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Burkina/Mortalité maternelle et périnatale : Les journalistes s'engagent à faire baisser le taux de décès

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 16:43

Au terme de trois jours de formation (6 au 9 août 2025 à Ziniaré) sur la problématique de la mortalité maternelle et périnatale, les journalistes se disent prêts à constituer une brigade rapide d'intervention dans la lutte contre ce phénomène qui fait beaucoup de victimes parmi les femmes et les bébés. Dans cet élément, ils expriment leur satisfaction de cette session de débriefing organisée en leur faveur.

Madina Belemviré, journaliste à Bulletin Santé : « Cette formation m'a permis de mieux comprendre les enjeux majeurs liés à la mortalité maternelle et périnatale. J'ai appris que ces décès sont souvent évitables et qu'ils reflètent des failles dans le système de santé, notamment en ce qui concerne la qualité des soins pendant la grossesse, l'accouchement et la période post-partum. J'ai également compris l'importance de la surveillance des indicateurs de mortalité maternelle et périnatale, qui sont des révélateurs de l'état de santé d'un pays. Les causes fréquentes comme les hémorragies, les infections, les complications liées à l'accouchement ou à la prématurité ont été abordées, ainsi que les stratégies pour les prévenir. En tant que journaliste, cela m'a aussi permis de prendre conscience du rôle crucial des médias pour sensibiliser la population, lutter contre les tabous, et informer sur les droits en santé sexuelle et reproductive. Je repars donc avec un regard plus éclairé, une volonté de mieux documenter mes sujets et de contribuer, à travers mes productions, à la lutte contre ces décès évitables. »

Madina Belemviré, journaliste à Bulletin Santé

David Saba de la radio Horizon FM-Ouaga : « C'est une formation qui nous a permis d'avoir assez d'informations sur la problématique des décès maternels et périnatals évitables qu'on n'avait pas l'habitude de traiter, parce que dans nos différentes rédactions, ce sont des questions auxquelles nous ne sommes pas forcément familiers. C'est vrai qu'on traite de questions en lien avec la santé, mais celle-ci n'était pas assez traitée. Et la formation nous permet de mettre désormais le curseur sur ces cas évitables qui sont assez récurrents de nos jours dans les centres de santé, dans nos familles… et dans notre société de façon générale. En tant que journaliste, notre rôle sera donc de travailler à sensibiliser le grand public (les femmes et la société entière) et de situer la responsabilité de tout un chacun. C'est-à-dire, travailler à changer les mentalités, et à sensibiliser la population afin qu'aucune femme ne perde encore la vie sur un lit d'hôpital en voulant donner la vie. »

David Saba de la radio Horizon FM -Ouaga

Oumar Pafadnam, rédacteur en chef de la télévision LCA : « Durant ces 72 heures, nous avons été outillés. C'est-à-dire que nous avons surtout reçu le maximum d'informations en ce qui concerne cette question de santé publique, plus spécifiquement la mortalité maternelle et périnatale évitable. Pour nous, acteurs des médias au Burkina, nous sommes déjà un socle important dans le relais de l'information et, en participant à ce cadre d'échanges, nous avons reçu les outils nécessaires pour pouvoir informer, sensibiliser et surtout prévenir toutes les populations sans exception sur cette question qui nous concerne tous. Car la santé maternelle concerne tout le monde et nous allons utiliser nos médias pour nous prémunir de ces incidents qu'on peut éviter et contribuer à éradiquer cette problématique des décès maternels et périnatals. »

Oumar Pafadnam, rédacteur en chef de la télévision LCA

Lucette Udogo, journaliste à la Tribune du Faso : « Grâce à cette session de débriefing, on a compris que la question de la mortalité maternelle et périnatale est une question de santé publique qui engage la responsabilité de tous. Et à travers nos micros, caméras et stylos, nous devons travailler à sensibiliser la population, attirer l'attention des décideurs et susciter des actions pour qu'aucune femme ne perde la vie en couche. »

