der Kontinent, auf dem die meisten Armen leben, häufig in fragilen Staaten. Daher besteht Bedarf für eine bessere afrikanische Vertretung bei globalen Problemlösungen und verbesserte Wege zu nachhaltiger Entwicklung in Afrika. Können die im Kommuniqué skizzierten G20-Prioritäten die globale Vertretung Afrikas und seine nachhaltige Entwicklung voranbringen? Nachhaltige Entwicklung in Afrika: Auf der Suche nach politischen Visionen G20-Afrika Kooperation bestand bisher aus einer Reihe von Einzelinitiativen (bspw. die Initiative zur Förderung von Industrialisierung in Afrika und LDCs durch die chinesische G20-Präsidentschaft 2016). Diskussionen über die Zusammenarbeit zwischen der G20 und Afrika fanden meist in der G20-Arbeitsgruppe ‚Entwicklung‘ statt. Die deutsche Präsidentschaft hat nun eine neue G20 Afrika Partnerschaft ins Leben gerufen. Ihr Kernstück ist der „Compact with Africa“ (CwA), der von der Afrikanischen Entwicklungsbank, dem IWF und der Weltbank umgesetzt werden wird. Er konzentriert sich auf private Investitionen, die Arbeitsplätze schaffen und die Infrastruktur (insbesondere Energie) in einzelnen Ländern verbessern sollen. Côte d‘Ivoire, Äthiopien, Ghana, Marokko, Ruanda, Senegal und Tunesien haben sich verpflichtet, Vereinbarungen zu präsentieren.

Mit einigen konkreten Initiativen zu beginnen, ist ein Schritt in die richtige Richtung. Allerdings ist auch eine politische Vision erforderlich, wie die alten und neuen Initiativen zusammenpassen und wie sie zu einer strukturellen, großen Transformation beitragen, die für nachhaltige Entwicklung in Afrika notwendig ist. Das G20-Kommuniqué bezieht sich auf die Agenda 2063 der Afrikanischen Union (AU) und die Agenda 2030 der UN. Trotzdem ist nicht klar, wie die CwAs zum umfassenderen Ziel der Förderung nachhaltiger Entwicklung in Afrika beitragen werden. Darüber hinaus sind die CwAs nicht systematisch mit früheren G20-Initiativen verknüpft, die noch auf eine vollständige Umsetzung warten. Auch konzentrieren sich die CwAs auf bilaterale Vereinbarungen, statt die regionale Kooperation bei der Schaffung eines günstigen Investitionsumfelds zu unterstützen.

Komplementarität zwischen G20 und anderen Partnerschaften stärken

Die neue G20 Afrika Partnerschaft läuft parallel zu bilateralen Agenden von G20-Mitgliedern, insbesondere zu denen von China (Belt and Road Initiative) oder Indien und Japan (Asia-Africa Growth Corridor) und könnte mit ihnen konkurrieren. Die BRICS-Unterstützung für die CwAs scheint begrenzt. Jedenfalls erwähnen die BRICS die Kooperation mit Afrika in ihrem Pressekommuniqué des Hamburger Gipfels nicht. Die deutsche G20-Präsidentschaft bemüht sich offenbar v.a. darum, EU-Initiativen wie den externen EU-Investitionsplan und die Vorbereitungen für den EU-Afrika-Gipfel in Übereinstimmung mit der G20-Agenda zu bringen.

Ob die verschiedenen bilateralen und G20-Initiativen der Industrie- und Entwicklungsländer sich gegenseitig verstärken oder miteinander konkurrieren, wird auch von der Antwort Afrikas abhängen. Die AU ist dabei, ihre Strategien zur Kooperation mit externen Partnern zu reformieren und die Komplementarität von Partnerschaften zu stärken. Beim AU-Gipfel Anfang Juli wurden die Reformvorschläge weiter diskutiert, die eine Kommission unter Vorsitz vom ruandischen Präsident Kagame erarbeitet und im Januar den AU-Staatschefs vorgestellt hatte. Diese Reformbemühungen müssen den Ausgangspunkt für G20-Afrika Kooperation bilden. Nur dann kann sichergestellt werden, dass mit dem Engagement der G20 im Vergleich zu anderen Partnerschaften zusätzlicher Nutzen entsteht.

Von Verantwortung zur Partnerschaft: Afrika muss mit am Tisch sitzen Die deutsche G20-Präsidentschaft zielte auf eine neue und gleichberechtigte Partnerschaft mit Afrika. Mittelfristig kann dies nur erreicht werden, wenn Afrika mit am Tisch sitzt. Auf der Basis der Vorschläge für eine G20 Afrika Partnerschaft sollte die G20 die Kooperation mit Afrika umfassend in die verschiedenen G20 Arbeitsstränge integrieren, jenseits von der G20-Arbeitsgruppe ‚Entwicklung‘. Die Umsetzung der 2030-Agenda in Zusammenarbeit mit Afrika und die Unterstützung der Agenda 2063 erfordert politische Kohärenz innerhalb der G20-Arbeitsgruppen und die Koordination mit anderen internationalen und regionalen Organisationen.

Außerdem sollte eine Panafrikanische Organisation mittelfristig einen ständigen Sitz bekommen. Die AU und die „New Partnership for Africa’s Development” (NEPAD) haben derzeit nur Beobachterstatus. Dies bedeutet ein gewisses Maß an Informalität. Zusammen mit den begrenzten Ressourcen der Organisationen schafft dieser Grad der Informalität wenige Anreize, Kapazitäten für die Kooperation mit der G20 zu stärken. Ein ständiger Sitz für eine Pan-Afrikanische Organisation wäre ein Schritt, das Legitimationsdefizit zu verringern.

