2017. február 20., hétfő
10.15 Találkozó Mike Pence-szel, az Egyesült Államok alelnökével (tudnivalók a sajtó munkatársai számára)
2017. február 21., kedd
13.00 Találkozó Jean-Claude Junckerrel, az Európai Bizottság elnökével
2017. február 22., szerda
11.00 Nagykövetek megbízóleveleinek átadása
Info ? Intox ? Ces questions, vieilles comme le monde (1), les citoyens se les posent, en France et ailleurs, avec une gravité nouvelle après les récents dérapages médiatiques. Ceux-ci sont devenus si fréquents qu'ils constituent désormais la matière même d'émissions drolatiques et satiriques. Déjà, au début des années 80, Coluche brocardait l'information télévisée dans ses célèbres sketchs 1 faux avec une verve caustique que retrouvent aujourd'hui les Inconnus (A 2) ou les Nuls (Canal +). D'autres émissions, comme « Double jeu » , pratiquent systématiquement une guérilla du faux et dissèquent parfois, avec un cruel talent, de malhonnêtes bidouillages effectués par certaines chaînes (2).
La mise à nu des trucages et la révélation des manipulations semblent être devenues un second temps obligé de l'information. Il y a, d'abord, la nouvelle brute, donnée à chaud, « en direct et en temps réel » grâce aux prodiges des nouvelles technologies ; mais elle n'est pas toujours vérifiée, recoupée, et, par conséquent, peut se révéler erronée, incomplète, exagérée, fausse. Puis, vient, presque naturellement, le démenti, la correction, la reconnaissance de l'erreur.
Au lieu de s'interroger sur les conséquences éthiques de ce divorce croissant entre technologie et contenu de l'information, le système semble vouloir tirer profit, à la fois de la vitesse et de ses contrecoups. Il découvre qu'une fausse nouvelle, ce sont deux nouvelles : la fausse et son démenti. Et pense que ce dernier - « inévitable bavure » - peut même, tout compte fait, améliorer sa crédibilité. Ainsi, paradoxalement, plus il ment, plus il veut être cru. C'est la conviction de M. Etienne Mougeotte, vice-président de TF1 : « Le bon fonctionnement d'un système d'information affirme-t-il, ne se mesure pas à la diffusion d'informations erronées ou imprécises ; il est validé lorsqu'une erreur est réparée rapidement ou complètement (3). » Mais quand ce double jeu se répète ad nauseam il finit par irresponsabiliser le journaliste (pourquoi prendre des précautions et perdre du temps en vérifications alors que, en cas d'erreur, il suffira de démentir ?) et par semer le doute dans l'esprit du public (faut-il croire vraiment telle information ? Ne risque-t-elle pas d'être, comme tant d'autres, corrigée, modifiée, démentie ?). L'inattention, la négligence et la paresse se répandent ainsi dans les milieux journalistiques, qui connaissent, d'autre part - à cause de la vogue de la communication, - un phénomène de massification et un effondrement du niveau culturel moyen comparables à ceux que connurent les milieux enseignants dans les années 60. Tandis que le scepticisme, la suspicion et la méfiance à l'égard des médias s'accroissent chez les citoyens...
Ces phénomènes se sont d'autant plus aggravés que l'ensemble du système informationnel est aujourd'hui tiré, entraîné par la télévision. Celle-ci est désormais son moteur, sa locomotive. Et impose ses critères spécifiques - goût de la fiction, passion du spectacle, culte de l'émotion, amour du divertissement - aux autres médias, et en particulier à la presse écrite. La télévision, comme naguère la radio, est devenue de surcroît le média le plus rapide et contraint les journalistes de la presse écrite quotidienne à une déchirante révision de leur propre mission.
Robert Fisk, du journal britannique The Independent a raconté comment il prit brutalement conscience de ce phénomène au début de la guerre du Golfe : « Que pouvais-je dire à mon journal depuis l'Arabie saoudite durant les premières minutes de la guerre, alors que le début des hostilités avait déjà été retransmis en direct de Bagdad par CNN ? Je me rappelle avoir éprouvé une forte sensation quasi physique lorsque je m'aperçus que le bon vieux temps de la presse écrite était terminé (...) Le suivi en direct à la télévision a remplacé notre ancien travail ; mais cela rend l'information plus manipulable que jamais (4) ».