Lucette Udogo, journaliste à la Tribune du Faso

T. Apollinaire Abga, journaliste à l'AIB : « C'était une découverte et une mine d'information que nous avons collectée en ce qui concerne la mortalité maternelle et périnatale. Par exemple, je ne connaissais pas les dangers qui guettent la femme enceinte et celle qui vient d'accoucher, surtout le grand danger que constitue l'hémorragie. Mais surtout le fait que la femme enceinte ou celle qui vient d'accoucher doit être surveillée en permanence afin d'éviter les cas malheureux. J'apprends aussi que malgré les efforts que les agents de santé abattent, il y a souvent des cas tragiques, notamment les insuffisances de lits, le problème d'évacuation, parce que nous avons encore des localités où il n'y a pas de routes, ou pas d'ambulance, et autres. Ce qui est problématique pour une femme qui veut accoucher. Nous, en tant que journalistes, nous avons le devoir de proposer des productions pour toucher du doigt tous ces problèmes qui entourent ces cas de décès maternels et périnatals, allant des problèmes institutionnels, infrastructurels aux problèmes d'engagement et organisationnels. Donc nous allons essayer de produire beaucoup pour éclairer les lanternes de la population. Parce que nous sommes dans notre société où les professionnels, notamment les agents de santé, le médecin et autres ne peuvent pas parler, mais le journaliste, c'est celui qui met le doigt où ça fait mal. Donc nous allons aider à porter la voix des agents de santé, de toutes ces femmes et familles qui sont souvent éplorées pour qu'ensemble nous mettions fin à ce problème. Parce qu'il n'est pas normal qu'une femme perde la vie en essayant de la donner et il n'est pas non plus normal qu'un enfant, qu'une communauté a attendu depuis des mois, se retrouve avec un mort-né dans les bras. »

T. Apollinaire Abga, journaliste à l'AIB

YZ
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Catégories: Afrique

Burkina : Des agents des douanes renforcent leurs capacités sur le renseignement douanier

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 16:00

Du 11 au 14 août 2025, des agents des douanes renforcent leurs capacités sur le renseignement douanier à travers un atelier national de formation, indique le service communication de la direction générale des douanes. L'atelier est initié par le Bureau régional de liaison chargé du renseignement (BRLR) de l'Organisation mondiale des douanes (OMD) pour l'Afrique de l'Ouest.

Il a pour objectif d'outiller les agents des douanes dans la maîtrise du rôle et de la place du renseignement dans la lutte contre la fraude douanière et la criminalité transnationale organisée.

Les participants seront également sensibilisés à l'utilisation des outils de l'OMD, notamment la plateforme CEN et ses applications (CENComm, nCEN), essentielles pour le partage d'informations et la coopération opérationnelle.

Le directeur général des douanes Yves Kafando, qui a présidé l'ouverture de l'atelier, a indiqué que dans un contexte marqué par des défis sécuritaires croissants, le renseignement constitue un pilier stratégique pour anticiper les risques, cibler efficacement les contrôles et neutraliser les menaces.

Lefaso.net

Catégories: Afrique

Bosnie-Herzégovine : Milorad Dodik va-t-il enfin passer par la case prison ?

Courrier des Balkans - mar, 12/08/2025 - 16:00

La condamnation de Milorad Dodik a un an de prison et six ans d'interdiction de toute fonction officielle a été confirmée en appel, mais le maître de l'entité serbe de Bosnie-Herzégovine, n'a pas l'intention d'en tenir. Jusqu'où peut aller le bras de fer ?

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Catégories: Balkans Occidentaux

Bosnie-Herzégovine : Milorad Dodik va-t-il enfin passer par la case prison ?

Courrier des Balkans - mar, 12/08/2025 - 16:00

La condamnation de Milorad Dodik a un an de prison et six ans d'interdiction de toute fonction officielle a été confirmée en appel, mais le maître de l'entité serbe de Bosnie-Herzégovine, n'a pas l'intention d'en tenir. Jusqu'où peut aller le bras de fer ?

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La Turquie dans l’enfer des flammes, avec un record de 3800 incendies depuis le début de l'année

RFI (Europe) - mar, 12/08/2025 - 14:44
Depuis le mois de juillet, la Turquie lutte contre des méga-incendies. Trente-trois provinces sur 81 sont concernées. Après les régions d’Izmir, d’Antakya, d’Eskisehir ou Bursa, c’est au tour de la région de Canakkale et d’Edirne d’être en proie aux flammes.
Catégories: Union européenne

Soudan : plus de 40 personnes tuées par les paramilitaires des FSR

France24 / Afrique - mar, 12/08/2025 - 13:02
Les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), en guerre contre l'armée soudanaise, ont attaqué lundi un camp de déplacés du Darfour du Nord, touché par la famine, tuant plus de 40 civils, selon des secouristes locaux. Dans ce contexte de guerre civile, le Soudan est touché par une nouvelle épidémie de choléra. À Tawila, ville du sud-ouest qui accueille plus de 500 000 personnes qui ont fui les combats, la maladie se propage rapidement.
Catégories: Afrique

"J'ai croqué l'actualité sur Radio Burkina", de Charles KIENDREBEOGO

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 12:53

L'ouvrage :
« J'ai croqué l'actualité sur Radio Burkina » est un recueil de chroniques sociétés que nous réalisons depuis 2015 sur Radio Burkina. C'est un rendez-vous hebdomadaire des faits de société, vus sous l'angle de la satire, dans un but de sensibilisation. Nous en produisons une quarantaine par an. Par cette édition, nous capitalisons un travail de plusieurs années. Cet ouvrage est destiné à tout lecteur, aux journalistes et élèves-journalistes et au monde de la recherche.

