La Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso, en collaboration avec le ministère en charge de la coopération, a initié un forum économique des hommes d'affaires égyptiens et burkinabè. La rencontre entre les hommes d'affaires des deux pays a eu lieu le mardi 22 juillet 2025, à Ouagadougou. La cérémonie d'ouverture du forum a été présidée par les ministres des Affaires étrangères de l'Égypte, Dr Badr Abdelaty, et du Burkina Faso, Karamoko Jean-Marie Traoré.
Une forte délégation d'hommes d'affaires égyptiens est présente à Ouagadougou pour participer au forum. L'ensemble des secteurs d'activités de l'économie égyptienne est représenté. Ils sont dans la capitale burkinabè pour tisser des liens de coopération dans divers domaines d'activités. Il y aura des échanges et des rencontres B to B entre les hommes d'affaires. Il y aura également une signature de convention entre la Chambre de commerce du Burkina et celle de l'Égypte. Cela pour faciliter et fluidifier la coopération entre les deux institutions et les hommes d'affaires.
« Le volume des affaires entre l'Égypte et le Burkina Faso est assez faible. Aujourd'hui on a pratiquement 1% de nos importations qui viennent d'Égypte et on a à peine 4% de vos produits qui partent vers l'Égypte. Cette rencontre d'aujourd'hui est un nouveau pont qui va permettre de créer une synergie entre les hommes d'affaires égyptiens et ceux du Burkina Faso », a indiqué le président de la délégation spéciale consulaire de la Chambre de commerce, Roland Achille Sow.
Le président de la délégation spéciale consulaire de la Chambre de commerce Roland Achille SowLa tenue du présent forum économique est le signe de la vitalité des relations bilatérales. « J'exhorte les hommes d'affaires à multiplier ce genre de rencontres pour un accroissement substantiel des flux commerciaux entre nos deux pays. De réelles potentialités existent et il appartient à nos deux gouvernements d'explorer les pistes appropriées pour dynamiser et consolider notre coopération. Mon pays regorge d'énormes potentialités économiques, notamment dans les secteurs agricole, minier, agropastoral, énergétique. Il dispose également d'un code d'investissement très attractif qui permet d'investir en toute sécurité, sous réserve du respect du droit positif burkinabè », a dit le ministre Karamoko Jean-Marie Traoré aux hommes d'affaires.
La délégation des hommes d'affaires égyptiens à OuagadougouLe ministre des Affaires étrangères de l'Égypte a affirmé la volonté de son pays de consolider sa coopération économique avec le Burkina Faso. Selon lui, l'Égypte veut une coopération gagnant-gagnant avec le pays des hommes intègres. Il a souligné que son pays dispose d'une bonne expertise dans les domaines de l'agriculture, des mines, des industries pharmaceutiques et de l'énergie renouvelable.
Les deux pays ont réaffirmé leur volonté d'inscrire cette coopération dans la durée. À travers des partenariats concrets, le Burkina Faso et l'Égypte entendent bâtir une relation économique mutuellement bénéfique, fondée sur la confiance, la complémentarité et l'innovation.
La délégation des hommes d'affaires burkinabèLa coopération entre le Burkina Faso et l'Égypte couvre plusieurs domaines, à savoir : l'éducation, l'enseignement supérieur, la formation, l'environnement, l'énergie, la justice, les transports, le commerce et l'industrie, la sécurité et la défense. Neuf accords ont été signés dans les domaines de la diplomatie, de l'agriculture, des TIC, de l'artisanat, de la culture, de l'enseignement supérieur, des sports, de la justice et de la défense. Trente-sept projets d'accords couvrant tous les domaines de coopération sont en négociation.
Rama Diallo
Lefaso.net
Le gouvernement à travers le décret n°2025-0935 a procédé à la création du Conseil de l'école pour renforcer la gouvernance communautaire des établissements. Un organe participatif désormais institué dans chaque établissement d'enseignement préscolaire, non formel, primaire, post-primaire et secondaire, public comme privé.
Basé sur les principes de participation communautaire, de démocratie, de solidarité et de bonne gouvernance, le Conseil de l'école est chargé d'accompagner l'établissement sur les plans administratif, pédagogique, social, financier, culturel et environnemental. Il aura pour mission, entre autres, de mobiliser les parents, soutenir la cantine endogène, encourager l'implication communautaire, contribuer à la discipline, lutter contre les violences scolaires et soutenir les activités agricoles, sportives et culturelles.
Le Conseil se compose de trois instances : l'Assemblée générale (organe délibératif), le Bureau exécutif (organe de gestion), et le Comité de contrôle (organe de supervision). Les membres sont issus de l'ensemble de la communauté éducative, à savoir parents d'élèves, élèves, personnel de l'école, représentants religieux, coutumiers et acteurs du développement local.
Le Conseil remplace désormais toutes les anciennes structures telles que les associations de parents d'élèves, les comités de gestion et les associations des mères éducatrices. Son financement repose sur la Contribution à la vie de l'école (CVE), les dons, les subventions et les activités génératrices de revenus, à l'exclusion des élèves déplacés, pupilles de la nation et enfants d'indigents.
Des comités communaux, provinciaux, régionaux et nationaux assureront la coordination, le suivi et le renforcement des capacités des membres. Ce dispositif s'inscrit dans la dynamique de la réforme de l'éducation portée par l'Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous.
Le gouvernement burkinabè espère, à travers ce décret, renforcer la transparence, l'efficacité et la redevabilité dans la gestion scolaire, en instaurant une gouvernance inclusive centrée sur l'engagement communautaire.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Du 22 au 26 juillet 2025, des hommes et femmes de médias issus de plusieurs organes de presse font le tour de plusieurs centres de santé. Objectif, constater l'effectivité des mesures de réduction des coûts des examens d'imagerie médicale tels que le scanner et l'IRM et la suppression de la caution pour l'hémodialyse et plus récemment des médicaments essentiels génériques de la CAMEG. Pour la première étape de la caravane de presse, ce sont le Centre hospitalier universitaire de Bogodogo et le Centre hospitalier universitaire de Ziniare.
