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Afrique

Maroc : Mohammed VI inaugure la fondation des oulémas africains

Jeune Afrique / Politique - Wed, 15/06/2016 - 14:51

Soucieux de lutter contre le jihadisme, d'élargir son influence religieuse sur le continent et de consolider la place du Maroc dans le jeu diplomatique africain, le souverain alaouite a inauguré mardi une instance de concertation entre des oulémas provenant de 31 pays.

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Valls prévient :«D’autres innocents perdront leur vie »

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:50

Le premier ministre français Manuels Valls,a affirmé que le couple tué lundi soir à Paris, lors d’une attaque à l’arme blanche, a été ciblé parce qu’ils étaient policiers.

Il a affirmé, à cet égard que la France ne va adopter à chaque fois qu’une attaque se produit une nouvelle.

Manuels Valls a notamment défendu mercredi l’action du renseignement et de l’antiterrorisme en France après l’assassinat d’un policier et de sa compagne lundi soir près de Paris, tout en prévenant que le pays serait frappé par de nouvelles attaques.

Le premier ministre qui a écarté l’idée de centres de rétention pour les personnes radicalisées, portée par la droite, a affirmé sur France Inter qu’il n’y avait eu ni négligence ni manque de discernement dans le suivi du tueur.

« Plusieurs fois, j’ai dit que nous étions en guerre et que ça allait être long. D’autres innocents perdront la vie, c’est très difficile à dire mais c’est l’affaire d’une génération ».

« Il faut poursuivre ce travail, il faut resserrer les mailles du filet, il faut continuer à donner tous les moyens à la police, à la gendarmerie et aux services de renseignement. Mais nous connaitrons de nouveau des attaques parce que nous faisons face à une organisation terroriste qui recule en Syrie et en Irak et qui se projette dans nos pays sous formes différentes »,a-t-il affirmé.

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Mabanckou demande un dialogue sous le patronage de la communauté internationale

RFI /Afrique - Wed, 15/06/2016 - 14:47
Alain Mabanckou a été reçu à l'Elysée par le président français, le mardi 14 juin. A en croire l'écrivain, les discussions ont porté sur la présidentielle du mois de mars, les bombardements dans le Pool, les opposants privés de liberté. Les deux hommes ont également parlé de la nécessité du dialogue que le romancier souhaite sous l’égide de la communauté internationale.
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Energie: des créances de plus de 556 millions DA à recouvrer à Ghardaïa

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:44

GHARDAIA – Le portefeuille des créances détenues par la Société de l’électricité et du gaz (Sonelgaz) sur l’ensemble des abonnés de la wilaya de Ghardaïa a atteint une ardoise de plus 556 millions DA, a-t-on appris mercredi du directeur local de la société de distribution centre (SDC, filiale de Sonelgaz).

La plus grande créance, de l’ordre de 296 millions DA, est détenue par les collectivités locales, les directions de wilayas et autres entreprises publiques, soit un taux de 53% de l’ensemble des créances, a indiqué Ahmed Brahimi à l’APS, avant d’ajouter que les créances des abonnés ordinaires (ménages) représentent 270 millions DA, soit un taux de 47%.

Aggravé par les retards de quelques administrations à honorer leurs consommations ainsi que les effets directs du climat social qu’a connu la région de Ghardaïa, ce manque à gagner pèse négativement sur la dynamique interne de l’entreprise en matière d’amélioration des prestations de service, a ajouté M. Brahimi.

Ces retards, enregistrés dans plusieurs quartiers de la vallée du M’zab, sont la conséquence des actes de vandalisme, de destruction et d’incendie de locaux commerciaux et habitations qu’a connue la région, a-t-il expliqué.

Selon M. Brahimi, ces dettes non recouvrées constituent plus de 173% de l’enveloppe financière réservée au plan d’urgence 2016 pour la wilaya de Ghardaïa estimée à 356 millions DA.

Pour cela, les services de distribution de Ghardaïa s’attellent à mettre en place des facilitations pour permettre aux abonnés de s’acquitter de leurs redevances dans la quiétude, en collaboration avec les associations et comités de quartiers, a-t-il ajouté.

Ces efforts de recouvrement des créances ont été précédés par une campagne de sensibilisation auprès de la population des quartiers affectés par les événements sur la nécessité d’honorer les factures impayées de l’électricité et du gaz de ville.

En plus de ces créances, la direction de distribution de Ghardaïa a déploré un taux de déperdition de l’ordre de 13,8% sur le réseau d’électricité et de 12,6% sur celui du gaz naturel, sachant que la longueur du réseau électrique est de plus de 4.845 km linéaires et celui du gaz naturel de plus de 1.470 km.

La direction de distribution de Ghardaïa fait également face à d’autres facteurs d’ordre frauduleux, dont la conjonction réduit sensiblement ses rentrées, notamment les branchements illicites et les branchements sans compteurs, a-t-il signalé.

Une enveloppe de 356 millions DA a été par ailleurs mobilisée dans le cadre du plan d’urgence 2016 par la direction SDC Ghardaïa pour la réalisation de 21 km linéaires de renforcement du réseau électrique avec 33 postes transformateurs, dont 70% ont été réalisés, pour « éviter les perturbations sur le réseau électrique à travers la wilaya », a-t-il ajouté.

La direction SDC Ghardaïa a réalisé durant l’an dernier, 325 nouveaux branchements, 58 km linéaires de réseau électrique de moyenne et basse tension avec 36 postes transformateurs, et prés de 94 km de réseau de gaz et le raccordement de 1.867 nouveaux foyers au réseau de gaz naturel, selon la même source.

Dans le cadre de l’électrification agricole, pas moins de 40 branchements de nouveaux périmètres agricoles ont été effectués avec la réalisation de 81 km de réseau moyenne et basse tension et 41 postes transformateurs, a-t-on fait savoir.