Plus manipulable que jamais... Cette manipulation n'a pas commencé, il s'en faut, avec la guerre du Golfe. Mais on sent que cela va en s'aggravant et que, même après la révélation des affaires roumaines - le faux charnier de Timisoara et les faux combats de rue de Bucarest en décembre 1989, - la dérive s'est poursuivie, accentuée, accélérée. Et on a l'impression que le système lui-même méconnaît son propre mouvement, sa dangereuse tendance. Que l'on songe, par exemple, au malentendu sur la couverture des événements d'Europe de l'Est et d'Union soviétique après 1989 !
La télévision, à cette occasion, se grisa de son audace à pénétrer dans les lieux les plus cachés et les plus interdits - hôpitaux, orphelinats, commissariats, prisons, goulags, morgues, sièges de services secrets... - comme si ce dévoilement d'un monde occulte équivalait, symboliquement, à la dissipation de la dictature. Des images pour dessiller les yeux. La télévision montra des lieux interdits avec une telle jubilation qu'elle en vint à croire que cet acte à lui seul (exhiber ce qui est secret) était fondateur de démocratie. Que, en quelque sorte, en filmant la face cachée de ces régimes autoritaires, elle était la démocratie à l'œuvre.
Ce faisant, la télévision idéalisait passablement le régime démocratique présenté comme une maison de verre, toujours transparente, sans secrets pour la presse, et plus particulièrement pour l'œil inquisitorial des caméras. Or nous savons qu'en démocratie, précisément parce que les individus ont des droits, les caméras ne vont pas (sans autorisation) partout, ni dans les morgues, ni dans les prisons, encore moins dans les casernes.
Convaincue de retrouver, dans l'euphorie du retour de la démocratie à l'Est, la légitimité du « quatrième pouvoir », la télévision considéra simplement le dérapage roumain, l'affaire de Timisoara, comme d'« inévitables bavures » des exceptions regrettables. D'où la stupeur du système informationnel lorsqu'il se heurta de front aux interdits de la guerre du Golfe et en particulier à ceux imposés par les forces coalisées.
Ce conflit, on le sait, donna lieu à d'importantes manipulations et à de nombreux mensonges. Ce fut, aussi, une guerre médiatique. L'un des grands bluffs des coalisés - comparable à celui qui prétendait que l'Irak possédait « la quatrième armée du monde » - fut de faire croire que M. Saddam Hussein était « un Machiavel des médias, un sorcier médiatique » et que toute image venant de l'Irak était le produit d'une propagande extrêmement sophistiquée. Deux exemples d'images-boomerang suffisent à montrer la médiocrité communicationnelle des autorités irakiennes. D'abord, la célèbre visite de M. Saddam Hussein aux otages et en particulier la fameuse image du petit enfant anglais transi de peur devant « l'ogre ». Ensuite : les images des prisonniers de guerre occidentaux et notamment celle de l'un d'entre eux, américain, au visage tuméfié, boursouflé par les blessures.
Ces images - filmées par les Irakiens - bouleversèrent le monde et accablèrent le régime de Bagdad plus qu'aucune autre puisque leur message principal - le fort s'acharnant sur le faible - confirmait précisément l'accusation portée contre Bagdad : le « puissant Irak » avait envahi le « petit Koweït ». On sait que l'enfant ne fut jamais maltraité, pas plus que le prisonnier, qui avoua plus tard s'être lui-même volontairement blessé en se jetant contre un mur, précisément pour ne pas être filmé. Aussi piètres stratèges en communication que sur le champ de bataille, les Irakiens fournirent eux-mêmes aux télévisions du monde occidental d'efficaces armes pour accabler leur propre régime.
De nombreuses manipulations médiatiques, faites par les Etats-Unis, ont été dévoilées. On sait, par exemple, que le « document d amateur » montrant les tanks irakiens dans Koweït-Ville et la résistance des Koweïtiens, images qui émurent l'opinion publique, était un montage élaboré par une agence de communication dirigée par Mike Deaver, ancien conseiller du président Reagan, pour le compte de l'émir du Koweït (5) !
