La société Hertz, leader mondial de la location de voiture, a célébré ses 10 ans d'existence au Bénin. Un dîner de gala a été organisé dans ce cadre dans la soirée du samedi 25 octobre 2025, à Sofitel Cotonou Marina & SPA.
Déjà une décennie que Hertz mène ses activités au Bénin. L'évènement a été célébré, lors d'un dîner de gala dans la soirée du samedi 25 octobre 2025, avec les clients de la société, à Sofitel Cotonou.
Le directeur général de Hertz Bénin, Olivier SOKPOH, a rappelé à cette occasion, la plus forte conviction de la société au début de ses activités au Bénin ; laquelle relève du fait que le pays dispose d'un « potentiel immense, un avenir tourné vers la mobilité, le service et la qualité ».
Observant le chemin parcouru 10 ans après, il a exprimé sa fierté. « Fier de nos équipes, fier de nos clients, et fier de ce que nous avons construit ensemble », s'est réjoui le directeur général, avant d'exprimer ses remerciements aux clients qui, au fil du temps, ont choisi Hertz pour leurs déplacements. « Votre fidélité est notre plus belle récompense. Vous êtes la raison pour laquelle nous nous réinventons sans cesse, pour offrir un service toujours plus fiable, plus moderne et plus proche de vos attentes », a-t-il confié.
Après ces 10 premières années, l'avenir dira Olivier SOKPOH, s'annonce encore plus prometteur au Bénin ; un pays dynamique, attractif et en plein essor, a-t-il salué réitérant la détermination de Hertz à participer à la croissance en renforçant son offre de services, en innovant avec des solutions de mobilité, et en contribuant à la professionnalisation du secteur.
Le directeur général n'a pas manqué d'annoncer le nouveau partenariat stratégique avec la franchise Speedy, spécialiste de l'entretien automobile. Ce partenariat d'après ses explications, représente bien plus qu'une simple synergie commerciale. « C'est une vision commune du service client, de la qualité et de la durabilité », a-t-il souligné avant d'évoquer la synergie d'action entre Hertz et Speedy pour œuvrer à construire « un écosystème automobile intégré au service des particuliers comme des entreprises ». L'objectif poursuivi étant de « simplifier la mobilité au Bénin ».
Les 10 prochaines années, annonce Olivier SOKPOH, seront celles de l'innovation, de la digitalisation et du développement durable ; trois piliers essentiels destinés à faire du Bénin un modèle en Afrique de l'Ouest, et pour lequel Hertz entend prendre « toute sa part ».
Grégory VANDERBROUCKE, directeur de l'infrastructure et du réseau de Hertz France, représentant de Hertz International, a salué les efforts consentis par Olivier SOKPOH pour faire briller la marque Hertz au Bénin. L'effort conjugué des équipes très dynamiques et très engagés à sa disposition, permettra de faire de la marque Hertz d'ici les 10 et 20 prochaines années, le leader de la mobilité au Bénin, un pays en pleine transformation et qui d'après lui, ne cesse de surprendre et d'innover.
A propos de Hertz Bénin
Créé en 2015 dans la volonté d'offrir des solutions de mobilité adaptées aux besoins croissants des entreprises et des particuliers, Hertz a su s'imposer comme « un acteur incontournable dans le secteur de la location automobile ». En une décennie, l'entreprise a su allier qualité de service, innovation et engagement envers les clients. Fait notoire que nombre de clients ont salué lors de la cérémonie commémorant les 10 ans de création.
Avec trois véhicules au démarrage, l'entreprise compte désormais sur sa flotte, plus de 300 véhicules récents et adaptés à tous les besoins. Ce qui témoigne d'un engagement constant envers l'excellence et l'innovation.
De grands défis pour l'avenir
En dépit des succès engrangés en une décennie, des défis restent à relever. Selon le directeur général, il s'agit de relever les défaillances et les failles existantes sur le marché afin de proposer des innovations dans le secteur. « Nous souhaitons innover dans la façon même de travailler, notamment dans la location des voitures, et envisager des services adaptés aux usagers de l'automobile. Posséder un véhicule ne doit plus être une contrainte, mais un outil de mobilité. Cela doit être en adéquation avec les capacités de chacun. Nous sommes conscients des obligations d'entretien d'un véhicule, mais nous voulons que cela soit simple et accessible », a laissé entendre Olivier SOKPOH. Les défis pour l'avenir a-t-il poursuivi, consistent également à apporter une nouvelle vision des métiers de l'automobile pour le marché béninois. « Nous visons même avoir un impact sur la sous-région. C'est une vision ambitieuse mais nécessaire dans le contexte actuel. Nous pensons que le moment est venu, et en capitalisant sur notre expérience, nous pouvons apporter un plus au marché », a confié le DG de Hertz Bénin.
Quelques images de la fête
F. A. A.
À un peu plus de deux mois des élections générales de 2026 au Bénin, l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP) annonce de nouvelles mesures pour accompagner les candidats dans la constitution de leurs dossiers de candidature.
Dans un communiqué signé de son directeur général, Aristide Adjinacou, en date du 26 octobre 2025, l'ANIP informe que des dispositifs d'appui sont déployés à travers tout le pays pour faciliter l'obtention des pièces d'identification indispensables, notamment le Certificat d'identification personnelle, l'Acte de naissance sécurisé et le Certificat de résidence.
Les candidats rencontrant des difficultés peuvent appeler gratuitement le numéro vert 7054, accessible tous les jours de 08h à 21h, ou se rapprocher des chefs d'unités ANIP installés dans les mairies et arrondissements à statut particulier, ainsi que des délégués départementaux auprès des préfectures.