La wilaya de Ghardaïa dispose d’un réseau de distribution de gaz estimé à 1.471 km linéaires et 14 stations de distribution de gaz et de 4.846 km de réseau électrique avec 2.691 transformateurs, a affirmé M. Brahimi.

Elle totalise 121.187 abonnés au réseau électrique et 68.284 raccordements à celui du gaz naturel, selon la même source.

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Récital châabi en hommage à El Hachemi Guerouabi

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:44

ALGER – Un vibrant hommage a été rendu mardi soir à Alger au chantre de la chanson châabi El Hachemi Guerouabi, disparu en juillet 2006, par des chanteurs s’inscrivant dans la continuité de cette icône de la musique algérienne.

Organisé à la salle El Mougar par l’Office national de la culture et de l’information (ONCI), ce récital, s’inscrivant dans une série d’hommages à des figures de la musique algérienne, a permis au public de revisiter le répertoire de qcid et de chansonnettes magistralement interprétées par le regretté cheikh à différentes étapes de sa riche carrière.

Dans le registre du qcid le jeune Mohamed Achiche qui s’inspire du maître en matière d’interprétation a ouvert le spectacle avec « Koul nour men nour el hachemi kmel », alors que Abderrezak Guennif, véritable élève de « l’école Guerouabi » a revisité des poèmes de Mohamed Bensahla et de Mbarek Essoussi très souvent chanté par le cheikh.

Avec beaucoup d’émotion dans la voix et dans une ambiance empreinte de nostalgie dans la salle, Mustapha Guerouabi, fils d’El Hachemi a entonné « Mayli sadr hnin » et « El Harraz » de la même manière, à la note près, qui avait fait le succès de son père.

Les chansonnettes très appréciées par les fans d’El Hachemi, majoritairement écrites pour lui par le poète et parolier Mahboub Bati disparu en 2000, étaient également au programme des chanteurs, tous accompagnés sur scène par des musiciens de talent dirigés par Rabah Salim.

Très appréciée par le public, l’œuvre, toujours d’actualité, de cet artiste « très productif » reste encore aujourd’hui « peu exploitée » sur la scène artistique, estiment des spectateurs ravis de « retrouver l’âme de Guerouabi » dans une salle de spectacle.

Mustapha Guerouabi a, pour sa part, confié qu’il travaillait sur quelques poèmes « inédits » de son père, en s’inscrivant dans la continuité du maître dont les œuvres connaissent encore un « grand succès dans plusieurs pays du monde ».

Né en 1938 à Alger El Hachemi Guerouabi avait rejoint l’Opéra d’Alger à l’âge de 15 ans avant de faire des apparitions sur les planches du théâtre puis participer avec d’autres chanteurs et paroliers à redonner à la musique algérienne sa place dans la société au lendemain de l’indépendance.

Après une longue carrière très prolifique, El Hachemi Guerouabi s’était imposé comme l’une des plus grandes figures de la chanson châabi et comme une « école » suivie pas plusieurs chanteurs.

Organisés tous les soirs jusqu’au 29 juin, ces spectacles rendront hommage à d’illustres artistes algériens dont Meriem Fekai, Cheikha Titma, Chérifa, El Hadj M’hamed El Anka, Sadek El Bedjaoui, Mohamed Tahar Fergani, Dahmane Ben Achour ou encore Sid-Ahmed Serri.

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« Les ulémas appelés à propager le Message authentique de l’Islam »

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:42

ORAN – Le Mufti de Damas, Cheikh Mohamed Adnane El Afyouni, a appelé, dans la soirée du mardi, à Oran, les ulémas de la Nation musulmane à propager le Message authentique de l’Islam pour lutter contre toutes les formes d’extrémisme et de fanatisme.

Le Mufti syrien qui a animé, après les prières surérogatoires, une conférence dans le cadre des rencontres « Dourouss Mohammadia », a estimé que « les ulémas de la Nation musulmane doivent propager et généraliser le message authentique des préceptes de l’Islam pour lutter contre toutes les formes de fanatisme et d’extrémisme ».

Le conférencier a souligné que dans la conjoncture actuelle marquée par des défis multiples, « la Nation musulmane a plus que jamais besoin d’un sursaut spirituel à même de lutter contre l’extrémisme, initié par un autre esprit visant à dénaturer l’Islam et à entraîner les hommes dans la spirale de la violence, des tueries, d’effusion de sang et de la destruction de la vie ».

Cheikh Mohamed Adnane El Afyouni a considéré que « cette situation ne doit pas être perçue avec légèreté » mais « exige un éveil spirituel et des approches scientifiques puisées des vérités de l’Islam », ajoutant qu’il est nécessaire « d’initier une pensée à même de contrecarrer cette tendance extrémiste qui a fragilisé et affaibli la Nation musulmane ».

Dans ce contexte, le conférencier s’est référé au patrimoine de la Sunna du Prophète Mohamed (QSSL) qui se base sur le juste milieu ainsi qu’aux préceptes de l’Islam pour citer des exemples de coexistence entre le Prophète Mohamed et les non-musulmans, ses appels à la paix, à la réconciliation, à l’acceptation de l’autre entre autres.

Le Mufti de Damas a, par ailleurs, évoqué les préceptes de l’Islam et la Sunna qui appellent à protéger la vie des hommes, à asseoir la Rahma, à éviter les conflits et les facteurs de division et de haine.

Il est à noter que cette conférence a été donnée au deuxième jour de la 11ème édition des rencontres « Dourouss Mohammadia », ouverte, lundi, au siège de la Zaouïa Belkaïdia el Hebria, situé dans la localité de Sidi Maarouf, à l’Est d’Oran.

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Les avantages prévus dans le projet de loi sur l’investissement seront sans incidence sur le trésor public

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:39

ALGER – Le ministre de l’Industrie et des mines, Abdesselam Bouchouareb, a affirmé mardi que les mesures incitatives et les exonérations fiscales accordées aux investisseurs dans le cadre du projet de loi sur la promotion de l’investissement, débattu à l’APN, visent la création de richesses et de postes d’emploi, et seront sans incidence sur le trésor public.

