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Mali : Quarts de finale de la Coupe du Mali : Le gouverneur de Ségou fait un rétropédalage dangereux

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:21
Le quart de finale que toute la population de Ségou et partant, tout le pays, attendait n’a pas eu lieu comme prévu le samedi 23 juillet au Stade Amary Daou de Ségou. Tant les Ségoviens espéraient sur une renaissance de leur football dans cette compétition, 34 ans après l’épopée des Vital Ky en Coupe du Mali. Que s’est-il passé ? Le film.

Le 2 juillet 2016, une nouvelle Ligue de football a été mise en place dirigée par Cheick Oumar Soumbounou, et reconnue une semaine après par l’association faîtière, la Fémafoot, mais que l’ancien bureau présidé par Mamadou Sow, suspendu par la Femafoot pour 10 ans, conteste. Le 16 juillet, lors des 8èmes de finales joués à Ségou entre l’AS Bakaridjan et le COB, les deux bureaux se sont réclamé organisateurs de la rencontre. Malgré les consignes de la Fémafoot, le gouverneur de Ségou a instruit à ses collaborateurs directs (Directeur du Stade, Directeur régional des Sports et Commissaire de police) de confier l’organisation à l’ancien bureau, en attendant de voir clair, étant donné qu’il était sur le point de voyager. Ce qui fut fait, sans problème et sans heurt.

 

La semaine dernière, pour les quarts de finale, le nouveau bureau, avec forte documentation, a eu une séance de travail avec le gouverneur qui a, du reste, promis de trancher le litige à la veille du match, c’est-à-dire samedi 23 juillet 2016. C’est le Commissaire de police, Mohamed Lamine Cissé, qui a appelé le nouveau secrétaire général de la Ligue, Boubacar Sissoko, vendredi 22 juillet à 12 h, pour lui dire que le gouverneur venait de leur notifier l’organisation du match devant le Directeur régional des sports et le Directeur du stade Amary Daou, et de porter l’effectif de la sécurité à 30, au lieu de 20, comme précédemment annoncé.

 

La réunion technique, dirigée par le délégué fédéral, Ibrahim Sangaré, a donc eu lieu samedi dans la matinée, quand juste après une trentaine de jeunes enfants ont fait irruption sur le gazon, empêchant les organisateurs de tracer le terrain. Ils seront bastonnés par les stadiers de la nouvelle Ligue. Le délégué fédéral en a profité pour rencontrer le gouverneur à midi, afin de lui faire part du calendrier de la Coupe du Mali, avec le protocole de la Présidence de la République qui a donné son OK pour la présence d’IBK à la finale le 13 août ! Donc, impérativement le quart de finale devait se dérouler, afin que vendredi prochain, le tirage des demi-finales soit effectif à la Télévision nationale. Ce dernier était en compagnie des arbitres pour le contrôle de présence des joueurs à 15 h, quand le directeur du stade a ramené un avis radiodiffusé, signé par le directeur de cabinet du gouverneur, reportant le match jusqu’à nouvel ordre, à cause des menaces qui planent sur le match.

 

Le délégué fédéral a expliqué au directeur du stade qu’il n’avait aucune autorisation de prendre cette initiative sans se référer à lui, car, au moment où le papier était signé, il n’y avait aucun problème de sécurité, les échauffourées s’étant vite éteintes depuis 10 heures. Mais, celui qui a failli être lynché par le public (le directeur du stade, Dasson Daou) était déjà taxé de pro-ancien bureau et se démêlait comme un beau diable pour que le match ne se joue pas (malgré les instructions du gouverneur vendredi à midi, il a ouvert l’enceinte bien sécurisée du stade Amary Daou aux jeunes manifestants toute la nuit et surtout, encore le lendemain matin, sans demander une intervention de la police).

Le gouverneur a été piégé par ses collaborateurs, alors que c’est un problème d’association et une organisation de Coupe du Mali qui appartient à la Fémafoot. Il vient de comprendre que son acte, au lieu d’éviter des menaces (il est là pour les circonscrire), en rajoute davantage. Car les Ségoviens lui ont expliqué que si leur équipe perdait le match, il en serait responsable, lui qui n’a jamais subventionné un club de football, et qui refuse le droit à la Fémafoot de décider qui elle reconnaît !