L'auteur
Charles KIENDREBEOGO est natif de la ville de Ziniaré où il a suivi le cursus primaire à l'école A. Tout le cycle secondaire se poursuivra au Petit séminaire de Pabré. Il étudiera ensuite la philosophie et la théologie aux grands séminaires de Kossoghin puis de Wayalghin à Ouagadougou. Après trois années d'études anglophones à l'université de Ouagadougou, il embrassera la carrière de journaliste à l'issue d'une formation en journalisme à l'ISTIC. Il totalise près de vingt années de métier. "J'ai croqué l'actualité sur radio Burkina" est la réalisation d'un de ses rêves : un recueil des chroniques sociétés diffusées sur Radio Burkina. L'auteur a publié un autre livre traitant de la période révolutionnaire au Burkina Faso. Un ensemble de témoignages sur le leader historique et les contradictions qui ont abouti à la mort de Thomas SANKARA, le père de la Révolution burkinabè. « Les fruits de l'arbre sans fleur » est son premier roman.

Catégories: Afrique

Déplacement et de rehaussement des compteurs ONEA inaccessibles

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 12:30

L'ONEA lance une opération de déplacement et de rehaussement des compteurs d'eau inaccessibles à partir de 1er septembre 2025.

L'Office National de l'Eau et de l'Assainissement (ONEA) informe ses abonnés qu'il engagera, à compter du 1er septembre 2025, une opération de recensement, de déplacement et de rehaussement des compteurs d'eau inaccessibles.

L'Office rappelle à tous ses abonnés l'obligation contractuelle de veiller à l'accessibilité des installations ONEA et particulièrement du compteur d'eau. Par conséquent, les différents travaux et aménagement sur les parcelles tels que les constructions et les poses de pavés qui sont de nature à empêcher l'accès au compteur, ne doivent pas être réalisés sans l'accord de l'ONEA.

Les abonnés concernés sont invités à prendre attache avec l'ONEA pour un accompagnement dans les travaux de déplacement et de rehaussement de leurs compteurs.

Par ailleurs, l'ONEA prendra les dispositions pour un déplacement ou un rehaussement d'office qui sera facturé à l'abonné conformément aux procédures pour tout compteur non accessible identifié.

Chers clients, l'ONEA vous remercie de votre compréhension et compte sur la collaboration de tous ses abonnés pour la mise aux normes des installations.

ONEA, votre bien-être, notre raison d'être !

Le département communication

Catégories: Afrique

Épargnez et gagnez gros avec la Banque Atlantique !

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 12:30

Banque Atlantique Burkina Faso, a le plaisir de vous informer du lancement de la deuxième phase de la campagne dénommé « EPARGNE GAGNANTE : SAVE & WIN ».

A compter du 01 Aôut 2025 au 31 Mars 2026, rentabilisez votre épargne et tentez de remporter de nombreux lots suivants :

❖ 1er Prix : Une voiture neuve
❖ 2ème Prix : Un séjour à Dubaï avec un accompagnant
❖ 3ème Prix : Un séjour à Marrakech avec un accompagnant
❖ 4ème Prix : Un bon d'achats de FCFA 1 500 000.

Veuillez contacter votre gestionnaire de compte pour les souscriptions.

Catégories: Afrique

Dans l'ouest du Soudan, l'épidémie de choléra frappe durement les déplacés de Tawila

France24 / Afrique - mar, 12/08/2025 - 11:53
Dans les camps de déplacés de Tawila, dans l'ouest du Soudan en proie à une épidémie de choléra, la peur s'est glissée dans chaque geste du quotidien. Eau, vêtements, gamelles : tout paraît contaminé.
Catégories: Afrique

Investir en Bourse : Cinq choses que les riches ne font pas et que les pauvres font !

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 11:52

On dit souvent que nos habitudes façonnent le cours de notre vie. Si vous mangez des hamburgers et des produits gras chaque nuit avant de vous coucher, il va de soi que vous n'irez pas aux Jeux olympiques ! Il en est de même pour l'argent. Le pauvre n'est pas humainement moins important que le riche. Ils ont tous deux la même valeur en tant qu'êtres humains. Ils ont souvent adopté des habitudes différentes, qui ont contribué à des conditions économiques différentes.

