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Rencontre Macron-Poutine : un « reset » de la relation diplomatique franco-russe ?

IRIS - mer, 31/05/2017 - 10:35

Cette rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine marque-t-elle un reset de la relation franco-russe ?

Incontestablement, cette rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine marque un reset qui remet le jeu à zéro entre les deux pays. En effet, depuis un peu plus d’un an, les diplomaties française et russe ne se parlaient plus ou seulement pour ne rien dire. Cela pouvait s’expliquer par la perspective des élections, les Russes ayant toujours tendance à vouloir attendre le prochain président pour parler. Cela s’expliquait aussi par les accusations portées concernant le bombardement d’Alep, ainsi que la référence à la Cour pénale internationale.

Cette visite de Vladimir Poutine est un très beau coup diplomatique pour Emmanuel Macron. Elle intervient dans un contexte particulièrement favorable dans la mesure où les Russes constatent qu’ils ne peuvent plus se fonder sur Donald Trump pour faire bouger les choses ; que leur relation avec Angela Merkel est mauvaise ; et que les relations entre Berlin et Washington se sont elles-mêmes détériorées.

Dès lors, la France, sa diplomatie et son président apparaissent pour Moscou comme un pôle autour duquel on peut bâtir quelque chose. Il faut attendre de voir ce que cela va donner mais ce qui est sûr, c’est que ce reset entre la France et la Russie était nécessaire et qu’à partir de maintenant, beaucoup de possibilités s’ouvrent.

La lutte contre le terrorisme constitue-t-elle la pierre angulaire d’une coopération entre Moscou et Paris ? La « ligne rouge » évoquée par Macron à propos de la Syrie sera-t-elle partagée par Poutine ?

Le terrorisme est un problème vital pour la France et la Russie. Cet enjeu représente aussi la base à partir de laquelle on peut bâtir quelque chose car sur l’Ukraine, tout le monde sait que les négociations vont être difficiles ; tandis que sur la Syrie, les approches restent encore très différentes. La lutte contre le terrorisme représente donc le point de rencontre et figure dans l’ordre du jour comme le point positif sur lequel Paris et Moscou peuvent dès à présent commencer à travailler.

À ce sujet, la France avait déjà raté quelques occasions dans le passé puisque François Hollande avait déclaré qu’il fallait se concerter avec la Russie, sans que cela n’aboutisse. Jusqu’à présent, la « déconfliction » – mesures pour faire en sorte que les avions français allant bombarder Daech ne soient pas interceptés par des avions ou fusées russes ou d’autres pays – par la France se faisait indirectement via les États-Unis, qui présentent, eux, un vrai processus de déconfliction avec Moscou. Dans la lutte contre le terrorisme, la France n’a donc pas su utiliser cette fonction pour se rapprocher des Russes.

La ligne rouge a été concertée au sein du G7 et sans doute de l’OTAN. Elle symbolise une approche punitive consistant à dire qu’il est inhumain d’utiliser les armes chimiques et donc qu’il faut y réagir. Ce rappel de Macron est une référence, voire une critique, implicite envers François Hollande qui avait annoncé qu’il ne laisserait pas passer sans réagir des bombardements chimiques, alors que finalement il n’a rien fait à partir du moment où les États-Unis ont décidé de ne pas réagir. Emmanuel Macron, au contraire, affirme que la France réagira, y compris toute seule. Il est plutôt symbolique, à la fois dans l’annonce et dans la réaction, de dire que Paris ne dépendra pas des autres pays pour réagir.

Comment se profile l’évolution du dossier ukrainien ? Macron peut-il apporter une désescalade des tensions ?

Cela fait maintenant plus d’un an que plus rien ne bouge sur le dossier ukrainien. Beaucoup de raisons peuvent l’expliquer. La première est l’inversion des termes des accords de Minsk par les Ukrainiens, qui subordonnent les mesures politiques qu’ils doivent prendre à des mesures de sécurité – celles-ci figurent certes dans les accords de Minsk mais seulement dans les derniers points de la séquence temporelle prévue.