 

Boua TOURE, depuis Ségou

Source : Le Reporter

Categories: Afrique

Krakkói katolikus világtalálkozó – Emberibb, testvéribb, szolidárisabb világra vágynak a zarándokok

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Wed, 27/07/2016 - 08:20
A terrortámadások áldozataiért, köztük a keddi normandiai templomi késelés során meggyilkolt lelkészért szóló imára hívta fel az Ifjúsági Világtalálkozó kedd esti nyitómiséje résztvevőit Stanislaw Dziwisz bíboros, krakkói érsek.

Raids Aviation a repris l'air: le n°25 (août/septembre) est disponible

Lignes de défense - Wed, 27/07/2016 - 08:20

Les turbulences d'Histoire et Collections sont presque oubliées. Les actifs et le fonds ont été repris le 5 juillet par Sophia Communication et les parutions des différents magazines d'Histoire et Collections vont reprendre.

Le numéro 25 de Raids Aviation vient de sortir avec les habituelles contributions de Jean-Marc Tanguy qui signe trois articles: " Griffin Strike: l'union sacrée dans les airs", "Avec Cotam 2031 au coeur de la BSS" , "Dans les coulisses des frapes aériennes" et la partie actualité consacrée aux "Ailes françaises".

On notera aussi un papier sur les Tornado allemands en Syrie et un point sur l'armée de l'air algérienne. Enfin, j'ai noté un article sur les "renseignement made in Uk" qui analyse les moyens ISR britanniques.

Categories: Défense

Hillary Clinton a Demokrata Párt elnökjelöltje

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Wed, 27/07/2016 - 08:20
PHILADELPHIA. A helyi idő szerint kedden tartott szavazáson Hillary Clinton megszerezte a demokrata pártküldöttek voksainak többségét, így immár hivatalos, hogy a 68 éves egykori first lady, New York-i szenátor és külügyminiszter a demokrata párt jelöltje a november 8-án tartandó amerikai elnökválasztáson.

Mali : Gouvernement : Départs sans regrets

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:19
Choguel Kokalla Maïga Choguel Kokala Maïga : En dehors de sa famille, son départ du gouvernement ne choque personne. Etant ministre, il a été accusé de toucher des honoraires pour le compte de son ancien service (AMRTP) et s’élevant à quelque 5 millions de Fcfa en 10 jours, soit 500.000 Fcfa par jour. Il a été accusé par des syndicalistes de l’ORTM de toucher de l’argent envoyé mensuellement par la Direction de l’ORTM, sous Baly Idrissa Sissoko. Il a arrangé le retour de Sidiki N’fa Konaté à l’ORTM, en complicité, bien entendu, avec d’autres mains invisibles.

Il voulait, jusqu’à la dernière minute, placer un proche (ou en tout cas un protégé) à la tête de l’AMAP. Cela a échoué, mais depuis, il avait fait du nouveau ‘’directeur par défaut’’ un valet de son département. Pour un oui ou un non, les journalistes étaient sermonnés. C’est à croire que Choguel voulait ramener la presse d’Etat à l’époque de l’UDPM dont il devrait être très nostalgique. C’est aussi lui qui a mis la pression sur la Direction de l’AMAP afin de se débarrasser des Drabo. Ce que le nouveau directeur, à l’esprit vengeur, a fait avec zèle, c’est le moins que l’on puisse dire.

-Hachim Koumaré, ministre de l’Equipement et des Transports : avec l’état actuel des routes, ce n’est guère étonnant qu’il ne soit plus là. Il était censé coordonner toutes les promesses chimériques imaginées à la faveur du voyage présidentiel en Chine. Mais au finish, on n’a rien vu. Il n’avait surtout pas une assise politique ; ce qui est suffisant pour être débarqué au moment où il faut faire de la place aux Al Capone. Mais surtout, aucun parent ou proche ne regretterait son départ du gouvernement, car il n’avait jamais aidé personne.

S.Haidara

 Source : Le Point
Categories: Afrique

Japon: Shinzo Abe dégaine un plan de relance massif de 240 milliards d'euros

La Tribune - Wed, 27/07/2016 - 08:19
Depuis Fukuoka, dans le sud-ouest de l'archipel, le Premier ministre Shinzo Abe a annoncé une hausse des dépenses budgétaires de l'Etat ainsi que des avances pour les investissements des collectivités et des entreprises. Davantage de détails doivent être fournis la semaine prochaine, à l'occasion de la validation du programme par le gouvernement.
Categories: France

Syrien: Knapp 400.000 Zivilisten von Hilfe abgeschnitten CARE, Oxfam, Save the Children, Welthungerhilfe und World Vision fordern: Internationale Unterstützergruppe muss humanitären Zugang sichern

Presseportal.de - Wed, 27/07/2016 - 08:16
CARE Deutschland-Luxemburg e.V.: Bonn (ots) - In den vergangenen drei Wochen wurden in Syrien knapp 400.000 Menschen in Aleppo und dem Gebiet Manbij von humanitärer Hilfe abgeschnitten. Das berichtet ein Zusammenschluss von 24 in Syrien tätigen Hilfsorganisationen, darunter CARE, ...