Répondant aux questions des députés, lors de la dernière séance consacrée au débat du projet de loi sur l’investissement, présidée par Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l’APN, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Ghania Eddalia, le ministre a affirmé que les incitations fiscales ‘‘seront sans incidence sur le trésor public contrairement à ce qui est dit par certains députés’‘, l’objectif étant ‘‘la diversification de l’économie, la création de richesses pour la financer, de postes d’emploi, et l’élargissement de l’assiette fiscale’‘.

M. Bouchouareb a cité à titre d’exemple le taux des dépenses fiscales récupérées par l’Etat, en phase de réalisation des projets qui est à hauteur de 70%.

Au moment où le pays a besoin de nouvelles sources de financement ‘‘ne devons faire le choix entre l’Impôt sur les bénéfices des sociétés (IBS) (qui compte parmi les incitations) et les priorités, à savoir la création de richesses et de postes d’emploi’‘.

Revenant aux commentaires des députés sur les facilités, les avantages et exonérations fiscales ‘‘démesurées’‘ prévues dans ledit projet de loi, M. Bouchouareb a indiqué que contrairement à ce qui est dit ‘‘les exonérations ont été réduites’‘, indiquant l’élaboration d’une liste négative des 200 activités exclues de ces avantages. Les avantages ‘‘ne seront pas accordés anarchiquement’‘ comme auparavant, a-t-il fait remarquer.

Le code de l’investissement ne peut être la seule solution à tous les problèmes de l’économie nationale, a-t-il précisé, insistant sur l’impératif d’améliorer le climat des affaires, à travers la lutte contre la bureaucratie, la garantie du foncier industriel et le financement afin de pouvoir relancer l’investissement en Algérie.

Il a, en outre, salué l’amélioration progressive enregistrée dans le climat de l’investissement, citant la signature par le ministère de l’Habitat d’une décision autorisant l’octroi à l’investisseur d’un permis de construction dans un délai ne dépassant pas 20 jours.

Concernant le foncier, le ministre est revenu sur les nombreuses mesures prises par l’Etat pour créer un véritable marché du foncier afin de mettre fin à la spéculation, dont la création de nouveaux parcs industriels, d’où l’aménagement de 39 sites sur un total de 49 prévus et la récupération des terres inexploitées.

M. Bouchouareb a, d’autre part, indiqué qu’aucun changement n’était à signaler pour le droit de préemption sinon que le nouveau texte propose de l’adapter aux usages mondialement en vigueur, en inscrivant une partie de cette règle au titre des lois fiscales.

Le ministre a, en outre, cité la règle 51/49 régissant les investissements étrangers que le projet de loi propose à l’extirpation du Code de l’investissement pour être régie par les textes de Lois de finances, rappelant qu’une mesure dans ce sens a été introduite par la LF 2016.

Il ne s’agit pas, a-t-il poursuivi, de ‘‘renoncer à ce principe mais de le renforcer, cette règle étant désormais élargie au secteur commercial alors qu’elle se limitait auparavant au secteur de production et des services’‘.

Répondant à certains députés qui ont estimé que l’Etat avait renoncé à cette règle avec le danger que cela représente pour les richesses du pays, le ministre a indiqué que des ‘‘failles enregistrées par le passé avaient permis l’entrée de flux d’investissements étrangers utilisés dans des activités de commerce.

En la conjoncture économique actuelle ‘‘la suppression de cette règle ne profitera pas au pays.’‘

Signature prochaine d’accords pour la production de phosphate

Répondant aux interrogations de certains députés sur l’absence d’une vision claire d’investissement, le ministre a indiqué la définition de 15 filières auxquelles le gouvernement accorde la priorité à l’investissement, au regard de leur apport pour l’Etat qui varie entre 26 et 30 milliards de dollars, ajoutant que les incitations importantes prévues dans le projet de loi sur l’investissement s’inscrivent dans le cadre de ces filières stratégiques.

Il est prévu le 20 juin courant la signature d’accords sur la réalisation de projets relatifs à la production de phosphate, un à Tébessa, deux à Souk Ahras et un autre à Hadjar Soud (Skikda).

Ces investissements contribueront à augmenter la production nationale de phosphate qui devrait passer de 1 million de tonnes actuellement à 10 millions tonnes à la fin 2019, ce qui fera de l’Algérie l’un des premiers producteurs des différents types d’engrais.

Le ministre a également cité le projet de Bellara (Jijel) de sidérurgie qui ‘‘sera finalement opérationnel après 33 ans d’attente’‘, estimant que les premiers essais seront effectués en janvier 2017, année où la production devrait atteindre 2 millions de tonnes avant de doubler (4 millions) en 2019.

Concernant le ciment, le ministre a indiqué que l’Algérie était en phase d’aménager des stations pour l’exportation de ce produit, le groupe industriel des ciments d’Algérie (Gica) devant produire à lui seul 20 millions de tonnes de ciment en 2019 contre 12,1 millions de tonnes en 2015, outre l’entrée en production prochaine de l’usine de Biskra (juillet ou septembre), et l’usine Ain Kbira avec 1 million de tonne ce qui permettra à l’Algérie d’arrêter l’importation de ce produit.

Enfin, le ministre a indiqué que le secteur sera renforcé par une loi d’orientation sur le développement des petites et moyennes entreprises (PME) qui sera prochainement soumise au parlement pour débat.

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Sept casemates pour terroristes et deux bombes découvertes et détruites à Médéa

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:38

Dans un communiqué publié sur son site, le ministère de la défense nationale (MDN) annonce la destruction de 07 casemates et de deux bombes à Médéa « Dans le cadre de l’opération en cours menée par les forces de l’Armée Nationale Populaire dans la zone de Rouakeche, wilaya de Médéa/1°RM, un détachement a découvert et détruit sur les lieux, le 14 juin 2016, sept (07) casemates pour terroristes et deux (02) bombes. »

Par ailleurs,  l’opération d’identification des deux (02) criminels abattus par un détachement de l’ANP, le 13 juin 2016, dans la zone de Taza, wilaya de Jijel/5°RM, a permis de reconnaitre : « B.Ayoub » et « B.Athmane » alias Abou Moussâab ayant rejoint les groupes terroristes en 2008.

