Le Président de l'Université Thomas SANKARA informe le public (Etudiants et Professionnels) du recrutement de la :
– 7ème promotion d'étudiants pour le Master Professionnel en Economie et Gestion des Entreprises d'Economie sociale et Solidaire (MEGEES) ;
– 12ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Management des Organisations et des Associations (MOA) ;
– 6eme promotion pour le Master professionnel en analyse et suivi-évaluation des politiques agricoles et alimentaires (MASPAA),
– 10ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Développement local et gestion des collectivités territoriales (DEVLOG) ;
– 7ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Planification et Management des Structures Educatives (MPMSE) qui comprend l'option planification de l'éducation et l'option Management des structures éducatives, à former à l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) pour la rentrée 2025-2026.
Ces formations sont ouvertes aux titulaires d'une licence ou d'un diplôme équivalent en économie, en droit, en géographie, et en sociologie (MEGEES. MOA, MASPAA, DEVLOG) ; en sciences humaines et sociales (MPMSE). Il s'agit de formations professionnelles qui se déroulent sur quatre (04) semestres (M1 et M2) en ligne pour les cours et en présentiel pour les évaluations sur table.
Elles s'adressent :
– aux étudiants en fin de premier cycle qui souhaitent s'engager professionnellement dans la création, l'encadrement ou l'expertise en matière d'économie sociale ;
– aux acteurs et praticiens du domaine de l'économie sociale, (dirigeants, membres, acteurs et promoteurs d'Organisations Coopératives et de Type Coopératif, du Système Financier Décentralisé et de la Microfinance, des Organisations professionnelles, des Organisations d'intérêt, des ONG et associations de développement…) ;
– aux responsables exerçant des fonctions diverses au sein des instances internationales, nationales, et aux acteurs des politiques agricoles,
– aux responsables de collectivités territoriales
– aux acteurs d'ONG intervenant dans les systèmes éducatifs : enseignants des lycées et collèges qui désirent passer au statut d'administrateur, les encadreurs pédagogiques, les conseillers d'administration scolaire et universitaire, les conseillers d'éducation et de jeunesse…)
Les candidats doivent déposer un dossier de candidature comprenant :
Pour le M1 :
– une demande manuscrite timbrée à 200 FCFA adressée à Monsieur le Président de l'Université Thomas SANKARA ;
– la copie légalisée du diplôme de baccalauréat ou équivalent ;
– la copie légalisée de la licence ou équivalent ;
– une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis et le projet professionnel ;
– toute attestation d'expérience professionnelle pertinente (le cas échéant) délivrée par le supérieur hiérarchique du candidat ;
– un curriculum vitae (avec un numéro de téléphone et une adresse électronique) ;
– un reçu de paiement des frais de dossier (non remboursables) d'un montant de 15 000 F CFA délivré par l'Agence comptable de l'Université Thomas Sankara.
Pour le M2 :
– une demande manuscrite timbrée à 200 FCFA adressée à Monsieur le Président de l'Université Thomas SANKARA ;
– la copie légalisée du diplôme de baccalauréat ou équivalent ;
– la copie légalisée du diplôme de maîtrise ou du Master 1 dans le domaine ;
– une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis et le projet professionnel ;
– toute attestation d'expérience professionnelle pertinente (le cas échéant) délivrée par le supérieur hiérarchique du candidat ;
– un curriculum vitae (avec un numéro de téléphone et une adresse électronique) ;
– un reçu de paiement des frais de dossier (non remboursables) d'un montant de 15 000 F CFA délivré par l'Agence comptable de l'Université Thomas Sankara.
Dépôt des dossiers de candidature :
Les candidat(e)s devront déposer leurs dossiers physiques :
– au secrétariat de l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) sis à l'UFR/SJP de à l'Université Joseph KI-ZERBO
– par e-mail à : secretariat@ifoad-uts.net
Période de dépôt de candidature : du 01 au 30 septembre 2025
Date de publication des résultats de sélection : 03 octobre 2025 par affichage à l'IFOAD à l'Université Joseph KI-ZERBO et sur le site de l'IFOAD_UTS : www.ifoad-uts.bf
Début des cours : octobre 2025.
Frais de formation : Les frais de formation d'un montant d'un million six cent quarante mille (1 640 000) francs CFA seront versés en deux tranches à raison de huit cent vingt mille (820 000) francs CFA par an au plus tard le 30 novembre de chaque année pour ceux qui seront inscrit en M1 et de huit cent vingt mille (820 000) francs CFA en une fois au plus tard le 30 novembre de l'année en cours pour ceux qui seront inscrit en M2.
