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US Navy to use Esri technology with unmanned vehicles for operational intelligence

Naval Technology - mar, 06/06/2017 - 01:00
The US Navy is set to use Esri's advanced location intelligence technology with its unmanned vehicles to enhanced the systems' operational intelligence.
Catégories: Defence`s Feeds

The Years of Terror (I)

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - mar, 06/06/2017 - 00:00
(Own report) - With its continued worldwide support for Salafis, Germany's close partner, Saudi Arabia, is relentlessly fertilizing the soil for the growth of jihadi terror, according to the German Institute for International and Security Affairs (SWP). "The consequences of Saudi Arabia's support for Salafism are catastrophic," the SWP concludes in light of IS/Daesh activities in Europe. British experts are also sharply criticizing cooperation with Riyadh. If one seriously wants to combat jihadi terror, one "should start by stopping the mass export of Wahhabism's intolerance and hatred from Saudi Arabia," an insider recommends. This is, however, countered by Germany, other European powers and North America's relentless cooperation with the Saudi ruling clan. Just a few weeks ago, Chancellor Angela Merkel launched regular military cooperation with the Saudi armed forces. Out of consideration for Riyadh, the British government has been withholding an investigation, showing the - presumably Saudi - financiers of British jihadis. This had been made known only three days before the latest terror attack in London.

Polémique sur les "kwassa-kwassa" : Macron et son homologue comorien prônent "l'apaisement"

France24 / Afrique - lun, 05/06/2017 - 22:18
Emmanuel Macron et son homologue comorien ont prôné lundi "l'apaisement" après les propos polémiques du président français sur les "kwassa-kwassa". Le ministre comorien des Affaires étrangères avait auparavant exigé des excuses.
Catégories: Afrique

Législatives 2017 : raz-de-marée LREM chez les Français de l’étranger

France24 / France - lun, 05/06/2017 - 21:18
Premiers appelés à se rendre aux urnes pour le premier tour des législatives, samedi 3 et dimanche 4 juin, les Français de l’étranger ont plébiscité les candidats de La République en marche dans la quasi-totalité de leurs onze circonscriptions.
Catégories: France

Elemi rehabilitációs szolgáltatás biztosítása látássérült személyek számára / LSER2017

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:18
A pályázati program célja az elemi rehabilitációs jogszabály elfogadásáig az átmeneti idő-szakra az elemi rehabilitációs szolgáltatás biztosítása és a készülő jogszabály alapján a szolgáltatás átszervezése. A pályázati program célja a látássérült személyek számára nyújtott elemi rehabilitációs szolgáltatás biztosításához szükséges feltételek megteremtése, a szolgáltatás folyamatos működésének biztosítása.
Catégories: Pályázatok

Szülősegítő szolgáltatások támogatása / SZÜLŐ2017

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:17
A pályázati program célja a fogyatékos gyermekeket és felnőtteket nevelő szülők, családok, valamint a fogyatékos szülők részére, az ő igényeikre reagáló szolgáltatások támogatása.
Catégories: Pályázatok

Filmművészet Kollégiuma pályázata - art mozik szakmai programjainak és a programok promóciójának támogatása

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:11
Pályázati cél: "Art" mozik szakmai programjainak (magyar "art"- besorolású filmek, összeállított sorozatok, életműsorozatok, tematikus sorozatok, filmhetek, nemzeti filmnapok) és a programok promóciójának támogatására, az "art" mozik programjainak és közönségkapcsolatainak javítása érdekében.
Catégories: Pályázatok

Iskolatitkárok/Óvodatitkárok új, megváltozott feladatai - szakmai tréningen (kedvezményes) részvétel

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:10
A kiíró pályázatot hirdet szakmai tréningen való támogatott (kedvezményes) részvételre
Catégories: Pályázatok

Könyvkiadók részvétele a Mária-program VII. fordulójában

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:10
A könyvszakmai projekt célja: a nemzeti kultúrkincs megőrzése, a hazai és a határon túli magyar kiadók által megjelentetett, értéket képviselő könyvek eljuttatása minél több olvasóhoz a hazai és a határon túli könyvtárakon keresztül; az olvasáskultúra fejlesztése.
Catégories: Pályázatok