La différence entre le riche et le pauvre ne réside pas dans le fait que l'un gagne plus d'argent que l'autre.

Deux personnes ayant eu des niveaux de revenus similaires dans leur carrière peuvent arriver à la retraite avec des situations diamétralement opposées.

Cette différence de situation financière résulte bien souvent d'habitudes et de mentalités différentes, adoptées au fil du temps, et qui ont conduit à des patrimoines différents. Pour changer le fruit, il faut changer la graine.
Voici une liste non exhaustive de cinq choses que les riches ne font pas, mais que les pauvres font :

1. Les personnes qui deviennent riches ne vivent pas au-dessus de leurs moyens

La loi de création de richesse dit que, pour devenir riche, vos dépenses ne doivent pas excéder vos revenus, afin de vous permettre d'investir.

Les riches adaptent leur train de vie à leurs revenus, afin d'avoir quelque chose à investir. Ils cultivent la discipline du report de la gratification.

Les pauvres, malheureusement, adaptent leur train de vie à leurs désirs, plutôt qu'à leurs revenus. Lorsque leurs revenus augmentent, ils augmentent également leurs dépenses. Dans une quête d'assouvir immédiatement certains désirs, ils s'endettent pour consommer, et multiplient les dépenses pour être socialement mieux perçus.

Si vous et moi parvenions à développer des vertus telles que la patience et la maîtrise de soi, non seulement nous grandirions en tant qu'êtres humains, mais cela se ressentirait aussi dans notre gestion financière.

2. Les personnes qui deviennent riches ne sont pas ignorantes en matière d'investissement

Les pauvres n'investissent pas, tandis que les riches investissent.

La personne qui se laisse saisir par la pauvreté aura tendance à ne pas épargner, ou à laisser son argent dormir sur des comptes bancaires, à la merci de l'inflation.

Si vous observez les riches, vous constaterez qu'ils investissent tous dans quelque chose : la bourse, l'entrepreneuriat, ou l'immobilier.

Ils ont compris que leur salaire seul ne suffira pas à les enrichir, ils s'efforcent donc à prélever une partie de leur salaire pour l'investir, afin que cet argent travaille pour eux.

Lorsque vous prenez une partie de votre salaire et que vous l'investissez dans des actions en bourse, cet argent travaille pour vous pendant que vous êtes au bureau en train de gagner un autre salaire. Ultimement, cet argent investi vous rapportera des gains sous forme de dividendes ou de plus-values. Les riches utilisent le levier de l'investissement.

3. Les personnes qui deviennent riches refusent l'ignorance

L'éducation a un prix, mais l'ignorance coûte plus cher.

Les pauvres se contentent de ce qu'ils savent actuellement, tandis que les riches ont tendance à lire, suivre des formations, écouter des podcasts, s'entourer de personnes plus compétentes qu'eux.

Quelqu'un a dit : « Si vous êtes la personne la plus intelligente de votre cercle d'amis, cela signifie que vous êtes dans le mauvais groupe d'amis. »

Pour progresser, créez un environnement où d'autres sont un peu plus en avance que vous sur certains sujets, afin de vous faire progresser intellectuellement. Vos premiers compagnons peuvent être des livres.

4. Les personnes qui deviennent riches ne cherchent pas les solutions miracles

Les riches (ceux qui perdurent dans le temps) sont rarement dans la recherche de solutions miracles. Ils tombent moins facilement dans les pièges des jeux de hasard ou des promesses de richesse rapide. Leur éducation financière leur a appris comment fonctionne l'argent, ce qui leur permet de repérer rapidement les vendeurs d'illusions.

5. Les personnes qui deviennent riches ne blâment pas constamment les autres

Ils prennent leurs responsabilités. Le pauvre a tendance à accuser les autres (l'État, l'économie, la famille, le voisin, etc.) et à les rendre entièrement responsables de son sort.

Une victime ne peut pas changer le cours de son histoire, car elle n'est pas actrice de sa propre histoire. Elle se perçoit comme une figurante dans le récit de sa propre vie. Elle est le produit des autres.

Une caractéristique commune identifiée chez les riches, c'est que très tôt dans leur vie, ils ont appris à prendre leur part de responsabilité pour leur vie.

Ils ont cru que, par la force de leur bras, ils pouvaient contribuer à changer les choses. Ce sont des personnes qui croient en leur capacité à influencer le cours de leur vie. Même lorsqu'elles font face à des revers, elles croient pouvoir rebondir et réécrire leur histoire.

Parmi ces habitudes, réfléchissez à celles que vous pouvez commencer à changer !

