Pour Thomas Bach, président du CIO, l’heure est venue de réformer en profondeur tout le processus de lutte antidopage. Mais le président du CIO n’entend pas le faire seul. Selon Insidethegames, le dirigeant allemand a pris sa plume pour rédiger une lettre de 6 pages destinée à l’ensemble des membres de l’organisation olympique. Thomas Bach les exhorte à réfléchir à la question et préparer des idées et initiatives à proposer lors du Sommet olympique prévu le 8 octobre à Lausanne. De son côté, l’Agence mondiale antidopage a organisé le mardi 20 septembre un « Think Tank » où il a été question des changements à apporter dans les règles et la lutte antidopage.
Il n’en est pas sorti des conclusions frappantes et il n’a pas été répondu à la question qui s’impose de plus en plus :les autorisations d’usage thérapeutique, droit de se soigner ou permis de se doper ? la question que posent les données publiées par les hackers de Fancy Bears… qui ont piégé des sportifs de très grand renom : les soeurs Williams, Simone Biles, Chris Froome, Mo Farah, Rafael Nadal… Le piratage des dossiers médicaux de sportifs de haut niveau ces derniers jours par des hackers met en lumière l’un des piliers de la lutte antidopage: les autorisations d’usage thérapeutique (AUT), qui permettent aux athlètes de se soigner en utilisant des substances figurant sur la liste des produits interdits.Ces données piratées émanent du système de gestion en ligne de l’Agence mondiale antidopage (AMA),le système Adams, qui lui permet d’assurer le suivi des contrôles antidopage des sportifs. Toutes concernent des AUT. Elles ne prouvent donc aucune infraction ni aucun contrôle antidopage positif, puisque les sportifs cités par les hackers ont une autorisation médicale pour utiliser des médicaments interdits.
Mais les Fancy Bears estiment que les AUT équivalent à des «permis de se doper». Une affirmation que l’AMA réfute avec force et juge biaisée: selon elle, les Fancy Bears sont russes et leurs accusations sont en fait des «représailles» pour lui faire payer sa lutte contre le «dopage d’Etat» en Russie. Que sont les AUT?
Elles sont nées en même temps que le code mondial antidopage qui précisait au début des années 2000 la liste des produits considérés comme dopants, donc interdits. Elles répondent à une évidence: «les athlètes peuvent avoir les mêmes problèmes médicaux que n’importe qui», selon la formule de Sebastian Coe, président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), lui-même asthmatique durant sa carrière sportive. Une querelle qui risque d’envahir un débat mal engagé qui ne date pas d’aujourd’hui mais que les jeux olympiques ont mis en valeur.
Une conclusion s’impose pour l’avenir : plus jamais çà ! Mais un bref moment de bonheur : l’équipe des réfugiés. La belle aventure des athlètes olympiques réfugiés n’a pas pris fin au soir de la cérémonie de clôture des Jeux de Rio 2016. Yusra Mardini, la nageuse d’origine syrienne, engagée sur 100 m et 100 m papillon aux Jeux de Rio, était présente à New York en début de semaine, où elle a eu l’opportunité de rencontrer Barack Obama à l’occasion du Sommet des chefs d’Etat aux Nations-Unies. La jeune femme a prononcé un discours d’un peu moins de 3 minutes devant l’Assemblée générale, avant de laisser la tribune au président américain. « Yusra, nous ne pourrions pas être plus fiers de vous, non seulement pour vos paroles, mais également pour votre courage, votre résistance et l’exemple que vous donnez à la jeunesse du monde entier », a souligné Barack Obama en introduction de son propre discours. Encouragée par le pape François, cette petite équipe, une poignée d’une dizaine d’athlètes, a représenté les 65 millions de réfugiés qui existent dans le monde. Une équipe de réfugiés la première dans l’histoire que le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) a célébrée dans une histoire intitulée « Popole marque deux fois l’histoire aux Jeux olympiques de RIO », Popole c’est Popole Misenga , ce judoka congolais premier athlète réfugié à aller aux jeux olympique set à remporter une victoire lui permettant d’aller plus loin que la première série et devenu populaire auprès des brésiliens .http://www.unhcr.ca/fr/news/popole-marque-deux-fois-lhistoire-olympique-aux-jeux-de-rio/
Rendez-vous dans quatre ans en espérant que d’ici là l’Union européenne sera présente dans le débat et apportera tout le poids de qu’elle représente, il ne s’agit pas d’un débat marginal : le sport est en danger !
