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Afrique

Anjorin Moucharafou dans le collimateur de la justice

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 15:35

Invité de la radio « Océan Fm » samedi dernier, pour apprécier la violation de l'ordonnance qui interdisait l'organisation du congrès de la Fédération béninoise de football, le Président de l'Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab) Michel Adjaka n'a nullement apprécié l'aptitude des organisateurs dudit congrès qui a consacré l'élection d'Anjorin Moucharafou à la tête de la Fédération béninoise de football (FBF). Il a expliqué que des dispositions sont en cours pour sanctioner les auteurs de ce comportement.

Océan Fm : Quelle est votre réaction après l'organisation de l'Assemblée générale de la Fédération béninoise de football, malgré la décision d'interdiction du Tribunal de Porto-Novo ?
Michel Adjaka : Cette fois-ci, alors que le ministre de l'Intérieur, celui de la Défense et le ministre des Sports ont reçu signification de ladite décision, le gouvernement a appuyé ceux qui sont dans la logique du braquage d'une décision de justice jusqu'à ce que le congrès soit organisé. C'est après qu'on tente de se justifier, de se dédouaner en nous disant qu'on a levé la sanction. En réalité, ce qui préoccupe le gouvernement, c'est le match. Le gouvernement a sacrifié la décision sur l'autel d'un match de football. Ce qui est grave dans les annales de l'histoire de notre pays.
On sait que l'Unamab est très exigeante quant au respect des décisions de justice.

Par rapport au régime défunt, vous avez fait beaucoup d'ennemis dans le rang des pro Yayi. Aujourd'hui, que va faire l'Unamab après la non-exécution de cette décision de justice ?
Moi, je suis un homme engagé. Je ferai ce que dit le droit. Je sonnerai la mobilisation nécessaire pour faire entendre raison au gouvernement, d'autant plus que le chef de l'Etat, lui-même, est créancier des décisions de justice. Lorsqu'il s'agit de ses propres décisions de justice, il s'empresse de les faire exécuter. Je crois que dans un état de droit, on ne doit pas exécuter les décisions au gré de ses intérêts à soi. Je crois que nous irons jusqu'au bout afin que force reste à loi, parce que nous ne pouvons pas continuer par rendre des décisions royalement bafouées par l'Exécutif. On ne peut pas continuer dans cette logique-là.

Ce non-respect de cette décision de justice a un caractère particulier en ce sens que c'est maître Paraïso, président du Comité de normalisation, qui est un avocat, un homme de droit, qui a défendu les plus grands dossiers dans ce pays, qui est à la base. Alors, vous avez un commentaire par rapport à ça ?
Je vous précise que les grands dossiers dont vous parlez, Me Rafiou Paraïso, les a tous perdus. Il n'a rien à son actif de crédible. Donc, je précise qu'un avocat, un homme de droit qui se comporte comme ça, ne mérite pas qu'on le respecte. En ce qui le concerne, des dispositions particulières seront prises, parce que je ne conçois pas qu'un avocat puisse continuer par venir devant les juridictions, plaider des dossiers alors que lui-même, lorsqu'il gagne, il les exécute et lorsque les autres gagnent, lui, il s'empresse de solliciter la force publique pour violer, brader les décisions de justice. Est-ce qu'un avocat mérite qu'on prenne à son encontre des dispositions particulières ? Dans les jours à venir, si cela ne tient qu'à moi seul, dès lundi, des dispositions spéciales seront prises en ce qui le concerne. Quant à la bande à Anjorin Moucharafou, des dispositions seront également prises. On ne peut pas permettre cela. On m'a demandé ce qui explique que la justice, après avoir retapé la première ordonnance, en soit arrivée à prendre une nouvelle. Je dis : mais nous sommes en procédure, et lorsqu'il y a des circonstances nouvelles, la loi donne la possibilité aux magistrats de remettre à jour les décisions qui avaient été préalablement retapées. Entre-temps, quand la première décision a été rapportée, on a constaté qu'entre eux, acteurs du football, ils ont commencé par s'affronter. Vous avez relayé dans les médias l'attaque reçue par un certain Athanase Bocco. Lui, je ne le connais pas. C'est déjà un problème et nous, magistrats, si nous ne prenons pas nos dispositions, et que les deux camps en arrivaient à s'affronter, on va nous demander si dans le pays, il n'y a pas un système judicaire. Ceux qui s'acharnent aujourd'hui contre les décisions de justice, ce ne sont pas eux qui garantissent la sécurité dans la nation. Ce n'est pas eux, en tant que citoyens, qui font en sorte que nous puissions aller et venir tranquillement. Ils ne répondent de rien. Ils ne répondent que de leurs intérêts personnels, de leurs intérêts égoïstes et qui les a amenés aujourd'hui à plonger le football dans une crise historique.