Deuxièmement, les Russes n’ont absolument pas eu l’intention de faire le moindre effort en attendant l’arrivée des nouveaux pouvoirs aux États-Unis et en France. Moscou a notamment fait peu d’efforts en ce qui concerne les propositions allemandes et françaises de créer une feuille de route mettant ensemble les concessions à faire par les Ukrainiens et par le Donbass, en jouant sur des simultanéités partielles pour essayer de faire avancer le dossier. Maintenant, les relations russo-américaines sont sujettes à beaucoup d’interrogations.

Le format Normandie et les accords de Minsk deviennent donc le seul point d’ancrage pour une solution éventuelle au problème de l’Ukraine. L’Europe, et la France en particulier, retrouvent leur rôle, ce qui est plutôt positif pour l’avenir.

Elhunyt Hetényi József, Esterházy János rabtársa

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - mer, 31/05/2017 - 10:16
CELLDÖMÖLK. Életének 89. évében elhunyt Hetényi József, Esterházy János rabtársa – tájékoztatott a pazmaneum.com portál.

Miniszteri és parlamenti közalkalmazottaknak és a múzeumokban dolgozó szakembereknek is növelnék a béralapjukat

Erdély FM (Románia/Erdély) - mer, 31/05/2017 - 10:14

 Az egységes bértörvény tervezethez több módosítást is elfogadott a képviselőház munkaügyi bizottsága. Ezek alapján 15 százalékkal magasabb béralapot határoznának meg a környezetvédelmi és az egészségügyi minisztérium alkalmazottainak és 10 százalékkal többet a parlamenti közalkalmazottak számára. Egy másik módosítás alapján a múzeumokban dolgozó szakemberek, régészek, kutatók fizetését 100 és 800 lej közötti összeggel növelnék 2020-ig, ezáltal 4.800 és 5.500 lej közötti fizetésük lehet. Ezzel szemben a kormány változatában 4.300 és 5.300 közötti összeg szerepel. Lia Olguţa Vasilescu munkaügyi miniszter a héten azt nyilatkozta, hogy a jövő héten szavaz a képviselőház plénuma a jogszabályról és ez várhatóan augusztus elsejétől lép majd életbe.

La France et le monde après l’élection présidentielle : un parfum de Méditerranée


Article paru dans L'Orient Le Jour  (Beyrouth)

Emmanuel Macron a donc remporté l'élection présidentielle française, et nommé son Premier ministre, lequel a constitué son gouvernement. Plusieurs constats provisoires peuvent être dressés, en attendant l'installation ou la confirmation des équipes. En premier lieu, la France ne connaîtra pas le grand aggiornamento, voire le changement d'alliance, que la victoire d'autres candidats aurait pu impliquer. Ensuite, des inflexions subtiles sont tout de même notables, qu'il convient de prendre au sérieux. Enfin, la connaissance de la Méditerranée et du Proche-Orient est solide dans les nouvelles équipes présidentielles et gouvernementales.

Une ligne gaullo-mitterrandienne?
Contrairement à ceux des candidats qui prônaient un rapprochement fort avec Moscou (François Fillon), parfois jusqu'à l'alliance (Le Pen, Mélenchon), le nouveau président a rappelé son attachement à l'Alliance atlantique (en dépit de réserves sur l'actuel président américain), et surtout, l'ancrage européen de la France. Pour le Proche-Orient, cela signifie que l'option d'un soutien français au régime syrien de Bachar el-Assad et à son allié iranien s'éloigne. Entre virage poutinien et fuite en avant néoconservatrice, il semble qu'un retour à une tradition gaullo-mitterrandienne, qui avait prévalu jusqu'à la fin du second mandat de Jacques Chirac, se soit finalement imposé.
La nomination de Jean-Yves le Drian aux Affaires étrangères est celle d'un homme qui, en tant que ministre de la Défense de François Hollande, a préparé des frappes sur le régime de Damas en 2013, et regretté qu'elles n'aient pas eu lieu (en raison du recul américain, comme on le sait). L'arrivée de Sylvie Goulard à la défense est celle d'une femme pour qui l'Europe a compté plus que tout dans sa carrière. On peut imaginer que la dimension euro-méditerranéene ne lui est pas étrangère.

