ALGER – Le groupe Sonatrach et la société turque Botas ont signé mardi à Alger un accord visant le renforcement de leurs relations existantes à moyen et long termes et à la mise en œuvre d’axes de coopération notamment pour développer leurs positions dans les marchés régionaux.
Cet accord a été paraphé par le P-dg de Sonatrach, Amine Mazouzi, et le P-dg de Botas, M. Burhan Ozcan.
Il prévoit également l’exploration d’opportunités de partenariat dans des domaines d’intérêts communs dans la chaîne des hydrocarbures aussi bien en Algérie qu’en Turquie et dans d’autres régions.
Lors de la cérémonie de signature, M. Mazouzi a souligné qu’à travers cet accord, « Sonatrach et Botas confirment leur volonté de renforcer et de développer leurs relations historiques et d’élargir leur coopération à de nouveaux axes pour le plus grand intérêt des deux compagnies ».
Pour rappel, Sonatrach et Botas (société turque publique de transport d’hydrocarbures) sont engagées depuis plus de 25 années à travers un contrat de vente et d’achat de GNL signé en 1988.
L’Algérie a consenti des efforts et continue de le faire, pour trouver une solution politique qui préserve l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye par le biais d’un dialogue national et d’une réconciliation favorisant la mise en oeuvre de l’accord du 17 décembre 2015, selon le Premier ministre Abdelmalek Sellal.
Dans une allocution d’ouverture des travaux de la haute commission mixte algéro-mauritanienne, Sellal a évoqué aussi
le processus de règlement pacifique au Mali. Le Premier ministre a fait savoir qu’il passait par la mise en oeuvre de l’accord d’Alger, le respect de ses clauses par toutes les parties et l’accompagnement de la communauté internationale.
Le Maghreb arabe et l’Afrique connaissent des mutations rapides et à grande échelle qui ont donné naissance à des défis majeurs tels la migration, le terrorisme, la criminalité transfrontalière et l’extrémisme, a-t-il fait remarqué assurant que l’Algérie adoptait à cet égard une approche globale qui tienne compte des dimensions socio-économiques et culturelles, de la promotion des valeur de dialogue et de réconciliation nationale ».
« La sécurité et la stabilité sont deux conditions essentielles sécurité pour le développement de notre région, elles sont aussi une responsabilité commune qui nécessite une collaboration étroite et une coordination intensifiée », a insisté M. Sellal.
Le Premier ministre s’est enfin réjoui de la concordance des vues avec la Mauritanie sur différentes questions régionales et internationales formant le voeu que les accords bilatéraux qui seront conclus à la faveur de la présente session confortent la coopération et concrétisent « un saut de qualité » dans les relations entre les deux pays.
Les passagers parisiens de Tassili Airlines ont dû attendre 32 heures avant de rejoindre le sol algérien, et ce sans aucune prise en charge, ni dédommagement.
Selon les témoignages de certains passagers, et d’après les informations fournis par le site FlightRadar24, le 17 décembre dernier, le vol SF3001 de la compagnie Tassili Airlines, qui devait relier l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle à Alger a été annulé à cause des « conditions météorologiques » . En guise de « dédommagement » , les passagers dU SF3001 ont été transféré sur celui du lendemain. Malheureusement, le vol du 18 décembre est de nouveau annulé.
Capture du site Flightradar24 récapitulant les vols SF3001 des derniers jours, on remarque le vol annulé du 17 décembre, et celui du 18 décembre qui a été opéré par l’Airbus A330 d’Air Algérie
Sur place, aucune information n’a été transmise aux passagers, ce qui a provoqué leur colère. Pour parer à la situation, la compagnie finit par affréter un Airbus A330 à Air Algérie afin de jumeler les passagers des deux vols annulés. Résultats: un décollage à … 2h58 le 19 décembre!
Contacté par le site d’information TSA, la compagnie Tassili Airlines était injoignable.
L’opération prévoit notamment la distribution, d’ici février 2017, de 10 millions de cartes. Environ 20 000 nouvelles demandes de cartes TPE enregistrées par jour.
(CIO Mag) – Selon Abdenacer Sayah, directeur général d’Algérie Poste, l’entreprise pour répondre à cette forte demande, introduit chaque jour plus d’un million de cartes Edahabia (la nouvelle carte de paiement électronique). « Cette dernière permet, notamment d’effectuer divers transactions financières en ligne par le biais d’un compte CCP. Ce nouveau mode de paiement permet d’effectuer à distance, via internent, en toute sécurité et rapidité des opérations d’achat de biens et de services auprès des sites marchands des entreprises qui acceptent le paiement en ligne par cartes interbancaires (CIB) », a expliqué M. Sayah. Pour un début, la majorité des transactions concernées porteront sur le paiement des factures d’eau, d’électricité et de téléphone, ainsi que l’achat de billets d’avion en attendant une généralisation vers d’autres web marchands.