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BDL: encourager et soutenir l’investissement productif et le développement local

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:34

BECHAR – La Banque de développement local (BDL), encourage et soutien l’investissement productif et le développement local dans les régions du sud du pays, a affirmé mardi à Bechar le président directeur général de cette banque.

‘‘Nous encourageons, et soutenons de même que nous accompagnerons les investissements productifs tous secteurs confondus à travers le Sud du pays et dans le pays en général et ce pour promouvoir le développement local’’, a précisé Mohamed Krim, lors de son intervention en direct sur les ondes de la radio de Bechar.

‘‘Nos préoccupations actuelles est la modernisation de l’ensemble des prestations financières de la BDL pour qu’elles puissent répondre aux attentes, préoccupations et exigences de notre clientèle’’, a-t-il signale.

Mohamed Karim en visite de travail a Béchar pour une journée a aussi indiqué que ‘‘le système bancaire est prêt pour le lancement de paiement par internet, alors que ‘‘ la carte bancaire sera généralisée dans tout le pays et ce au titre de la modernisation de ses mêmes prestations bancaires’’.

Le PDG de la BDL, qui a visité les différentes structures de la direction régionale et l’agence de sa banque a Bechar, a pris connaissance aussi de l’avant-projet de réalisation d’une nouvelle direction régionale de la BDL pour le Sud-ouest dans le but d’un meilleur déploiement de cette banque a travers cette partie du pays’’, selon des cadres locaux de cette banque.

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Ligue 1 Mobilis/CR Belouizdad: Fouad Bouali nouvel entraîneur

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:33

ALGER – Le technicien Fouad Bouali est devenu le nouvel entraîneur du CR Belouizdad (Ligue 1 algérienne de football) en remplacement du Français Alain Michel, dont le contrat est arrivé à terme, a appris l’APS mardi auprès de la direction du Chabab.

Bouali, qui n’était resté que trois mois la saison passée sur le banc de touche du MC Oran (Ligue 1/Algérie), avait déjà fait un passage au CRB en 2012.

Côté recrutement, le club phare de Laâquiba a assuré jusque-là l’arrivée de deux nouvelles recrues : l’attaquant Sid Ali Lakroum (WA Boufarik) et le défenseur Kamel Zeghli (JSM Béjaia).

Trois joueurs ont prolongé leur contrat pour deux saisons supplémentaires il s’agit du défenseur Abdelkrim Nemdil, du milieu de terrain Sid Ali Yahia Chérif et l’attaquant Mohamed Derrag, alors que le latéral gauche Abdellah Chebira a donné son accord pour rester.

Par ailleurs, la direction compte créer le poste de manager général qui devrait revenir à Mohamed Amroune ou Abdennour Souilah.

Le club de la capitale a terminé la saison 2015-2016 à la 3e place au classement final en compagnie de la JSK avec 45 points chacun, mais avec une différence de buts particulière défavorable, ce qui l’a privé de valider son billet pour la Coupe de la Confédération africaine de football.

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Ligue 1 Mobilis/MCA: Chaouchi maintenu dans l’effectif de la saison prochaine

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:33

ALGER – La direction du MC Alger (Ligue 1 algérienne de football) a décidé de maintenir le gardien de but Faouzi Chaouchi dans l’effectif de la saison prochaine en dépit de la suspension de 10 matchs infligée par la commission de discipline de Ligue de football professionnel (LFP), a annoncé mardi l’entraîneur du Doyen Djamel Menad.

« Chaouchi sera avec nous pour la saison prochaine en tant que 3e gardien de but. La réglementation exige la présence de trois portiers seniors dans l’effectif », a affirmé Menad lors de la présentation de la nouvelle recrue le gardien de but du NA Hussein Dey Kheireddine Boussouf.

Chaouchi a été sanctionné la semaine passée par la commission de discipline de la LFP suite aux incidents ayant émaillé la fin de la rencontre face à l’ES Sétif (2-2), le 27 mai passé au stade de Bologhine dans le cadre de la 30e et dernière journée du championnat.

Il a été accusé d’avoir agressé le portier de l’ESS, Abderraouf Belhani, lui causant une blessure qui lui a valu un éloignement des terrains pour quatre mois.

Outre Chaouchi et Boussouf, le MCA a récupéré le portier international olympique Farid Chaâl, prêté la saison dernière à l’USM Harrach, et qui sera le portier N.1.

Détenteur de la Coupe d’Algérie 2016, le club de la capitale disputera la prochaine édition de la Coupe de la Confédération africaine (CAF).

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Il y a 40 ans, Soweto éclatait, tournant dans la lutte anti-apartheid

Maliactu - Wed, 15/06/2016 - 14:27

Le 16 juin 1976, des milliers d’écoliers descendent dans les rues du township de Soweto pour dénoncer l’imposition dans l’enseignement de l’afrikaans, la langue de l’oppresseur. La police riposte, c’est le bain de sang et le début de la fin de l’apartheid. 40 ans plus tard, d’anciens écoliers se rappellent ce jour où l’histoire de l’Afrique du Sud a basculé.

Dan Montsitsi préparait depuis des mois cette marche devenue historique. Mais « ni nos parents, ni les enseignants, ni la police n’étaient au courant », raconte-t-il à l’AFP. Le jour J, « on n’en revenait pas du nombre d’écoliers qu’on avait réussi à convaincre » de manifester.

Les gamins, la plupart en uniforme d’école, brandissent des slogans peints sur des bouts de carton: « Au diable l’afrikaans », « L’afrikaans pue », « L’afrikaans doit être aboli ».