Changements de titulaires, changements d'appellation
Conclure à la pure continuité serait néanmoins erroné. De toute évidence, les nouveaux maîtres de l'exécutif n'ont pas souhaité que des habitudes s'installent ou soient considérés comme acquises sur certains dossiers. Le Drian aurait pu rester à la Défense, et Sylvie Goulard être nommée aux Affaires européennes. Par ailleurs, le portefeuille du premier s'intitule désormais « Europe et affaires étrangères », et celui de la seconde « ministère des Armées ».
Sans préjuger de la pratique à venir, on entrevoit de possibles implications dans le changement de sémantique. L'Europe est une priorité, et elle n'est pas tout à fait « étrangère ». La défense est certes un ensemble d'enjeux qui ne sont pas tous purement militaires (lutte contre les cyberattaques, renseignement antiterroriste...), mais la dimension armée en est totalement assumée, avec ses implications (interventions extérieures par exemple) et la nécessité de pendre soin de son outil (les hommes comme les matériels).

Un Orient familier
Parmi les quelques déplacements à l'étranger effectués par le nouveau président au cours de sa campagne électorale, pas moins de quatre ont eu lieu dans le monde arabe : Tunisie, Liban, Jordanie, Algérie (les autres ont eu lieu en Allemagne, au Royaume-Uni ou aux États-Unis). Dans les équipes élyséennes et les cabinets ministériels directement en lien avec l'international, on devrait compter plusieurs connaisseurs du Moyen-Orient, dont des diplomates qui ont été en poste au Liban. Ailleurs, le nouveau ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, fut aux côtés de Dominique de Villepin, dont on connaît l'attachement à la région Méditerranée. La nouvelle ministre de la Culture Françoise Nyssen, patronne des éditions Actes Sud, n'est pas non plus, à ce titre, dénuée de sensibilité pour cette zone.
Cela ne permet aucunement de prédire la politique qui sera mise en œuvre et qui sera, comme toujours, dictée par les soubresauts de l'actualité internationale. Par ailleurs, les élections législatives constitueront un moment charnière pour l'avenir de cette équipe. Mais à tout le moins, il est permis de penser que le Proche-Orient ne sera ni un objet de découverte ni d'indifférence dans le quinquennat qui s'annonce.

