L'offre de rachat de Carlson Rezidor par le chinois HNA n'a pas freiné ses ardeurs sur le continent, au contraire ! Après l'ouverture d'un Radisson Blu à Abidjan, son patron lorgne Kigali, N'Djamena et Le Cap.
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Hyper rentables, ces sociétés peuvent investir des milliards d'euros et s'imposent comme des interlocuteurs incontournables des pouvoirs publics dans les domaines de l'accès à l'internet, aux services financiers, et pourquoi pas demain à la santé et à l'éducation. "Jeune Afrique" fait le point sur l'évolution de l'industrie de la téléphonie mobile.
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Si l'Afrique est le continent le moins équipé en téléphones mobiles et qu'en 2014 seuls 39% de sa population en possédaient un au sud du Sahara, ce chiffre atteindra 50% en 2020. Et ce sont les smartphones qui vont se tailler la part du lion.
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Dans un débat télévisé diffusé sur la chaîne nationale Ortb ce 12 juin 2016, certains acteurs culturels se sont retrouvés sur la gestion de la crise au Fonds d’aide à la culture (Fac) après la décision de suspension du processus électoral prise par l’actuel ministre Ange N’koué. Au cours de cet échange, ils sont arrivés à des propositions pour une meilleure gestion de ce fonds
Annoncée le 9 juin par le ministre nigérien de la Défense, Hassoumi Massaoudou, l'offensive de la Force multinationale mixte contre Boko Haram était en réalité discutée depuis de nombreuses semaines entre les pays du bassin du lac Tchad.
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Il a déçu, il le sait, en renonçant in extremis à être candidat à la dernière présidentielle. Mais l'ex-Premier ministre espère se racheter à l'occasion du scrutin du 28 août. Il portera les couleurs de l'UN et promet que, cette fois, il ne faillira pas.
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Le gouvernement du président Talon envisage de revoir la carte universitaire du Bénin. Ceci, en supprimant les universités de création récente et les réduisant à de simples centres universitaires réunis autour des Université d’Abomey-Calavi et de Parakou.
Le Président Patrice TALON a formé son 1er Gouvernement dès le 6 Avril 2016, et le 1er Conseil des Ministres s’est tenu le 13 Avril 2016. Depuis, nous avons assisté effectivement au démarrage d’une politique de rupture et de nouveau départ, comme promis.
L’un des secteurs économiques qui ont le plus bénéficié de l’attention du gouvernement du président Yayi, c’est bien celui de l’agriculture. De 2006 à 2016, Boni Yayi a travaillé pour moderniser l’agriculture afin d’assurer la souveraineté alimentaire.
Barthélémy Kassa, Rachidi Gbadamassi, Augustin Ahouanvoebla et plusieurs députés de l'Assemblée nationale ont interpellé le gouvernement de la rupture à travers une question d'actualité pour demander au ministre des finances plus d'informations sur le programme "Parakou eau 2045" initié par le précédent gouvernement de Boni Yayi.
Me Ibrahim Salami est professeur agrégé de droit public et un de meilleurs spécialistes de droit administratif de notre pays. Au lendemain de l’élection controversée du nouveau président de la fédération béninoise de football, nous l’avons joint au téléphone pour avoir son éclairage sur ce nouveau développement de la crise qui secoue la fédération du sport-roi.
Les éléments de la brigade de recherche de Pobè ont présenté à la presse ce mardi, le nommé Taïwo Bassitou, la trentaine environ, et un individu spécialisé dans la vente des motos volées à Cotonou et ses environs avec six motos, à Ikpinlè dans la commune d'Adja – Ouèrè, sous la houlette du commandant de la compagnie de gendarmerie de Pobè, le capitaine Konto Sabi Fulbert.
Selon l'adjudant Maxime Montcho, commandant de la brigade de recherche de Pobè, c'est dans le cadre d'une opération sécuritaire lancée par la haute hiérarchie militaire que son unité a reçu des informations de cette dernière. De commun accord avec le commandant de la compagnie de gendarmerie de Pobè, poursuit – il, cette information a été traitée minutieusement et ses éléments se sont transportés à Ikpinlè dans la commune d'Adja – Ouèrè et ont réussi à mettre la main sur un élément appartenant à une bande spécialisée dans le vol à main armée et résidant à Cotonou. A l'en croire, l'élément interpelé réside à Cotonou et était en partance à Ikpinlè.
« L'intéressé nous a présenté les pièces de la moto faisant croire qu'il y a une légalité qui a été établie. Nous nous sommes allés au-delà de ses intentions, ce qui nous a amenés à le confondre. Il a reconnu les faits et a avoué qu'il serait un individu spécialisé dans la vente des motos volées par une bande dont il serait membre à Cotonou », a confié l'adjudant Maxime Montcho avant de rappeler que le mode opératoire de la bande consiste à établir d'autres pièces aux motos volées avant de procéder à la vente. Il a par ailleurs précisé que les enquêtes se poursuivent, mais notifié que les complices de l'élément interpelé ont pris au cou leur jambe et ont rejoint le Nigeria avant de rassurer de l'établissement de la procédure afin de présenter au procureur de la République tous les individus de la bande.