Depuis le 1er avril 2024, le gouvernement a pris des mesures en vue de réduire les coûts de certains examens, pour faciliter leur accès aux populations dans le besoin. C'est ainsi que le scanner qui coûtait 50.000 FCFA est passé à 25.000 FCFA et l'imagerie médicale par résonnance magnétique (IRM) qui se faisait à 100.000 FCFA est désormais pratiquée à 40.000 FCFA. La caution de 500.000 FCFA qui était demandée aux patients ayant besoin de séances d'hémodialyse a aussi été supprimée.
Au CHU de Bogodogo, l'application de ces différentes mesures est une réalité. Mahamadi Ilboudo, usager qui a en charge les soins de santé de son père, confie que depuis la réduction des prix des médicaments essentiels génériques, il a constaté une baisse drastique du coût des produits entrant dans le cadre du traitement de son père. Toute chose qui soutient-il, allège considérablement les moyens financiers qu'il devait engager dans ce sens.
Mahamadi Ilboudo, usager, dit avoir constaté une baisse drastique des coûts des médicaments essentiels génériquesSelon Dr Webdpanga Zacharie Kafando, chef de service de la pharmacie hospitalière, c'est une réduction du coût du traitement pour le patient qui est constatée à travers la mesure. "La paire de gants par exemple qui était à 75 FCFA est passée à 35 FCFA soit une diminution de plus de 50%. C'est donc une satisfaction qui se dégage chez les patients et les enquêtes que nous avons menées dans ce sens le confirme". Dr Kafando a également mentionné qu'en plus de la diminution des prix des consommables médicaux, un point d'honneur est mis sur leur disponibilisation. Il a rassuré que tous les produits nécessaires à la réalisation d'IRM et de scanner sont disponibles au CHU de Bogodogo.
Dr Webdpanga Zacharie Kafando, chef de service de la pharmacie hospitalièreVenue réaliser une IRM pelvienne, Élodie Ouédraogo dit avoir été agréablement surprise de constater que le coût de l'examen est assez accessible. "Le coût de l'examen est très abordable. J'ai payé 40.000 FCFA avec l'ensemble des médicaments, alors qu'ailleurs l'examen peut coûter jusqu'à 150.000 FCFA. Je remercie les autorités pour cette mesure qui nous aide beaucoup", a-t-elle laissé entendre.
Une augmentation de la demande en imagerie médicale constatée avec la baisse des coûts des examens
À en croire la cheffe de service d'imagerie médicale du CHU de Bogodogo, avec la baisse des coûts des examens qui facilitent le diagnostic, le service a augmenté ses capacités de travail pour mieux répondre aux besoins des patients. Ce qui a entraîné une hausse du nombre de scanners et IRM réalisés. C'est ainsi qu'entre 2023 et 2024, le nombre de scanners réalisés annuellement est passé de 350 à 500.
Élodie Ouédraogo qui est venue réaliser une IRM pelvienne, dit avoir été agréablement surprise de constater que le coût de l'examen est assez accessibleSeydou Nombré, directeur général du CHU de Bogodogo, a indiqué que tout est mis en œuvre dans ledit centre de santé pour rendre effective les mesures de réduction. Les prix sont appliqués depuis leur entrée en vigueur et tout est mis en œuvre pour rendre disponible les différents intrants tels que les produits de contraste, les anti reflux, nécessaires à la réalisation des IRM et des scanners. "Depuis 2024, nous avons anticipé en renflouant nos lignes budgétaires pour rendre disponibles tous les intrants et consommables en la matière. Lorsque nous faisons une comparaison des données, nous nous rendons compte que qu'il y a eu une croissance de 17% des IRM entre le 1er semestre 2024 et le 1er semestre 2025. Au 1er semestre 2024, nous réalisions environ 35 scanners par jour. Avec la mesure de réduction, nous réalisons en moyenne 50 scanners par jour".
les médecins radiologues réalisant une IRMDes chiffres qui selon Seydou Nombré, démontrent que les populations, même celles vulnérables, ont désormais accès aux examens, permettant ainsi aux médecins cliniciens d'améliorer le diagnostic. Pour faire face à cette hausse de la demande, le CHU bénéficie selon ses propos de l'accompagnent du ministère de la Santé pour la maintenance des appareils de scanner et d'IRM et de la mise à disposition de certains intrants au niveau de la CAMEG.
Seydou Nombré, directeur général du CHU de Bogodogo a laissé entendre que ce sont 50 scanners qui sont réalisés en moyenne par jourLa disponibilité des examens d'imagerie médicale et la réduction de leurs coûts ont engendré une diminution du nombre d'évacuations à partir du CHU de Ziniaré
Autre centre de santé, même constat quand à l'effectivité de la baisse des coûts des examens d'imagerie médicale. Au centre hospitalier de Ziniaré qui dispose d'un scanner, la demande est de plus en plus forte. Dr Ismaïl Traoré, médecin radiologue à l'unité de scanner de Ziniaré, confie que l'unité de scanner a démarré ses activités en avril 2024 avec la mesure déjà en vigueur. Et l'accessibilité du coût de l'examen médical, fait que la demande est assez importante. Ce qui fait que l'unité de scanner peine souvent à satisfaire cette demande. Même si tout est mis en œuvre pour une prise en charge optimale des patients, il n'en demeure pas moins que le temps d'attente est rallongé. Ce sont 7 à 10 patients qui sont pris en charge chaque jour.