Après l’élection : réconcilier les Français avec le monde



Article paru dans The Conversation

Sur le plan de la seule politique française, le premier constat de cette élection aux rebondissements inédits a déjà été établi, et ses ressorts seront disséqués par les spécialistes de sociologie électorale : le Président élu, Emmanuel Macron, représentait à 39 ans la nouveauté et donc l’inconnu dans cette campagne. Les candidats des deux partis de gouvernement ont été désavoués, terminant troisième (François Fillon) et cinquième (Benoît Hamon) de la compétition. Marine Le Pen a réussi pour la deuxième fois en quinze ans à porter l’extrême droite au second tour de l’élection présidentielle, incarnant davantage la colère que la nouveauté (depuis 1974). Depuis 43 ans, il y a toujours eu un candidat de la famille Le Pen aux présidentielles, à l’exception de 1981.
Mais le regard doit se porter aussi sur les significations internationales de la campagne. Le débat, les prises de position des principaux candidats, ont montré des inflexions importantes dans le rapport que la France entretient avec le monde.
De la peur de la mondialisation à la tentation autoritaire ?Sur les quatre candidats arrivés en tête du premier tour, et qui rassemblaient près de 85 % des suffrages exprimés, trois d’entre eux ont développé un message critique à l’égard de l’Union européenne, dont deux – Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon – particulièrement virulents, remettant en cause l’idée européenne elle-même. Il faut, en réalité, ajouter à cette dynamique les scores de la plupart des petits candidats (Dupont-Aignant, Asselineau, Cheminade…). A part Emmanuel Macron et Benoît Hamon, l’immense majorité des candidats de l’élection de 2017 n’adhérait donc plus au projet européen tel qu’actuellement développé.
Sur cette thématique portée courageusement compte tenu de l’atmosphère générale, Emmanuel Macron était bien seul. Il l’a emporté largement, à la fois par rejet du FN, et par crainte de l’aventurisme-amateurisme de sa dirigeante sur des questions comme celle de l’euro. Pour autant, sa victoire ne vaut pas résurrection soudaine de l’enthousiasme européen en France.
On retrouve plus largement, chez les mêmes candidats (Le Pen, Mélenchon, Fillon dans une moindre mesure, plus Dupont-Aignan et quelques autres moins significatifs), la tentation d’une rupture en matière de politique étrangère, parfois jusqu’au retournement d’alliance, autour d’un ensemble rhétorique mêlant critique de la domination américaine, volonté d’une révision de notre relation à l’OTAN, et surtout souhait d’un rapprochement fort avec la Russie de Vladimir Poutine.
Les liens assumés de plusieurs candidats (surtout Le Pen, Fillon, Mélenchon) avec le dirigeant du Kremlin, le soutien qui leur a été apporté par les médias pro-russes (de Sputnik à RT), la proposition reprise par deux candidats (Mélenchon et Fillon) d’une conférence sur les frontières en Europe de nature à entériner les avancées russes en Ukraine et en Géorgie, auraient été difficilement imaginables sans réaction notable, il y a encore cinq ans.
Cette affinité avec le dirigeant russe va de pair avec un discours porté sur la restauration de l’autorité, et pour certains (Fillon, Le Pen) avec la défense de la chrétienté, qui amène ainsi à proposer de soutenir le régime de Bachar al-Assad au nom de la protection des chrétiens d’Orient. Au final, c’est bel et bien un rapprochement avec des régimes au mieux semi-autoritaires qui est en vogue. Là encore, Emmanuel Macron aura été presque le seul candidat à souligner la dimension positive de l’appartenance au projet européen, et à un projet démocratique libéral. Cela représentait 24 % des suffrages exprimés au premier tour.
La nécessité d’un message fort Lire la suite dans The Conversation 

[Revue de presse] Assistants parlementaires : poursuivi par la justice, le FN dénonce 19 eurodéputés

Toute l'Europe - mer, 31/05/2017 - 09:56
A dix jours du premier tour des élections législatives, les affaires politico-judiciaires semblent repartir de plus belle. Le Parisien et Le Figaro ont révélé mardi 30 mai que 19 eurodéputés, dont la nouvelle ministre des Affaires européennes Marielle de Sarnez, font l'objet d'une enquête préliminaire du parquet de Paris pour "abus de confiance", après dénonciation d'une élue FN. Un nouveau rebondissement qui intervient alors que le Front national est lui-même visé par des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen et que Marine Le Pen refuse pour l'heure de répondre aux convocations des juges.
Catégories: Union européenne

État d'urgence en France : Amnesty International dénonce de nombreux abus

France24 / France - mer, 31/05/2017 - 09:49
Dans un rapport publié mercredi, Amnesty international dénonce des entraves faites à la liberté de manifester de certains citoyens, sous couvert de l'état d'urgence, en vigueur en France depuis le 13 novembre 2015.
Catégories: France

A dohányzás májkárosodást okozhat a magzatoknál

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - mer, 31/05/2017 - 09:48
LONDON. Egy új kutatás szerint az anya terhesség alatti dohányzása különösen káros a méhében fejlődő magzat májára - írta a BBC News.