600 distributeurs électroniques installés en 2016
Par ailleurs, le directeur général d’Algérie Poste confirme un chiffre de 900 distributeurs électriques opérationnels que compte l’entreprise au niveau du territoire national dont 600 ont été installés cette année. Visiblement, le chiffre est dérisoire s’il est comparé au nombre global de bureaux de poste existants en Algérie estimé à 3600. M. Sayah, indique que ce nombre est appelé à être augmenter et assure avoir fixé l’objectif d’implanter, d’ici 2019, un distributeur électronique dans chaque Daïra.
80 millions DA détournésSelon toujours les déclarations du directeur d’Algérie poste, a signalé, qu’ « Algérie Poste accuse un déficit d’environs 5 millions de dinars en 2015. Afin d’y faire face, l’entreprise procédé », dit-il, à la réduction de ses dépenses et celle de la masse salariale. Ainsi, précise-t-il, « nous avons réduit le déficit de l’entreprise d’environs 4 à 5% en 2016». Pour terminer, le responsable d’Algérie Poste a évalué à environs de 80 millions de dinars le montant global de l’argent détourné de l’entreprise.
Le Jeune Indépendant : Qui est derrière l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara ?
Zine Cherfaoui : Un certain nombre d’éléments laissent penser que l’assassinat de l’ambassadeur de Russie à Ankara a été préparé, commandité et mené par des éléments de Daech.
Avant de tirer au pistolet sur l’ambassadeur, l’élément de la police, ou du moins celui qui a exécuté l’acte, a parlé d’Alep la « martyre », etc. On peut donc penser qu’il s’agit d’un acte de vengeance. Si cette piste est retenue, il y a une autre piste qui suggère que l’acte est loin d’être inscrit à la seule responsabilité de la nébuleuse terroriste.
Dans un discours donné ce matin (ndlr : mardi 20 décembre), le président Vladimir Poutine se disait persuadé que « l’assassinat est une provocation ». Il a parlé clairement de « provocation ». Selon le chef du Kremlin, « l’acte est destiné à dynamiter les relations turco-russes ».
Peut-on estimer que les relations entre ces deux pays sont « bonnes » ?
Je préfère parler d’un ‘’réchauffement’’ dans les relations de ces deux pays, perceptible d’ailleurs depuis ces derniers mois. Poutine a parlé aujourd’hui de parties qui veulent coûte que coûte saper les efforts de règlement de la crise syrienne. En décodé qu’est ce que cela veut dire ? Moscou ne peut éviter de faire le lien de l’assassinat de son ambassadeur à Ankara avec la très importante rencontre prévue au lendemain de l’assassinat à Moscou.
Une rencontre devant réunir Turcs, Russes et Iraniens pour discuter de la crise syrienne. Aux yeux des Russes, il est possible que cet acte ait été commis pour saborder cette rencontre qui évince du conflit syrien les Occidentaux.
Est-ce un signe de lassitude si l’on se réfère aux nombreuses rencontres sur la Syrie en Occident, mais n’ayant rien apporté de concret sur le terrain ?
Il faut savoir que pour la première fois, dans une rencontre consacrée à la Syrie, on ne trouve plus d’acteurs occidentaux. On retrouve uniquement des acteurs régionaux. En filigrane, Vladimir Poutine a laissé entendre que l’acte d’assassinat d’Ankara a pu être commandité par des puissances extrarégionales, hostiles à la Russie.
Moscou, par le biais de l’agence officielle Sputnik, se pose la question : « A qui profite le crime » ? Les Russes ont-ils raison de se poser cette question ?
C’est la question que se pose n’importe quel enquêteur à chaque fois qu’il y a un crime. Il faut savoir que cet assassinat a lieu dans un contexte précis, qui suggère un nouveau rapport de forces sur le terrain. Celui de la Syrie, bien évidemment. Depuis ces derniers temps, l’armée gouvernementale syrienne a pu regagner plusieurs villes qui étaient aux mains des terroristes.
Les derniers évènements montrent aussi qu’il y a les prémices d’une victoire sur le terrorisme en Syrie. Effectivement, c’est une question très légitime. En assassinant l’ambassadeur de Russie à Ankara, les commanditaires ont essayé d’abord de casser le couple qui commençait à se créer entre la Russie et la Turquie.