On se souvient également du terrifiant témoignage d'une jeune Koweïtienne racontant, effondrée devant les caméras, la barbarie des soldats irakiens qui avaient pillé son hôpital, embarquant vers Bagdad tout le matériel médical et en particulier les couveuses qu'ils avaient débranchées, laissant agoniser des dizaines de prématurés. Encore un faux, dénoncé par Amnesty International et Middle East Watch. L'infirmière n'était autre que la fille de l'ambassadeur koweïtien à Washington et son récit effroyable, une invention d'expert en communication...
Autre temps fort après la libération de Koweït-Ville : la spectaculaire occupation de l'ambassade des États-Unis, que l'on disait piégée de l'intérieur par les Irakiens, effectuée par un corps d'élite déposé sur la terrasse de l'immeuble par des hélicoptères de combat. De la pure mise en scène également : l'ambassade avait été discrètement occupée deux jours plus tôt et consciencieusement inspectée (nul piège n'y fut trouvé). Mais il fallait fournir aux caméras des images fortes et victorieuses afin d'en effacer de plus anciennes : d'autres hélicoptères, à Saïgon, évacuant à la hâte de la terrasse de l'ambassade américaine les derniers ressortissants au milieu du fracas de la défaite du Vietnam...
Ainsi, les progrès technologiques rendent effectivement plus manipulable l'information. Comme l'ont d'ailleurs confirmé des événements plus récents (le putsch de Moscou, en août 1991, et la guerre en Yougoslavie) (6).
En adoptant les mêmes priorités que l'information télévisée, la presse écrite et le photo-reportage (7) sont entraînés dans la même dérive, alors qu'une de leurs nouvelles missions devrait être, précisément, de ralentir, de fournir au citoyen les éléments d'analyse et le contrepoint indispensables pour lui permettre de résister aux périlleux glissements vers le spectacle et le faux.
La méfiance est telle que de plus en plus de citoyens s'écartent, échaudés, des médias. Aux Etats-Unis, par exemple, les journaux télévisés continuent de perdre de l'audience, et les procédés auxquels ils ont recours pour la regagner - reconstruire des faits divers à l'aide de comédiens ou nommer Miss Amérique présentatrice du journal comme l'a fait CBS - ne font qu'accroître la réserve et l'incrédulité. En France, 48 % des citoyens ne pensent plus que les choses se sont passées comme la télévision les montre. Cette rétivité des citoyens pourrait être saine pour la démocratie si la presse en tirait argument pour corriger sa fascination actuelle pour le sensationnel et le spectacle. La majorité des journalistes sont, en France, conscients des périls (8) mais, paradoxalement, le système informationnel semble en panne de solution. La concurrence, la course à l'audience et au profit, condamnent aux mêmes erreurs et conduisent à l'abîme. « Dans les rédactions de la presse écrite, beaucoup de responsables consacrent trop de temps à regarder CNN et autres chaînes d'information « en continu » écrit encore Robert Fisk (9). Si les journaux se considèrent comme de simples extensions de la télévision, est-il étonnant que leurs lecteurs finissent par les abandonner pour regarder le petit écran ?
Et alors, face aux nouvelles énigmes du sphinx cathodique - « lnfo ? Intox ? », - qui rappellera au citoyen qu'il doit se méfier de ses yeux ? Que les apparences, malgré les prodiges du direct, demeurent trompeuses, fallacieuses ? Que la raison démocratique reste fondée sur le doute méthodique, le silence de la réflexion et le débat critique ? Et que, l'air étant chargé de populisme et de démagogie, le choc des images peut conduire parfois à de redoutables démissions ?
(1) Lire la Persuasion de masse, sous la direction de Gérard Chaliand, Robert Laffont, Paris, 1992.
(2) Cf notamment le remarquable démontage, effectué par Pierre Caries et diffusé par Antenne 2 le 25 janvier 1992, du faux entretien avec M. Fidel Castro bricolé par Patrick Poivre d'Arvor et Régis Faucon (TF1).
(3) Le Monde, 5 avril 1991.
(4) El Pais, 16 janvier 1992.
(5) Lire la remarquable enquête de Chantal de Rudder, « La grande manipulation », le Nouvel Observateur, 6 juin 1991.
(6) Lire « Yougoslavie : le bourrage de crâne », Reporters sans frontières, décembre 1991.