Au CHR de Ziniaré, les intrants et consommables sont disponiblesÀ en croire le directeur général du CHU de Ziniaré, Mady Zorné, avant la prise de la mesure de réduction et la disponibilité de l'appareil de scanner, il y avait beaucoup d'évacuations du CHU de Ziniaré vers d'autres centres de santé. "Mais depuis la mise en œuvre de la mesure, les évacuations ont drastiquement diminué. Les praticiens ont aussi désormais plus de facilité pour poser leur diagnostic grâce aux examens d'imagerie médicale qui sont maintenant accessibles au plus grand nombre". Mady Zorné n'a pas manqué de saluer cette initiative des autorités qui selon lui est salutaire pour les populations. Il a invité celles-ci à fréquenter les centres de santé.
Mady Zorné, directeur général du CHR de Ziniaré a indiqué que la baisse du prix de l'examen de scanner a fait baissé les évacuationsArmelle Ouédraogo
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À la veille du 11e anniversaire du crash du vol AH5017 d'Air Algérie, le ministre des Infrastructures et du désenclavement, Adama Luc Sorgho a reçu une délégation de l'Association des familles des victimes, le mercredi 23 juillet 2025. Conduite par son président Me Alidou Ouédraogo, l'association est allée exprimer sa gratitude au gouvernement et au président du Faso, pour le bitumage de la voie menant au site de la stèle commémorative.
Le ministre Adama Luc Sorgho a salué cette marque de reconnaissance et a réaffirmé l'engagement de son département à soutenir toutes les initiatives visant à honorer la mémoire collective. Il a assuré que la mémoire des victimes restera vivante dans les politiques d'infrastructure, en lien avec la dimension humaine et symbolique des lieux marqués par la tragédie.
Ces travaux, récemment achevés, facilitent l'accès au lieu de recueillement et préservent un cadre digne pour la mémoire des 116 victimes, dont plusieurs Burkinabè, décédées dans le crash survenu le 24 juillet 2014 près de Gossi, au Mali.
Les familles ont souligné que cette infrastructure va contribuer à pérenniser les cérémonies annuelles de commémoration, qui réunissent chaque année proches et autorités.
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Source : Ministère des Infrastructures et du désenclavement
Dans une circulaire datée du 23 juillet 2025, le Fonds spécial routier du Burkina (FSR-B) informe de la mise en service imminente de trois nouveaux postes de péage modernes, dans le cadre de la réforme du dispositif de gestion des péages routiers.
Ainsi, les postes de péage modernes de Boudtenga, Tintilou et Kotedougou vont être respectivement mis en service à partir du jeudi 24 juillet, du mardi 29 juillet, et du samedi 2 août 2025.
Par ailleurs, la nouvelle tarification nationale des péages entre en vigueur sur l'ensemble des postes du pays dès le 24 juillet 2025, en attendant l'adoption officielle de l'arrêté d'application du décret n°2025-0913 du 11 juillet 2025, portant modalités de gestion du péage sur les routes bitumées du territoire national.
Le directeur général du FSR-B, Théodore Gouwindmanegré Ouédraogo, appelle les chefs de poste et gestionnaires de péages à prendre toutes les dispositions nécessaires pour garantir une mise en œuvre harmonieuse de ce vaste chantier de modernisation, crucial pour l'amélioration des infrastructures et du service public routier.
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Gradual institutional socialization and internalization of the US-led deterrence identity—fostered by the ‘peace through strength’ doctrine—brings greater unity and satisfaction to the free world, symbolized by Trump’s successful breadwinning at the NATO table.
In the cacophonous return of great power competition, where authoritarian states test the margins of the liberal international order, a curious pattern has emerged: allies of the United States are not peeling away under pressure, but rather pulling closer. At the center of this gravitational force is not merely the United States itself, but a particular brand of American leadership—unapologetically transactional, muscular in posture, and deeply committed to the premise that peace is most credibly kept through strength. U.S. President Donald J. Trump’s foreign policy approach, long derided in elite diplomatic circles as reckless or unsophisticated, may be enjoying a quiet vindication. More than a foreign policy instinct, “peace through strength” is emerging as a functional mechanism of alliance synchronization and deterrence—one that modern international theory is now beginning to better explain.
The evidence is no longer anecdotal. The recent NATO summit in 2025 delivered one of the most historic shifts in alliance behavior in decades: European and Canadian allies committed to raising defense spending to 5% of GDP, a staggering leap beyond the long-disputed 2% threshold. More notably, this was not an isolated gesture of appeasement but part of a broader cascade of synchronization. Allies also agreed to tighter planning protocols and robust compliance mechanisms, echoing the kind of coordinated institutional behavior more commonly associated with wartime unity than peacetime policy.
While critics of Trump-era strategy warned that his bluster would alienate partners and destabilize norms, the opposite may now be unfolding: under the stress of external threat and internal hesitation, allies appear not only to follow Washington’s lead but to internalize it. What once looked like grudging compliance is morphing into institutional socialization. Supporting American leadership is not just a matter of obligation—it is becoming an expression of identity.
From Coercion to InternalizationMuch ink has been spilled on hegemonic stability theory—the idea that a single dominant power underwrites international order through the demonstration of force and economic leadership. Trump’s doctrine fits snugly here, particularly with regard to his use of military signaling to reinforce deterrence. Case in point: the targeted U.S. operations against Iranian nuclear sites, conducted with surgical precision, significantly delayed Iran’s enrichment capabilities and delivered a costly signal not just to Tehran but to the broader international community. The message was clear: U.S. resolve was real, and its capabilities unmatched.
Yet to stop there would miss the deeper story. Unlike traditional coercive frameworks, the Trump-led realignment reveals patterns consistent with institutional socialization. As current international relations theory suggests, allies that routinely engage with a capable and consistent hegemon begin to internalize that hegemon’s norms—not just because they fear reprisal, but because they gradually come to see alignment as beneficial, legitimate, and even identity-defining.