Mali : Justice : Les juges en grève ce matin

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:16
Issa Traoré, président du syndicat autonome de la magistrature Le préavis de grève de 72 heures allant du 27 au 29 Juillet 2016 déposé le lundi 11 Juillet 2016 dernier par le Syndicat autonome de la Magistrature auprès du ministère du Travail, de la Fonction publique et des Relations avec les institutions, est maintenu après l’échec des négociations entre les deux parties.  Sur les 27 points de revendication sur la table des négociations, 10 points seulement font objet d’accord. Non satisfait des résultats des négociations, le Syndicat autonome de la magistrature a maintenu sa grève  qui commence ce matin et cela jusqu’au 29 juillet 2016. La souffrance donc pour les affaires en instances.

Voici les doléances comportant les points de revendication suivants (en gros ceux qui ont fait objet d’accord) :

1°) le relèvement du budget du Ministère de la Justice à hauteur de 10% au moins du budget national, à compter de l’exercice 2017.

2°) L’alignement de Cour Suprême sur les institutions de même niveau au regard du principe de la séparation des pouvoirs, au point de vue des traitements et avantages, ainsi que sa dotation en moyens suffisants nécessaires à son fonctionnement et lui permettant d’assurer le respect des engagements internationaux pris au nom du Mali ;

3°) le relèvement de la grille indiciaire des magistrats de :

-350 à 750 pour le Magistrat en début de carrière ;

-1100 à 3500 pour le Magistrat de grade exceptionnel.

4°) le rehaussement des indemnités de judicature à hauteur de 800.000 FCFA pour chaque magistrat.

5°) le rehaussement des indemnités de logement à hauteur de:

– 500.000 FCFA pour le magistrat de la Cour Suprême

– 300.000 FCFA pour les autres magistrats.

6°) l’octroi de primes de responsabilité et de représentation à hauteur de:

-500.000 FCFA pour le Président de la Cour Suprême et le Procureur Général près la Cour Suprême ;

-400.000 FCFA pour les autres magistrats de la Cour Suprême ;

-350.000 FCFA pour le Premier Président de Cour d’Appel, le Procureur Général près la Cour d’Appel, les Chefs des Services Centraux du Ministère de la Justice et le magistrat en détachement ;

-300.000 FCFA pour tout autre magistrat de Cour d’Appel ou tout autre magistrat de l’Inspection des Services Judiciaires ;

-250.000 FCFA pour le Président du Tribunal de Grande Instance, le Président du Tribunal Administratif, le Président du Tribunal de Commerce, le Président du Tribunal du Travail, le Président du Tribunal pour Enfants, le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance ;

-200.000FCFA pour le Président du Tribunal d’Instance, le Procureur de la République près le Tribunal d’Instance et tout magistrat en fonction dans un Service Central ou assimilé du Ministère de la Justice ;

-150.000 FCFA pour tout autre magistrat d’une juridiction de premier degré.

7°) l’octroi d’indemnités de recherche à hauteur de :

-200.000 FCFA pour chaque magistrat de la Cour Suprême et le Directeur National de l’Institut National de Formation Judiciaire ;

-100.000 pour le Directeur Adjoint et le Directeur des Etudes de l’Institut National de Formation Judiciaire ;

8°) l’octroi d’une prime de risque d’un montant de 150.000 FCFA pour tout magistrat.

9°) l’extension des dispositions du décret N° 2014-0837/PRM du 10 Novembre 2014 aux magistrats (indemnités de représentation et de responsabilité, d’eau, d’électricité, de téléphone, de résidence, primes de zone, de domesticité et autres).

10°) l’octroi d’une prime, d’installation non taxable d’un montant de 2.000.000 FCFA, au jeune magistrat au moment de son entrée en fonction.

11°) l’Intégration des primes et indemnités aux salaires.

12°) la revalorisation des pensions des magistrats à hauteur de 50 pour cent.

13°) la dotation en carburant de tous les magistrats.

14°) la réparation des dommages matériels occasionnés aux magistrats lors des évènements survenus dans la partie Nord du pays.

15°) l’élaboration d’un Plan de Carrière des magistrats et la classification des juridictions.