L'Agence précise que les responsables locaux sont habilités à accompagner les candidats pour tout besoin lié à l'identification personnelle, à condition que ceux-ci indiquent clairement l'élection concernée lors de leurs démarches.
M. M.
Le Conseil constitutionnel du Cameroun a proclamé, ce lundi 27 octobre 2025 au Palais des Congrès de Yaoundé, les résultats officiels de l'élection présidentielle tenue le 12 octobre dernier.
Selon les chiffres rendus publics par le président du Conseil constitutionnel, Clément Atangana, le président sortant Paul Biya est déclaré vainqueur du scrutin avec 53,66% des voix.
La cérémonie de proclamation s'est déroulée en présence de nombreuses personnalités du pays dont des membres du gouvernement, autorités administratives et judiciaires, diplomates, responsables de partis politiques, directeurs généraux et acteurs de la société civile.
Les résultats ont été annoncés région par région avant la proclamation du résultat global confirmant la victoire du président sortant. L'événement a été retransmis en direct sur la page Facebook du média CRTV (Cameroon Radio Television).
Âgé de 92 ans, Paul Biya obtient ainsi un huitième mandat à la tête du Cameroun. Il dirige le pays sans discontinuer depuis 1982.
Lefaso.net
La chorale Chœur Notre Dame des Pauvres du Centre spirituel Notre Dame des Pauvres de l'archidiocèse de Ouagadougou a procédé à la dédicace de son premier album. À travers cette œuvre musicale, la chorale souhaite toucher les cœurs et les amener à Jésus. En un mot, elle veut utiliser la musique comme moyen d'évangélisation. La dédicace a eu lieu le dimanche 26 octobre 2025 à Ouagadougou.
Intitulé « Mon Seigneur et mon Dieu », l'album est composé de 15 titres, à savoir : « Notre Dame des Pauvres », « Si vous gardez mes commandements », « Doux et humble de cœur », « Je cherche ton visage », « À qui irions-nous Seigneur ? », « Qui t'a condamné ?, « J'ai soif », « N'aie pas peur », « Je me tiens à la porte », « Où est Abel ? », « Gethsémanie », « Pour vous qui suis-je ? », « Père, touche le Burkina », « Elle est mère de Dieu » et » Alpha, Omega ».
L'album « Mon Seigneur et mon Dieu » est disponible au prix de 5 000 F CFALa majorité des titres ont été écrits par l'abbé Blaise Bicaba, figure spirituelle bien connue dans la communauté catholique. La chorale Chœur Notre Dame des Pauvres a travaillé sur cet album pendant huit ans.
La chorale Chœur Notre Dame des Pauvres a prévu d'organiser un concert le 31 octobre 2025, de 16 h à 23 h, au stade municipal de Ouagadougou« Nous abordons plusieurs thématiques dans cette œuvre musicale. Il y a l'évangélisation, des cantiques de supplication et d'autres dédiés à notre mère du ciel, la Vierge Marie. Il y a également un chant où nous prions pour la paix dans notre pays. Nous exaltons le Seigneur, nous le bénissons, nous contemplons sa gloire. Notre prière est que cet album touche les cœurs et que chacun revienne véritablement à Jésus-Christ, notre Seigneur et notre Dieu », a expliqué Emmanuel Sedogo, responsable de la chorale Chœur Notre Dame des Pauvres.
La chorale Chœur Notre Dame des Pauvres se dit disponible pour assurer des prestations afin d'évangéliser le publicIl a invité le public à s'approprier cette œuvre musicale : « Nous appelons nos frères et sœurs à consommer sans modération cet album. Nous les invitons à nous accompagner dans cette mission d'évangélisation en achetant au moins une clé et en l'offrant à d'autres personnes. Nous vous promettons beaucoup de surprises. Nous avons déjà reçu de nombreux témoignages à travers les hymnes, preuve que Jésus-Christ est toujours le même, hier, aujourd'hui et à jamais. Et puisque c'est sa parole qui est chantée, nous savons qu'elle transformera des vies », a-t-il poursuivi.
À gauche, Emmanuel Sedogo a invité le public à consommer l'album sans modérationEn rappel, la chorale Chœur Notre Dame des Pauvres, créée en 2006, compte aujourd'hui plus de 50 membres. Vous pouvez vous procurer l'album « Mon Seigneur et mon Dieu » à la Radio Ave Maria, à Saint-Camille plus précisément à la boutique de Tanti Noëlie ou encore au Centre spirituel Notre Dame des Pauvres.
Infoline : (+226) 72 25 38 18
Samirah Bationo
Lefaso.net
Introduction
Face aux secousses d'un monde en perpétuelle instabilité, crises sanitaires à répétition, tensions géopolitiques, ruptures d'approvisionnement, la question de la souveraineté pharmaceutique s'impose comme une urgence stratégique pour les États africains. Elle ne relève plus du discours, mais de la survie, de la dignité et de la capacité à protéger les populations en toutes circonstances.
Le Burkina Faso, fidèle et fière de son identité « terre de résilience, d'ingéniosité et de courage collectif », s'engage avec détermination dans la voie de la souveraineté. Garantir donc un accès durable à des médicaments sûrs, efficaces et produits localement devient un impératif de santé publique, mais aussi un acte d'indépendance scientifique, industrielle et réglementaire.
Le 10ᵉ Congrès de l'Ordre des Pharmaciens du Burkina Faso, prévu du 29 au 31 octobre 2025(Thème : Souveraineté Pharmaceutique du Burkina Faso : Défis et opportunités) [1]
Cette quête de souveraineté est portée par des voix visionnaires, qui en rappellent les fondements éthiques, politiques et culturels.