Several conditions amplify this process. First, Trump-era diplomacy, for all its rhetorical volatility, has offered clarity of norms. There was no ambiguity about expectations: contribute more to collective defense, or face a reckoning. Second, by presenting NATO as both a burden and a benefit, the Trump administration forced allies to grapple directly with questions of institutional utility. Third, the repeated engagement—both in summits and behind-the-scenes military coordination—built the kind of social interaction that fosters shared identity.
The shift was subtle but real. Allies who once rolled their eyes at Trump’s demands are now aligning policy with Washington not out of compulsion, but conviction. And unlike more delicate forms of diplomacy that rely on endless consensus-building, the Trump doctrine seemed to understand a basic psychological principle of alliance politics: clarity and resolve, however brash, are often more persuasive than soft ambiguity.
A Networked Logic of ResilienceBeyond socialization, another theoretical frame further illuminates the Trump-era alliance realignment: resilience through interdependence. This model rejects the zero-sum lens of alliance politics and instead views security as a networked, shared good—dependent on the collective strength of interconnected actors.
In this context, Trump’s policies operated as a catalyzing force. By making credible demonstrations of U.S. capability, the administration reminded allies of their own reliance on the integrity of the transatlantic system. The 5% GDP commitment is not merely a concession to American pressure; it reflects a recognition that prosperity and stability are deeply intertwined with a robust and assertive alliance structure.
Moreover, interdependence is not merely functional—it becomes emotional. Solidarity emerges from crisis management and shared sacrifice. In this way, Trump’s pressure campaign—while confrontational—sparked an internal reckoning among allies. Do they wish to be passive observers in a system increasingly shaped by revisionist powers? Or will they reaffirm their place in what one might call the “House of the Free World”?
They chose the latter. This is not just compliance. It is contribution.
Theoretical Convergence and Practical OutcomesWhen we map Trump’s approach onto the modern theoretical landscape, we see a surprising convergence. Hegemonic stability theory explains how his bold use of power coerced alignment. Signaling theory validates the credibility of actions like the Iran strikes. But it is institutional socialization and interdependence theory that give the most profound insights: they explain why the alliance is cohering more tightly now than at any time since the Cold War’s zenith.
To be sure, this realignment is not without risk. Overreliance on coercive tools can breed resentment, especially if leadership appears inconsistent or narcissistic. A purely transactional view of alliances can erode the kind of trust and shared identity that underwrite long-term solidarity. But Trump’s surprising strength was that, through the smoke and fire of confrontation, he clarified the stakes of membership in the liberal order. He didn’t merely ask, “What have you done for us lately?”—he forced allies to ask, “What happens if we don’t stand together?”
The answer, increasingly, is that fragmentation leads to vulnerability. In an age of networked threats—cyberwarfare, gray zone tactics, economic coercion—the collective is only as resilient as its weakest node. The Trump administration understood this, even if only instinctively, and the resulting behavior among allies suggests that a deeper transformation is underway.
An Anchor in a Shifting SeaThe world’s geopolitical landscape in 2025 is choppier than ever. China’s ambitions in the Indo-Pacific, Russia’s continued provocations on NATO’s eastern flank, and Iran’s regional adventurism all paint a picture of sustained instability. And yet, amid this turbulence, there is one surprising constant: the House of the Free World is not splintering. It is consolidating.
This is not a nostalgic return to postwar liberalism, but a more hard-edged, updated form of Western unity—less about Wilsonian idealism and more about a shared recognition of threat and mutual benefit. Trump, for all his breaches of etiquette, reminded the alliance that it is a house worth defending. More than that, he showed that defense requires clarity, commitment, and consequence.
Of course, the success of this model is not guaranteed. It depends on continued U.S. credibility, the institutional health of NATO and its adjunct bodies, and a commitment to the kind of routine engagement that sustains identity and interdependence. It also requires a leadership style that, while perhaps confrontational, is not capricious. Trump’s strength was his resolve; any future leader seeking to emulate his success must preserve that credibility without descending into chaos.
Conclusion: A New Strategic NormalPeace through strength may once have sounded like an anachronism of Cold War thinking. But today, in an age of hybrid warfare and global fragmentation, it may be the only language that hostile actors and hesitant allies alike understand. Trump’s ability to extract historic concessions from NATO allies—and more importantly, to catalyze a shared sense of strategic identity—is not an aberration. It may be the blueprint for what comes next.
In this blueprint, power is not the opposite of persuasion—it is its precondition. Strength is not the negation of diplomacy—it is its amplifier. And leadership is not merely a seat at the table—it is the resolve to set the terms. If Trump has taught the free world anything, it is that the architecture of freedom is not self-sustaining. It must be funded, defended, and yes, demanded.
As the new strategic normal unfolds, the United States remains the anchor. And with Trump’s model—however polarizing—as the template, the House of the Free World appears ready, willing, and increasingly able to follow.
L'Agence nationale de promotion de la finance inclusive (ANPFI), en partenariat avec l'entreprise Wave, a lancé ce mercredi 23 juillet 2025 à Ouagadougou un programme de formation en éducation financière. L'initiative vise à renforcer la connaissance financière des populations, notamment des femmes, et à leur offrir des outils pratiques pour mieux gérer leurs revenus, sécuriser leur épargne et entreprendre avec discernement.
L'Agence nationale de promotion de la finance inclusive (ANPFI) et l'entreprise de transfert d'argent Wave ont donné le coup d'envoi d'un programme de formation en éducation financière. Cette initiative s'inscrit dans le cadre des activités prévues en marge de la session 2025 du Cadre de concertation sur la finance digitale (CCFD), qui se tiendra finalement le 28 juillet autour du thème : « Intelligence artificielle et inclusion financière : quels défis, quelles opportunités ? ». Prévu pour se tenir dans cinq grandes localités du pays, ce programme vise à renforcer l'autonomie économique des populations, en particulier des femmes, et à promouvoir une finance accessible et adaptée aux réalités locales.