Közgyűjtemények Kollégiuma címzett pályázata - hagyatékok és gyűjtemények megszerzése

PAFI - lun, 05/06/2017 - 21:10
Pályázati cél: Külföldön található, a magyar történelem, irodalom, művelődés- és tudománytörténet szempontjából jelentős hagyatékok és gyűjtemények megszerzésének, hazaszállításának és közgyűjteményben történő elhelyezésének, illetve ilyen típusú projektek előkészítésének az Ithaka-program keretében megvalósuló támogatására.
Catégories: Pályázatok

De mars 2014 à juin 2017, la descente aux enfers du Parti socialiste

Le Figaro / Politique - lun, 05/06/2017 - 21:04
INFOGRAPHIE - Les prochaines élections législatives représentent la grande peur du PS qui il y a encore 5 ans avait la main sur toutes les institutions du pays.
Catégories: France

Ivan Savvidis: The defeat of a Russian oligarch by a Greek ship-owner

Balkanblog.org - lun, 05/06/2017 - 20:53
Published 19:43 June 4, 2017 Updated 19:43 June 4, 2017 The defeat of a Russian oligarch by a Greek ship-owner By Kassandra Legendary EU insider, uncovering the deepest and darkest realities of EU governance and administration It was last Wednesday that ship-owner Vaggelis Marinakis bought Greece’s historical media group, the Lambrakis Press Organisation (DOL), by tendering the most competitive bid. Marinakis is the new owner of Greece’s most historical and troubled newspapers, TA NEA and TO VIMA, as well as a 22.11% stake in private MEGA TV, one of Greece’s most popular private channels, which had hardly been hit by the crisis when its past owners abandoned it to its […]
Catégories: Balkan News

Le Maroc dans la Cédéao, une aubaine pour s’imposer dans la région

France24 / Afrique - lun, 05/06/2017 - 20:19
La Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest a donné dimanche son accord de principe à la demande d’adhésion du Maroc. Sauf grosse surprise, c’est à présent une affaire de mois avant que le royaume n’intègre l’organisation.
Catégories: Afrique

Manifestations étudiantes anti-corruption à Bratislava, Košice et Prague

HU-LALA (Hongrie) - lun, 05/06/2017 - 19:42

Ce lundi 5 juin, quelques milliers d'étudiants ont organisé une "marche contre la corruption" en simultané à Bratislava et Košice, les deux grandes villes de Slovaquie. Leurs compatriotes établis à Prague - la capitale tchèque - ont manifesté au même moment devant l'ambassade slovaque.
Rendez-vous était donné à 17h par Dávid Straka et Karolína Farská, deux lycéens déjà à l'initiative de la première "grande marche contre la corruption" organisée le 18 avril à Bratislava. Cette . . .

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Catégories: PECO

L'Europe au pied du mur de l'isolationnisme américain

Coulisses de Bruxelles - lun, 05/06/2017 - 19:09

Brouillard sur la Manche et l’Atlantique, l’Europe est isolée. Après le Brexit et l’élection de Donald Trump, les alliés anglo-américains du vieux continent, ceux qui l’ont sauvé à deux reprises de l’impérialisme allemand et qui, depuis, garantissent sa sécurité et donc sa prospérité, ont baissé le rideau de fer et se réfugie désormais dans un splendide isolement. Angela Merkel l’a reconnu officiellement, dimanche 28 mai, après deux réunions houleuses (sommet de l’OTAN, à Bruxelles, et G7 à Taormina, en Italie) au cours desquels le président américain a donné toute sa mesure.