« La santé ne doit pas être un luxe réservé à ceux qui ont les moyens. Elle doit être un droit accessible à tous. » (Thomas Sankara)
Ce droit, pour être effectif, exige une posture ferme et assumée face aux pressions extérieures.
« La souveraineté ne se négocie pas. Elle se construit, elle se défend, elle se vit. » (Capitaine Ibrahim Traoré)
Et pour que cette construction soit durable, elle doit s'enraciner dans une culture de qualité vivante, incarnée et transmise.
« La qualité, lorsqu'elle est enracinée, devient un acte de foi, un textile vivant au service de la dignité collective. » (Lady_Quality_Culture)
1. Une dynamique nationale en construction
La souveraineté pharmaceutique ne se limite pas à la seule production locale. Elle repose sur une vision partagée, une mobilisation multisectorielle, et une transmission vivante des savoirs. Elle exige que chaque maillon de la chaîne de la recherche à la distribution soit animé par une conscience collective et une volonté d'agir.
Au Burkina Faso « Dans la dynamique de la souveraineté sanitaire, il faut arriver à susciter des vocations. » (Dr Anicet Sawadogo, Directeur général du laboratoire GAMET)
Ces vocations ne concernent pas uniquement les chercheurs ou les industriels. Elles interpellent les pharmaciens, les décideurs, les formateurs, les régulateurs et les citoyens. Car, c'est ensemble que nous pouvons bâtir un système de santé autonome, enraciné et résilient.
a) Des acteurs engagés : GAMET, PROPHARM, CPF et U-PHARMA ....
Le laboratoire GAMET s'illustre par ses travaux sur les phyto-médicaments et les diagnostics adaptés aux réalités africaines. L'entreprise PROPHARM, quant à elle, incarne une volonté industrielle locale, en produisant des médicaments essentiels pour le marché national et régional. Le Centre pharmaceutique de fabrication (CPF) complète ce tissu productif en renforçant l'offre disponible pour les populations rurales. U-PHARMA s'affirme comme un acteur stratégique, fédérant les compétences et les moyens pour une production pharmaceutique souveraine, accessible et durable, en lien avec les priorités de santé publique et les exigences de qualité. « Notre objectif est d'arriver à mettre ces produits à la disposition de nos populations partout où elles se trouvent. » [2] (Dr Nébié Nao, Président de l'Ordre des Pharmaciens)
Cette ambition, pour devenir réalité, appelle à dépasser les obstacles et à activer les leviers disponibles avec audace et cohérence.
b) Une mobilisation multisectorielle
La souveraineté pharmaceutique appelle à :
former les jeunes dans les instituts spécialisés,
renforcer les capacités de l'Agence Nationale de Régulation Pharmaceutique (ANRP),
sensibiliser les citoyens à travers des capsules éducatives, valoriser les savoirs traditionnels par le biais d'une démarche scientifique rigoureuse.
c) Une ambition à concrétiser
Pour que cette ambition devienne réalité, il faut :
dépasser les obstacles réglementaires et logistiques,
activer les leviers de financement et de formation,
créer des synergies entre institutions, laboratoires et communautés.
La souveraineté pharmaceutique est un pagne à motifs multiples : chaque acteur y tisse sa couleur, chaque action renforce la trame, chaque vocation en fait vibrer le sens.
2. Des défis structurels à relever
La souveraineté pharmaceutique ne se décrète pas, elle se construit avec rigueur, vision et engagement durable. Les défis sont nombreux et bien connus :
Dépendance aux importations : Plus de 90 % des médicaments consommés au Burkina Faso sont importés, exposant le pays aux aléas du marché mondial.
Faiblesse de l'industrie locale : Malgré les efforts des structures comme PROPHARM ou le laboratoire GAMET, la production nationale reste limitée en volume, en diversité et en capacité d'innovation.
Contraintes réglementaires et logistiques : L'homologation, la traçabilité, le contrôle qualité et la distribution nécessitent des investissements soutenus et une coordination interinstitutionnelle renforcée.
Lourdeur administrative : L'implantation d'une industrie pharmaceutique prend du temps, entre autorisations, infrastructures et validation des normes.
Manque de financement pour la recherche : Les chercheurs et pharmaciens innovants manquent souvent de soutien pour valoriser les ressources locales, notamment les plantes médicinales à fort potentiel thérapeutique.
3. Lady_Quality_Culture : une voix textile et spirituelle
Dans cette dynamique, Lady_Quality_Culture nous invite à penser la souveraineté comme une tapisserie vivante, tissée de rigueur, de mémoire et de célébration : « La souveraineté pharmaceutique est un pagne de dignité dans lequel chaque fil est une vocation, chaque motif une mémoire et chaque couture une responsabilité. ». « Transmettre, c'est soigner. Harmoniser, c'est protéger. Valider ensemble, c'est élever. »
Son approche, mêlant textile, pédagogie et spiritualité, rappelle que la santé ne se décrète pas : elle se structure, se construit, se gagne se célèbre et se transmet. avec exigence et beauté.
4. Des opportunités avec audace
Malgré ces obstacles, plusieurs signaux positifs ouvrent la voie à une souveraineté pharmaceutique burkinabè crédible et durable :
Volonté politique affirmée : Le ministère de la Santé a inscrit la production locale de médicaments dans les priorités nationales. « La souveraineté sanitaire est une vision présidentielle. Elle passe par l'appui aux structures locales, la valorisation des plantes médicinales et la relance industrielle. » (Dr Robert KARGOUGOU, ministre de la Santé)
Valorisation des pharmacopées traditionnelles : Le laboratoire Phytofla, visité par le ministre, illustre le potentiel des plantes locales transformées en phyto médicaments certifiés, alliant savoir endogène et exigence scientifique.