Pour le directeur général de l'ANPFI, ce lancement est une étape clé dans la mise en œuvre de la mission de son agence. « L'occasion qui nous réunit ce matin revêt une importance particulière, car elle matérialise, de manière concrète, l'un des objectifs fondamentaux de notre mission : rapprocher la connaissance financière des populations, là où elles se trouvent, et leur offrir les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées dans leur vie économique », a déclaré Wango Fidèle Yaméogo dans son mot d'ouverture.
Wango Fidèle Yaméogo, directeur général de l'ANPFI, a encouragé les bénéficiaires à tirer le meilleur de ces enseignementsIl a également rappelé la définition et l'enjeu national de l'inclusion financière. « L'inclusion financière, c'est tout à fait simple. Il y a beaucoup de gens qui sont exclus du système économique, du système financier, qui n'ont pas accès à des comptes. Donc quelqu'un qui n'a pas un compte dépend, qui n'a pas un compte dans une banque, qui n'a pas un compte dans une société de microfinance et qui n'a même pas un compte mobile monnaie, est exclu financièrement. Donc le Burkina, à travers la première stratégie nationale en charge de la finance inclusive, avait pour ambition d'atteindre un niveau d'inclusion financière de 75%. Mais à la date d'aujourd'hui, nous avons largement dépassé, depuis fin 2023, ce niveau édicté par la BCEAO et au niveau de notre pays, nous avons pu atteindre les 79%. Donc, l'inclusion financière, c'est tous ceux qui disposent d'un compte dans toutes les structures, que ce soit banque, microfinance ou opérateur de téléphones mobiles. »
Wave, un acteur engagé dans l'inclusion financière
Présente au Burkina Faso depuis quelques années, Wave s'est imposée comme un acteur clé dans la facilitation des transactions financières. Mais pour l'entreprise, l'inclusion ne se limite pas à l'accès technique aux services. Elle passe aussi par l'acquisition de connaissances et de repères financiers solides. « Ce que nous lançons ce matin n'est pas une simple formation. C'est un engagement collectif, celui de rendre la finance accessible, fiable, compréhensible et utile pour toutes et tous, en particulier pour les femmes qui, chaque jour, tiennent debout l'économie informelle, le tissu commercial et les familles », a affirmé Djoari Ouoba, responsable du développement commercial de Wave Burkina.
« Les femmes ont un rôle central dans le tissu économique et sur l'importance de leur donner des outils concrets pour gérer et sécuriser leurs revenus », Djoari Ouoba, responsable du développement commercial de Wave BurkinaIl a aussi insisté sur le rôle central des femmes dans le tissu économique et sur l'importance de leur donner des outils concrets pour gérer et sécuriser leurs revenus. C'est dans ce sens que Wave a récemment lancé Le Coffre, un outil d'épargne sécurisé intégré à son application mobile. « Cet outil permet de mettre de l'argent de côté facilement, sans frais, sans stress, et à son propre rythme. Il a été pensé pour les réalités du terrain et pour accompagner les ambitions des femmes, qu'elles soient discrètes ou ambitieuses », a-t-il expliqué, ajoutant que ce programme est un acte de foi au potentiel des participantes.
Une dynamique nationale
Ce programme a la particularité de ne pas se limiter à Ouagadougou. Il permettra de former, dans un premier temps, 373 bénéficiaires répartis entre Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya et Banfora. L'objectif est de donner aux citoyens, quel que soit leur profil social ou géographique, les moyens de comprendre les mécanismes financiers et de s'approprier les innovations digitales pour construire un avenir économique plus sûr.
Dès les prochaines semaines, les équipes conjointes de l'ANPFI et de Wave se rendront dans les autres villes bénéficiaires. « L'inclusion ne peut être réelle si elle ne touche que les capitales. Elle doit descendre dans les quartiers, s'ancrer dans les marchés, résonner jusque dans les villages. Elle doit parler mooré, dioula, fulfuldé, gulmanceba ou autre, car elle doit épouser la diversité du Burkina Faso », a souligné Djoari Ouoba.
Les femmes recevront des connaissances sur la gestion des revenus, l'épargne, la prévention du surendettement ainsi que l'utilisation sécurisée des services financiers digitaux.Selon le directeur général de l'ANPFI, en acceptant de financer ces sessions de formation, Wave s'engage aux côtés de l'ANPFI pour faire avancer, de manière tangible, la cause de l'inclusion financière. « Il s'agit là d'un exemple inspirant de collaboration public-privé au service du bien commun », a-t-il apprécié.
Pour les deux partenaires, l'inclusion financière est un levier indispensable pour bâtir une société plus juste et résiliente. Ce fut l'occasion pour l'ANPFI de lancer un appel à d'autres acteurs économiques pour rejoindre cette dynamique. « J'invite toutes les structures, entreprises ou institutions animées par la volonté de contribuer au développement économique et social de notre pays à suivre l'exemple de Wave. L'inclusion financière n'est pas un idéal réservé à quelques-uns, c'est une nécessité collective », a plaidé Wango Fidèle Yaméogo.
Il a par ailleurs encouragé les bénéficiaires à tirer le meilleur de ces enseignements afin que ces sessions leur donnent les clés pour mieux gérer leurs finances, entreprendre avec discernement et faire face aux aléas économiques avec plus de confiance.
Ce programme d'éducation financière s'adresse en priorité aux populations souvent éloignées des services financiers traditionnels, notamment dans les zones rurales et périurbaines. Il comprend des modules pratiques sur la gestion des revenus, l'épargne, la prévention du surendettement, ainsi que l'utilisation sécurisée des services financiers digitaux.