Est-ce que vous avez pu échanger avec le président du Comité de normalisation par rapport à cette ordonnance ?
Monsieur Paraïso n'est pas digne pour qu'on discute avec lui. Lorsqu'avec la première décision, j'avais vu le danger venir, parce que la première ordonnance a été rendue très tôt, j'ai anticipé sur leur probable comportement et, les concernant tous, je sais de quel acabit ils sont. Donc, j'ai écrit pour éviter que le congrès des 3 et 4 soit organisé. Je souligne au passage que le congrès initial était prévu pour 3 ou 4 jours. Le congrès, le hold-up d'hier, n'a duré que quelques heures. Ce qui devrait être fait en deux jours, le programme a été exécuté en quelques heures, en quelques minutes. Donc, des gens comme ça ne méritent pas qu'on puisse discuter avec eux dans une république. Lorsque je l'ai vu, il disait qu'il ne pouvait jamais violer une décision de justice. Je dis, Me Paraïso, je te connais. Au fur et à mesure tu risques de te comporter comme ça. Il dit « non » qu'en tant qu'avocat, ce n'est pas possible. Lorsqu'il a trouvé un peu d'espace maintenant, vous l'avez vu. Il est allé jusqu'au bout. Il a scoré et il brandit une équipe qui aurait été élue. Ça, ce n'est pas notre préoccupation. La décision de Porto-Novo doit sortir ses pairs, à moins que Anjorin et les siens quittent le Bénin.

Comme d'habitude, vous n'avez pas fait la langue de bois. Est-ce que vous n'avez pas peur, surtout que vous étiez sorti au niveau de certaines nominations à la magistrature suprême et qui vous ont valu des menaces de mort ?
Moi, quand il s'agit de la République, je n'ai pas d'état d'âme. Je n'ai pas de craintes à avoir. Tout le monde sait d'où peuvent provenir les menaces. En ce qui concerne les nominations, ceux qui peuvent menacer et qui menacent, on les connaît. Donc, moi, je n'ai pas peur de dire la vérité et je la dirai toujours.

Dites-nous président ! Qu'est-ce qui concernent Anjorin et sa bande, puisque vous ne cessez de les citer ?
Mais qu'est-ce qui les concerne ? S'ils n'avaient pas participé au braquage de la décision de Porto-Novo, le congrès n'aurait pas eu lieu. Ceux qui sont auteurs de violation de décision de justice, de rébellion à décision de justice, c'est Anjorin, Me Paraïso et les autres qui ont été élus. Toutes les personnes qui ont été élues sur la liste là sont sans exclusion dans le collimateur de la justice.

Vous voulez donc dire par là que les congressistes ne sont pas concernés, mais plutôt ceux qui sont élus ?
Ce sont les responsables du hold-up qu'il faut viser ici.

Dites-nous ce que vous allez faire très prochainement avec l'Unamab. Il y a une Assemblée générale déjà en vue à propos de cette situation ?
L'Unamab ne se résume pas à la personne de son président. Donc, la semaine prochaine, je vais convoquer le bureau de l'Unamab. Le bureau va analyser la situation et prendre la décision appropriée. S'il est retenu de convoquer l'Assemblée générale de l'Unamab, j'exécuterai avec diligence cette décision. Lorsque l'Assemblée aura retenu d'affronter le gouvernement qui est là maintenant et qui est notre adversaire, nous allons en découdre avec le gouvernement. Il n'y a rien à faire.