« Les temps où nous pouvions totalement nous reposer sur d’autres sont en partie révolus. Je l’ai vécu ces derniers jours », a-t-elle lancé. « Bien sûr, nous devons rester amis avec les États-Unis, le Royaume-Uni, en bons voisins, là où cela est possible, ainsi qu’avec la Russie. Mais nous devons le savoir : nous devons lutter nous-mêmes, en tant qu’Européens, pour notre avenir et notre destin », a insisté la chancelière allemande, ce qui implique que l’Europe devienne « un acteur qui s’engage à l’international », comme elle l’a précisé deux jours plus tard. Des mots qui font échos à ceux de Gérard Araud, l’ambassadeur de France à Washington qui, le jour même de la victoire de Trump, a tweeté : « Après le Brexit et cette élection, tout est désormais possible. Un monde s’effondre devant nos yeux. Un vertige ». Si les autorités politiques hexagonales, que ce soit sous l’administration de François Hollande ou celle d’Emmanuel Macron, ont évité d’étaler au grand jour leur désarroi, elles ne cachaient pas en privé leurs inquiétudes qui se sont concrétisées lors de la tournée européenne de Donald Trump. Le quotidien américain New York Times, en titrant au lendemain de la sortie de Merkel : « un potentiel tournant sismique » (« a potentially seismic shift ») ne s’est pas trompé sur l’importance des mots de la chancelière, Berlin étant l’un des plus fidèles alliés des États-Unis depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Que ce soit sur le plan des valeurs, de la défense, de la politique commerciale ou du climat, après la dénonciation de l’accord de Paris, jamais le fossé transatlantique n’a été aussi grand, Washington se montrant même infiniment plus accorte avec l’Arabie Saoudite qu’avec ses alliés européens. Certes tout n’est pas faux dans les critiques de Donald Trump, en particulier lorsqu’en s’en prend aux monstrueux excédents commerciaux allemands (« bad, very bad », a-t-il dit la semaine dernière), qui sont un problème grave pour l’Europe elle-même. Mais sa volonté de faire prévaloir à tout prix ce qu’il perçoit comme les intérêts américains menace l’équilibre du monde, privé de son gendarme à l’heure où la Russie a renoué avec ses pulsions impériales et où le terrorisme islamique menace les démocraties, et de l’occident en particulier, orphelin du leadership et du parapluie militaire américain.

Face à ce vide planétaire, il y a donc une place à prendre. Aucun pays européen seul ne pouvant même imaginer jouer ce rôle, l’Union peut y prétendre. Première puissance économique et commerciale du monde, première pourvoyeuse d’aide au développement, exportatrice de normes et de valeurs, espace de paix, de prospérité et de solidarité (elle concentre la moitié des dépenses sociales de la planète), elle n’est néanmoins pas en mesure de le faire dans l’immédiat, faute de compétences régaliennes notamment dans les domaines de la défense, de la politique étrangère ou de la sécurité intérieure : cette confédération inachevée d’Etats n’a pas les moyens de son leadership. C’est exactement ce qu’a voulu dire la chancelière : si l’Union n’accélère pas son intégration, elle sera vouée à être le jouet des évènements, la puissance ne se résumant à la signature d’accords commerciaux. Elle prépare donc son opinion publique à un tournant majeur dans sa politique européenne : le temps des réticences, notamment alimentées par la peur fantasmée de payer pour les autres, est terminé. Berlin est prête à aller plus loin.

Cette nouvelle donne valide la campagne d’Emmanuel Macron. Le jeune chef de l’État a, en effet, fait de l’approfondissement de l’intégration européenne l’alpha et l’omega de son action : remettre la France sur les rails de la croissance économique pour lui permettre de relancer l’Union. Même si l’Allemagne doute encore de la parole française, elle n’a d’autres choix que de la croire et de l’encourager. Merkel a ainsi souhaité, dimanche, le succès d’Emmanuel Macron en promettant de lui donner un coup de pouce : « Là où l’Allemagne peut aider, elle aidera, parce que l’Allemagne ne peut aller bien que si l’Europe va bien ». Le message est clair : si Paris maintient le cap de la réforme, ce qui devrait être facilité par la bonne conjoncture économique, Berlin répondra présent. Reste à savoir ce qu’elle entend précisément par « aide » : ira-t-elle jusqu’à relancer ses investissements publics et encourager les hausses salariales afin de réduire le déséquilibre de sa balance des paiements afin de donner de l’air à ses partenaires ? Même si elle a déjà décidé d’augmenter son effort de défense afin d’atteindre à terme le plancher de 2 % du PIB (1,2 % actuellement), on peut avoir quelques doutes, du moins tant que Wolfgang Schäuble, l’inflexible ministre des Finances, sera en poste. Il faudra attendre la formation du futur gouvernement, après les élections législatives de septembre, pour y voir plus clair.