Farida Thiombiano
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C'est dans une ambiance festive et dansante que le directeur général de Canal+ Burkina, Jacques Dioh, a officiellement lancé, dans la soirée du jeudi 17 juillet 2025 à Ouagadougou, la nouvelle version de Tout Canal+ devant des invités de marque, notamment ses clients, partenaires et autorités du pays.
Cette version de la formule Tout Canal+, dont le lancement officiel est intervenu ce 17 juillet 2025 dans la capitale burkinabè, propose une offre incomparable « Tout en un ». Cette nouvelle formule offre plus de 400 chaînes, radios et services, avec toutes les chaînes Canal+ pour accéder au meilleur des contenus africains et internationaux, du sport, du cinéma, des séries ou des programmes pour toute la famille.
En plus de ces offres, s'ajoute tout le catalogue de Netflix inclus afin d'accéder aux films, séries et documentaires emblématiques de la plateforme comme toute la nouvelle saison 3 de Squid Game, Emily in Paris ou Stranger Things et toutes les chaînes de l'option DSTV English Plus, dont 4 chaînes Supersport.
Vue du publicEt ce n'est pas tout. Cette offre vous propose une expérience audiovisuelle unique avec un catalogue de plus de 50 000 contenus à la demande. La nouvelle formule Tout Canal+ est désormais disponible au tarif de 27 500 FCFA au lieu de 44 000 FCFA. Les autres abonnés Canal+ qui souhaiteraient souscrire à Netflix pourront également le faire via une option additionnelle dans les offres.
Le directeur général de Canal+ Burkina, Jacques DiohCes innovations marquent, selon le directeur général de Canal+ Burkina, Jacques Dioh, une étape clé pour Canal+, en étant le seul distributeur qui réunit désormais dans une seule offre tous les meilleurs contenus disponibles partout et à n'importe quel moment. Et selon lui, ils sont heureux de s'associer à Netflix pour proposer à leurs abonnés l'offre la plus complète possible sur le marché africain. C'est pourquoi, dit-il, le Nouveau Tout Canal+, en plus de proposer un catalogue de contenus inégalé, va permettre à leurs abonnés connectés une expérience incomparable en termes d'innovation.
Yvette Zongo
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Crédit photo : Auguste Paré
De Dakar à Niamey, d'Addis-Abeba à Johannesburg, 80 journalistes du continent africain, se mobilisent pour leur confrère Seidik Abba, exerçant en France depuis 2001 comme correspondant de la presse étrangère, journaliste puis analyste et écrivain. Parmi les signataires de l'Appel, figurent de grands noms du journalisme africain. Les communications de Seidik Abba -sms, téléphone et email- sont surveillées en dehors de toute base légale.
« Je suis à la fois ravi et soulagé de voir à mes côtés des dizaines de consœurs et confrères du continent mobilisés et déterminés à dénoncer l'injustice que je subis, » a déclaré Seidik Abba.
Les journalistes d'Afrique et d'ailleurs adressent cette lettre ouverte aux autorités françaises. Ils y rappellent que la mise sur écoute et la surveillance d'un journaliste aussi talentueux que Seidik Abba constituent une répression morale inadmissible qui doit cesser.
Nous, journalistes africains, soussignés, appelons par la présente lettre ouverte, solennellement les autorités françaises à bien vouloir faire toute la lumière sur la surveillance que subie en France, M. Seidik Abba, journaliste et écrivain nigérien exerçant depuis plusieurs années dans le pays.
Plusieurs éléments factuels rassemblés attestent en effet de cette surveillance incluant l'interception de toutes les communications (sms, téléphone et email) de notre confrère Seidik Abba qui fut accrédité en 2007 auprès du Quai comme correspondant de l'Agence panafricaine d'information (Panapress) et a couvert pendant la même période le palais de l'Elysée, après l'obtention de sa carte de presse, avec l'aval du ministère français de l'Intérieur.
Nous, professionnels des médias, estimons que bien au-delà de l'agenda d'entrave à l'épanouissement professionnel et personnel de M. Abba qu'elle envisage, la surveillance d'un journaliste professionnel, a fortiori de ses communications, en dehors de toute procédure, est une atteinte gravissime à la liberté de la presse, pierre angulaire de toute démocratie.
En l'absence d'une clarification totale et urgente de votre part, vous les autorités françaises, nous serons fondés à croire que votre pays s'est désormais inscrit dans la démarche d'exercer des représailles contre un journaliste dont la production éditoriale, les analyses dans la presse ainsi que les chaînes de radio et télévision ont pu déplaire.
Nous, les soussignés, considérons, en tout état de cause, que si la France veut continuer à garder dans nos pays et à travers le monde une posture légitime pour porter haut le message de la défense de la liberté de la presse et de la démocratie, elle doit faire sans tarder toute la lumière sur la surveillance subie sur son territoire par notre confrère Seidik Abba, professionnel connu, reconnu, unanimement respecté dans la profession.
Par ailleurs, nous envisageons user de nos moyens légaux pour que les intérêts de notre confrère, soient défendus à tous les niveaux des institutions tant africaines, françaises et européennes afin que sa cause soit entendue.