Est-ce que ce calendrier n'est pas un peu tardif quand on sait que le comité exécutif qui est élu, dans les conditions que vous savez, prendra service dès lundi prochain ?
Je vous dis que nous avons à faire au gouvernement. Par ailleurs, Anjorin et Me Paraïso, ce sont des détails dans ce que nous envisageons faire. Les mettre à leur place, ce n'est pas du tout une difficulté pour nous. C'est plutôt au gouvernement qu'il faut délimiter dès maintenant les périmètres de ses pouvoirs en ce qui concerne la justice, parce que ceux qui sont là aujourd'hui ont bénéficié de nos luttes. Et on ne peut pas tolérer que ceux qui ont bénéficié gratuitement de nos luttes puissent nous affronter en premier.

Un appel à lancer au peuple ?
Que le peuple veille à sauver sa justice qui est dans le collimateur d'une mafia. En fait, c'est de la mafia du football dont il est question ici. Ce sont des gens qui sont dans une opacité absolue, qui ont régné dans une opacité absolue, qu'on veut sanctifier et qui résistent à la lumière. Donc, cela mérite qu'on puisse leur dire définitivement halte.

Selon vous, il n'y a donc pas eu un congrès électif ?
Dès lors qu'il y a eu une décision et que vous passez outre la décision, le congrès est vicié.

Propos transcrits par Willy Ola

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Marsa Maroc va introduire 40 % de son capital à Casablanca

Jeune Afrique / Finance - Mon, 13/06/2016 - 15:25

Au total, 29 millions d'actions du Marsa Maroc, gestionnaire de terminaux dans neuf ports du royaume, seront cédées dans le cadre d'une offre publique, soit 40 % de son capital. L'opération pourrait mobiliser environ 177 millions d'euros.

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Marsa Maroc va introduire 40 % de son capital à Casablanca

Jeune Afrique / Economie - Mon, 13/06/2016 - 15:25

Au total, 29 millions d'actions du Marsa Maroc, gestionnaire de terminaux dans neuf ports du royaume, seront cédées dans le cadre d'une offre publique, soit 40 % de son capital. L'opération pourrait mobiliser environ 177 millions d'euros.

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Au sommaire des pages éco cette semaine

Jeune Afrique / Economie - Mon, 13/06/2016 - 15:25

Après des années de progrès, la République démocratique du Congo (RDC) voit la conjoncture se retourner. Un nouveau problème qui s'ajoute au déficit de gouvernance, au manque d'infrastructures et à l'absence de vraie vision économique. "J.A." fait le point dans son numéro 2892 dans les kiosques du 12 au 18 juin 2016.

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Fourniture, en lots indépendants, de divers supports de communication de la BEAC pour l'année 2017

Jeune Afrique / Finance - Mon, 13/06/2016 - 14:20

La Banque des Etats de l'Afrique Centrale envisage d'acquérir, sur ressources propres, divers supports de communication pour l'année 2017. A cet effet, elle invite, par le présent avis d'appel d'offres international ouvert, les entreprises intéressées et remplissant les conditions requises, à présenter une soumission. Ledit appel d'offres est subdivisé en deux (02) lots indépendants ainsi […]

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Le Ministre Lucien Kokou a officiellement lancé le BEPC 2016 au lycée Coulibaly de Cotonou