Mobilisation des acteurs de la santé : Congrès, panels, formations et réseaux professionnels renforcent la synergie entre pharmaciens, chercheurs, industriels et décideurs. « L'ANRP est une structure de veille, de régulation et de protection. Elle doit être comprise, soutenue et valorisée. » (Dr Soulama Issiaka, Directeur général de l'ANRP)
Émergence d'une conscience collective : La crise du COVID-19 a révélé l'urgence de relocaliser certaines productions stratégiques. Cette prise de conscience alimente aujourd'hui une dynamique de transformation durable. « Ouvrir les portes, c'est aussi ouvrir les consciences sur les enjeux de qualité, de traçabilité et de souveraineté. » (Dr Soulama Issiaka Directeur de l'ANRP)
Engagement industriel renforcé : la vision de FASO PHARMA
Acteur clé du tissu pharmaceutique national, FASO PHARMA incarne une ambition industrielle structurante. Par ses investissements, ses capacités de production et son ancrage local, l'entreprise contribue à réduire la dépendance aux importations, à renforcer la disponibilité des médicaments essentiels, et à soutenir les politiques de santé publique.
Sa vision s'inscrit dans une logique de souveraineté partagée, où qualité, accessibilité et responsabilité industrielle vont de pair.
Ces avancées, portées par une volonté collective et des initiatives concrètes, tracent les contours d'un avenir pharmaceutique plus autonome, plus juste et plus enraciné dans les réalités du Burkina Faso.
5. Voix de leadership et d'héritage : une vision panafricaine qui soigne, protège et élève
La souveraineté pharmaceutique ne se limite pas à la fabrication locale de médicaments. Elle s'inscrit dans une vision panafricaine affirmée, portée à la fois par les voix du présent et les mémoires du passé. Elle convoque les savoirs, les volontés et les vocations pour bâtir un système de santé autonome, enraciné et solidaire.
Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, rappelle la ligne de force : « Ceux qui viennent pour voler notre souveraineté, notre indépendance, qu'ils comprennent que nous ne sommes pas prêts à les accueillir. » Et Thomas Sankara, père de la révolution burkinabè, nous lègue une parole toujours vivante : « La santé ne doit pas être un luxe réservé à ceux qui ont les moyens. Elle doit être un droit accessible à tous. »
Ces paroles résonnent comme des balises éthiques et politiques, pour une souveraineté qui soigne, protège et élève. Elles nous rappellent que la santé, lorsqu'elle est pensée comme un bien commun, devient un acte de dignité collective.
Conclusion
La souveraineté pharmaceutique pour le Burkina Faso est à la fois un défi de taille et une opportunité historique. Elle exige une vision claire, un engagement politique fort, des investissements ciblés, et surtout, une mobilisation collective des compétences nationales. Il ne s'agit pas seulement de produire localement, mais de tisser une chaîne de valeur cohérente, de la recherche à la distribution, en passant par la formation, la réglementation et l'innovation. En affirmant sa souveraineté pharmaceutique, le Burkina Faso ne cherche pas l'isolement, mais la maîtrise de ses choix thérapeutiques, dans le respect des normes internationales et des besoins de ses populations.
La souveraineté pharmaceutique : un fil d'or dans le pagne de la résilience. C'est un acte de dignité, de résilience, et de projection vers un avenir où la santé ne sera plus une dépendance, mais une conquête collective.
References bibliographiques
1. LEEM Afrique - Agenda, https://www.leemafrique.org/fr/congres.asp.
2. Burkina/Santé : La souveraineté pharmaceutique au cœur d'un panel - MSN
Dr Bougouma Edith Christiane
Pharmacienne – PhD en Santé Publique & Microbiologie
Certifiée en Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF/GMP) & de Distribution (BPD/GDP)
Spécialiste en Management Qualité - Santé -Hygiène -Sécurité - Environnement
BECqualityculture@gmail.com
1. Objet
L'objectif de cet appel de propositions (RFP) est d'identifier et de sélectionner jusqu'à quatre organisations locales de la société civile (OSC) au Burkina Faso pour soutenir le renforcement de la gestion financière du COGES et le plaidoyer en faveur d'un financement accru de la santé locale. Dans le cadre de cette DP, jusqu'à quatre (4) ASC seront désignés pour mettre en œuvre un ensemble défini d'activités décrites à la section D – Portée des travaux. Les OSC sélectionnées recevront des sous-subventions à prix fixe pour fournir des résultats mesurables au cours de la période de mise en œuvre qui s'étendra jusqu'en mai 2026.
2. Eligibilité
la participation est ouverte aux organisations de la Société Civile basées au Burkina Faso ayant une solide expérience en matière d'engagement communautaire, de défense des droits ou d'initiatives de santé.
3. Instructions sur la soumission des propositions.
Les propositions doivent être soumises au plus tard à 17h00 GMT+5 le 7 novembre 2025.
a. Consultation et demandes de renseignements.