SIGNATAIRES
1. Chérif Soumaila Aidara, Journaliste Directeur de Publication Confidentiel Afrique
2. Yao Noël, Président de UJPLA (Union des journalistes de la presse libre africaine)
3. Abdoulaye Thiam, journaliste et ancien président de l'Union de la Presse Francophone –Section Sénégal
4. Emmanuel Ekouli, Journaliste directeur de publication de la Voix du Centre- Cameroun
5. Cyriaque Paré, journaliste fondateur de Lefaso.net- Burkina Faso
6. Sanni Moumouni Seibou, Journaliste-West Africa Democracy Radio
7. Moussa Guedmbaye- Journaliste- Tchad
8. Makaila Nguebla- Journaliste- Tchad
9. Sadio Kanté Morel- Journaliste
10. Demba Amar Anne- West Africa Democracy Radio
11. Alpha Aboubacar.- Journaliste rédacteur en chef adjoint WADR
12. Morin Yamongbe, directeur de publication du site Wakatsera Burkina Faso
13. Hamèye Cisse, Journaliste Mali
14. Saikou Tounkara- Journaliste Mali
15. Mallam Abbami- Journaliste Niger
16. Sadibou Marong- Journaliste- Sénégal
17. Pap Saine- Journaliste, Directeur de Publication The Point
18. Noel Konan- Journaliste Côte d'Ivoire
19. Sériba Koné- Journaliste Côte d'Ivoire
20. Djimet Wiche- Journaliste Tchad
21. Younoussa Ouedraogo, Journaliste Burkina Faso
22. Josué Blaise Mbanga Kack, ancien de Jeune Afrique et directeur du groupe de presse Maliga -Cameroun
23. Abdoul Aziz Tchandi, Journaliste Gabon
24. Ameha Tariku, Journaliste Ethiopie
25. Mallam Abba, Journaliste Niger
26. Rene Odou, Journaliste Sénégal
27. Ousseini Djibo Issa, Journaliste Niger
28. Emmanuel Emeka, Journaliste Nigeria
29. Théophile Kouamouo, Journaliste Cameroun/France
30. Loic Lawson, Journaliste Togo
31. Fabrice Wuimo, Journaliste Cameroun
32. Ibrahima Khalilloulah Ndiaye- Journaliste Sénégal
33. Maaroupi Elhadj Sani, Journaliste et photographe Usa/Niger
34. Siradji Sanda_ Journaliste Niger
35. Oumarou Moussa- Journaliste Niger
36. Labasci Mouhammad –Journaliste Niger
37. Alou Moustapha- Journaliste Niger
38. Alidou Maîfadar Mahamadou- Journaliste Niger
39. Abdou Salam Kabirou Mouha- Journaliste Niger
40. Saliou Dandabo Leïnam- Journaliste- Niger
41. Sebio Miriam- Journaliste Niger
42. Omar Abdou- Journaliste Niger
43. Yacine Hassane- Journaliste Niger
44. Bachir Djibo- Journaliste Niger
45. Assad Hamadou- Journaliste Niger
46. Fatiyatou Inoussa- Journaliste Niger
47. Zabeirou Moussa- Journaliste Niger
48. Souleymane Yahaya- Journaliste Niger
49. Laouali Souleymane- Journaliste Niger
50. Abdoulaye Mamane- Journaliste Niger
51. Salima Hamadou Mounkaïla- Journaliste Niger
52. Shehu Adamu- Journaliste Nigeria
53. Kennedy Abwaou-Journaliste Kenya
54. Philippe Ada- Journaliste Burkina Faso
55. Jean Paul Oro, Journaliste Côte d'Ivoire
56. Thiambel Guimbayara, Journaliste Mali
57. Ibrahima Lissa Faye- Journaliste Sénégal
58. Tiegoum Boubeye Maiga, Journaliste Mali
59. Alexis Kalambry- Journaliste Mali
60. Dramane Aliou Kone- Journaliste Mali
61. Mahamadou Talata Maiga- Journaliste Mali
62. Raoul Haounsou, Journaliste Bénin
63. Moudi Moussa- Journaliste président du Cadre d'Action des professionnels des Médias (CAP_Medias_Niger)- Niger
64. Abdoulaye Issaka- Journaliste-Niger
65. Baba Alpha- Journaliste Niger
66. Ousmane Abdou Danklodo- Journaliste Niger
67. Samira Boubacar- Journaliste Niger
68. Fati Zakaria- Journaliste Niger
69. Hannatou Daouda- Journaliste Niger
70. Kader Idi- Journaliste Niger
71. Zaratou Oumarou- Journaliste Niger
72. Elh Issoufou Maman- Journaliste- Niger
73. Mahamadou Harouna.- Journaliste Niger
74. Abdoulaye Tiemogo.- Journaliste Niger
75. Balima Boureima- Journaliste Niger
76. Hadj Bachir- Journaliste Niger
77. Amane Oumarou- Journaliste Niger
78. Daouda Adamou- Journaliste Niger
79. Assane Soumana- Journaliste Niger
80. Maina Mamadou Moustapha- Journaliste Tchad
In memoriam 24 juillet 2014 - 24 juillet 2025, 11ᵉ anniversaire du crash d'Air Algérie AH5017. Onze ans plus tard, le Burkina Faso s'incline dans le recueillement et porte en son cœur ceux qui ne sont jamais rentrés.
À leurs familles, à leurs amis et à tous ceux que le drame a touchés, nous réaffirmons notre solidarité. Que chaque prière, chaque fleur déposée à la stèle de Ouagadougou et dans chaque village ravive la lumière de leur souvenir et fortifie notre communauté dans l'espérance et la fraternité.
Mémorial virtuel disponible sur le blog dédié : www.ah5017.com
En France, la compagnie espagnole Swiftair, propriétaire de l'avion volant pour Air Algérie, est mise en examen depuis 2017 pour homicides involontaires ; le procès attendu, retardé par des recours judiciaires successifs, devra enfin établir les responsabilités et dire le droit.
Sélection de trois (03) coachs d'entreprises (consultants individuels) pour l'accompagnement des agripreneurs ProSol de la commune de Bobo-Dioulasso
La Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), est une entreprise de coopération internationale pour le développement durable opérant sur tous les continents. Elle propose des solutions d'avenir pour le développement politique, économique, écologique et social dans un monde globalisé.
Dans des conditions parfois difficiles, la GIZ soutient des processus complexes de changement et de réforme. Son objectif principal est d'améliorer durablement les conditions de vie des populations dans les pays d'intervention.