(7) Cf Michel Guerrin, « Comment les médias manipulent les images et se moquent de vous », le Temps stratégique, décembre 1991.
(8) Lire la Presse en état de guerre, Editions Reporters sans frontières, Montpellier, 1991.
(9) Voir note 4.
De manière générale, les grands organes de presse américains n'apprécient guère les outsiders réfractaires au système politique bipartisan. La plupart des journalistes ne sympathisaient pas avec M. David Duke, qui a obtenu, lors des élections pour le poste de gouverneur de Louisiane, en novembre 1990, 55 % des voix des Blancs et 40 % du total des suffrages. Pourtant, durant toute la campagne électorale, les médias ont fait preuve d'une étrange déférence à l'égard de celui qu'ils qualifiaient, à tort, d' « ancien » dirigeant du Ku Klux Klan et d'« ex-nazi ». Qu'y avait-il d'« ancien » ou d'« ex » dans les convictions de M. David Duke ?
Tout à fait caractéristique de cette occultation de son statut actuel d'idéologue néonazi, ce titre du New York Times (1) : « Les donateurs des Etats hors de la Louisiane pardonnent son passé à Duke. » L'article décrivait un supporter de l'Etat de New-York qui avait déjà contribué financièrement à la campagne présidentielle de M. Duke en 1988, oubliant de dire qu'il représentait alors le Parti populiste, ouvertement raciste et antisémite. Le journal taisait ainsi le fait que c'était grâce à son passé, et non malgré celui-ci, que l'homme soutenait M. Duke.
Dans un de leurs revirements classiques, les journaux commencèrent ensuite à affirmer que la candidature de M. David Duke au poste de gouverneur de Louisiane était particulièrement embarrassante pour le président George Bush et le Parti républicain. Newsweek (2) déplora « tout le mal que Duke fait au parti », tandis que le New York Times (3) titrait : « Le vote en faveur de l'ancien dirigeant du Klan est un message à un GOP [Grand Old Party, Parti républicain] souffrant ». Mais aucun des deux journaux n'évoqua le « mal » et la « souffrance » des Afro-Américains et de tous les gens de couleur qui avaient dû subir les coups d'une campagne raciste.
Plusieurs éditoriaux soulignèrent que la rhétorique de M. Duke reflétait celle de la majorité du Parti républicain, laquelle considère les aides sociales comme un « coûteux échec » et l'action affirmative (4) en faveur des minorités comme une « discrimination à l'égard des Blancs ». La dénonciation de M. Duke par le président Bush a eu bien plus d'échos que son incapacité à se distancier du mythe du « racisme inversé » que son administration a contribué à créer et que l'« ancien » nazi a habilement utilisé. Comme l'a reconnu un des plus proches conseillers du président américain dans les colonnes du Time (5), « certains d'entre nous auraient voulu mettre un terme à cette manière de diviser les gens et de les monter contre les Noirs, mais il est difficile de combattre une formule qui connaît un tel succès ».
La stratégie du GOP d'utiliser les gens de couleur comme boucs émissaires a été encouragée par une presse qui n'a pas fait grand-chose pour enrayer le mythe du « racisme inversé » contre les Blancs. Durant les dix dernières années, les pontifes de la télévision n'ont pas cessé de marteler le même refrain : « Pourquoi les Blancs devraient-ils payer pour les péchés du passé ? » Mais le racisme n'est pas un reliquat de l'Histoire. Il est bien vivant dans la société américaine, comme l'a montré un récent reportage de la chaîne ABC News. En suivant deux diplômés, l'un blanc l'autre noir, qui cherchent tous deux un emploi, un logement et à acheter une voiture, les caméras d'ABC ont livré un témoignage bouleversant sur la manière dont le Noir est partout victime de discriminations. Ce reportage est l'une des rares enquêtes sur ce sujet : si durant des semaines on avait multiplié les exemples - comme lorsqu'il s'agit de la guerre contre la drogue ou des fluctuations de la Bourse, - la télévision aurait permis de désamorcer les mensonges de M. Duke et des autres politiciens.