Imposer l’afrikaans à la majorité noire – qui le parle mal ou peu – était « une stratégie du régime de l’apartheid destiné à nous empêcher de réussir », témoigne à l’AFP Joy Rabotapi, lycéen en 1976 à Soweto et aujourd’hui homme d’affaires.

« On était en train de chanter et danser au niveau de l’école d’Orlando West High quand la police est arrivée », poursuit Dan. « Elle nous a donné cinq minutes pour nous disperser. On a refusé. Ils ont lâché un chien dans la foule. (…) On leur a rendu une dépouille. Ils étaient furieux évidemment, et ils ont lancé des gaz lacrymogènes ».

« On a répondu avec une pluie de pierres et ils ont commencé à tirer, le plus souvent dans le dos des écoliers pendant qu’on s’enfuyait ».

Le premier à tomber est Hector Pieterson, 13 ans. La photo en noir et blanc de son cadavre porté par un camarade en larmes, au côté de sa soeur effrayée, a fait le tour du monde. Elle suscite l’indignation internationale.

« On ne pensait pas que quelqu’un puisse mourir juste parce qu’il marchait dans la rue le poing levé, se rappelle Trofomo Sono, lycéen en 1976. Les garçons se protégeaient des balles avec des couvercles de poubelles. »

– ‘Pays en feu’ –

Dès le lendemain, « le pays est en feu », se rappelle Dan. « Tout d’un coup, on ne craignait plus la police, ni les Afrikaners, on était prêts à se battre. »

L’Afrique du Sud s’enfonce dans des violences inédites depuis l’instauration du régime ségrégationniste en 1948. Quarante ans plus tard, le bilan précis des violences du 16 juin 1976 n’est pas toujours connu, mais en quelques mois, la répression a fait au moins 500 morts.

Le monde commence à prendre des sanctions contre le régime. En 1977, l’ONU décrète un embargo sur la vente d’armes à l’Afrique du Sud. Il faudra cependant attendre 1994 pour voir chuter le régime honni, et Nelson Mandela accéder au pouvoir.

C’est en arrivant près de Johannesburg, le 17 juin, que Granny Seape, étudiante à Fort Hare (sud-est), entend parler du soulèvement de Soweto. En arrivant dans le township, « on pouvait voir la fumée, les bâtiments en feu ».

Immédiatement, elle s’inquiète pour son petit frère, Hastings Ndlovu, 17 ans, élève à Soweto. « On l’a trouvé au bout de cinq jours à la morgue, dans une pile de corps. » Il avait été tué d’une balle entre les deux yeux.

Harcelée par la police, Granny décide de s’exiler. Elle ne reviendra en Afrique du Sud qu’après la libération en 1990 de Nelson Mandela.

Son frère adoré « a contribué à la libération de l’Afrique du Sud », dit fièrement cette femme d’affaires aujourd’hui âgée de 59 ans.

« J’ai beaucoup de respect pour ces gamins », explique le révérend Frank Chikane, qui a survécu à un empoisonnement pendant l’apartheid. Ils « ont changé l’Afrique du Sud ».

Aujourd’hui, « tous les Sud-Africains peuvent voter », se réjouit Dan. Mais « la mixité raciale se fait encore de façon très très lente » à l’université, regrette-t-il.

Trofomo, sans emploi, ne cache pas son amertume. « Quand je vois la pauvreté, je me dis parfois que certains écoliers ont peut-être sacrifié leur vie pour rien. » Plus d’un quart de la population active, dont la moitié de moins de 35 ans, est aujourd’hui au chômage.

« Mais dans l’ensemble, je me dis quand même ça que valait le coup, conclut-il. Il y a la démocratie. »

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Mali : Le leadership du président IBK en déclin

Maliactu - Wed, 15/06/2016 - 14:26

Du point de vue constitutionnel, la visite de Moussa Mara à Kidal ne pouvait se faire sans l’aval du chef de l’Etat, chef suprême des armées. Il est donc  impensable que l’ancien Premier ministre conduise l’attaque de Kidal sans en informer le président de la République.

A l’occasion,  on se souvient que le chef de l’Etat avait parlé de 1500 militaires qui allaient entrer à Kidal et qui n’en sortiraient pas. Donc, c’est une tache difficile à effacer et qui rend le rapport concernant Moussa Mara, difficile à accepter par l’opinion, malgré les observations accablantes contre l’ancien Premier ministre. De même sur la question de l’achat de l’avion présidentiel, l’ancien ministre de la Défense, Soumeylou Boubèye Maiga avait indiqué qu’à chaque étape de la procédure d’achat, le président IBK avait été informé. Ces dépenses ne sauraient effectivement se faire sans l’avis du président de la République. C’est donc à juste raison que lors de son séjour à Dakar, à l’occasion du sommet d la Cedeao, le président IBK a reconnu « qu’il y avait des problèmes au Mali. » C’est, aussi, à juste titre que l’affaire du retour de l’ancien président ATT, sans au préalable, avoir totalement liquidé son dossier qui est jugé vide par l’Assemblée nationale, parait anormale. De même, le jugement du général Amadou Haya Sanogo apparait comme une épine dans le pied du président IBK qui a bel et bien bénéficié de l’apport des voix militaires lors de l’élection présidentielle. C’est donc vrai qu’il y a des problèmes au Mali. C’est dans ce cadre qu’après avoir rappelé son attachement au respect de l’unité, de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de l’Etat malien , la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao a exprimé sa vive préoccupation, face à la détérioration de la situation sécuritaire au Mali, marqué par la recrudescence des attaques terroristes qui ont visé les forces de défense et de sécurité du Mali, les forces des Nations Unies, la force française Barkhane et les populations civiles.