Le commandant de la compagnie de gendarmerie de Pobè, le capitaine Konto Sabi Fulbert, a invité les populations à une franche collaboration avec les hommes en uniforme et rassuré de la sécurité et la libre circulation des personnes et des biens dans sa circonscription d'intervention. Il a d'autre part souhaité que toute personne qui possède des pièces originales et légales d'une des motos se présente à la brigade de recherche de Pobè pour retirer leur bien.
ABP/ ID/TB
La compagnie de gendarmerie d'Aplahoué a appréhendé à Azovè lors de son opération « coup de poing » de ces derniers jours, un individu spécialisé dans l'escroquerie et usage de faux, a appris ce mardi le correspondant local de l'ABP de source proche de la compagnie.
Selon le commandant de la compagnie d'Aplahoué, le capitaine Hounsou M. Fréjus Arnaud, le mis en cause, S. Gildas, a pour mode opératoire de se faire passer tantôt pour un magistrat, tantôt pour un greffier ou un procureur afin d'escroquer facilement les populations.
Sa dernière opération au cours de laquelle il a été pris est relative à une affaire de conflit domanial entre deux parties et dont le dossier est pendant devant la Cour suprême.
Toujours selon le commandant de compagnie, très habilement S. Gildas sous la présentation du procureur près la Cour suprême a rencontré séparément les deux parties et leur a promis ses services aux fins de les sortir d'affaire.
La providence n'étant toujours pas avec lui, il a été pris par les éléments du capitaine Hounsou sur les lieux où il devrait entrer en possession de l'obligation financière de la deuxième partie tout en ayant déjà réussi à empocher près de 500 mille francs auprès de la première partie.
Face à l'ampleur que ne cesse de prendre l'escroquerie dans le département du Couffo, le commandant de la compagnie de gendarmerie d'Aplahoué invite les populations de ce département à une franche et sincère collaboration avec les forces de sécurité et de l'ordre en leur fournissant des renseignements fiables et objectifs afin qu'elles mettent hors d'état de nuire ces vils individus.
Il faut préciser que le présumé S. Gildas sera présenté au procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe d'Aplahoué où il répondra de ses actes.
ABP/CBA/TB
La BOAD a financé à heuteur de 16 milliards le système d'alimentation en eau potable à Parakou Parakou. Mais pour le moment le populations continuent de souffrir du manque d'eau et de ces conséquences non seulement sur la santé mais aussi sur les activités. De ce fait, une question orale avec débat vient d'être posée par certains députés au gouvernement. (lire la question orale)
QUESTIONS ORALES AVEC DEBAT ADRESSEES AU GOUVERNEMENT ( Ministre des Finances)
OBJET : SECOND ACCORD DE FINANCEMENT DU PROGRAMME "PARAKOU EAU 2045"
Depuis quelques années, le système d'alimentation en Eau Potable de la commune de Parakou est complètement dégradé avec une retenue totalement envasée de sorte que le barrage d'Okpara n'arrive plus à couvrir les besoins de la commune et de ses environs. Cette déficience se justifie par le fait que les derniers travaux entrepris sur le barrage remontent à plus de quarante (40) ans. Ainsi, plus de deux cent mille (200 000) âmes sont confrontées à toutes sortes de problèmes relatifs à la pénurie d'eau potable.
C'est dans ce contexte que le Gouvernement béninois avait initié le programme "Parakou Eau 2045". D'un coût global de seize milliards (16000 000 000) de francs CFA ; avec l'implication de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et de la partie néerlandaise, ledit projet est destiné à régler efficacement et définitivement tous les problèmes relatifs à la pénurie d'eau dans la commune de Parakou et de ses environs.
Dans ce sens, en juin 2015, le premier accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a été ratifié par l'Assemblée Nationale.
Logiquement, le second accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA aussi par la même institution ayant pris en charge la totalité du financement du projet devrait suivre depuis quelques temps étant donné que ce financement a été approuvé par le Conseil d'Administration de la BOAD en décembre dernier. Depuis près d'un an, la situation n'a fait que connaître apparemment une
stabilité. Cette situation est à l'origine de nombreuses suspicions donnant libre cours à toutes formes d'interprétation et d'imagination de la part des détracteurs de l'actuel Gouvernement dont les efforts et la méthode sont pourtant très appréciés par divers acteurs. Pendant ce temps, les nombreuses difficultés auxquelles les populations sont exposées pour raison de pénurie d'eau persistent de plus en plus,
aggravant ainsi la situation.
Face à une situation aussi sensible et préoccupante, relative à la santé d'une frange importante des populations du Bénin, certaines interrogations trouvent tout leur sens et doivent être clairement posées :
• Quelle est la situation réelle du programme "Parakou Eau 2015" ?
• Qu'est-ce qui est prévu pour le compte du programme "Parakou Eau
2015" dans le budget général de l'Etat exercice 2016 ?
• Quelles sont les raisons pour lesquelles le second accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) n'est pas encore signé jusqu'à ce jour alors que le Conseil d'Administration de la BOAD a approuvé ledit financement en décembre dernier ?
• Quelles sont les mesures que le Gouvernement entend prendre pour
donner satisfaction aux populations concernées par ce problème de pénurie d'eau potable dans la commune de Parakou et environs et leur garantir une bonne santé au cas où les problème perdurerait.