Qu'est-ce qui permet à un homme politique de dicter ses conditions à la télévision ?Sur les chaînes nationales, M. Duke a eu droit aux mêmes égards qu'une star de cinéma. Les journalistes l'ont rarement interrogé sérieusement sur sa pseudo-conversion du nazisme au catholicisme, qualifiée de ruse par d'anciens membres désabusés de son staff électoral. En accord avec le candidat, le journaliste Phil Donahue avait accepté de ne pas montrer de photos de lui en costume du Klan ou en short marron décoré de la swastika. Qu'est-ce qui permet ainsi à un homme politique de dicter ses conditions à la télévision ? Tout simplement l'audimétrie : son apparition était une bonne affaire pour les directeurs de chaînes avides de profit !
Aucun média national n'a demandé à M. David Duke d'expliquer ce qu'il voulait dire quand il parlait d'un programme à long terme pour duper les Américains. Il y a cinq ans, l'étudiante en doctorat Evelyn Rich enregistra la conversation de M. Duke avec un fanatique néonazi durant une conférence en Californie organisée par l'Institute for Historical Review, défenseur de la thèse selon laquelle l'Holocauste est un canular.
« Je répugne à être machiavélique affirmait-il, mais je vous suggère de ne pas trop parler de national-socialisme (...) en public. » Quand son interlocuteur lui demanda pourquoi, il répondit : « Je tente d'amener de nouvelles recrues (...). Si l'on vous traite de nazi, ça vous colle ensuite à la peau très longtemps. Ça met en cause votre capacité à communiquer avec elles. C'est malheureux que ce soit ainsi (...). Cela peut prendre des décennies de faire tomber ce gouvernement. »
Quand son collègue lui fit la remarque : « Il ne faut pas tellement de gens pour démarrer. Hitler a commencé avec quelques hommes » Duke retorqua : « C'est juste. Et ne pensez-vous pas que cela peut arriver maintenant si l'on trouve la bonne combinaison ? »
Trouver la bonne combinaison n'était pas une mince affaire, et il fallut en tester plusieurs avant que M. Duke et ses amis néonazis trouvent la solution. Ils s'inspirèrent d'un mouvement qui leur était proche, celui de M. Lyndon La Rouche, qui avait remporté plusieurs primaires au Parti démocrate en 1987. Ils choisirent une stratégie électorale multiforme, en s'infiltrant dans les deux partis traditionnels et en fondant leur propre organisation. M. Duke fit campagne pour l'élection présidentielle de 1988, d'abord sur la liste démocrate, puis comme candidat du Parti populiste. Quelques semaines plus tard, il fut élu représentant à ,la Chambre de Louisiane, cette fois comme républicain, avant de se porter candidat au poste de gouverneur en novembre 1991 Il a confirmé son intention de se lancer à nouveau dans la bataille pour la magistrature suprême.
L'ascension fulgurante de M. Duke n'est pas seulement, comme le prétend le New York Times (6), le produit d'une « fièvre particulière » à la Louisiane, mais l'aboutissement d'une stratégie des partisans de la suprématie blanche qui tentent de prendre le contrôle du GOP. A cette fin, de futurs politiciens sont dressés : Thom Robb, grand sorcier du Ku Klux Klan, a ouvert un camp de formation dans l'Arkansas pour ceux qui veulent suivre la voie de M. Duke. On leur apprend, selon M. Robb, « à bannir de leur langage la haine et tout ce qui risque de faire fuir les gens. Ils doivent polir leur langage et leur apparence ». Ne portant pas le fardeau du passé de M. Duke, ces jeunes gens ne seront pas identifiables comme des néonazis.
Une redistribution des forces de l'extrême droitePourtant, jusqu'à ce jour, les médias américains ont été incapables de suivre la trajectoire de la droite raciste, ses tactiques et ses objectifs, ses programmes à court et à long terme. Les journalistes ont aussi oublié d'enquêter sur la coopération grandissante entre eux et les fondamentalistes chrétiens qui sont divisés sur la question du soutien à Israël. L'appui des dirigeants locaux de la Coalition chrétienne de M. Pat Robertson à la candidature en Louisiane de M. Duke, antisémite notoire, pourrait annoncer une redistribution significative des forces de l'extrême droite.