16°) l’élaboration du Règlement Intérieur du Conseil Supérieur de la Magistrature.

17°) le respect des dispositions de l’article 8 de la loi N° 02-054 du 16 Décembre 2002 portant Statut de la Magistrature, relatives à l’installation solennelle des chefs de juridiction et de parquet.

18°) la conception d’un programme adapté de formation de base et le soutien à la formation continue des magistrats.

19°) l’inscription du SAM au budget du Ministère de la Justice concernant les frais et charges afférents à sa qualité de membre de l’Union Internationale des Magistrats.

20°) l’octroi au SAM de sa place au sein du Conseil Economique, Social et Culturel, conformément à l’arrêt N° 76 du 15 Août 2002 de la Section Administrative de la Cour Suprême.

21°) le renforcement des mesures de sécurité.

22°) la dotation de chaque magistrat en passeport de service, en général, et particulièrement ceux de la Cour Suprême, les Présidents des Cours d’Appel, les Procureurs Généraux près les Cours d’Appel et le Directeur Général de l’Institut National de Formation Judiciaire en passeport diplomatique.

23°) la dotation des magistrats de la Cour Suprême, des chefs de juridiction et de parquet en véhicule de fonction.

24°) la dotation de chaque Cour d’Appel, de chaque Tribunal de Grande Instance et de chaque Tribunal d’Instance en véhicule d’extraction.

25°) la transparence dans l’attribution des titres de distinction et la disponibilité des critères d’avancement pour une meilleure prise en compte des magistrats.

26°) l’adoption d’un programme de logement des magistrats.

27°) l’exonération de la totalité des droits et taxes pour toute importation faite par le magistrat, chaque trois an.

Source: L’indicateur du Renouveau

Categories: Afrique

Climate Victims – Every Second, One Person Is Displaced by Disaster

Africa - INTER PRESS SERVICE - Wed, 27/07/2016 - 08:15

Land degradation - Sustainable land management: do nothing and you will be poorer. Credit: UNEP

By Baher Kamal
ROME, Jul 27 2016 (IPS)

Climate change and related extreme weather events have devastated the lives and livelihoods of tens of millions of most vulnerable people worldwide– by far exceeding the total of all the unfortunate and unjustifiable victims of all terrorist attacks combined. However, the unstoppable climate crisis receives just a tiny fraction of mainstream media attention. See these dramatic facts.

“Every second, one person is displaced by disaster,” the Oslo-based Norwegian Refugee Council (NRC) reports. “In 2015 only, more than 19.2 million people fled disasters in 113 countries. “Disasters displace three to ten times more people than conflict and war worldwide.”

As climate change continues, it will likely lead to more frequent and severe natural hazards; the impact will be heavy, warns this independent humanitarian organisation providing aid and assistance to people forced to flee.

“On average, 26 million people are displaced by disasters such as floods and storms every year. That’s one person forced to flee every second.”

“Climate change is our generation’s greatest challenge,” says Jan Egeland, Secretary General of the Norwegian Refugee Council, which counts with over 5,000 humanitarian workers across more than 25 countries.

An estimated 83,100 people remain displaced and in need of humanitarian assistance in Wau, South Sudan. Credit: OIM

The climate refugees and migrants add to the on-going humanitarian emergency. “Not since World War II have more people needed our help,” warned the secretary general of the Norwegian Refugee Council Jan Egeland, who held the post of UN undersecretary general for Humanitarian Affairs and Emergency Relief (2003-2006).

Egeland –who was one of the most active, outspoken participants in the World Humanitarian Summit (Istanbul May 23-24)– also stressed that the humanitarian sector is failing to protect civilians.

“I hope that world leaders can ask themselves if they can at least stop giving arms, giving money to those armed groups that are systematically violating the humanitarian law, and bombing hospitals and schools, abusing women and children,” he said to IPS during the World Humanitarian Summit.

For its part, the International Organisation for Migration (IOM) forecasts 200 million environmental migrants by 2050, moving either within their countries or across borders, on a permanent or temporary basis. Many of them would be coastal population.

On this, the United Nations Environment Programme (UNEP) warns that coastal populations are at particular risk as a global rise in temperature of between 1.1 and 3.1 degrees C would increase the mean sea level by 0.36 to 0.73 meters by 2100, adversely impacting low-lying areas with submergence, flooding, erosion, and saltwater intrusion.