La consultation du dossier complet peut se faire dans les locaux de ThinkWell Institute Burkina Faso à l'adresse suivante : 11 B.P. 1255 CMS 11 Ouagadougou - Quartier Ouaga 2000, près de la Fondation Kimi, à 500 du boulevard Muammar Kadaffi Tél. : 226 57 53 73 50
Les demandes de renseignements concernant cet appel d'offres doivent être envoyées par e-mail avant 17h00 GMT+5 avant le 31 octobre 2025 à l'adresse suivante :
Dr. Marie-Jeanne Offosse, Directrice Pays, moffosse@thinkwell.global
Et : Sarah Lackert, responsable de programme senior, slackert@thinkwell.global
b. Conditions de la proposition.
Tous les frais de préparation de la proposition sont à la charge exclusive de l'offrant et ne seront pas remboursés par l'Institut ThinkWell, ci-après dénommé (ThinkWell).
c. Instructions aux soumissionnaires potentiels.
Soumission de la proposition :
Veuillez soumettre votre proposition par e-mail aux personnes suivantes au plus tard à 17h00
GMT +5 le 7 novembre 2025 :
• Dr. Marie-Jeanne Offosse, Directrice Pays : moffosse@thinkwell.global
• Sarah Lackert, Gestionnaire de programme senior : slackert@thinkwell.global
Format de la proposition :
• Objet : No de l'appel d'offres : [Nom de l'organisme de recherche local] - SP4-Burkina Faso-2025-003 - [Nom de votre organisation
• Pièces jointes :
Votre proposition au format PDF.
Tout document justificatif tel que spécifié dans la DP.
Étiquetage de la proposition :
Veuillez étiqueter clairement votre proposition avec les informations suivantes dans le document No de l'appel d'offres : [Nom de l'organisme de recherche local] -SP4-Burkina Faso-2025-003-Nom de l'organisme
4. Réserves
ThinkWell se réserve le droit de ne donner suite qu'à tout ou partie de la présente demande de proposition.
La Directrice Pays
Dr Marie – Jeanne Offosse N'GBESSO
L'église catholique romaine au Bénin est en deuil. L'évêque Barthélémy Adoukonou n'est plus. Il a tiré sa révérence dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre 2025. L'annonce a été faite par la Conférence épiscopale du Bénin (CEB), à travers un communiqué ce lundi 27 octobre 2025.
Deuil au sein de l'église catholique. L'évêque Barthélémy Adoukonou a rejoint la demeure céleste dans la nuit du samedi au dimanche 26 octobre 2025 au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (CHNU-HKM). La Conférence épiscopale à travers un communiqué en date de ce lundi 27 octobre, a porté l'information à la connaissance de la communauté catholique.
Monseigneur Barthélémy Adoukonou est originaire du diocèse d'Abomey. C'est un théologien qui durant toute sa vie, a œuvré au renforcement du dialogue entre la foi et la culture, tant au Bénin qu'à l'international. Il a occupé par le passé, le poste de secrétaire du Conseil pontifical pour la culture au Vatican.
Paix à son âme !
Bonn, 27. Oktober 2025. Zum Ende des European Cybersecurity Awareness Month (ECSM) im Oktober 2025 stellt sich eine entscheidende Frage: Wie wirken sich Cybersicherheitsmaßnahmen – wie Anti-Fake-News-Gesetze oder Initiativen zur Datenlokalisierung – in unterschiedlichen politischen Kontexten aus? Der ECSM wird unter anderem von der Europäischen Union, verschiedenen nationalen Regierungen – auch autokratischen – und globalen wirtschaftlichen Akteuren weltweit begangen, um Cybersicherheitsrisiken entgegenzuwirken. Doch ein Blick nach Asien zeigt, dass Cybersicherheitsmaßnahmen auch als Mittel der Repression eingesetzt werden können, wenn sie nicht in demokratische Institutionen und politische Praktiken eingebettet sind.
Cybersicherheitsgesetze als Mittel der ZensurUnter Berufung auf Onlinesicherheit wenden mehrere asiatische Regierungen Gesetze zur digitalen Regulierung so an, dass sie staatliche Kontrolle über öffentliche Meinungsäußerung verstärken. Im zunehmend autokratisch regierten Indien schreiben das Gesetz zum Schutz digitaler personenbezogener Daten (2023) und damit verbundene Rechtsvorschriften zwar bestimmte Nutzer*innenrechte fest, erlauben es dem Staat aber zugleich, Unternehmen zur Herausgabe von Informationen aufzufordern und die Löschung von Onlineinhalten anzuordnen. Forschungsarbeiten zeigen, dass Autokraten Gesetze gegen Fake News und Verleumdung, die häufig in Rechtrahmen zur Onlineregulierung enthalten sind, zunehmend dazu nutzen, Kritiker*innen zum Schweigen zu bringen.
Dabei sind die Straftatbestände oft vage formuliert und lassen Regierungen viel Ermessensspielraum. So bezieht sich Kasachstans Gesetz von 2023 zu Internetplattformen und Internetwerbung sowohl auf Online-Ressourcen als auch auf Messaging-Apps wie WhatsApp und sieht Haftungspflichten für die vorsätzliche wie auch die unbeabsichtigte Verbreitung von „Falschinformationen“ vor. In Kirgistan kann die Regierung unter Berufung auf das Gesetz zum Schutz vor Falschinformationen von 2021 Inhalte verbieten, die sie als falsch erachtet. Das Online-Sicherheitsgesetz von 2024 in Sri Lanka kriminalisiert „falsche Aussagen“, „beleidigende Nachrichten“ und Inhalte, die „die öffentliche Ordnung stören“ – und ermöglicht so die politische Verfolgung von Regierungskritiker*innen. In Myanmar verleiht das Cybersicherheitsgesetz von 2025 der Militärjunta weitreichende Zensurbefugnisse. Zudem stellt es die Erbringung digitaler Sicherheitsdienstleistungen ohne staatliche Lizenz unter Strafe – vermutlich ein gezielter Angriff auf zivilgesellschaftliche Organisationen und Unternehmen, die digitale Sicherheitsschulungen anbieten.