Un autre facteur qui contribue à la relance de la droite raciste est sa collaboration avec l'organisation du Révérend Sung Myung Moon qui s'est assuré d'importantes positions au sein d'un Parti républicain où déjà de nombreux extrémistes anticommunistes d'Europe orientale, récupérés après la seconde guerre Mondiale par les États-Unis, jouent un rôle actif.
L'anticommunisme a longtemps été le ciment des diverses forces d'extrême droite. Maintenant que la guerre froide est finie, il risque d'être remplacé par la haine raciale, et les activités des néonazis, jusqu'à présent une frange marginale de la vie politique, pourraient devenir un facteur avec lequel il faudra compter. Combien de temps la presse américaine pourra-t-elle ignorer ou sous-estimer Cette réalité ?
(1) 15 novembre 1991.
(2) 4 novembre 1991.
(3) 23 octobre 1991.
(4) L'action affirmative (Affirmative Action) consiste à tenter de réparer les injustices du passé, mais sans en créer de nouvelles, en donnant aux minoritaires (Noirs et femmes notamment) des droits d'accès à la formation, à l'embauche et à la promotion égaux à ceux des hommes blancs.
(5) 25 novembre 1991.
(6) Il octobre 1991.
Montag, 20. Februar 2017
10.15 Uhr Treffen mit dem Vizepräsidenten der Vereinigten Staaten, Mike Pence (media advisory)
Dienstag, 21. Februar 2017
13.00 Uhr Treffen mit dem Präsidenten der Europäischen Kommission Jean-Claude Juncker
Mittwoch, 22. Februar 2017
11.00 Uhr Überreichung von Beglaubigungsschreiben durch Botschafter
Mega-mergers are once again all the rage – just as protectionist currents are gaining strength. Corporate dealmakers are running headlong into some treacherous politics. Some combustible merger-related battles are already playing out in Europe.
Shortly before Kraft Heinz ditched its $143bn pursuit of Unilever on Sunday, Downing Street desperately thinking of ways to shield the Anglo-Dutch group from the US cost-cutters. EU law would have made that difficult. But the sentiment is clear. Britain’s historic open door is no longer so open.
Read moreLe président de la Banque africaine d'import-export s'est rendu à Ouagadougou la semaine dernière pour apporter le soutien d'Afreximbank au Plan national de développement économique et social 2016-2020, mené par le président Roch Marc Christian Kaboré.
Cet article Plan de développement au Burkina : Afreximbank promet 1,5 milliard de dollars est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Professor George Pagoulatos wrote on the need to conclude the bailout review in the Sunday edition of Kathimerini. The article was published on 19 February 2017 and is available here.
Nemzetgazdasági Minisztérium
GFP Kiemelt Projektek Pénzügyi és Monitoring Főosztály
a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
pályázatot hirdet
közbeszerzési referens
munkakör betöltésére.
A kormánytisztviselői jogviszony időtartama:
határozatlan idejű kormánytisztviselői jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Budapest, 1139 Budapest, Váci út 83.
A közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III. 7.) Korm. rendelet alapján a munkakör betöltője által ellátandó feladatkörök:
35. sz. Európai uniós megnevezésű feladatkör szerint,
Ellátandó feladatok:
A munkatárs részére kiosztásra került közbeszerzés naprakész nyomon követése, és a közbeszerzési eljárás menedzselése során együttműködés a társterületekkel. Beérkező feladatok koordinálása, megfelelő priorizálása, Rendszeres adatszolgáltatás a jelentések készítéséhez, ad hoc jellegű információkérésekre válasz adása, Nyilvántartó rendszerek vezetése.
A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:
A közbeszerzéssel érintett pályázatok esetében a megvalósult eljárás szabályszerűségének vizsgálta. A hatályos közbeszerzési törvényben meghatározott feltételek alapján, a közbeszerzés szükségességének vizsgálta az egyes pályázatok vonatkozásában. Adatrögzítés informatikai rendszerekben. A tevékenységéhez közvetlenül és közvetetten kapcsolódó jogszabályok, rendeletek, eljárásrendek, kézikönyvek, a szervezet belső utasításainak, rendelkezéseinek pontos ismerete és biztonságos alkalmazása.
Jogállás, illetmény és juttatások:
A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2017. február 28.