Petit à petit, c’est donc un nouvel ordre européen qui se met en place. La percée des partis démagogues a été stoppée après le Brexit, les Français ont dit non au « Frexit » en élisant le plus européen des candidats, Angela Merkel est enfin sortie de son attentisme, le couple franco-allemand est remis d’aplomb et les Européens prennent conscience des dangers de l’immobilisme. Les chantiers sont nombreux et urgents : achèvement de la zone euro (lire ci-contre), mise en place d’une défense européenne (sans doute d’abord industrielle et franco-allemande) et d’une politique commune d’asile et d’immigration, développement de la sécurité intérieure pour lutter contre le terrorisme, remise à plat de l’architecture de l’Union pensée pour empêcher l’émergence de tout leadership... Au fond, on a presque envie de dire : merci, M. Trump !

N.B.: version longue de mon analyse parue le 1er juin.

Catégories: Union européenne

Réforme de la zone euro: la boite à outils de la Commission européenne

Coulisses de Bruxelles - lun, 05/06/2017 - 18:36

REUTERS/Nacho Doce

L’euro a résisté à la crise de 2010-2012, mais à quel prix ! Une récession économique prolongée, des politiques d’austérité sans précédent appliquées à la Grèce, au Portugal, à l’Irlande, à Chypre et à l’Espagne en échange d’une aide financière. Pour faire face à ce tsunami venu des États-Unis qui a déstabilisé la monnaie unique, les Européens ont dû bricoler dans l’urgence afin de renforcer les fondations de leur maison commune. La Commission européenne estime qu’il y a urgence à achever les travaux avant la prochaine crise : hier, elle a rendu publiques ses propositions sur « l’approfondissement de l’union économique et monétaire », un document de 48 pages qui tombe au meilleur moment politique : Brexit, isolationnisme américain, menaces russes, élection d’Emmanuel Macron. Voici l’essentiel de ses propositions qu’elle souhaite voir adopter entre 2019 et 2025.

· L’Union bancaire et l’Union financière

La première urgence, d’ici à 2019, est d’achever « l’Union bancaire » afin de briser les derniers liens entre dettes bancaires et finances publiques, ces dernières ayant dû éponger les pertes des banques. Si, désormais, les principaux établissements sont placés sous la surveillance unique de la Banque centrale européenne et l’ordre de responsabilité en cas de faillite bancaire est précis (actionnaires, créanciers, déposants et seulement ensuite contribuables), deux éléments importants ne sont toujours pas en place à cause du refus allemand : le « système européen d’assurance des dépôts » (les fameux 100.000 € garantis aux déposants en cas de faillite) et le soutien budgétaire au « Fonds de résolution unique » (FRU)destiné à financer la restructuration des banques. Ce dernier est pour l’instant alimenté par le seul secteur bancaire et est donc insuffisant en cas de crise grave. L’exécutif européen milite pour que le Mécanisme européen de stabilité (MES,) un fonds doté d’une capacité d’emprunt de 700 milliards d’euros chargé d’aider les pays attaqués par les marchés, serve de garanti au FRU, ce qui lui donnerait une crédibilité sur les marchés qui lui fait défaut pour le moment. Après la défection britannique, Bruxelles estime tout aussi urgent de mettre en place une « union des marchés des capitaux » dans la zone euro afin de permettre aux acteurs économiques de se financer plus facilement sur les marchés au lieu de recourir (très difficilement en période de crise) aux emprunts bancaires.

· Le budget de la zone euro

La Commission est favorable à la création, d’ici à 2025, d’une « capacité budgétaire de la zone euro », financée par des recettes stables (une partie de l’impôt sur les sociétés ou de la TVA, par exemple), qui pourrait avoir trois fonctions : soit garantir le maintien du niveau d’investissement public en cas de ralentissement de la croissance, ce budget étant le premier à être coupé, soit abonder un « fonds de réassurance » des régimes nationaux d’assurance chômage afin de soulager les budgets en période de crise, soit, enfin, servir de caisse de secours aux Etats en cas de choc asymétrique. Elle pourrait avoir recours à l’emprunt, ce qui permettrait à la zone euro de disposer de l’équivalent des bons du Trésor américain, un « actif sans risque » au niveau européen. . Cette capacité budgétaire pourrait se transformer à terme en budget pur et simple, c’est-à-dire qu’il pourrait financer des politiques spécifiques à la zone euro même en dehors des crises. L’actuel budget à 27 serait maintenu, mais le versement des fonds régionaux aux pays de la zone euro serait conditionné au respect des engagements de politique économique.