Par la voie de son ministre des Affaires étrangères, l’Algérie a félicité la Syrie d’avoir vaincu le terrorisme à Alep. Quelle lecture en faites-vous ?
La déclaration a été faite par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République algérienne, M. Ramtane Lamamra. L’Algérie est un pays qui a énormément souffert du terrorisme.
La population algérienne a enduré dans sa chair, durant plus de 15 ans. On a à peu près 87 000 morts. C’est lamentable. Au plan financier, le terrorisme a coûté à l’Algérie plus de 20 milliards de dollars. S’il existe un pays, aujourd’hui, qui comprend au mieux les Syriens, c’est bien l’Algérie.
La déclaration de M. Ramtane Lamamra, qui est motivée, qui est objective, s’inscrit dans la logique d’un pays (le nôtre) qui a souffert d’un terrorisme des plus sanguinaires. Je pense que, comme le dit Lamamra, les syriens gagneraient à discuter ensemble pour aller à la paix. Pour reconstruire leur pays.
Január elsejével kezdődő, tízéves honvédelmi és haderőfejlesztési programot jelentett be ma Simicskó István miniszter az idei első és egyetlen HTK-dzsemborin. A javarészt már ismert személyügyi, társadalmi lépéseken túl a LégierőBlogger természetesen a beszerzési tervekre volt kíváncsi, de túl sokkal a honvédelmi vezetők ezúttal sem szolgáltak. Igaz, a miniszter és a vkf megosztott egy-két, korábban nem ismert, apró részletet. Ilyen, hogy a 2024-es olimpiai pályázat miatt szükség van a légvédelem fejlesztésére, illetve, hogy terveznek a Gripen és az alap kiképző gép közötti "közbülső repülőgéppel". A szállítógépek vonatkozásában az elhatározottságon kívül nem hallottunk sok újdonságot, bár a jelenlegi igénytámasztás milyenségéből, a missziós feladatokból kiindulva állítólag lehet következtetéseket levonni a beszerzés menetrendjére nézve. A helikopterbeszerzés, mint "lökésszerű" ráfordítást igénylő program kormányzati többletforrást igényel - hallhattuk ismét, de immár a tízéves fokozatos fejlesztési programba illesztett kivitelezést sem tartották kizártnak.
Légvédelem: az olimpiai pályázat miatt fejleszteni kell. A műveleti képesség 2024-es eléréséhez mikor kell elindítani a Kub-utód beszerzését?
A beszerzési transzparenciát firtató kérdésemre pedig lényegében az volt a válasz, hogy a politikai támogatottságot kockáztatja, ha a nyilvánosságban vita, vádaskodás indul meg, ezért a minimális részlet.
Nem így látom. Meggyőződésem, hogy a korlátozott információáramlás miatti meginduló spekuláció, legalább olyan, ha nem károsabb lehet a beszerzési programokra nézve, mint a szokásos habverés.
Zord
Dans un communiqué, relayé par le site d’information TSA, CEVITAL annonce la nomination de Monsieur Said Benikene au poste de Directeur Général Exécutif du Groupe.
« L’ensemble des pôles du groupe Cevital aussi bien en Algérie qu’à l’international et les fonctions transverses seront pilotés par Said Benikene. Il aura toute latitude pour faire évoluer les structures de management en intégrant de nouvelles compétences et de nouveaux talents, internes et externes, afin de mettre en œuvre les objectifs et orientations stratégiques du groupe »
Par ailleurs, Issad Rebrab reste président du Conseil d’administration.
Le communiqué dresse le portrait du nouveau Directeur Général Exécutif de Cevital « Said Benikene est diplômé de l’école française Reims Mangement School. Il était jusqu’alors Associé au sein du cabinet PwC. Il était en charge du développement des activités Advisory de PwC en Algérie, spécialisé en amélioration de la performance et en transactions pour des clients algériens et internationaux », précise le groupe.
Les paroles prononcées par le président du Conseil européen, Donald Tusk, samedi dernier (17 décembre) en Pologne, lors de la cérémonie de clôture de Wrocław – capitale européenne de la culture — étaient remplies de sens, d’émotion. A la mesure de la gravité du moment . Et elles méritent une certaine écoute , une écoute attentive, recueillie, car les paroles dépassent le cas polonais et leur auteur. C’est l’Europe toute entière qui est menacée. C’est l’Etat de droit dans plusieurs de nos Etats membres qui est menacé.