FAO and UNHCR prepared a handbook that will help mitigate the impact of displaced people on forest resources. The handbook aims to help displaced people access fuel for cooking food while reducing environmental damage and conflicts with local communities. Credit: FAO/UNHCR


In a recent interview with IPS Nairobi correspondent Manipadma Jena, the director general of the International Organisation for Migration, William Lacy Swing, said that coastal migration is starting already but it is very hard to be exact as there is no good data to be able to forecast accurately.

“We do not know. But it is clearly going to figure heavily in the future. And it’s going to happen both in the low-lying islands in the Pacific and the Caribbean, and in those countries where people build houses very close to the shore and have floods every year as in Bangladesh.”

“It is quite clear that we will have more and more conflicts over shortages of food and water that are going to be exacerbated by climate change,” Lacy Swing warned.

Political crises and natural disasters are the other major drivers of migration today, he said to IPS in the interview.

Lacy Swing confirmed the fact that climate victims now add to record 60 million people who are fleeing war and persecution.

“We have never had so many complex and protracted humanitarian emergencies now happening simultaneously from West Africa all the way to Asia, with very few spots in between which do not have some issue. We have today 40 million forcibly displaced people and 20 million refugees, the greatest number of uprooted people since the Second World War.”

On 25 July, the United Nations General Assembly unanimously adopted a resolution approving an agreement to make the International Organisation for Migration part of the UN system.

Founded in the wake of the World War II to resettle refugees from Europe, OIM celebrates its 65th anniversary in December of this year.

Land degradation – Sustainable land management: do nothing and you will be poorer. Credit: UNEP


“Migration is at the heart of the new global political landscape and its social and economic dynamics. At a time of growing levels of migration within and across borders, a closer legal and working relationship between the United Nations and IOM is needed more than ever,” said the United Nations Secretary-General Ban Ki-moon in a statement welcoming the Assembly’s decision.

IOM, which assisted an estimated 20 million migrants in 2015, is an intergovernmental organisation with more than 9,500 staff and 450 offices worldwide

“We are living in a time of much tragedy and uncertainty. This agreement shows Member States’ commitment to more humane and orderly migration that benefits all, where we celebrate the human beings behind the numbers,” IOM Director General William Lacy said.

Through the agreement, the UN recognises IOM as an “indispensable actor in the field of human mobility.” IOM added that this includes protection of migrants and displaced people in migration-affected communities, as well as in areas of refugee resettlement and voluntary returns, and incorporates migration in country development plans.

The agreement paves the way for the agreement to be signed by Secretary-General Ban-Ki Moon and Swing at the UN Summit for refugees and migrants on 19 September, which will bring together UN member states to address large movements of refugees and migrants for more humane and coordinated approach.

Categories: Africa

"Demain", un tour du monde des solutions. Durables?

La Tribune - Wed, 27/07/2016 - 08:15
Le succès ne se dément pas pour ce documentaire anti-déprime, qui propose un tour du monde des solutions aux problèmes de notre planète. Pour autant, le technocrate, incorrigible sur les sujets qu'il connaît, a relevé des omissions ou des simplismes... Par Pierre- Yves Cossé, ancien commissaire au Plan.
Categories: France

Saint-Étienne-du-Rouvray : la presse réclame des actes et l'union nationale au gouvernement

Le Point / France - Wed, 27/07/2016 - 08:15
Ce mercredi 27 juillet, la presse réclame au gouvernement de ne pas tomber dans le piège de la division, comme après l'attentat de Nice.
Categories: France

Mali : Problématique des évènements de Gao : A quand, l’interpellation des ministres de la Défense et de Sécurité ?

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:14
Visite du ministre Tiéman Hubert Coulibaly à Diabaly Au-delà des visites effectuées chez le ministre de la Défense et des Anciens Combattants et celui de la Sécurité et de la Protection Civile, pour s’enquérir des informations réelles sur les évènements de Gao, le Président de la Commission de Défense Nationale, Sécurité et Protection Civile, l’honorable Karim Keita, devrait interpeller ces ministres pour édifier l’opinion nationale.