Pour en savoir plus :
-.Articles sur le sport publiés par eulogos http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&idnl=3932&nea=176&lang=fra&arch=0&term=0
French Defence Minister Jean-Yves Le Drian has signed an agreement with his Indian counterpart Manohar Parrikar in New Delhi, putting an end to nearly 18 months of negotiations on the financial market conditions. According to the biggest agreement never signed by Dassault, India buys from France 36 Rafale fighter built by Dassault Aviation, for an amount close to € 7.87 billion.
This is the first big purchase of fighter by India since twenty years. Negotiations were difficult because India wanted to have also a transfer of technology, the broadest possible, but airplanes will be built in France.
The first devices are scheduled for delivery in 2019. The contract covers 264 Indian total Rafale today sold 180 to the French army - of which 146 had been delivered on June 30 - 24 in Egypt and 24 in Qatar . The first success of Dassault concerning Rafales for the sale was an agreement with Egypt; in 2015. Egypt shall already received 6 aircraft, the first delivery to Qatar is scheduled for 2018.
India already has Dassault Mirage-2000 fighters in service, and are know-how of service requirement of French fighters. This helps in logistics as well as fighter training. Rafale is more suited for multi-role combat like Typhoon and PAK-FA air dominance fighters. Rafale has distinct adventage in Air to Ground attack, role which is vital for IAF. The Rafale cost about 20% less than Thyphoon. The maintenance cost is also significantly lower. Rafale life cycle cost is 40 million USD less than of the Typhoon.
Jean-Yves Le Drian en Inde : des Rafale et des... von libezap
Le ministre de la Défense français Jean-Yves Le Drian a signé l'accord avec son homologue indien Manohar Parrikar à New Delhi, mettant ainsi un terme à près de 18 mois de négociations sur les conditions financières du marché. Selon l`accord le plus important jamais conclu par Dassault, l'Inde achète de la France 36 avion de combat Rafale construits par Dassault Aviation, pour un montant proche de 7,8 milliards d'euros.
C'est le premier gros achat de chasseurs par l'Inde depuis une vingtaine d'années. Cela faisait une vingtaine d'année que l'Inde n'avait pas effectué un tel achat de chasseurs. Les négociations étaient difficiles car l`Inde souhaitait aussi le transfert de technologie le plus large possible, mais ces avions seront construits en France.
Les premiers appareils devraient être livrés en 2019. Le contrat indien porte à 264 le total des Rafale aujourd'hui vendus : 180 à l'armée française - dont 146 appareils avaient été livrés le 30 juin - 24 à l'Égypte et 24 au Qatar. Le premier succès de Dassault concernant la vente des Rafales a été un accord conclu avec l`Egypte en 2015. L`Egypte a déjà reçu 6 appareils, la première livraison pour le Qatar est prévue pour 2018.
L'Inde possède déjà des avions Dassault Mirage-2000 en service, et ont le savoir-faire pour les avions de combats français. Cela aide à la logistique ainsi qu`à la formation pour le combat. Le Rafale est plus adapté pour le multi-rôle combat comme Typhoon et PAK-FA, combattants de dominance en air. Rafale a advantage distinct à l`attaque air-sol, rôle vital pour l'IAF. Le Rafale coûte environ 20% moins que le Thyphoon. Les coûts d'entretien sont également significativement plus faibles. Le coût du cycle de vie d`un Rafale est de 40 millions de dollars moins que celui du Typhoon.
Tag: IndiaRafaleOn the 22 September 2016, the Chair of the European Parliament's delegation to The Gambia, Mr David Martin, stated that the European Parliament has expressed concerns over the human rights situation in The Gambia in its resolution of May 2016, and went on to say that it has become clear that important provisions of the Gambian constitution still remain to be implemented, especially those on freedom of speech and prisoners' rights.
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