Une fois de plus à travers toute l’histoire de la Pologne, l’Europe se penche avec bienveillance et inquiétude sur le sort de la Pologne, inextricablement lié au sien. Que la Pologne s’en détourne et elle connaitra à nouveaux des jours noirs comme ce fut le cas dans le passé, un passé lointain et proche. C’était un des premiers discours de l’ancien Premier ministre polonais sur sa terre natale depuis longtemps, il survient à un moment clé pour le pays. La Pologne comme plusieurs autres pays s’interrogent sur la notion de liberté, de démocratie, de pouvoir.
Le message envoyé est un véritable avertissement au parti de Jarosław Kaczyński (PiS, Droit et Justice) et au gouvernement de Beata Szydło. Un message qui a une portée plus générale car il peut se lire au-delà de la Pologne… Un avertissement comme la Commission européenne en a délivré plusieurs, en vain.
« L’essence de l’Europe est un modèle unique de démocratie où les citoyens, le droit et la morale définissent les limites du pouvoir. Et non vice-versa. Comme nous le savons, la démocratie sans le respect de la culture, quand on prive les gens de l’accès à l’information ou qu’on impose un modèle de vie unique, cela devient aussi insupportable qu’une dictature.
« Aujourd’hui, donc, dans ce moment critique, [la démocratie] nécessite une protection, de la sollicitude, et même de la tendresse, vis-à-vis d’elle-même, si non elle ne survivra pas. Elle est plus fragile et délicate que nous, Polonais, quand nous l’avons ratée derrière le rideau de fer pendant ma jeunesse. Est-ce que le modèle européen survivra ? Ce n’est pas une question idéologique mais la question de notre survie. Celui qui aujourd’hui défie le modèle européen de démocratie, viole les constitutions et des bonnes mœurs, nous met en danger.
« Après les événements d’hier au Parlement et dans les rues de Varsovie ( avec la mémoire personnelle de ce qui signifie décembre dans notre histoire (1), je lance un appel à ceux qui exercent effectivement le pouvoir dans notre pays, pour le respect des personnes. Et je dis merci à ceux qui luttent pour la démocratie européenne en Pologne. Merci, vous êtes les meilleurs gardiens de la Pologne. »
(1) Donald Tusk fait référence principalement à décembre 1981 et la proclamation par le général Wojciech Jaruzelski, alors chef de l’Etat polonais, de la loi martiale (état de guerre) coupant court à un mouvement d’émancipation de la société polonaise. Mais il peut aussi faire référence à décembre 1970, avec les grèves contre la hausse des prix à Gdansk (la ville natale de Tusk, celui-ci avait 13 ans au moment des faits) et dans plusieurs villes de la Baltique. Des manifestations qui furent violemment réprimées par le régime avec plusieurs dizaines de morts. Elle entraîna la démission du dirigeant polonais d’alors, Władysław Gomulka.
"A katonának nem dolga, hogy közlékeny legyen. Egészen másként fejezi ki magát, mint egy civil. A beszédstílusa teljesen nem-civil és szófukar, ahogy azt jellemezni szokták. És mivel a háború kifacsar az emberből minden megjátszást és álszentséget, ezért azok a dolgok, amiket egy katona mond, még ha káromkodás vagy közönséges szentimentalizmus formáját ölti is, teljesen őszinték és hitelesek, ezáltal pedig tisztábbak, mint a civil világ minden felszínes szónoklata."
1945 januárjában Hans-Ulrich Rudel, a Luftwaffe 2. csatarepülő-ezredének (SG 2) parancsnoka pályafutása során először és utoljára kapott olyan ajánlatot felsőbb szintről, amely nem volt katonai jellegű. Közölték vele, hogy a háború után átveheti a birodalmi sportmozgalom vezetését. Persze az adott hadi helyzetben az ilyesmi inkább üres gesztus volt, semmint valódi lehetőség, és ezt a legtöbb tapasztalt német frontharcos tudhatta, még ha igyekezett nem is gondolni az elkerülhetetlen végkifejletre. Ettől függetlenül a feledésbe merült eset jól megvilágítja Rudel karrierjének ellentmondásosságát. A felkínált pozíció egyáltalán nem volt véletlen, mivel ismert volt a frissen előléptetett ezredes elkötelezettsége a testedzés iránt jól. Feljegyzéseiből arra lehet következtetni, hogy a versenysport volt az igazi szenvedélye, amely viszont, főleg a háború miatt, beteljesületlen maradt. Másrészt legalábbis valószínűtlen, hogy harci érdemei híján akár egy ilyen "kis" gesztusban részesítették volna bármikor is.
Le projet de loi sur la santé sera examiné en commission à l’assemblée nationale algérienne (APN) le 17 janvier 2017. Abdelmalek Boudiaf n’est pas certain d’être le ministre qui la présentera. Il devra compter sur « Rahmat Rabbi. »
Le projet de la loi sur la santé sera soumis à la Commission de la Santé, du Travail et des Affaires sociales de l’Assemblée populaire nationale (APN), le 17 janvier prochain, a déclaré mardi à El Tarf, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, Abdelmalek Boudiaf.