L’interpellation est, par définition, une demande d’explication adressée par un parlementaire au gouvernement sur un aspect de la politique du gouvernement ou sur une question déterminée. Autrement dit, c’est une demande d’explication en séance plénière, adressé par un membre du parlement à un ministre. Alors, pour édifier l’opinion nationale, cet état de fait n’interpelle-t-il pas, ces ministres concernés. La répression de la marche des jeunes de Gao, qui a défrayé la chronique la semaine dernière a, sans nul doute, réveillé l’indignation non seulement du peuple malien, mais aussi et surtout de la communauté internationale. Un acte qualifié d’ignoble qui a désagréablement surpris beaucoup d’observateurs. En effet, une marche pacifique non autorisée, selon les dires du gouverneur, des jeunes, dénonçant la mise en place des autorités intérimaires, et surtout l’insertion des jeunes au niveau du cantonnement de DDR, a mal tourné, enregistrant de mort d’hommes (3) et plus d’une quarantaine de blessés. Deux hypothèses ont été soulevées. Il a été révélé que ce sont les forces de l’ordre qui, en premier, ont ouvert le feu, mais d’autres affirment que les premiers coups de balles sont partis des marcheurs vers les forces de l’ordre. Ces deux hypothèses ont provoqué une confusion totale vis-à-vis des populations. Certes, le gouvernement n’est pas resté indifférent à l’acte. Dès le lendemain de la répression, il a dépêché une délégation gouvernementale sur le terrain pour s’enquérir des vraies informations afin d’ouvrir une enquête digne de ce nom pour situer la responsabilité. Une délégation dont nous pouvons citer : Le ministre de l’administration, le ministre de la Justice, gardes des seaux, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile. Au cours de cette rencontre des ministres avec les autorités régionales et les manifestants, il y a eu un accord, selon un manifestant à Gao. Sous réserve de toutes ces confusions, les questions qui taraudent les esprits sont entre autres : Qu’est-ce qui est derrière tout ça ? Qui a donné l’ordre de tirer ? Qui a d’abord ouvert le feu : manifestant ou forces de l’ordre ? Quel est le nombre exact de morts et de blessés ? Ces questionnements méritent impérativement des réponses pour mieux édifier les citoyens. L’un des rôles principaux du premier responsable de la Commission de la Défense Nationale, Sécurité et Protection Civile est d’interpeller le ministre en cas de problème pour situer la responsabilité. Etre dans le même camp de la majorité présidentielle ne doit en aucun cas empêcher l’interpellation. L’honorable Bakary Koné a interpellé le Ministre Bocary Tréta à l’époque. A suivre…

Drissa KEITA

Source : L’Annonce

Categories: Afrique

Mali : Conflit Foncier entre le village de Digato et le Richissime Tidiane Traoré : L’UACDDD exige que la vérité soit dite entre les deux parties

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:12
L’Union des Associations et Coordinations d’Association pour le Développement et la Défense des Droits des Démunis (UACDDD) a animé le 26 juillet 2016 à son siège sise à Niamakoro une conférence de presse. la conférence était animée par : le président de l’union, Soungalo Koné, son secrétaire général par intérim, Chaka Traoré, son chargé des affaires judiciaires, Taka Méninta, son chargé de communication de l’Union, Soungalo Kéita, et le représentant du chef de village de Digato (commune rural de Sanankoroba), Sékou Samaké. L’objectif était d’une part, de faire la restitution de la visite de l’Union dans la zone de conflit foncier qui oppose les populations de Digato et un richissime malien en la personne de Tidiane Traoré et d’autre part, interpeller l’Etat pour qu’il joue son rôle de garant vis-à-vis de tous les citoyens afin que la bombe à retardement qu’est le foncier soit désamorcé.

Selon Chaka Traoré, Digato est un vieux village qui est à 10 km de Sanankoroba. Les premiers habitants, dit-il, ayant subi trop de pertes en vie humaine face à l’ennemi, se sont déplacés de six kilomètres tout en continuant à cultiver, à planter, à préserver  l’ancien emplacement où est même enterré trois de leurs ancêtres. Mais, poursuit Chaka Traoré, un village d’à côté du nom de Kola réclama la paternité  de l’endroit. Un conflit s’ouvra ainsi entre les deux villages qui peinent à se régler définitivement. «En 1962, suite au procès verbal d’enquête et de conciliation du chef d’arrondissement de Sanankoroba, les deux parties ont convenu: «Digato et Kola s’engagent à vivre ensemble en paix comme par le passé. Kola accepte de ne jamais cultiver les terres appartenant à Digato sans faire préalablement la demande. Digato s’engage à attribuer les terres ainsi sollicitées».