Frais d'inscription : En plus des frais de formation, les candidats retenus pour le Master doivent s'acquitter chaque année des frais d'inscription suivants selon leur statut respectif :
• 50 000 F CFA pour les travailleurs ressortissants de l'UEMOA ;
• 250 000 F CFA pour les candidats hors zone UEMOA.
Attention ! : Une fois la formation commencée, il ne sera plus possible au candidat sélectionné d'annuler sa participation et de se faire rembourser, quelle que soit la raison de ce désistement.
N.B : pour de plus amples informations s'adresser aux responsables techniques et administratifs des formation :
MEGEES
Monsieur YAMEOGO Jean Marc
Tél :70 29 23 58/6309 26 63
e-mail : jmyameogo@gmail.com
MOA
Dr KABORE D. S. Parfait
Tél : (+226) 78 14 70 18/70 75 65 25
e-mail : parfait.kabore@uts.bf
PMSE
Dr Ismaël OUEDRAOGO
Tel : 54 70 02 23
e-mail : benjesia@gmail.com
MASPAA
Dr OUATTARA Bapindié
Tél : (+226) 70 04 76 70
e-mail : ouatbap@gmail.com
DEVLOG
Dr SIA Benjamin
Tel : 70 00 23 26/78 84 21 42
e-mail : benjesia@gmail.com
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Chevalier de l'Ordre de mérite Congolais
Le Président de l'Université Thomas SANKARA informe le public (Etudiants et Professionnels) du recrutement de la :
– 7ème promotion d'étudiants pour le Master Professionnel en Economie et Gestion des Entreprises d'Economie sociale et Solidaire (MEGEES) ;
– 12ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Management des Organisations et des Associations (MOA) ;
– 6eme promotion pour le Master professionnel en analyse et suivi-évaluation des politiques agricoles et alimentaires (MASPAA),
– 10ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Développement local et gestion des collectivités territoriales (DEVLOG) ;
– 7ème promotion d'étudiants pour le Master professionnel en Planification et Management des Structures Educatives (MPMSE) qui comprend l'option planification de l'éducation et l'option Management des structures éducatives, à former à l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) pour la rentrée 2025-2026.
Ces formations sont ouvertes aux titulaires d'une licence ou d'un diplôme équivalent en économie, en droit, en géographie, et en sociologie (MEGEES. MOA, MASPAA, DEVLOG) ; en sciences humaines et sociales (MPMSE). Il s'agit de formations professionnelles qui se déroulent sur quatre (04) semestres (M1 et M2) en ligne pour les cours et en présentiel pour les évaluations sur table.
Elles s'adressent :
– aux étudiants en fin de premier cycle qui souhaitent s'engager professionnellement dans la création, l'encadrement ou l'expertise en matière d'économie sociale ;
– aux acteurs et praticiens du domaine de l'économie sociale, (dirigeants, membres, acteurs et promoteurs d'Organisations Coopératives et de Type Coopératif, du Système Financier Décentralisé et de la Microfinance, des Organisations professionnelles, des Organisations d'intérêt, des ONG et associations de développement…) ;
– aux responsables exerçant des fonctions diverses au sein des instances internationales, nationales, et aux acteurs des politiques agricoles,
– aux responsables de collectivités territoriales
– aux acteurs d'ONG intervenant dans les systèmes éducatifs : enseignants des lycées et collèges qui désirent passer au statut d'administrateur, les encadreurs pédagogiques, les conseillers d'administration scolaire et universitaire, les conseillers d'éducation et de jeunesse…)
Les candidats doivent déposer un dossier de candidature comprenant :
Pour le M1 :
– une demande manuscrite timbrée à 200 FCFA adressée à Monsieur le Président de l'Université Thomas SANKARA ;
– la copie légalisée du diplôme de baccalauréat ou équivalent ;
– la copie légalisée de la licence ou équivalent ;
– une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis et le projet professionnel ;
– toute attestation d'expérience professionnelle pertinente (le cas échéant) délivrée par le supérieur hiérarchique du candidat ;
– un curriculum vitae (avec un numéro de téléphone et une adresse électronique) ;
– un reçu de paiement des frais de dossier (non remboursables) d'un montant de 15 000 F CFA délivré par l'Agence comptable de l'Université Thomas Sankara.