« D’un commun accord avec les membres de la commission de la santé de l’APN, il a été convenu d’examiner le projet de la loi sur la santé, le 17 janvier prochain », rapporte l’agence APS.
Le report de l’examen du projet de la loi sur la santé, annoncé dans un premier temps pour décembre courant est dicté par « le souci de permettre aux membres de cette commission de mieux se consacrer à ce projet » a-t-il précisé.
Pour rappel, le projet de loi devait être examiné le lundi 19 décembre 2017 par la Commission de la santé de l’APN, la décision du report est survenue à la dernière minute sans explication probante.
L’effet RHB
L’information sur le retrait du projet par le gouvernement avait été annoncée par le député Lakhdar Benkhalef, chef du groupe parlementaire du parti El Adala, sur sa page Facebook.
« Des instructions ont été données au président de la commission de santé de ne pas l’examiner pour l’instant alors que le ministre devait le présenter ce lundi 19 décembre 2016 aux membres de la commission » a ajouté le député. « Il semble qu’il y a un remaniement ministériel imminent qui a été accéléré par Zaibet et son complément alimentaire, Rahmat Rabbi… » a ajouté le député.
L’affaire du « RHB » a choqué une grande partie de l’opinion publique en raison de l’implication personnelle du ministre dans le soutien à son promoteur, Toufik Zaibet.
Le président de l’UNOP (Union nationale des opérateurs de la pharmacie), M. Abdelouahed Kerrar, qui était ce mardi à l’émission « l’Invité du direct » de Radio M a souligné l’impact négatif de l’affaire RHB pour l’industrie pharmaceutique algérienne. « Ce que l’industrie pharmaceutique algérienne a patiemment bâti en vingt ans vole en éclat à cause de cette scabreuse affaire » a-t-il indiqué.
La commission de la santé de l’APN examinera le projet de la santé le 17 janvier prochain, mais Abdelmalek Boudiaf, dont l’implication personnelle dans la « scabreuse affaire » du complément alimentaire (présenté initialement comme un médicament pour le diabète) suscite une vive controverse, sera-t-il le ministre qui la présentera ? Abdelmalek Boudiaf restera-t-il «grâce à rahmat Rabbi?», les paris sont ouverts!
EDA Chief Executive Jorge Domecq held talks today (20 December) in Belgrade with Serbian Minister of Defence Mr. Zoran Đorđević, as well as Representatives of the Defence and Internal Affairs Committee at the Serbian National Assembly. Current and future opportunities for cooperation between the EDA and Serbia were among the main topics of discussion.
Talks with the Minister of Defence mainly focused on the state of play of Serbia’s participation in EDA projects, via its 2013 Administrative Arrangement. Mr. Domecq welcomed Serbia’s involvement in EDA projects and activities, which has grown steadily over the last three years across a diverse range of EDA programmes, such as Countering Improvised Explosive Devices (C-IED), the Collaborative Database (CODABA) and EU SatCom Market, which was the first EDA project Serbia joined in March 2016.
Mr Domecq commended Minister Đorđević for Serbia’s overall involvement with the EDA and encouraged further engagement in the Agency’s work in the future. “Our Administrative Arrangement has provided a fruitful foundation for EDA-Serbia cooperation. I am pleased to see that Serbia has become increasingly active and now participates in several EDA projects. I believe that we will also identify possible new areas for cooperation going forward.”
Mr. Domecq also held productive discussions at the Serbian National Assembly, where he met with representatives of the Defence and Internal Affairs Committee. Talks took place on the implementation of the EU Global Strategy, the European Defence Action Plan and the EU-NATO Joint Declaration, focusing on the role of the EDA.
During a packed agenda, Mr. Domecq also attended a meeting with the Serbian Chief of Defence, General Ljubiša Diković, and met with officials at the Ministry of Foreign Affairs and the Military Academy of Serbia.
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Illetmény és juttatások:
Az illetmény megállapítására és a juttatásokra a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban 2017. január 9. napjától tölthető be.
A pályázat benyújtásának határideje: 2016. december 30.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának módja, rendje:
A pályázatot a Zala Megyei Szent Rafael Kórház Humán Erőforrás Gazdálkodási Osztály osztályvezetőjéhez kell benyújtani. A pályázatokról a Zala Megyei Szent Rafael Kórház főigazgatója dönt.
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. január 5.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2016. december 11.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a munkáltató által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.