Még minden furcsa – megjöttek Afrikából és szerdán már itthon műtenek a magyar missziós orvosok

Afrikai Magyar Egyesület - mer, 31/05/2017 - 09:42

www.globoport.hu

Egész éjjel és még délelőtt is úton voltak, reggel viszont már itthon várnak rájuk újabb műtétek. Hazaérkezésük után a Magyar Afrika Társaság székházában találkoztunk a 15. orvosi misszió tagjaival. Akiknek most egy ideig minden furcsa lesz.

Tovább a cikkre

 

A Magyar Afrika Társaság 15. orvosi missziójának kiemelt együttműködő partnere a Victofon Hallásjavító Kft.
További támogatóink: Erdős és Fiai Cukrászda, Heinz Kurtz GmbH Medizintechnik, Pécsi Tudományegyetem.
Ezúton is minden támogatónak köszönjük a misszióhoz nyújtott segítséget!

Catégories: Afrika

Richard Ferrand ne démissionnera pas car il a sa "conscience pour lui"

France24 / France - mer, 31/05/2017 - 09:30
"Tout ce que j'ai fait dans ma vie professionnelle est légal, public, transparent", a clamé mercredi Richard Ferrand, refusant de démissionner. Le ministre est empêtré dans une polémique au sujet d'une transaction immobilière impliquant sa compagne.
Catégories: France

Zajlik a 42. Duna Menti Tavasz

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - mer, 31/05/2017 - 09:30
DUNASZERDAHELY. Május 30. és június 2. között 42. alkalommal rendezik meg az amatőr gyermek báb- és színjátszó csoportok seregszemléjének, a Duna Menti Tavasznak az országos döntőjét.

Akik nem tartják be az uniós jogállamiságra vonatkozó irányelveket, ne kaphassanak uniós finanszírozást

Erdély FM (Románia/Erdély) - mer, 31/05/2017 - 09:22

 Egy német Európai Bizottsági tervezet alapján, mely az uniós költségvetést és a támogatási források reformját célozza, azt szeretnék, hogy azok a tagállamok, melyek nem tartják be a jogállamiság alapelveit és a bizottság gazdasági ajánlásait, ne részesülhessenek uniós finanszírozásban. Günther Oettinger az EB költségvetési biztosa szerint meg kell vizsgálni, hogy milyen formában lehet feltételekhez kötni a finanszírozások odaítélését, illetve mértékét, derül ki a Reuters hírügynökséghez eljuttatott információkból. Magyarország és Lengyelország figyelmét már többszörösen felhívta az unió a jogállamiság betartására. Románia és Bulgária politikai, gazdasági és jogi rendszerét pedig minden évben monitorizálják.

Üdvözlik a nyelvi jogok bővítését, de a hiányosságokra is felhívják a figyelmet a civil szervezetek

Erdély FM (Románia/Erdély) - mer, 31/05/2017 - 09:22

 A Civil Elkötelezettség Mozgalom, az Identitás Szabadságáért Jogvédő Csoport, és a Politeia egyesület közleményben üdvözli az RMDSZ nyelvi jogok bővítést célzó jogszabálytervezetét, de szerintük ebben több hiányosság is van. A civilek szerint több részlet is hiányos a valós gyakorlatba ültetéshez. Ahhoz, hogy előrelépés legyen e téren, elsősorban a szóbeli és írásbeli ügyintézés gyakorlatát, a formanyomtatványok és a többletköltségek biztosítását kell megoldani. Az RMDSZ május 23-án nyújtotta be a parlamentben a közigazgatási törvényt módosító javaslatát, mellyel az anyanyelvhasználati jogokat kívánja bővíteni. Ebben a jelenlegi 20 százalékos arányról 10 százalékra akarják csökkenteni a nyelvhasználati jog küszöbét, illetve szankciókat is megszab, ha nem alkalmazzák a jogszabály előreírásait.