Pour le M2 :
– une demande manuscrite timbrée à 200 FCFA adressée à Monsieur le Président de l'Université Thomas SANKARA ;
– la copie légalisée du diplôme de baccalauréat ou équivalent ;
– la copie légalisée du diplôme de maîtrise ou du Master 1 dans le domaine ;
– une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis et le projet professionnel ;
– toute attestation d'expérience professionnelle pertinente (le cas échéant) délivrée par le supérieur hiérarchique du candidat ;
– un curriculum vitae (avec un numéro de téléphone et une adresse électronique) ;
– un reçu de paiement des frais de dossier (non remboursables) d'un montant de 15 000 F CFA délivré par l'Agence comptable de l'Université Thomas Sankara.
Dépôt des dossiers de candidature :
Les candidat(e)s devront déposer leurs dossiers physiques :
– au secrétariat de l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) sis à l'UFR/SJP de à l'Université Joseph KI-ZERBO
– par e-mail à : secretariat@ifoad-uts.net
Période de dépôt de candidature : du 01 au 30 septembre 2025
Date de publication des résultats de sélection : 03 octobre 2025 par affichage à l'IFOAD à l'Université Joseph KI-ZERBO et sur le site de l'IFOAD_UTS : www.ifoad-uts.bf
Début des cours : octobre 2025.
Frais de formation : Les frais de formation d'un montant d'un million six cent quarante mille (1 640 000) francs CFA seront versés en deux tranches à raison de huit cent vingt mille (820 000) francs CFA par an au plus tard le 30 novembre de chaque année pour ceux qui seront inscrit en M1 et de huit cent vingt mille (820 000) francs CFA en une fois au plus tard le 30 novembre de l'année en cours pour ceux qui seront inscrit en M2.
Frais d'inscription : En plus des frais de formation, les candidats retenus pour le Master doivent s'acquitter chaque année des frais d'inscription suivants selon leur statut respectif :
• 50 000 F CFA pour les travailleurs ressortissants de l'UEMOA ;
• 250 000 F CFA pour les candidats hors zone UEMOA.
Attention ! : Une fois la formation commencée, il ne sera plus possible au candidat sélectionné d'annuler sa participation et de se faire rembourser, quelle que soit la raison de ce désistement.
N.B : pour de plus amples informations s'adresser aux responsables techniques et administratifs des formation :
MEGEES
Monsieur YAMEOGO Jean Marc
Tél :70 29 23 58/6309 26 63
e-mail : jmyameogo@gmail.com
MOA
Dr KABORE D. S. Parfait
Tél : (+226) 78 14 70 18/70 75 65 25
e-mail : parfait.kabore@uts.bf
PMSE
Dr Ismaël OUEDRAOGO
Tel : 54 70 02 23
e-mail : benjesia@gmail.com
MASPAA
Dr OUATTARA Bapindié
Tél : (+226) 70 04 76 70
e-mail : ouatbap@gmail.com
DEVLOG
Dr SIA Benjamin
Tel : 70 00 23 26/78 84 21 42
e-mail : benjesia@gmail.com
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Chevalier de l'Ordre de mérite Congolais
La grande Famille BASSOLE à Réo,
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Ronsin,
La grande Famille BAKYONO à Kyon,
Les Familles Alliées (DABOUE, BADO, TOUGMA, YAGO, TIENDREBEOGO, BAMOUNI, OUEDRAOGO, SAWADOGO, BAKYONO),
La Congrégation des Sœurs de l'Assomption à Koudougou et Ouagadougou ;
Les sœurs, frères, cousins et cousines,
Le Patriarche BASSOLE Bassembié Aimé responsable coutumier à Réo,
Sœur Marie Thérèse KANSOLE de la Congrégation des sœurs de l'Assomption,
BASSOLE Pialè Jean Pierre, photographe à Abidjan,
KANSOLE Ezona, ménagère à Réo,
BAKYONO Michel, comptable de la BICIA B à la retraite à Ouagadougou
YAMEOGO Bruno, à Koudougou
Les enfants : Hubert, Célestin, Jocelyne, Mireille, Roland, Martial Wilfried, Herman, Anselme, Wenceslas, Anthyme et Armel ;
Les petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Ont le regret de vous annoncer le rappel à Dieu à l'âge de 81 ans de leur épouse, mère, grand-mère, arrière-grand-mère Marie Blanche BASSOLE /YAMEOGO Infirmière brevetée à la retraite,
Décès survenu le dimanche 06 juillet 2025 au CHU Bogodogo
Programme des obsèques :
Jeudi 17 juillet à 15h levée du corps à la morgue du CHU de BOGODOGO.