Dans le cadre de la Coopération entre le Burkina Faso et l'Allemagne, le Programme ProSol de la GIZ (Coopération Allemande) prévoit renforcer la viabilité économique des microentreprises des jeunes entrepreneurs et faciliter leurs accès au marché et aux financements.
La participation à la concurrence est ouverte à égalité de conditions à toutes les consultants individuels remplissant les conditions énumérées dans le Dossier d'Appel d'Offres et régulièrement installés au Burkina Faso.
Les prestataires intéressés peuvent obtenir le dossier d'Appel d'Offres en envoyant une demande à l'adresse BF_Inquiry@giz.de avec en objet « Dossier N°83493756_ Sélection de trois (03) coachs d'entreprises (consultants individuels) pour l'accompagnement des agri preneurs ProSol de la commune de Bobo-Dioulasso ».
Date limite de soumission le 07.08.2025 à 23h59 mn.
« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt et celui qui vit et croit en moi, ne mourra jamais. » jean 11 :25-27
Le chef de Sôndré
Le chef de Gaogho
Le Wating Naaba de Sôndré
Le Kam Naaba de Sôndré
Le Zempasgho Naaba de Sôndré
La Grande famille ZOUNGRANA, GOUNGOUNGA, COMPAORE, BOUDA, NIKIEMA ,NACOULMA ,OUEDRAOGO ,KINDA, ZIDA , BALKOUMA et KOMBASRE à Manga, Gaogho, Soôndre, Ipelce ,Ouagadougou, Saaba,Pobé-mengao et Etats-unis.
Les enfants :
Mme TIENDREBEOGO née ZOUNGRANA Sylvie en service au Ministère de l'Administration Territoriale et de la Mobilité (MATM)
Feu Mme OUEDRAOGO née ZOUNGRANA Yolande précédemment en service au Ministère de l'Economie et des Finances.
M.ZOUNGRANA Johanny Bertand, Promoteur d'Entreprise
M.ZOUNGRANA Armel, Spécialiste en traitement des eaux
Les familles alliées, KABORE, TIENDREBEOGO, OUEDRAOGO et BATIEBO à Saaba, Zagtouli, Ouahigouya et Réo
Les petits-enfants,
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur époux, père, beau-père et grand-père
M.ZOUNGRANA Michel
Décès survenu le Samedi 19 Juillet 2025 des suites de maladie au CHU Yalgado OUEDRAOGO à l'âge de 86 ans
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Lundi 21 Juillet 2025
16H00 : Transfert de la dépouille mortelle de la morgue du CHU-Yalgado pour le domicile à Kologh Naaba
20H00 : Veillée de prière à Kologh Naaba
Mardi 22 Juillet 2025
7H30 : Levée du corps au domicile (Kologh Naaba)
8H00 : Messe d'absoute à la Paroisse Notre Dame du Rosaire de Kologh-Naaba suivie de l'enterrement au cimetière municipal de Gounghin
Dimanche 27 juillet 2025
7H00 : Grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes à la Paroisse Notre Dame du Rosaire de Kologh-Naaba
UNION DE PRIERES
Dans un communiqué en date du 22 juillet 2025, le président de la Délégation spéciale de la commune de Ouagadougou, Maurice Konaté, rappelle aux habitants que les raccordements illégaux d'eaux usées et excréta dans les ouvrages de drainage des eaux pluviales, ainsi que la réalisation de puits perdus sur le domaine public, sont formellement interdits.
Cette interdiction repose sur l'arrêté n°97-027 du 5 novembre 1997 relatif à l'hygiène et à la salubrité dans la capitale.
Face à la recrudescence de ces pratiques dangereuses pour l'environnement et la santé publique, le PDS informe ainsi, que des contrôles vont être menés et des sanctions appliquées à l'encontre des contrevenants, conformément à la réglementation en vigueur.
Il appelle la population à plus de responsabilité civique, et invite tous ceux en situation irrégulière à se mettre en conformité dès la première diffusion du communiqué.
Lefaso.net
Mairie de Ouagadougou
« Sept jours avant la fin des négociations, il faut également montrer ce dont nous sommes capables », a déclaré un haut responsable du gouvernement allemand.
The post Selon l’Allemagne, « le moment est venu » pour l’UE de menacer les États-Unis avec son « bazooka commercial » appeared first on Euractiv FR.
Une importante cargaison de matériel militaire destinée à un groupe terroriste opérant au Mali a été saisie grâce à une opération conjointe des services de renseignements maliens et de leurs homologues de l'Alliance des États du Sahel (AES). L'annonce a été faite par l'État-major général de l'armée malienne à la télévision nationale.
Selon les autorités militaires, cette logistique sophistiquée comprenait 20 canons pneumatiques avec recharges, 4 000 turbans, 3 280 paires de chaussures rangers, 4 000 treillis, 100 tenues kaki, 4 040 macarons, 1 040 écussons marqués au nom d'un groupe terroriste, ainsi que 20 cartons de chandails.
Les images diffusées selon Maliweb.net, montrent clairement le logo du Front de libération de l'Azawad, désigné comme groupe terroriste par Bamako en raison de sa collaboration présumée avec le JNIM dans des attaques contre les forces maliennes.
L'armée malienne affirme que ces équipements, fabriqués dans un pays asiatique, ont transité par un pays de la sous-région avant d'être interceptés. Les autorités militaires estiment que cette opération, rendue possible grâce à la synergie des services de renseignements de l'AES, met en lumière l'implication d'une entité étrangère dans le soutien logistique au terrorisme régional.
Une enquête judiciaire a été immédiatement ouverte pour situer les responsabilités et empêcher toute nouvelle tentative de déstabilisation.
Lefaso.net
Source : Maliweb.net