Cette situation, ajoute-t-elle, constitue une menace pour l’ensemble de la sous-région. Sans toutefois accabler le chef de l’Etat, qui a cette fois-ci, montré toute son humilité, la Conférence a  «  salué les efforts déployés par le Gouvernement du Mali, sous le leadership du Président Ibrahim Boubacar Keita, en vue de l’application intégrale et effective de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali. » Il faut, malgré tout, dire que ce leadership est fortement terni, puisque qu’il a obligé la Cedeao à taper du poing sur la table et hausser le ton pour que l’armée malienne soit déployée à Kidal.

B.D.
Canard déchainé

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La croissance pro « Ma Famille d’abord » au Mali (5,3% du PIB)

Maliactu - Wed, 15/06/2016 - 14:23
Au Mali, le FMI prévoit une croissance de 5,3 % du PIB en 2016

la « forte performance de l’économie du Mali en 2015 », avec un taux de croissance réelle du PIB de +6 %, porté par les bons résultats de l’agriculture (bonne pluviometrie) et des services (nouvelles mesures introduites par le Ministre des Finances Igor Diarra afin de limiter la corruption au sein de la douane et du service des impots).

Ces évolutions peuvent susciter un certain nombre de commentaires.

Selon un rapport interne du FMI, Le Mali a connu une croissance décevante et très volatile par comparaison à un groupe de pays de référence (Rapport FMI-confidentiel à télécharger ici)

Parler de décollage dans ce contexte est exagéré. Dans les orientations préparatoires du Nepad, il était espéré une croissance de 7 %, jugée minimum, compte tenu de la démographie (et en s’inspirant de l’exemple des pays asiatiques). Tous les voisins du Mali réaliseront cette performance en 2016.

On n’observe pas, ou de manière très limitée, au Mali, ce qui a été le moteur du décollage des « tigres asiatiques ». Dans ces pays, peu dotés en matières premières stratégiques, l’accent a été mis sur le développement d’une industrie concurrençant les producteurs traditionnels (Europe et États-Unis) grâce à un effort d’éducation, de formation, de recherche développement et d’investissement massif.

 

Le Mali  souffre par ailleurs de déficiences graves qui constituent un handicap puissant à une croissance solide :
manque et / ou défaillance des équipements collectifs. Un exemple significatif est l’électricité pour la production. Des réalisations et des projets hydro-électriques d’envergure existent, mais qui souffre d’un réseau de transport et de distribution occasionnant des « pertes en lignes » pouvant atteindre 50 %.

source : http://donnees.banquemondiale.org/pays/mali

Les quartiers de Bamako sont plongés dans le noir le soir venu et les habitants de Sikasso, subissent de très fréquentes coupures d’électricité ;
des inégalités sociales encore très fortes. Le coefficient de Gini qui mesure les inégalités de revenu dans un pays (égalité parfaite à 0, inégalités maximum à 100) dépasse 60 au Mali.

La scolarisation a fait des progrès, au moins dans le primaire, mais reste déficiente pour les filles. Car les inégalités entre les sexes demeurent fortes.

Par ailleurs, la démographie du Mali reste un handicap. La croissance de la population, multipliée par 7 depuis 1960, et l’urbanisation rapide sont source de tensions. Avec 79 inactifs, de moins de 15 ans ou de plus de 65 ans, pour 100 actifs, le taux de dépendance est bien trop élevé pour que le Mali bénéficie d’un dividende démographique. D’autant que le niveau d’éducation reste faible et le système de formation encore inadapté.

L‘économie malienne reste très dépendante du secteur minier et des résultats des campagnes agricoles. L’agriculture, en effet, a contribué, en moyenne, à 39% du PIB sur la période 2006-2010.

La base des exportations maliennes est composée aux deux tiers d’or (51 T en 2013), et dans une moindre mesure de coton (13%) et d’engrais (5%). Ces productions sont soumises aux variations des cours mondiaux et de la pluviométrie.

Le secteur manufacturier reste très peu développé. Le pays doit, par ailleurs, affronter le défi d’une forte croissance démographique qui absorbe une part importante de la richesse. La population croît de 3,1% par an, ce qui ne permet pas d’envisager un doublement du revenu par habitant (660 dollarsactuellement) avant trente-cinq ans.

Au Mali, les bases d’un développement solide sont encore à construire. Les Maliens  doivent  se défaire de l’illusion que trouver dans leur sous-sol des matières premières recherchées résoudra tous leurs problèmes.

Un exemple caricatural de cette absence de corrélation (que renforce évidemment la présence d’un gouvernement incompétent et corrompu) est le Gabon, riche en pétrole, et où la pauvreté et les inégalités sont encore très présentes.

 

la redaction de maliactu.net

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Mohamed Fares du parti vert marocain : « Il faut consolider la coopération » entre les verts du Mali et du Maroc

Maliactu - Wed, 15/06/2016 - 14:21
Suite à l’adhésion du parti de la gauche verte du Maroc à la fédération des Verts Africains en mars 2016 et sur invitation des Verts du Mali, son secrétaire général, Mohamed Fares, était à Bamako fin mai dans le cadre de la 2ème rencontre des partis écologistes et Verts d’Afrique de l’ouest. Il nous éclaire sur les enjeux de cette rencontre. Interview.

Mali Actu : Vous avez pris part à la rencontre des partis verts d’Afrique de l’ouest qui s’est achevée le 29 mai dernier. Que retenez-vous des échanges ?

Mohamed Fares : Le thème de la rencontre était axé sur les élections, de l’inscription aux listes électorales jusqu’à la  déclaration des résultats : comment préparer le  programme électoral, comment faire un meeting, le contenu d’un discours idéologique. Le sujet est capital pour tout acteur politique et surtout pour les écologistes, nouveaux sur la scène politique. Outre l’importance du sujet, l’hospitalité et la sympathie des militants verts africains de l’Afrique de l’Ouest, mon séjour a été plus qu’agréable et très bénéfique à tous les niveaux.

Le Maroc et Mali partagent bien de défis environnementaux et écologiques communs, quelles politiques prônées par les verts pour affronter ces problèmes ?

