Les États-Unis ont mis en place de nouveaux frais de 1 dollar pour l’inscription à la loterie de diversité. Cette règle, publiée le 16 septembre […]
L’article DV Lottery 2027 : les États-Unis rendent les inscriptions payantes est apparu en premier sur .
En 2024, le Groupe Inter-gouvernemental d'Action contre le Blanchiment d'Argent en Afrique de l'Ouest (GIABA), a franchi un cap important dans son action régionale contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Malgré des avancées notables, plusieurs défis persistent dans l'espace CEDEAO.
Le Rapport Annuel 2024 du Groupe Inter-gouvernemental d'Action contre le Blanchiment d'Argent en Afrique de l'Ouest (GIABA), publié le 28 août à Dakar, met en lumière les actions menées par l'institution. Des progrès notables ont été enregistrés notamment l'achèvement du second cycle des évaluations mutuelles des Etats membres du GIABA ; la sortie du Sénégal de la liste grise du GAFI, et l'amélioration des cadres juridiques et institutionnels de plusieurs États membres. « Sur la base de leurs notes de conformité technique et d'efficacité, tous les États membres du GIABA évalués, à l'exception du Ghana et du Sénégal qui ont quitté le processus de suivi en février et en août, respectivement, restent dans le Processus de Suivi Renforcé, et soumettront leurs RdS (rapports de suivi) respectifs au GIABA aux fins d'examen et d'adoption par les réunions Plénières pertinentes en 2025 », indique le rapport.
Ces évaluations mutuelles sont essentielles à la mise en œuvre d'un dispositif robuste de LBC/FT dans un pays. Le GIABA se prépare pour le prochain Cycle des Évaluations Mutuelles qui mettra davantage l'accent sur l'efficacité des dispositifs de LBC/FT. « Les États membres sont invités à entamer les préparatifs en mettant en place des équipes d'évaluation mutuelle efficaces et dévouées à l'échelle nationale, composées de responsables possédant les connaissances requises pour le processus », souligne le rapport 2024 de la GIABA. Pour l'institution spécialisée de la CEDEAO, la formation continue de l'ensemble des parties prenantes et la sensibilisation sont primordiales. La collecte et la compilation de statistiques pertinentes en matière de LBC/FT/FP restent essentielles pour démontrer l'efficacité du dispositif.
Soutien aux Etats membres
En 2024, le GIABA a aussi fourni une assistance technique pour soutenir les États membres dans la mise en œuvre des mesures de LBC/FT. 2 607 personnes ont bénéficié de programmes d'assistance technique, avec une augmentation de 21 % de la participation féminine.
Sur le plan du plaidoyer, le GIABA a intensifié sa stratégie de communication et de sensibilisation, en multipliant les actions à l'endroit des médias, des organisations de la société civile et parties prenantes. Ces initiatives visent à vulgariser les enjeux liés au blanchiment d'argent et au financement du terrorisme, et à encourager l'adhésion de tous à cette lutte régionale.
Le rapport 2024 du GIABA mentionne des vulnérabilités persistantes dans la LBC/FT. Il s'agit entre autres de l'utilisation abusive des actifs virtuels, la faible supervision des EPNFD (Entreprises et Professions Non-Financières Désignées) et les risques accrus dans les zones frontalières peu régulées.
Sur un total de 139 activités prévues pour être réalisées au titre de l'année 2024, dans le cadre de son plan d'action stratégique 2023-2027, le GIABA a exécuté 87 d'entre elles, soit un taux de réalisation de 63 %, en hause de 7 % par rapport à l'année précédente. « Les objectifs et étapes importants fixés ont été atteints », informe le rapport annuel 2024 du GIABA.
Akpédjé Ayosso
A l’approche de la saison des pluies, le gouvernement provincial de Kinshasa a interdit aux sinistrés des pluies d’avril dernier de regagner leurs habitations situées dans les zones autrefois inondées dans la capitale congolaise
Cette mise en garde émane du porte-parole de l’exécutif provincial, Janon Canon Larose.
Une vive tension a marqué la plénière du conseil communal de la commune Annexe à Lubumbashi, mardi 16 septembre, à la suite de l’interpellation de la bourgmestre Mireille Kileshe. Cette dernière est accusée de mauvaise gestion et de détournement présumé des fonds issus de la redevance minière, des accusations portées par des membres du conseil municipal.
« Ce qui se passe au Parlement ne concerne pas le peuple congolais. C’est une affaire de l’Union sacrée, la famille politique du pouvoir en place, pour les intérêts de ses animateurs », a déclaré, mardi 16 septembre, le porte-parole de LAMUKA, Prince Epenge.
Il faisait allusion à la pétition déposée contre certains membres du bureau de l’Assemblée nationale.
Le gouvernement provincial de l’Ituri a lancé mardi 16 septembre les opérations de contrôle de régularité des sites miniers de la province. Ces inspections sont menées conjointement par des experts provinciaux et les services techniques du secteur minier, dans le but de rétablir l’ordre et de permettre à l’État congolais d’assurer la traçabilité des ressources minières, dont certaines alimentent les groupes armés locaux.
Deux jeunes agriculteurs, membres d’une même famille, sont portés disparus depuis une semaine dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu. Melchisédech et Patrick, partis s’occuper de leurs champs, ne sont jamais revenus à la maison familiale, suscitant l’inquiétude de leur famille et de toute la communauté locale.
Revue de presse kinoise du mercredi 17 septembre 2025.
Les journaux kinois de ce mercredi sont restés rivés sur l’hémicycle du Palais du Peuple, siège du Parlement congolais.
Des activistes des droits humains et des notables du territoire de Djugu saluent l’ouverture, le mardi 16 septembre 2025, des enquêtes sur des massacres de civils par les groupes armés dans la région de Fataki dans le territoire de Djugu (Ituri). Ces acteurs font allusion à la mission qu’effectuent actuellement dans cette région, la justice militaire, le bureau conjoint des Nations unies aux droits de l'homme et des médecins légistes.