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 13:56

Le ministre de l'Enseignement secondaire, Lucien Kokou, a officiellement lancé ce lundi matin, au lycée Coulibaly de Cotonou, les épreuves de l'examen du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) 2016. Il était accompagné pour la circonstance du directeur des Examens et Concours, Mahugnon Cakpo et de plusieurs responsables de l'enseignement secondaire.
L'organisation des examens n'est pas facile pour les enseignants, mais ils s'efforcent de la réussir a souligné M. Kokou. C'est le moment pour les élèves de rendre compte de ce qu'ils ont appris au cours de l'année a-t-il poursuivi.
« Nous devons donner une autre orientation, à notre système éducatif. Désormais, le BEPC va permettre d'orienter les élèves vers les formations techniques et professionnelles. Ce choix va nous permettre d'endiguer le chômage plus tard », a déclaré le ministre Lucien Kokou avant d'indiquer qu'il faut orienter les apprenants vers les créneaux porteurs dans l'enseignement technique et professionnel. Il a ensuite précisé que dès la rentrée 2016-2017, il y aura quelques changements concernant l'orientation des apprenants avant que la reforme ne soit mise en place pour la rentrée 2017-2018
« L'examen du BEPC 2016, on retient un effectif de 200.010 candidats dont 115.098garçons et 84. 912 filles. Le nombre total de centres prévus pour accueillir les postulants à cet examen est de 267 avec 19 nouveaux centres. » a rappelé le directeur des Examens et Concours, Mahugnon Cakpo. Il a ensuite précisé que pour cette session, l'effectif a connu une augmentation de 12,47% par rapport à l'année dernière. Le plus jeune des candidats à cet examen, a 9 ans et le plus âgé, 66 ans ».

Par Willy N. OLA

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Le nageur tunisien Oussama Mellouli remporte son billet pour les JO

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 13:46
L’athlète tunisien défendra son titre sur 10 km lors des Jeux de Rio cet été.
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Jeux vidéos : Ubisoft ferme son studio de Casablanca

Jeune Afrique / Economie - Mon, 13/06/2016 - 13:41

Ouvert en 1998, le studio ferme ses portes ce lundi, a annoncé le groupe dans un communiqué. Le studio de Casablanca avait participé à la création d'une trentaine de jeux. 48 salariés sont concernés, dont le reclassement dans d'autres filiale du groupe français est en discussions.

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La Tunisie expose son Plan de développement 2016-2020 aux investisseurs

Jeune Afrique / Economie - Mon, 13/06/2016 - 13:24

En amont de la Conférence internationale sur l'investissement, prévue à Tunis fin novembre, le gouvernement tunisien a lancé une campagne de promotion, visant les investisseurs et les partenaires du pays à travers le monde.

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Les nouvelles mafias de la Chinafrique

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 12:42
Prostitution, trafic d’ivoire et de drogue, arnaques bancaires et téléphoniques… Les triades chinoises sont actives sur le continent, mais Pékin a décidé de faire le ménage.
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Porto-Novo: Emmanuel Zossou constate la réalisation des travaux de pose de lampadaires solaires

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Mon, 13/06/2016 - 11:16

Le maire de la ville de Porto-Novo, Emmanuel Zossou, a effectué  vendredi dernier une descente sur le terrain. L’objectif de cette visite de terrain est de constater l’effectivité des travaux de pose de lampadaires dans les différentes artères de la ville.


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Bénin: Les députés examinent le projet de loi portant statut du barreau

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Mon, 13/06/2016 - 10:51

Les députés ont entamé, il y a quelques jours à l’Assemblée nationale, l’examen en plénière du projet de loi portant statut du barreau de la République du Bénin. Mais ce dossier n’a pas pu aboutir pour plusieurs raisons. Toutefois il est à relever que les discussions ont beaucoup achoppé sur l’élection du bâtonnier qui est appelé à diriger le Conseil de l’Ordre des avocats.


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Jean-Michel Sévérino : « Les PME africaines doivent pouvoir peser sur les Etats »

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 10:33
L’ex-vice-président de la Banque mondiale a annoncé la création du Club africain des entrepreneurs pour permettre aux petites structures de se faire entendre.
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L'assemblée adopte la convention internationale de Kyoto pour simplifier les pratiques douanières

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 10:06

La convention internationale de Kyoto a été adoptée par la représentation nationale. Elle repose sur une série de principes de nature à moderniser constamment les régimes douaniers pratiques et d'améliorer leur rendement sans oublier leur efficacité.