Die G20 Afrika Partnerschaft kann für nachhaltige Entwicklung in Afrika nur einen Unterschied machen, wenn (1) künftige Präsidentschaften das Engagement der G20 für die Zusammenarbeit mit Afrika aufrechterhalten, (2) afrikanische Stimmen in die globale Entscheidungsfindung integriert werden und wenn sie (3) in ein zukunftsweisenderes und umfassenderes Engagement eingebettet wird. Christine Hackenesch ist wissenschaftliche Mitarbeiterin in der Abteilung „Bi- und multilaterale Entwicklungspolitik“ am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE). Julia Leiniger leitet am DIE die Abteilung „Governance, Staatlichkeit, Sicherheit“. Elizabeth Sidiropoulos ist Chief Executive am South African Institute of International Affairs (SAIIA).

Mongolei: 25 Jahre Verfassungsgericht

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 17/07/2017 - 09:17
Seit 25 Jahren besteht das Verfassungsgericht der Mongolei. Seinen Aufbau begleitet bis heute die Hanns-Seidel-Stiftung mit verschiedenen Projektmaßnahmen.

Post-Cotonou, vers une modernisation du partenariat ACP

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Les relations entre l'Union européenne, ses 28 états membres, et 79 Etats dont 48 d'Afrique, 16 des Caraïbes et 15 du Pacifique (ACP), fêteront leurs 45 ans en 2020. Cette année marquera également l'expiration de l'Accord de Cotonou signé le 23 juin 2000. Ce cadre est la pierre angulaire de...

Fondation, Lisez le Rapport Schuman sur l'Europe, l'état de l'Union 2017

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le "Rapport Schuman sur l'état de l'Union" 2017, paru aux éditions Lignes de Repères, en français et en anglais, propose de nombreux articles captivants sur l'actualité européenne. Commandez-le en ligne, chez votre libraire ou sur le site de la Fondation.

Fondation, "Pour quelques étoiles de plus... Quelle politique européenne pour la France ?"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le Président de la Fondation, Jean-Dominique Giuliani, publie "Pour quelques étoiles de plus... Quelle politique européenne pour la France ?" Lecture éclairante au moment où le président français Emmanuel Macron rappelle son attachement à l'Europe. Commandez le

Commission, Financement du terrorisme : l'Union européenne s'attaque au trafic d'art

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
La Commission européenne a lancé, le 13 juillet, une offensive contre le trafic d'objets d'art, visant à tarir l'une des sources de financement de "groupes terroristes" comme l'Etat islamique.

Commission, Ouverture d'une procédure de sanction contre la Hongrie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
La Commission européenne a décidé, le 13 juillet, d'engager une procédure de sanction contre la Hongrie au sujet d'une loi relative aux ONG bénéficiant de capitaux étrangers. Le premier vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, a déclaré que cette loi n'était "pas conforme au droit de l'union européenne" au regard de la liberté d'association et la protection de la vie privée.

Commission, Emplois et stages dans le cadre du Corps européen de solidarité

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Six mois après le lancement du corps européen de solidarité par la Commission européenne et depuis le début de la sélection pour la participation à des projets de volontariat en mars 2017, le coup d'envoi à des milliers de placements (emplois et stages) a été donné le 10 juillet .

Conseil, Position sur le budget 2018

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le 12 juillet, le Conseil a arrêté sa position sur le projet de budget 2018 avant les négociations avec le Parlement européen à partir d'octobre pour un montant de 158,9 milliards € de crédits d'engagements et 144,4 milliards € de crédits de paiements, en hausse de 0,6% et 7,4% respectivement par rapport au budget 2017.

Conseil, Conclusions du Conseil "Economie et Finances"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Les 28 ministres des finances ont adopté des conclusions sur l'examen à mi-parcours du plan d'action concernant l'union des marchés des capitaux, examiné un rapport sur les prêts non productifs dans le secteur bancaire et adopté des recommandations par pays sur les politiques économiques, budgétaires et de l'emploi des États membres, mettant ainsi un terme au cycle du Semestre européen 2017.

Conseil, Conclusion du Conseil "Agriculture et pêche"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le 17 juillet, le Conseil "Agriculture et pêche" a rendu ses conclusions sur la simplification à l'avenir de la PAC, ainsi que le suivi de la situation du marché des négociations commerciales en cours.

Conseil, Conclusion du Conseil "UE-Ouzbékistan"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le 17 juillet, le Conseil de coopération entre l'Union européenne et la République d'Ouzbékistan a examiné le développement positif des relations bilatérales, y compris les réformes politiques, judiciaires et économiques, la règle de droit, le commerce, les investissements, les relations énergétiques et les enjeux internationaux.

Diplomatie, Conclusion du Conseil "Affaires étrangères"

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Le 17 juillet, les 28 ministres européens des affaires étrangères ont rendu leur conclusion sur la Libye, la crise migratoire, la Corée du Nord, et la stratégie globale.

Diplomatie, Sommet UE-Ukraine

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 17/07/2017 - 02:00
Les 12 et 13 juillet, lors d'un sommet à Kiev, les dirigeants européens ont appelé les autorités ukrainiennes à accélérer la lutte contre la corruption, deux jours après la ratification d'un accord d'association avec l'Ukraine.

Pages