Digitale Überwachung und SchikanenMehrere autokratische Regierungen kombinieren solch repressive Gesetze mit Cyber-Überwachung. Recherchen der thailändischen NROs iLaw und DigitalReach, des Citizen Lab und des Security Lab von Amnesty International deckten 2021 den Einsatz der Spionagesoftware Pegasus gegen thailändische Pro-Demokratie-Aktivist*innen auf. Später stellte sich heraus, dass auch Oppositionelle, Journalist*innen und Regierungsvertreter*innen in Europa mit Pegasus überwacht wurden. Da Pegasus teuer ist, greifen Autokraten in Asien oft auch auf andere Überwachungssoftware zurück. Zudem setzen sie Sicherheitskräfte und Informant*innen ein, die soziale Medien gezielt nach regierungskritischen Äußerungen durchsuchen. In Kambodscha betonen Aktivist*innen, dass kritische Beiträge in den sozialen Medien rasch gelöscht werden und Online-Aktivist*innen oft ins Visier regierungstreuer Influencer*innen geraten. Einige berichten von physischen Repressionen durch die sogenannte „Cyberpolizei“ – womit digitale in physische Repression übergeht. „Sie werden dich finden. […] Sie werden dich auf die Polizeistation vorladen“ oder „dich verhaften“ (Autorinneninterview 2025). Auch der Einparteienstaat Vietnam kontrolliert soziale Medien und nutzt regierungsnahe Influencer*innen zur Verbreitung seiner eigenen Narrative.
Ambivalente Auswirkungen von DatenlokalisierungMehrere Regierungen in Asien fordern von Online-Plattformen, Datenverwaltern und Unternehmen, Daten auf lokalen Servern zu speichern. Datenlokalisierung kann legitimen Regierungszielen wie Datensouveränität und der Abwehr von Cyberangriffen dienen, in repressiven Kontexten aber auch zur Beschneidung digitaler Freiräume beitragen. Das vietnamesische Cybersicherheitsgesetz von 2019 verpflichtet Online-Dienstleister, die Daten von vietnamesischen Nutzer*innen auf Servern in Vietnam zu speichern. Dadurch können Behörden darauf zugreifen und Inhalte löschen lassen. Auch Usbekistan verlangt mit dem ergänzten Gesetz „über personenbezogene Daten“ von 2021, dass Internetanbieter und Social-Media-Plattformen Daten auf lokalen Servern speichern.
Dies macht deutlich, dass demokratische Rahmenbedingungen maßgeblich darüber entscheiden, ob Cybersicherheitsmaßnahmen tatsächlich Sicherheit schaffen. Ohne demokratische Schutzmechanismen können sie leicht als Instrument für Repression missbraucht werden. Diese Erkenntnis ist auch für Europa relevant, wo demokratische Staaten versuchen, Desinformation entgegenzuwirken und europäische Datensouveränität zu stärken, etwa durch den Auf- und Ausbau einer europäischen digitalen Infrastruktur. Aktuell scheinen solche Maßnahmen zweifellos notwendig, um demokratische Institutionen zu schützen, doch könnten sie von rechtsextremen Parteien missbraucht werden, wenn es diesen gelingt, an die Macht zu kommen. Umso wichtiger ist es, breite gesellschaftliche Unterstützung für demokratische Werte und Institutionen aufrechtzuerhalten und zu stärken.
Dr. Jasmin Lorch ist Senior Researcher in der Abteilung “Transformation of Political (Dis-) Order” des German Institute of Development and Sustainability (IDOS) in Bonn.
Ani Tovmasyan ist unabhängige Forscherin und Beraterin im Bereich Friedensförderung, Konflikttransformation und Demokratisierung mit Fokus auf die Umwelt- und Entwicklungsaspekte von Frieden und Sicherheit.
Bonn, 27. Oktober 2025. Zum Ende des European Cybersecurity Awareness Month (ECSM) im Oktober 2025 stellt sich eine entscheidende Frage: Wie wirken sich Cybersicherheitsmaßnahmen – wie Anti-Fake-News-Gesetze oder Initiativen zur Datenlokalisierung – in unterschiedlichen politischen Kontexten aus? Der ECSM wird unter anderem von der Europäischen Union, verschiedenen nationalen Regierungen – auch autokratischen – und globalen wirtschaftlichen Akteuren weltweit begangen, um Cybersicherheitsrisiken entgegenzuwirken. Doch ein Blick nach Asien zeigt, dass Cybersicherheitsmaßnahmen auch als Mittel der Repression eingesetzt werden können, wenn sie nicht in demokratische Institutionen und politische Praktiken eingebettet sind.
Cybersicherheitsgesetze als Mittel der ZensurUnter Berufung auf Onlinesicherheit wenden mehrere asiatische Regierungen Gesetze zur digitalen Regulierung so an, dass sie staatliche Kontrolle über öffentliche Meinungsäußerung verstärken. Im zunehmend autokratisch regierten Indien schreiben das Gesetz zum Schutz digitaler personenbezogener Daten (2023) und damit verbundene Rechtsvorschriften zwar bestimmte Nutzer*innenrechte fest, erlauben es dem Staat aber zugleich, Unternehmen zur Herausgabe von Informationen aufzufordern und die Löschung von Onlineinhalten anzuordnen. Forschungsarbeiten zeigen, dass Autokraten Gesetze gegen Fake News und Verleumdung, die häufig in Rechtrahmen zur Onlineregulierung enthalten sind, zunehmend dazu nutzen, Kritiker*innen zum Schweigen zu bringen.