Sortir des schémas perdants commence par des choix différents. Investir en bourse peut en faire partie. Pour commencer à vous familiariser avec le monde de l'investissement, vous pouvez télécharger ce guide destiné aux investisseurs débutants en bourse : https://cedriczongo.com/brvm/. Il vous aidera à construire une histoire différente.

Ensemble, rendons la bourse accessible à tous, en particulier aux Africains francophones.

Cédric Zongo
www.cedriczongo.com

A lire aussi : Non, la bourse n'est pas si compliquée !

Catégories: Afrique

Italie: l’indignité chronique des conditions de vie dans les prisons

RFI (Europe) - mar, 12/08/2025 - 11:16
En Italie, la situation des prisons ne cesse de se détériorer. Surpopulation, suicides et révoltes sont des phénomènes en augmentation constante. Mais les problèmes de fond ne sont pas pris à bras le corps par les autorités gouvernementales, et ce, malgré la sonnette d’alarme sur l’urgence sociale, tirée par le président de la République Sergio Mattarella, qui est la plus haute autorité morale du pays.
Catégories: Union européenne

Ukraine: dans la région de Donetsk, l'armée russe avance rapidement au prix de lourdes pertes humaines

RFI (Europe) - mar, 12/08/2025 - 10:02
En Ukraine, en amont de la réunion entre Donald Trump et Vladimir Poutine, le 15 août, « aucun signe ne montre que la Russie se préparerait à une situation d'après-guerre, au contraire », a déclaré Volodymyr Zelensky, qui ne sera pas présent en Alaska pour discuter du sort de l'Ukraine. La Russie intensifie ses efforts. Les dirigeants des pays de l'Union européenne ont insisté, mardi 12 août, sur la nécessité pour les Ukrainiens de pouvoir « décider de leur avenir ».
Catégories: Union européenne

Grammy-winning Afropop star Tems: 'Women are not respected in the industry'

BBC Africa - mar, 12/08/2025 - 10:00
The Nigerian musician details her rise to the top of a notoriously male-dominated industry.
Catégories: Africa

Décès de SAMPEBRE née NITIEMA Antoinette : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 10:00

« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ; et celui qui vit et croit en moi ne mourra jamais. » Jean 11:25

La famille royale de Kokologho,
Le Teng-Soba de Pousdoure (Sakoinse),

Les grandes familles SAMPEBRE, NITIEMA, SAMA et KABORE
Les familles alliés BAZYOMO, ZONGO, ALADE, GUISSOU et amis ;

Les enfants : Frank Aristide, Martial Vivien, Jean Arsène, et Marie Michelle, et les petits enfants,
ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu de leur épouse, fille, mère, tante, et grand-mère :

Madame SAMPEBRE Antoinette, Agent de l'ONATEL à la retraite, survenu le dimanche 10 août 2025, dans la paix du Seigneur à Ouagadougou par suite de maladie.

Les obsèques auront lieu selon le programme suivant :

Vendredi 15 Août 2025

10H00, levée du corps à la morgue du l'hôpital de BOGODOGO, suivie du transfert à Koudougou ;
20h00, veillée de prière au domicile familial sis au quartier Sainte Félicité à Koudougou ;

Samedi 16 Août 2025,

7H00, départ du domicile pour la messe d'absoute à 10H00 à la Paroisse Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de Kokologho suivie de l'inhumation au cimetière catholique de Kokologho.

« La vie des justes est dans la main de Dieu (…), ce qu'ils ont eu à souffrir était peu de choses auprès du bonheur dont ils seront comblés car Dieu les a mis à l'épreuve et les a reconnu digne de lui » Sagesse 3,1 et 5.

La famille remercie tous ceux qui s'associeront à sa douleur et les invite à s'unir en prières pour le repos de son âme.

REQUIESCAT IN PACE

Catégories: Afrique

In memorium : Emile BASSONO

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 12/08/2025 - 09:30

1996-2025
« 29 ans se sont écoulés depuis que le Seigneur t'a accueilli près de lui… Ton héritage perdure à travers tes réalisations et les souvenirs tendres que tu as semés dans nos cœurs. »

Pour le 29ème anniversaire du décès de Monsieur Emile BASSONO, Journaliste, Ancien Ministre, Ancien Directeur de l'Ecole Française des Attachés de Presse (EFAP-Afrique/Abidjan),
son épouse, ses enfants, sa famille vous invitent à une messe de requiem qui sera célébrée pour le repos de son âme le mercredi 13 août à 18H30 à la paroisse Saint Jean XXIII de Ouagadougou.
Union de prières.
Celui qui croit en moi, ne meurt jamais.

Catégories: Afrique

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