Vendredi 18 juillet à 19h Veillée de prière au domicile du familial sis au secteur 8 de Réo (Banankyo).
Samedi 19 juillet 10h absoute à l'église saint Alphonse de Réo suivie de l'enterrement au domicile familial sis au secteur 8 de Réo (Banankyo).
Union de prière
La grande Famille BASSOLE à Réo,
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Ronsin,
La grande Famille BAKYONO à Kyon,
Les Familles Alliées (DABOUE, BADO, TOUGMA, YAGO, TIENDREBEOGO, BAMOUNI, OUEDRAOGO, SAWADOGO, BAKYONO),
La Congrégation des Sœurs de l'Assomption à Koudougou et Ouagadougou ;
Les sœurs, frères, cousins et cousines,
Le Patriarche BASSOLE Bassembié Aimé responsable coutumier à Réo,
Sœur Marie Thérèse KANSOLE de la Congrégation des sœurs de l'Assomption,
BASSOLE Pialè Jean Pierre, photographe à Abidjan,
KANSOLE Ezona, ménagère à Réo,
BAKYONO Michel, comptable de la BICIA B à la retraite à Ouagadougou
YAMEOGO Bruno, à Koudougou
Les enfants : Hubert, Célestin, Jocelyne, Mireille, Roland, Martial Wilfried, Herman, Anselme, Wenceslas, Anthyme et Armel ;
Les petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Ont le regret de vous annoncer le rappel à Dieu à l'âge de 81 ans de leur épouse, mère, grand-mère, arrière-grand-mère Marie Blanche BASSOLE /YAMEOGO Infirmière brevetée à la retraite,
Décès survenu le dimanche 06 juillet 2025 au CHU Bogodogo
Programme des obsèques :
Jeudi 17 juillet à 15h levée du corps à la morgue du CHU de BOGODOGO.
Vendredi 18 juillet à 19h Veillée de prière au domicile du familial sis au secteur 8 de Réo (Banankyo).
Samedi 19 juillet 10h absoute à l'église saint Alphonse de Réo suivie de l'enterrement au domicile familial sis au secteur 8 de Réo (Banankyo).
Union de prière
The historical influence of colonial powers and the continued, deep-rooted engagement of international development actors in shaping social protection systems is widely recognised across academic and policy arenas. Nevertheless, evidence of the role of coloniality in social protection remains limited. This Discussion Paper explores the enduring impact of colonialism on contemporary social protection systems by considering the role of coloniality in social protection in the Global South, and Africa in particular. It does so by employing a three-fold methodology, namely (i) an examination of empirical and theoretical literature, including scholarship on coloniality, policy transfers and political settlements in the realm of social protection, among other topics; (ii) semi-structured interviews with international and regional stakeholders from academia, civil society and international organisations; and (iii) country case studies in Côte d’Ivoire and Tanzania.
The paper proposes a “social protection and coloniality” analytical framework to allow for analysing and unpacking the role of coloniality in social protection. It zooms in on three key components through which coloniality in social protection is manifested, resisted or countered: (i) colonial legacies, (ii) postcolonial influences and (iii) domestic political economy factors. This framework provides a novel lens to examine historical path dependencies and pathways that have shaped and continue to influence contemporary social protection systems in the Global South. It enables the identification of context- and country-specific issues, bringing them to the forefront while emphasising enduring colonial footprints and their interplay with domestic factors.
Findings suggest that colonial legacies and postcolonial influences continue to shape social protection across Africa, as moderated by domestic political economy factors. It advocates for more equitable partnerships and critical reflection among international actors. The paper also calls for stronger integration of local knowledge to support country-driven social protection frameworks. By addressing these challenges and promoting context-specific solutions, it is possible to develop social protection systems that are more home-grown and less reliant upon external influences.
The historical influence of colonial powers and the continued, deep-rooted engagement of international development actors in shaping social protection systems is widely recognised across academic and policy arenas. Nevertheless, evidence of the role of coloniality in social protection remains limited. This Discussion Paper explores the enduring impact of colonialism on contemporary social protection systems by considering the role of coloniality in social protection in the Global South, and Africa in particular. It does so by employing a three-fold methodology, namely (i) an examination of empirical and theoretical literature, including scholarship on coloniality, policy transfers and political settlements in the realm of social protection, among other topics; (ii) semi-structured interviews with international and regional stakeholders from academia, civil society and international organisations; and (iii) country case studies in Côte d’Ivoire and Tanzania.