En 1965, Kola revient à la charge. L’affaire a été transférée à Bamako. Mais la décision prise par le commandant de cercle de Sanankoroba en 1962 n’a jamais été retrouvée. Et le tribunal donne raison à Kola. Et depuis 1991, les deux parties sont devant les tribunaux. Tantôt on donne raison à Digato, tantôt à Kola. Et dans cette situation, Kola a vendu la zone  (près de 2000 hectares ou plus)à un richissime malien du nom de Tidiane Traoré», ajoute Taka Méninta. Digato s’inquiète aujourd’hui de la tournure que prennent les choses. « Tidiane a emprisonné à Kati 9 chefs de famille de Digato pendant deux ans pour avoir cultivé son espace.  Ce qui nous inquiète de plus, Tidiani nous réclame 24 millions de FCFA pour dommages et intérêts sinon qu’il va nous prendre le reste de nos terres. C’est pourquoi, après avoir frappé à toutes les portes sans solutions favorable, on s’est adossé à l’union pour que nos terres nous soient restituées», souligne, avec tristesse, Sékou Samaké, envoyé du chef de village. Une fois mis au parfum du conflit foncier,  l’Uacddd (L’Union des Associations et Coordinations d’Association pour le Développement et la Défense des Droits des Démunis) réclame une étude approfondie du dossier pour que justice soit  faite.

«L’expulsion de Digato sur les terres de Kola a été confirmé par la cour d’appel de Bamako, mais sans préciser les limites. Ainsi, Tidiani Traoré s’est permis, en complicité avec la Brigade Mobile de la Gendarmerie qui garde ses lieux, de s’accaparer de tout sans réserve. Dans le jugement, on n’a pas vu de démolition aussi. Tidiane s’est autorisé encore de démolir tout ce qui se trouvait comme reste à Digato. Nous demandons que Tidiane laisse la zone où est enterré les ancêtres des populations de Digato», déclare Taka Méninta. Et Chaka Traoré d’indiquer, «que Tidiane cherche la délimitation entre les terres de Digato et de Kola avant de monopoliser tout. L’union n’a pas de pouvoir décisionnel, mais surveillera l’affaire comme de l’huile sur le feu pour que la vérité soit dite entre les deux parties en conflit. Le pays ne saura se construire dans l’injustice.  Que les autorités fassent en sorte que la bombe à retardement qu’est le foncier soit désamorcé  très rapidemment».

Hadama B. Fofana

Source: Le Républicain

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Mali : I.U.G.-Démission du Recteur Samba Diallo : Le CEN-SNESUP remet ça !

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:09
Le CEN-SNESUP salue le départ de Me Mountaga Tall de l’Enseignement supérieur (mais, sans saluer l’arrivée de son successeur, Pr. Assétou Founé Samaké Migan). Il salue également la nomination du nouveau Directeur général à l’IUG, Badra Macalou, qu’il invite indirectement à changer d’équipe pour une meilleure collaboration et pour plus efficacité. Il remet sur la table du Premier ministre la demande de démission du Recteur Samba Diallo, « la cause réelle de cette crise persistante» et «insiste sur l’application intégrale du Protocole d’accord du 13 mai 2016 entre le SNESUP et le Gouvernement, pour un climat social apaisé à l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique».

 

Depuis la signature de l’accord entre le SNESUP et le Rectorat, les cours ont repris de manière effective à l’I.U.G, aussi bien pour les cours du jour que pour ceux du soir. Pour autant, la confiance n’est pas totalement revenue, du moins du côté des enseignants. En effet, ces derniers ne comprennent pas que, malgré la signature d’un accord, ils ne percevront pas leurs salaires  du mois de juillet. L’explication donnée est que l’accord est intervenu quand le délai de traitement des salaires était dépassé au B.C.S (Bureau central des soldes). Cette explication ne semble pas convaincre grand nombre, d’autant plus que l’accord a été signé le 28 juin, donc assez tôt pour que les salaires de juillet ne soient pas en péril. Certains y voient donc une énième tentative du Recteur Samba Diallo de leur nuire. C’est lui, en effet, qui, sans passer par la Fonction publique, avait pris la responsabilité de suspendre les salaires. Cela fait donc trois mois que les enseignants de l’I.U.G sont sans salaires. Le mécontentement est palpable, mais nombreux sont ceux qui préfèrent prendre leur mal en patience. Contrairement à quelques radicaux qui estiment qu’il faut à nouveau arrêter les cours, d’autant plus qu’en plus du non-paiement des soldes, les arriérés aussi n’ont pas été payés. «Le gouvernement, quand il le veut, peut débloquer toutes les situations. 400 millions de FCFA ont été offerts gracieusement à la CMA et à la Plateforme, sans aucune prévision budgétaire. Des bandits armés sont entretenus aux frais du contribuable. Mais, quand il s’agit des enseignants, on invoque un simple principe de délai de paiement. C’est révoltant», s’indigne un enseignant.