A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Aponyi Benjamin nyújt, a 06 1 896 – 0368 -os telefonszámon.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázati eljárás, a pályázat elbírálásának módja, rendje:
A borítékon kérjük feltüntetni: NGM 2017_13 közbeszerzési referens (pályázó neve)”. Elektronikus úton az e-mail tárgyában kérjük feltüntetni: NGM 2017_13 közbeszerzési referens. A pályázatok a benyújtási határidőt követő 30 napon belül kerülnek elbírálásra. Határidőn túl, vagy hiányosan benyújtott pályázatokat nem áll módunkban figyelembe venni. A benyújtás határideje : Személyesen : 2017.02.28 16:00 óráig. Elektronikusan : 2017.02.28. éjfélig.
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. március 28.
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Amennyiben a pályázati felhívások szövegében eltérés található, a Nemzetgazdasági Minisztérium honlapján közzétett pályázati kiírás szövegét kell irányadónak tekinteni.
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a http://www.kormany.hu/hu/nemzetgazdasagi-miniszterium honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. február 1.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
Fejér Megyei Kormányhivatal
Pénzügyi és Gazdálkodási Főosztály Projekt Osztály
a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
pályázatot hirdet
projekt-szakmai referens
munkakör betöltésére.
A kormánytisztviselői jogviszony időtartama:
határozott idejű 2018. december 31-ig tartó kormánytisztviselői jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Fejér megye, 8000 Székesfehérvár, Piac tér 12-14.
A közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III. 7.) Korm. rendelet alapján a munkakör betöltője által ellátandó feladatkörök:
315/2016. (X. 20.) korm. rendelet 1. melléklet 13. pont Fejlesztési és projekt feladatkör
Ellátandó feladatok:
A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:
A Kormányhivatal induló KÖFOP közigazgatás fejlesztési projektje (Területi államigazgatási szervek egységes működését támogató rendszerfejlesztések program keretein belül az IRHAT gazdasági információs rendszer / projekt) esetében a projekt szakmai munkájában közreműködök munkájának összefogása, a projekt megvalósításának elősegítése. Elvárás, hogy a projekt tárgyi fejlesztései tekintetében a tervezési és végrehajtás során folyamatosan működjön közre a projekt vezetőivel, a konzorciumi partnerekkel, a megvalósításban közreműködőkkel a Projekt Alapító Dokumentumban, Támogatási Szerződésben egyéb dokumentumokban elvártak szerint. A fentiek kapcsán tervszerű előrehaladáshoz szükséges operatív döntések meghozatalához javaslatokat, véleményeket fogalmaz meg a projekt vezetés részére. Koordinálja és összehangolja a projekt-teamben a szakmai megvalósítok, részlegek (osztályok) munkáját a projekt vezetéssel egyeztettetve. . Közreműködik a projekt előrehaladását, projekt végrehajtás szakszerűségét és jogszerűségét, minőséget, tervezett határidők betartását, betartatását, előre meghatározott költség keretek közötti gazdálkodást elősegítő feladatok ellátásában
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A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázati eljárás, a pályázat elbírálásának módja, rendje:
A beküldött pályázatok megfelelőségi előszűrését (formai és tartalmi követelményeknek megfelelő pályázat) követően személyes interjúra kerül sor. A beérkezett pályázatokat a munkáltatói jogkör gyakorlója bírálja el. A kinevezésre 6 hónap, a munkaszerződés megkötésére 3 hónap próbaidő kikötésével kerül sor. A pályázókat a döntést követően írásban értesítjük. A munkáltató fenntartja a jogot, hogy a pályázatot eredménytelennek nyilvánítsa.
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. március 7.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A munkáltatóval kapcsolatos egyéb lényeges információ:
www.kormanyhivatal.hu/hu/fejer
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.kormanyhivatal.hu/hu/fejer honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. február 18.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
The Council agreed on a general approach to strengthen cooperation between national authorities responsible for the enforcement of consumer protection laws.
The objective of the proposal is to modernise cooperation mechanisms to further reduce the harm caused to consumers by cross-border infringements to EU consumer law.
In particular, effective consumer protection has to respond to the challenges of the digital economy and the development of cross-border retail trade in the EU.