Le Mali et le Maroc partagent  beaucoup de choses et ce depuis longtemps. Je vous invite, si vous êtes au Maroc, à visiter la ville de ZAGORA au Sud–Est d’où  partaient les caravanes vers  TOMBOUCTOU. A la sortie de la  ville de ZAGORA, on peut lire sur un panneau de signalisation routière : « ZAGORA – TOMBOUKTOU. 52 jours en caravanes »

Les verts de nos deux pays doivent faire valoriser tout ce qui est positif dans ces échanges historiques culturels, religieux et œuvrer ensemble pour lutter contre la pauvreté, le terrorisme et militer pour faire vouloir nos valeurs communes de paix, de démocratie, de diversité, de liberté et de parité.

De nos jours, le terrorisme constitue une menace indéniable pour notre sous-région, quelles sont les propositions concrètes des verts pour venir à bout du phénomène ?

Pour combattre le terrorisme, l’approche sécuritaire n’est en aucun cas suffisante, elle demeure nécessaire ;  mais elle doit être soutenue par des politiques publiques pour l’effectivité d’une justice sociale, d’une équité dans le développement durable et dans la promotion de la tolérance, de la quiétude sociale et la garantie de l’égalité entre les sexes.

Quelles sont les perspectives de coopération envisagées entre les verts marocains et maliens ?

D’abord il faut consolider cette coopération par des liens entre nos différentes instances et organisations, multiplier les rencontres et les échanges et élaborer ensemble en concertation large et commune un programme d’action au moins à moyen terme.

(c) maliactu.net

Le parti de la gauche verte Maroc, crée en mai 2010, est un jeune parti ayant participé aux élections législatives de 2011. Il dispose d’un parlementaire à la première Chambre. Par ailleurs, il a participé aux élections communales et régionales de 2015 et dispose d’élus locaux. C’est un parti qui milite pour « construire un MAROC nouveau, de paix, de démocratie, de parité, de diversité et de liberté ».

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Mali : COMMUNIQUE DE LA NEUVIEME SESSION DU COMITE DE SUIVI DE L’ACCORD

Maliactu - Wed, 15/06/2016 - 14:19

Le Comité de suivi de l’Accord (CSA) a tenu sa neuvième session ordinaire au Centre International de Conférence de Bamako, les 13 et 14 juin 2015, sous la présidence de l’Algérie, conformément aux dispositions du chapitre 19, articles 57 et suivants de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du Processus d’Alger et de son Règlement intérieur.

Le Comité a noté avec satisfaction la tenue des réunions des quatre sous-comités thématiques. Cette session a été consacrée en particulier  à l’examen de deux points essentiels à savoir la mise en place des autorités intérimaires et l’opérationnalisation des mécanismes sécuritaires, en particulier les patrouilles mixtes.

Le Comité a salué l’adoption, par les Parties, de l’« ENTENTE sur les modalités pratiques de mise en place des autorités intérimaires, des chefs de circonscriptions administratives, le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat et sur le mécanisme opérationnel de coordination ». Cette ENTENTE constitue une avancée significative dans le processus de paix. Le Comité a exhorté les Parties au respect de leurs engagements et d’en assurer une mise en œuvre diligente dès sa signature.

Dans le domaine de la sécurité, le comité a condamné les attaques terroristes perpétrées contre les FAMA, les forces Barkhane, celles de la MINUSMA et leurs installations. Il a exprimé ses condoléances aux familles des victimes et un prompt rétablissement aux blessés. De même, le Comité a déploré la poursuite d’affrontements entre mouvements armés dans le centre du pays. Il a exhorté l’ensemble des mouvements à faire preuve de retenue et de privilégier le dialogue dans la résolution de leurs différends. Le Comité s’est réjoui du progrès réalisé dans l’opérationnalisation des mécanismes de sécurité prévus dans l’Accord et encourage les Parties à poursuivre leurs efforts à cet égard.

Le Comité s’est félicité de l’esprit de collaboration, de dialogue et d’engagement renouvelé à la mise en œuvre diligente et intégrale de l’Accord, manifesté par les Parties lors des différentes discussions.

La prochaine session du Comité se tiendra à une date qui sera communiquée ultérieurement à ses membres du CSA et aux sous-comités thématiques.

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Report au 21 septembre prochain de l’affaire Louisa Hanoune-journal Ennahar

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:17

ALGER – Le tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs (Alger) a décidé mercredi de reporter au 21 septembre prochain l’affaire de diffamation opposant Louisa Hanoune, Secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) au journal Ennahar.

Le président du tribunal a annoncé le report du procès et la convocation, pour l’audience du 21 septembre, de la directrice de publication du journal Ennahar, au même titre que le journaliste auteur de l’article mis en cause, et la secrétaire générale du Parti des travailleurs.

Mme Hanoune avait déposé plainte contre le journal Ennahar et le journaliste auteur de l’article paru le 24 décembre 2015 dans lequel est fait état de biens que détiendrait de façon « illégale » la SG du PT et des proches à elle dans l’est du pays.

L’article en question « reproche » aussi à Mme Hanoune sa « mainmise » sur le Parti des travailleurs ainsi qu’un pouvoir qu’elle aurait exercé sur des walis.

Le parquet avait demandé une amende de 50.000 dinars au profit de Mme Hanoune qui a porté plainte pour diffamation contre ce journal.

La partie civile avait demandé, pour sa part, un dinar symbolique et la publication du jugement à la Une du journal Ennahar et dans trois autres quotidiens.

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Nouveaux records de chaleur sur le globe en mai

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:17

WASHINGTON – La planète a enregistré de nouveaux records de chaleur en mai, selon des relevés de la Nasa publiés mardi indiquant également que l’hémisphère Nord a connu cette année son printemps le plus chaud depuis le début des relevés en 1880.

L’Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) doit annoncer dans les prochains jours ses relevés de température complets pour mai dans le monde.

La chaleur a été particulièrement prononcée dans l’Arctique, ce qui a entraîné une fonte annuelle très précoce de la banquise et des glaciers du Groenland, précise la Nasa.