EU plant kostenlose "WiFi4EU"-Hotspots – Einigung mit EP

Europäischer Rat (Nachrichten) - mer, 31/05/2017 - 09:21

Der maltesische Vorsitz hat heute eine informelle Einigung mit dem Europäischen Parlament über die von der EU finanzierte Initiative "WiFi4EU" zur Förderung kostenloser Internetzugänge in Rathäusern, Krankenhäusern, Parks und anderen öffentlichen Räumen erzielt. Damit wird den Nutzern künftig über ein leicht erkennbares, mehrsprachiges WiFi4EU-Portal eine kostenlose sichere Hochgeschwindigkeits-Internetverbindung zur Verfügung stehen. Gemeindeverwaltungen oder sonstige öffentliche Stellen, die die Internetverbindung anbieten, können das Portal nutzen, um einen einfachen Zugang zu ihren digitalen Dienstleistungen bereitzustellen.

"WiFi4EU bietet vielen Bürgerinnen und Bürgern ein schnelles Internet, denen sonst keine hochwertige Netzanbindung zur Verfügung stehen würde", erklärte der maltesische Minister für Wettbewerbsfähigkeit und digitale Wirtschaft, Meereswirtschaft und Dienstleistungswirtschaft, Emmanuel Mallia. "Die Initiative wird die Nutzung digitaler Dienstleistungen fördern und die digitale Kluft verringern – auch an Orten mit beschränktem Internetzugang."

Rat und Parlament haben sich nun darauf verständigt, wie das System aussehen soll; die Finanzausstattung wird jedoch erst im Rahmen der laufenden Halbzeitüberprüfung des mehrjährigen Finanzrahmens der EU endgültig geregelt.

Gemeindeverwaltungen, Bibliotheken, Krankenhäuser und andere öffentliche Stellen sollen mit geringem bürokratischem Aufwand Finanzmittel für die Installation lokaler drahtloser Zugangspunkte beantragen können. Die öffentliche Stelle wird selbst für die Instandhaltung des Zugangs während mindestens drei Jahren verantwortlich sein. Mit einfachen Finanzierungsinstrumenten wie z. B. Gutscheinen werden bis zu 100 % der förderfähigen Kosten gedeckt.

Die Mittel werden – grundsätzlich nach dem Windhundprinzip – in geografisch ausgewogener Weise in den EU-Ländern zugeteilt. Jedoch können Antragsteller aus Ländern mit niedriger Beteiligungsrate bis zu einem gewissen Grad bevorzugt behandelt werden.

Um zu verhindern, dass die finanzielle Unterstützung Wettbewerbsverzerrungen bewirkt oder private Investitionen abschreckt, werden nur Projekte gefördert, die keine bereits existierenden privaten oder öffentlichen Internet-Angebote duplizieren.

Die Einigung über die Finanzausstattung und die Fertigstellung der technischen Arbeiten sollen rechtzeitig erfolgen, damit das System bis Ende 2017 betriebsbereit ist.

Der Vorsitz wird den Mitgliedstaaten die Ergebnisse der heutigen Gespräche in den kommenden Wochen zur Billigung vorlegen, damit das Projekt wie geplant anlaufen kann.

Catégories: Europäische Union

Terrortámadást hiúsítottak meg Párizsban

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - mer, 31/05/2017 - 09:11
PÁRIZS. Hírügynökségi jelentések szerint három embert vettek őrizetbe francia rendőrök, éppen azelőtt, hogy egy pokolgépet felrobbantottak volna egy buszon a francia főváros egyik kávézója mellett.

Dictionnaire de stratégie

Politique étrangère (IFRI) - mer, 31/05/2017 - 09:00

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°1/2017). Rémy Hémez, chercheur au sein du Laboratoire de Recherche sur la Défense (LRD) de l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage d’Arnaud Blin et Gérard Chaliand, Dictionnaire de stratégie (Perrin, 2016, 1120 pages).