Dabei sind die Straftatbestände oft vage formuliert und lassen Regierungen viel Ermessensspielraum. So bezieht sich Kasachstans Gesetz von 2023 zu Internetplattformen und Internetwerbung sowohl auf Online-Ressourcen als auch auf Messaging-Apps wie WhatsApp und sieht Haftungspflichten für die vorsätzliche wie auch die unbeabsichtigte Verbreitung von „Falschinformationen“ vor. In Kirgistan kann die Regierung unter Berufung auf das Gesetz zum Schutz vor Falschinformationen von 2021 Inhalte verbieten, die sie als falsch erachtet. Das Online-Sicherheitsgesetz von 2024 in Sri Lanka kriminalisiert „falsche Aussagen“, „beleidigende Nachrichten“ und Inhalte, die „die öffentliche Ordnung stören“ – und ermöglicht so die politische Verfolgung von Regierungskritiker*innen. In Myanmar verleiht das Cybersicherheitsgesetz von 2025 der Militärjunta weitreichende Zensurbefugnisse. Zudem stellt es die Erbringung digitaler Sicherheitsdienstleistungen ohne staatliche Lizenz unter Strafe – vermutlich ein gezielter Angriff auf zivilgesellschaftliche Organisationen und Unternehmen, die digitale Sicherheitsschulungen anbieten.
Digitale Überwachung und SchikanenMehrere autokratische Regierungen kombinieren solch repressive Gesetze mit Cyber-Überwachung. Recherchen der thailändischen NROs iLaw und DigitalReach, des Citizen Lab und des Security Lab von Amnesty International deckten 2021 den Einsatz der Spionagesoftware Pegasus gegen thailändische Pro-Demokratie-Aktivist*innen auf. Später stellte sich heraus, dass auch Oppositionelle, Journalist*innen und Regierungsvertreter*innen in Europa mit Pegasus überwacht wurden. Da Pegasus teuer ist, greifen Autokraten in Asien oft auch auf andere Überwachungssoftware zurück. Zudem setzen sie Sicherheitskräfte und Informant*innen ein, die soziale Medien gezielt nach regierungskritischen Äußerungen durchsuchen. In Kambodscha betonen Aktivist*innen, dass kritische Beiträge in den sozialen Medien rasch gelöscht werden und Online-Aktivist*innen oft ins Visier regierungstreuer Influencer*innen geraten. Einige berichten von physischen Repressionen durch die sogenannte „Cyberpolizei“ – womit digitale in physische Repression übergeht. „Sie werden dich finden. […] Sie werden dich auf die Polizeistation vorladen“ oder „dich verhaften“ (Autorinneninterview 2025). Auch der Einparteienstaat Vietnam kontrolliert soziale Medien und nutzt regierungsnahe Influencer*innen zur Verbreitung seiner eigenen Narrative.
Ambivalente Auswirkungen von DatenlokalisierungMehrere Regierungen in Asien fordern von Online-Plattformen, Datenverwaltern und Unternehmen, Daten auf lokalen Servern zu speichern. Datenlokalisierung kann legitimen Regierungszielen wie Datensouveränität und der Abwehr von Cyberangriffen dienen, in repressiven Kontexten aber auch zur Beschneidung digitaler Freiräume beitragen. Das vietnamesische Cybersicherheitsgesetz von 2019 verpflichtet Online-Dienstleister, die Daten von vietnamesischen Nutzer*innen auf Servern in Vietnam zu speichern. Dadurch können Behörden darauf zugreifen und Inhalte löschen lassen. Auch Usbekistan verlangt mit dem ergänzten Gesetz „über personenbezogene Daten“ von 2021, dass Internetanbieter und Social-Media-Plattformen Daten auf lokalen Servern speichern.
Dies macht deutlich, dass demokratische Rahmenbedingungen maßgeblich darüber entscheiden, ob Cybersicherheitsmaßnahmen tatsächlich Sicherheit schaffen. Ohne demokratische Schutzmechanismen können sie leicht als Instrument für Repression missbraucht werden. Diese Erkenntnis ist auch für Europa relevant, wo demokratische Staaten versuchen, Desinformation entgegenzuwirken und europäische Datensouveränität zu stärken, etwa durch den Auf- und Ausbau einer europäischen digitalen Infrastruktur. Aktuell scheinen solche Maßnahmen zweifellos notwendig, um demokratische Institutionen zu schützen, doch könnten sie von rechtsextremen Parteien missbraucht werden, wenn es diesen gelingt, an die Macht zu kommen. Umso wichtiger ist es, breite gesellschaftliche Unterstützung für demokratische Werte und Institutionen aufrechtzuerhalten und zu stärken.
Dr. Jasmin Lorch ist Senior Researcher in der Abteilung “Transformation of Political (Dis-) Order” des German Institute of Development and Sustainability (IDOS) in Bonn.
Ani Tovmasyan ist unabhängige Forscherin und Beraterin im Bereich Friedensförderung, Konflikttransformation und Demokratisierung mit Fokus auf die Umwelt- und Entwicklungsaspekte von Frieden und Sicherheit.
“Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croît en moi vivra, même s'il meurt ; et celui qui vit et crois en moi ne mourra jamais” (Jean 11 : 25- 27).