Chairing the Council meeting, the Maltese Minister for the Economy, Investment and Small Business, Dr. Chris Cardona, stressed that consumer authorities must be equipped with the right tools to generate and preserve confidence in the internal market. "This proposal is about trust, trade and innovation. Trust in e-commerce by consumers and companies is essential if the European economy is to grow", he added.
This revision of the existing Consumer Protection Cooperation framework will give more powers to national authorities which may for example check if websites geo-block consumers, order the immediate take-down of websites hosting scams or request information from domain registrars and banks to detect the identity of the responsible trader.
In case of EU-wide breaches of consumer rights, national enforcement authorities and the Commission will coordinate common actions to stop these practices, in particular in cases of widespread infringements with Union-dimension which are likely to harm consumers in a large part of the EU.
Consumer trust in e-commerceIneffective enforcement of cross-border infringements, in particular in the digital environment, enables traders to evade enforcement by relocating within the Union, giving rise to a distortion of competition for law-abiding traders operating either domestically or cross-border, and thus directly harming consumers and undermining consumer confidence in the single market.
An increased level of harmonisation setting effective and efficient enforcement cooperation among public enforcement authorities is therefore necessary to detect, investigate and order the cessation of intra-Union infringements and widespread infringements.
In order to further harmonise practices across the EU, the future regulation will set out a number of minimum investigation and enforcement powers that every national competent authority will have to be able to exercise in order to coordinate properly in the fight against infringements.
These powers will strike a balance between the interests protected by fundamental rights such as a high level of consumer protection, the freedom to conduct business and freedom of information.
The mutual assistance mechanism between administrations will be strengthened to establish whether an intra-EU infringement has occurred and to bring about the cessation of that infringement.
An improved alert mechanism will allow a competent authority to notify without delay the Commission and other competent authorities of any reasonable suspicion that an intra-Union infringement or widespread infringement is taking place on its territory that may affect consumers' interests in other member states.
Competent authorities will also be able to open investigations on their own initiative if they become aware of intra-Union infringements or widespread infringements by means other than individual consumer complaints.
Catching up with the digital economyOn 25 May, the Commission presented the proposal on the review of the consumer protection cooperation as part of a broader package including proposals on cross-border parcel deliveries and on tackling unjustified geo-blocking.
Currently, regulation 2006/2004 provides for harmonised rules and procedures to facilitate cooperation between national authorities responsible for the enforcement of cross-border consumer protection laws.
The scope of the 2004 regulation covers 18 pieces of consumer legislation, including: provisions to protect consumers from unfair and misleading commercial communication; ensuring that consumers are adequately informed before making purchasing decisions; providing appropriate protection when entering contracts with businesses; as well as complaint and redress mechanisms and access to justice.
However, following a review on the effectiveness of regulation 2006/2004, the Commission concluded it no longer effectively addresses the enforcement challenges of the digital single market.
The 2015 digital single market strategy identified the need to enhance consumer trust through more rapid, agile and consistent enforcement of consumer rules as one of its priorities.
Next stepsThe general approach enables the Council to start discussions with the European Parliament under the EU's ordinary legislative procedure.
The internal market and consumer protection committee of the European Parliament (IMCO) has announced a vote on its position on 21 March 2017.
Budapesti Műszaki Szakképzési Centrum
a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény 20/A. • alapján
pályázatot hirdet
pénzügyi, pályázati referens
munkakör betöltésére.
A közalkalmazotti jogviszony időtartama:
határozatlan idejű közalkalmazotti jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Budapest, 1146 Budapest, Thököly út 48-54.
A munkakörbe tartozó, illetve a vezetői megbízással járó lényeges feladatok:
A Budapesti Műszaki Szakképzési Centrum szervezeti egységében és tagintézményeinek hazai és nemzetközi pályázataival, valamint az egyéb projektekkel kapcsolatos adminisztratív és pénzügyi feladatok ellátása, pénzügyi folyamatok nyomon követése. A pénzügyi csoport munkájában történő segítségnyújtás, adatbekérések és adatszolgáltatások készítésében való közreműködés.
Illetmény és juttatások:
Az illetmény megállapítására és a juttatásokra a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2017. február 28.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. március 1.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. február 13.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a munkáltató által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis wrote an article in the Sunday edition of Kathimerini on the Greek crisis. This article was published on 19 February 2017 and is available here (in Greek).
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