La réédition en poche de ce Dictionnaire de stratégie écrit par Arnaud Blin, stratégiste et historien, et Gérard Chaliand stratégiste lui aussi et spécialiste des conflits asymétriques, constitue un petit événement. Il s’agit là d’une nouvelle édition d’un ouvrage de référence paru en 1998 et épuisé depuis longtemps, qui n’est pas une simple réimpression mais une mise à jour, avec l’ajout d’une vingtaine d’entrées inédites, dont : « Daech », « 11 Septembre », « Drone » ou encore « Cyberguerre », échos des évolutions stratégiques de ces vingt dernières années.

On retrouve dans ce dictionnaire les entrées traitant des théories et principes de la stratégie, de la typologie des guerres, des grands capitaines ou des batailles majeures. Chaque article est suivi d’une courte bibliographie. Sont annexées à l’ouvrage une chronologie des grandes batailles de l’histoire, mises en parallèle avec les principaux ouvrages stratégiques et doctrines militaires, ainsi qu’une longue bibliographie qui a été mise à jour.

Dans une nouvelle introduction qui sert de fil directeur à l’ouvrage, les auteurs cherchent à dresser une généalogie mondiale de la stratégie, renouant ainsi avec une vision globale à laquelle Gérard Chaliand nous a habitués au moins depuis son Anthologie mondiale de la stratégie. Cette généalogie est d’abord parcellaire, « les civilisations restant en général murées sur elles-mêmes », mais comprend les classiques militaires chinois, ou encore les écrits byzantins au Moyen Âge. La Renaissance voit les Européens renouer avec l’Antiquité. Au XVIIIe siècle, la pensée stratégique européenne s’épanouit. Les idées révolutionnaires apportent le concept de guerre absolue. Le premier tiers du XIXe siècle et l’industrialisation provoquent de profonds changements, donnant en particulier au feu une puissance redoutable. Cette époque est d’une exceptionnelle fécondité stratégique (Moltke, Ardant du Picq, Mahan, etc.). Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, les penseurs se familiarisent avec la pensée stratégique, prenant en compte les réflexions sur l’histoire passée, les campagnes militaires, la géographie, la technologie, etc. La fin de la Seconde Guerre mondiale marque une rupture plus importante encore que celle de la Révolution : avec le feu nucléaire, une révolution qualitative et non plus quantitative est en marche, qui oblige la stratégie à se penser en termes nouveaux.

Dans cette même introduction les auteurs reviennent sur l’évolution de la guerre depuis 1998. Au cours de cette période, le fiasco irakien et l’échec relatif en Afghanistan ont souligné la difficulté, pour les États les plus puissants technologiquement, à produire des stratégies efficaces. Par ailleurs, aux conflits idéologiques du XXe siècle ont succédé, non sans surprise, des conflits à caractère religieux. Les progrès technologiques continuent de peser sur les stratégies : révolution informatique, robotisation, cyber, etc. Mais la nature même de la guerre n’a pas changé, et elle reste « l’arbitre final des relations internationales ».

Ce Dictionnaire de stratégie – même si l’on eût aimé une mise à jour plus générale – reste donc une référence incontournable pour tous ceux qui s’intéressent à ce domaine, à la guerre ou aux relations internationales. Son rapport qualité/prix imbattable le rend de plus très attractif.

Rémy Hémez

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Un nouveau code minier pour le Sénégal

Afrik.com - mer, 31/05/2017 - 08:56
Catégories: Afrique

Juncker elismerte, hogy miniszterelnöksége idején hibázott

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - mer, 31/05/2017 - 08:53
BRÜSSZEL. Jean-Claude Juncker, az Európai Bizottság elnöke az Európai Parlament pénzmosással, adóelkerüléssel és az adókijátszással foglalkozó vizsgálóbizottságának keddi ülésén elismerte, hogy luxembourgi miniszterelnöksége idején "elhanyagolták" tisztességes adóversenyt.

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