La grande famille GOLANE à Tô, Toma, Tougan, Dédougou, Koudougou, Bobo- Dioulasso, Ouagadougou, États- Unis, Abidjan et Italie ;
Les familles alliées BORO, GARANE, OULENE, ZANTE, TOE, FORO, KY, KARAMBIRI, KAWANE, BONANE,
OUEDRAOGO, TRAORE, DAMA, DIALLO, ZERBO, ZOURE ; PARE, YELEMOU, GUEYE, KOUSSOUBE, SIA, BANCE, KI, AOUE, TONI, NANA, KOFFI, KABORE, COULIBALY ;
GOLANE Christophe ; cadre de FASO FANI à la retraite à Koudougou et son épouse ;
Les frères et sœurs : Mme TOE / GOLANE Célestine ; Inspectrice des Impôts à la retraite et son époux à Ouagadougou ;
Mme FORO / GOLANE Léonie ; Restauratrice à Dédougou ;
GOULANE Victor ; consultant à Dédougou ;
Les enfants : Hyacinthe, Sylvestre,
Célestine, Serge, Bienvenue, Rosine, Hervé, Yolande, Valérie, Arsène, Denise, Charles, Tatiana, Grégoire, Dieudonné, Éléonore Yolande ;
Les petits- enfants et arrières petits- enfants ;
Les cousins, cousines, neveux et nièces ;
Très touchés par vos soutiens multiformes lors du rappel à Dieu le 10 Octobre 2025 et de son inhumation le 11 Octobre 2025 de leur fils, frère, père, oncle, grand père, neveux, beau- frère, beau- père, ami, GOLANE Michel ; Conseiller FJA à la retraite.
Adressent leurs sincères remerciements :
À son excellence Monseigneur Prospère Bonaventure KY, Évêque du diocèse de Dédougou ;
Au Curé de la Paroisse Sacré Cœur de Toma et ses Vicaires ;
Au chef de Canton de Toma ;
A monsieur Dieudonné BONANE, Ex- ministre de l'habitat à Ouagadougou ;
A monsieur Noël TOE, Ex- député à Ouagadougou ;
A monsieur KY Hilaire Douti, Inspecteur de douane à Ouagadougou ;
A monsieur GARANE Malick, Ex- maire de la commune de Toma ;
A l'association des retraités de Toma ;
A l'association des ressortissants de Touo ;
Aux voisins, amis et connaissances ;
Aux membres de la CCB de Basnéré et Saint- Louis de Toma ;
Aux agents de l'ONEA et du service de l'agriculture de Toma ;
La famille s'excuse humblement auprès de toutes les personnes dont les noms n'ont pu être cités. Que le Bon Dieu vous bénisse et vous le rende au centuple vos bienfaits.
Elle vous informe par ailleurs que la messe tenant lieu des funérailles chrétiennes se tiendra à l'église Sacré cœur de Toma le samedi 28 Novembre 2026.
Union de prière.
La Société Nationale d'Aménagement des Terrains Urbains (SONATUR) informe le public de l'ouverture officielle de la vente des parcelles de ses sites de Bindougousso dans la commune de Bobo-Dioulasso, de Poedogo dans la commune de Ouahigouya et de Silmiougou dans la commune de Ouagadougou. Cette opération de vente concernera les parcelles à usage d'habitation et de commerce. Elle se fera par la méthode du « premier souscripteur » et ce, dans la limite du stock disponible.
Les souscriptions se feront en ligne sur la plateforme https://souscription.sonatur.bf à compter du mardi 28 au vendredi 31 octobre 2025 à partir de 10 heures GMT.
Chaque souscripteur devra payer des frais de souscription de 50 000 FCFA pour les sites de Silmiougou et de Bindougousso et 25 000 FCFA pour le site de Poédogo pour chaque parcelle souscrite.
Les acomptes minimales des prix des parcelles sont de 30% pour les parcelles à usage d'habitation et de 40% pour les parcelles à usage de commerce.
Les frais de souscription et les acomptes de versement sont payables uniquement en banque en une fois et en même temps.
Ces paiements devront être effectués après la souscription au plus tard le vendredi 14 novembre 2025 sur les comptes SONATUR ouverts à Coris Bank International, BCB, Atlantique Banque et Ecobank conformément aux options choisies.
NB : tout paiement effectué sans une souscription préalable fera l'objet de remboursement avec une retenue de 10% sur le montant versé.
A l'issue du paiement des frais de souscription et des acomptes, le souscripteur devra fournir à la SONATUR au plus tard le 28 novembre 2025 un dossier constitué des éléments suivants :
• le récépissé de souscription ;
• l'original et une copie du reçu de paiement à la banque ;
• trois (03) photocopies légalisées de la carte nationale d'identité ou du passeport en cours de validité pour les personnes physiques ou de l'acte de naissance (enfant mineur), des statuts et du RCCM pour les personnes morales ;
• un timbre fiscal de cinq cent (500) francs CFA.
Passé ce délai, le souscripteur se verra rembourser son versement avec une retenue de 10% sur le montant versé.
Toutes les informations relatives aux parcelles et à leurs prix sont disponibles :
1. Au siège de la SONATUR sis au 1525 Avenue Kwamé N'Krumah ;
2. A la Direction régionale de l'Ouest de la SONATUR à BOBO-DIOULASSO sise à Bobo 2010 ;
3. Sur le site web de la SONATUR (sonatur.bf) et sur sa page Facebook (SONATURBF).
Pour toute autre information, veuillez contacter le 25 30 17 73/74 ; 70 20 00 62 ; 77 00 13 49 ou le 20 97 01 41.
SONATUR, bâtir dans un cadre sécurisé !
Le Directeur Général
Boureima OUATTARA
Chevalier de l'Ordre de l'Etalon