Le record absolu de température moyenne a été battu dans environ 20 stations météorologiques en Finlande.

L’Australie a aussi connu son automne le plus chaud jamais enregistré avec une température 1,86°C au-dessus de la moyenne, selon le Bureau de la météorologie australien.

Plus de 53% du pays a eu des températures moyennes plus élevées en raison en grande partie du courant chaud équatorial du Pacifique El Nino, qui se dissipe actuellement.

Les eaux océaniques plus chaudes ont également contribué à un blanchissement sans précédent de la Grande Barrière de Corail, selon l’ONG australienne the Climate Council.

Les températures record en mai ont été accompagnées d’autres événements météorologiques extrêmes, dont de fortes précipitations dans plusieurs parties de l’Europe, comme en France, et dans le sud des Etats-Unis.

« L’évolution du climat que nous observons à ce stade cette année est de nature à nous alarmer », a commenté dans un communiqué David Carlson, directeur du programme mondial de recherche sur le climat à Genève.

Il a cité « des températures exceptionnellement élevées, des taux de fonte des glaces arctiques en mars et mai qu’on ne voit pas normalement avant juillet et des précipitations exceptionnelles ».

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Agressées dans le métro newyorkais, deux femmes voilées défendues par toute une rame

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:14

Nul doute qu’il ne fait pas bon d’être musulman aux Etats-Unis ces jours-ci. La tuerie d’Orlando stigmatise au plus haut point la communauté musulmane et la met à l’indexe.

Pourtant sous ce ciel assombri, certains refusent de céder à la paranoïa générale et parviennent à rappeler aux autres que les Etats-Unis était une terre d’accueil pour tous sans distinction.

C’est cette histoire de tolérance et de cohabitation que nous a raconté le 13 juin le Daily News.

L’histoire se passe au lendemain des attentats d’Orlando. En se rendant au travail, une Américaine a été témoin d’une agression verbale à l’encontre de femmes voilées dans le métro new-yorkais. réaction appréhendée mais prévisible après la tuerie. Mais la réaction des gens présents l’a agréablement surprise. Les présents dans cette ramé du métro ont farouchement défendus les deux dames voilées.

« L’homme rentré dans la rame en hurlant que les deux terroristes étrangères devaient retourner de là où elles venaient », raconte Amaira Hasan sur son compte Facebook. Les deux personnes désignées étaient évidement les deux femmes musulmanes portant le hidjab.

« Avant même que je ne puisse réagir ou proférer la moindre protestation, toute la rame s’était déjà mise en colère », raconte encore la jeune femme de confession musulmane également. « Un black, un Roumain, un homme gay, ou groupe d’asiatiques et d’autres les ont alors défendu. Ils lui intimé de se taire et de quitter », précise Amaira Hasan en rapportant que l’agresseur a continué à cracher son venin sur les deux femmes.

« On est à New York, la ville la plus cosmopolite du monde », s’est alors exclamé un homme. Ici, « on s’en fout de ce à quoi les gens peuvent croire, ou ressembler, ou de la sexualité qu’ils ont, ou n’importe quoi d’autre. Monsieur, il faut maintenant les laisser tranquilles ».

Bien sûr, « notre métro a été arrêté », continue Amaira Hasan. « Ce crétin hué par tous a été illico viré de la rame », poursuit-t-elle son récit. « J’étais en retard au travail, mais au moins, c’était pour la meilleure des raisons ».

Amaira Hasan a, cependant, reconnu être particulièrement attentive aux actes anti-musulmans notamment ceux contre les femmes qui portent le voile et la méchanceté véhiculée contre les musulmans. Heureusement, dit-elle, tout le monde ne fait pas l’amalgame. Et c’est tant mieux!

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Ligue 1-Mobilis: « Il reste seulement deux licences à attribuer au MC Alger »

Algérie 360 - Wed, 15/06/2016 - 14:13

ALGER – La direction du MC Alger  a pratiquement arrêté son effectif en vue de la saison 2016-2017, puisqu’il ne reste plus que deux licences à consommer à l’occasion de l’actuel mercato estival, a annoncé Djamel Menad l’entraîneur de l’équipe évoluant en Ligue 1 algérienne de football.

« Nous sommes sur le point de clôturer la liste des 22 joueurs qui défendront les couleurs de l’équipe la saison prochaine. Les deux dernières licences restantes devraient être attribuées avant le 21 courant, date fixée pour la reprise des entraînements », a déclaré Menad, mardi en marge de la présentation à la presse du nouveau gardien de but des Vert et Rouge Kheireddine Boussouf (ex-NA Hussein Dey).

Menad a émis le voeu que les deux licences restantes soient exploitées dans le recrutement « d’un latéral droit et un milieu défensif », ajoutant qu’en plus des 22 joueurs qui seront retenus dans l’effectif de l’équipe première,

il y aura deux autres de l’équipe des moins de 21 ans qui feront partie du groupe.

Le MCA, qui participera la saison à venir à la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), a engagé jusque là six nouveaux éléments. Il s’agit de :  Zahir Zerdab (MO Béjaïa), Brahim Boudebouda (USM Alger), Antar Djemaouni (ASM Oran), Hadj Bougueche (USM Harrach), Zakaria Mansouri à titre de prêt du Paradou AC, ainsi que Boussouf.

Le club a récupéré aussi son gardien de but international olympique Farid Chaâl, prêté la saison passée à l’USM El Harrach (Ligue 1, Algérie). Ce dernier sera en concurrence avec Boussouf et aussi Fawzi Chaouchi que la direction mouloudéenne a décidé de renouveler son contrat malgré la suspension de dix matchs qu’il a écopé de la part de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel à l’issue de l’exercice passé.

La Fédération algérienne de football a réduit à 22 (au lieu de 25) le nombre des licences accordées à chaque club des deux Ligues professionnelles à partir de l’exercice 2016-2017.

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