The paper proposes a “social protection and coloniality” analytical framework to allow for analysing and unpacking the role of coloniality in social protection. It zooms in on three key components through which coloniality in social protection is manifested, resisted or countered: (i) colonial legacies, (ii) postcolonial influences and (iii) domestic political economy factors. This framework provides a novel lens to examine historical path dependencies and pathways that have shaped and continue to influence contemporary social protection systems in the Global South. It enables the identification of context- and country-specific issues, bringing them to the forefront while emphasising enduring colonial footprints and their interplay with domestic factors.
Findings suggest that colonial legacies and postcolonial influences continue to shape social protection across Africa, as moderated by domestic political economy factors. It advocates for more equitable partnerships and critical reflection among international actors. The paper also calls for stronger integration of local knowledge to support country-driven social protection frameworks. By addressing these challenges and promoting context-specific solutions, it is possible to develop social protection systems that are more home-grown and less reliant upon external influences.
The historical influence of colonial powers and the continued, deep-rooted engagement of international development actors in shaping social protection systems is widely recognised across academic and policy arenas. Nevertheless, evidence of the role of coloniality in social protection remains limited. This Discussion Paper explores the enduring impact of colonialism on contemporary social protection systems by considering the role of coloniality in social protection in the Global South, and Africa in particular. It does so by employing a three-fold methodology, namely (i) an examination of empirical and theoretical literature, including scholarship on coloniality, policy transfers and political settlements in the realm of social protection, among other topics; (ii) semi-structured interviews with international and regional stakeholders from academia, civil society and international organisations; and (iii) country case studies in Côte d’Ivoire and Tanzania.
The paper proposes a “social protection and coloniality” analytical framework to allow for analysing and unpacking the role of coloniality in social protection. It zooms in on three key components through which coloniality in social protection is manifested, resisted or countered: (i) colonial legacies, (ii) postcolonial influences and (iii) domestic political economy factors. This framework provides a novel lens to examine historical path dependencies and pathways that have shaped and continue to influence contemporary social protection systems in the Global South. It enables the identification of context- and country-specific issues, bringing them to the forefront while emphasising enduring colonial footprints and their interplay with domestic factors.
Findings suggest that colonial legacies and postcolonial influences continue to shape social protection across Africa, as moderated by domestic political economy factors. It advocates for more equitable partnerships and critical reflection among international actors. The paper also calls for stronger integration of local knowledge to support country-driven social protection frameworks. By addressing these challenges and promoting context-specific solutions, it is possible to develop social protection systems that are more home-grown and less reliant upon external influences.
Tanzania has made notable progress in expanding its social protection system, yet the influence of colonial governance models, entrenched donor dependency and limited population coverage of existing provisions remain significant. This case study critically explores the historical and contemporary processes of social protection policymaking in Mainland Tanzania, drawing on qualitative interviews and documentary analysis.
Colonial legacies continue to shape Tanzania’s economic structure and institutional frameworks. Extractive colonial economies prioritised cash crops and mining, embedding a dependency that persists today and limits fiscal space for domestic investment in social protection. The British administration introduced formal governance and social protection institutions that remain pertinent today, but they continue to largely exclude the informal sector and rural populations, despite recent efforts to introduce social insurance schemes for informal sector workers (e.g. National Informal Sector Scheme, NISS).
Postcolonial dynamics also play a defining role. Tanzania’s early Ujamaa socialist model under President Julius Nyerere fostered broad welfare ambitions, many of which were later dismantled under neoliberal Structural Adjustment Programmes in the 1980s. Since then, global policy agendas and actors have heavily influenced domestic policymaking. Donor-driven programmes dominate key areas such as cash transfers (e.g. the World Bank-supported and targeted Productive Social Safety Net programme), and development partners use various policy transfer mechanisms to shape domestic policies and programmes. The scarcity of domestic resources significantly hinders the pursuit of universalist social protection investments.
Despite this, the role of domestic actors remains pivotal. Nyerere’s legacy continues to inspire social policy thinking, and civil society and political elites actively shape – and sometimes contest – social protection arrangements. At the same time, limited implementation capacity and corruption undermine effectiveness of social protection delivery, particularly in rural regions.
The study identifies pathways forward: strengthening domestic financing through better taxation and value-chain participation; enhancing government leadership and coordination; integrating informal, community-based social protection mechanisms; and promoting regionally driven, South-South cooperation. These shifts require reimagining social protection, rooting it in Tanzania’s socio-cultural and economic fabric to build a more inclusive and resilient system.