· Les institutions de la zone euro

La Commission se dit persuadée qu’à terme l’euro deviendra la monnaie de toute l’Union. Une affirmation pour le moins étrange, alors que ni le Danemark ni la Suède ne rejoindront jamais la monnaie unique, pas plus que la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie, la Bulgarie, la Roumanie et la Croatie à un horizon prévisible. Une pétition de principe qui lui évite de se prononcer sur sa propre légitimité à s’occuper des affaires de la zone euro puisqu’elle est composée d’un commissaire par État membre, ce qui signifie que 75 % de l’économie de la zone euro (Allemagne, France, Italie) n’est représenté que par 3 commissaires sur 28, des commissaires qui décident à la majorité simple… Elle reconnaît néanmoins qu’il y a un problème au niveau du Conseil des ministres des Finances (les 28), puisqu’il est la seule instance habilitée à adopter des textes contraignants même s’ils ne concernent que la zone euro, l’Eurogroupe (les 19) n’ayant aucune capacité juridique. Mais elle ne propose aucune solution.

En revanche, elle milite pour la création, à l’horizon 2025, d’un poste de ministre des finances de la zone euro en fusionnant les fonctions de président de l’Eurogroupe et de commissaire aux affaires économiques et monétaires qui serait chargé de représenter la zone euro au FMI. Une proposition ancienne, mais qui posera un problème aux grands pays peu soucieux de voir leur influence diluée au sein d’une Commission dans laquelle ils ne pèsent rien…

Un « Trésor de la zone euro » devrait être créé, Trésor qui assurerait la surveillance économique et budgétaire des Etats (rôle actuellement exercé par la Commission), serait chargé d’émettre de la dette publique et gérerait le MES, le tout sous l’autorité de l’Eurogroupe. La Commission se contente d’évoquer l’idée de créer un Fonds monétaire européen (intégrant le MES), une idée allemande, qui pourrait notamment restructurer d’autorité les dettes des Etats.

Un silence de taille : quasiment pas un mot le contrôle démocratique de la zone euro. Actuellement, ni la Commission, ni l’Eurogroupe n’ont de compte à rendre à une Assemblée démocratiquement élue. Bruxelles convient juste qu’il faut « renforcer la responsabilité démocratique » en « dialoguant » davantage avec le Parlement européen (limité aux seuls députés de la zone euro ? Pas un mot non plus), mais « dialoguer » n’est évidemment pas « décider ». Un trou noir inquiétant.

N.B.: version longue de mon article paru dans Libé le 1er juin

Catégories: Union européenne

Why Trump Pulled the U.S. Out of the Paris Accord

Foreign Affairs - lun, 05/06/2017 - 17:55
Trump’s decision to withdraw the nation from the Paris climate agreement was not based on science or sound economics, but on a confused, misguided, and simply dishonest desire to score some short-term political points with his voters. What he sacrifices in the long term will be immensely more difficult for the country to win back at the ballot box: authority, credibility, and influence.

Putin sends message to the world through Megyn Kelly

Pravda.ru / Russia - lun, 05/06/2017 - 17:27
In an interview with NBC News journalist Megyn Kelly, Russian President Vladimir Putin strongly rejected any possibility of Russia's interference both in US elections and in the domestic political life of the United States in general. Some of Putin's remarks were rather emotional, but the Russian president was not rude at all
Catégories: Russia & CIS

Rémy Michelin a encore frappé dans le ciel

Le mamouth (Blog) - lun, 05/06/2017 - 14:31
Bien connu pour ses travaux photos atypiques, le photographe du ciel Rémy Michelin s'est attaqué à
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Catégories: Défense

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