La convention dont il est question, vise à éliminer les disparités entre les régimes douaniers et les pratiques douanières des parties contractantes qui peuvent le commerce international et les autres échanges internationaux. Elle apporte une contribution efficace au développement du commerce et des échanges en simplifiant et en harmonisant les régimes et pratiques douaniers. Les éléments constitutifs de cette convention ne sont rien d'autre que les principes qui organisent les obligations contractantes de ladite convention. Il s'agit de l'ensemble des programmes devant permettre une modernisation constante des régimes et pratiques douaniers pour plus d'efficacité par rapport au rendement. Comme principes, on peut noter l'application de manière prévisible, cohérente et transparente des régimes douaniers et pratiques douanières, la mise à disposition de toutes les informations, l'adoption des techniques modernes telles que les systèmes de gestion des risque, la mise en œuvre de normes internationales pertinentes et l'ouverture aux parties lésées de voies de recours. A ces principes, la convention révisée adoptée a ajouté de nouvelles directives. Il s'agit de la transparence des actions, la standardisation et la simplification des déclarations des marchandises et de leurs pièces justificatives sans oublier la simplification des procédures, l'utilisation maximale des technologies informatiques, les contrôles douaniers nécessaires pour assurer la conformité avec les règlements et la coordination des interventions avec d'autres agences. La nouvelle norme aidera notre pays à tirer des bénéfices comme l'agrément attestant les normes internationales en vigueur, la possibilité de participer à l'élaboration des normes futures et celle de s'impliquer davantage dans les négociations commerciales ou de jouir des activités relative au renforcement des connaissances et capacités.

Par Nicaise AZOMAHOU

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Singapour détruit 7,9 tonnes d’ivoire de contrebande venant d’Afrique

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 09:57
Les autorités singapouriennes veulent envoyer un « message fort » pour condamner le commerce illégal d’espèces sauvages.
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BEPC 2016 : 200.010 candidats composent ce jour

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 09:46

(Le lancement officiel a lieu au lycée technique Coulibaly de Cotonou)

Par Amir NABIL

La phase écrite des compositions du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC) démarre officiellement ce lundi 13 Juin 2016 sur toute l'étendue du territoire béninois. Dès les premières heures de ce lundi 13 Juin 2016, 200.010 candidats dont 115.098 garçons et 84.912 filles iront à l'assaut de ce premier diplôme qui donne accès au second cycle de l'enseignement secondaire. Cette année, une augmentation de 12,47 % a été notée. Ce qui a entraînée la création de 19 nouveaux centres de compositions. Au total, les 200.010 candidats toute catégorie confondue seront répartis dans 267 centres de compositions sur toute l'étendue du territoire national, contrairement au 248 centres de compositions en 2015. A l'occasion de ces compositions, le ministre Lucien Kokou en charge des enseignements secondaire et de la formation technique et professionnelle exhorte les <> Il n'a pas manqué d'inviter les parents de ces candidats à couvrir leurs enfants d'attention en ces moments. Le ministre a adressé les mêmes messages d'exhortations aux responsables des différents centres de compositions ainsi qu'aux surveillants de salles et aux forces de l'ordre afin que toutes dispositions soient prises pour éviter d'éventuels cas de fraudes et/ou de tricheries. Il faut retenir que le plus jeune candidat à 9 ans et le plus vieux en a 66 ans. Par ailleurs, le lancement officiel des épreuves sera fait par le ministre Lucien Kokou au centre de composition du lycée Technique Coulibaly de Cotonou.

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Youssouf Carius - Pulsar Partners

Jeune Afrique / Finance - Mon, 13/06/2016 - 09:33

Ancien économiste en chef de Bloomfield Investment, l'Ivoirien a quitté l'agence de notation financière pour fonder et diriger Pulsar Partners, une société d'investissement qui démarre ses activités à Abidjan.

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Georges Wega - SGBS

Jeune Afrique / Finance - Mon, 13/06/2016 - 09:33

Le Camerounais, directeur général adjoint de Société générale Cameroun, est promu à la tête de la filiale sénégalaise du groupe français, la SGBS. L'ancien patron d'UBA Cameroun remplace le Français Yann de Nanteuil.

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Nombreuses victimes dans des combats entre l’Erythrée et l’Ethiopie

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 09:03
Les deux pays ont des versions contradictoires de la situation à leur frontière commune.
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