Les enseignements d’une crise

Quelques enseignements peuvent être tirés de la grève de l’I.U.G qui a duré quelque quatre mois. Le premier enseignement est qu’un seul individu, pourvu qu’il soit couvert en haut lieu, peut impunément remettre en cause l’avenir de milliers d’étudiants. C’est le cas du Pr. Samba Diallo, Recteur de l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako (USSGB). Lui seul a bloqué toute possibilité de parvenir à un accord, jusqu’à l’ultimatum lancé par le Comité exécutif national du SNESUP qui généralisait la grève à l’ensemble du pays et exigeait sa révocation, ainsi que celle du ministre de tutelle d’alors, Me Mountaga Tall. Il y a eu d’abord 48 heures de grève, puis 72 heures, sans que Samba Diallo daigne lever le petit doigt. Et lorsque la grève illimitée a été décrétée, il a fallu attendre près de deux mois avant que le Recteur n’entame les pourparlers. Il a ensuite rejeté les propositions faites par la Fonction publique et le CEN-SNESUP. Ce sont pourtant les mêmes propositions qui ont été finalement adoptées. En somme quatre mois perdus pour rien.

Me Kassoum Tapo cité

La question que l’on peut se poser est celle-ci : Qu’est-ce qui permet à Samba Diallo de tenir tête à tout le monde ? La réponse est très simple : ‘’il prend ses instructions à Koulouba’’, comme il aimait à le dire à tout bout de champ. C’est ainsi qu’il n’avait aucun égard pour son ministre, Me Mountaga Tall, qui aurait même cherché à le relever, mais en vain. Selon nos sources, c’est le Conseiller spécial de la Présidence de la République, Me Kassoum Tapo, qui aurait téléphoné au ministre lui demandant de laisser Samba Diallo gérer le dossier. Faudrait-il penser que Tapo ne transmettait que le message délivré par IBK lui-même dont on dit – curieusement (Samba Diallo avait choisi le camp d’Alpha Oumar Konaré et n’hésitait pas, selon des enseignants, à vilipender IBK en milieu universitaire) – proche du recteur ? C’est fort possible quand on sait que le Premier ministre, Modibo Keïta, s’était saisi du dossier dans le but d’y trouver une solution rapide, mais avait fini, lui-aussi, par jeter l’éponge. C’est seulement après le préavis de grève généralisée du SNESUP que ‘’Koulouba’’ a finalement autorisé Me Tall à traiter le dossier. En fait donc, Me Tall, qui a été accusé de faire preuve de mépris, n’a eu à traiter véritablement le dossier qu’à la dernière minute, c’est-à-dire à la suite de l’ultimatum du SNESUP. D’où la question : Qu’est-ce qui lui a fait tenir à l’Assemblée nationale des propos jugés révoltants à l’endroit du syndicat de l’I.U.G ? Le ministre disait en substance qu’une minorité d’enseignants de l’I.U.G voulaient privatiser l’UFP (Unité de formation et de production). Certains observateurs estiment que, blessé par sa mise à l’écart, obligé de répondre aux questions des députés en tant que ministre de  l’Enseignement supérieur, Me Tall a tout simplement voulu jeter de l’huile sur le feu. Vrai ou faux ? Tout porte à croire que les propos tenus par le ministre ont été inspirés par le Recteur. Comme on le dit en bambara, littéralement : «Le sorcier est préférable à celui qui prétend l’être».

Un deuxième enseignement est que c’est toujours dangereux de protéger un subordonné (même quand celui-ci a tort), contre son supérieur. La crise de l’I.U.G aurait pu être résolue facilement, si l’on avait laissé le ministre s’impliquer à temps.

Un troisième enseignement est que « l’enseignant est un loup pour l’enseignant». Ce calvaire enduré par les enseignants de l’I.U.G est le fait d’autres enseignants, ni plus ni moins.

Une autre leçon est que les décideurs maliens ne sont pas encore prêts à voir un enseignant jouir de meilleures conditions de vie. On accepte qu’un fonctionnaire des Finances vive bien ; qu’un douanier, même sans diplôme, construise des villas et roule dans ‘’les voitures derniers cris’’ ; qu’un médecin pratique des activités privées dans les établissements publics afin de se faire de l’argent ; qu’un magistrat ait tous les avantages possibles, qu’un fonctionnaire de l’administration bénéficie de missions, de per diem de séminaires, de bons d’essence et autres avantages, mais on ne s’habituera peut-être jamais à voir un enseignant gagner autre chose en sus de son salaire. L’enseignant, tant qu’il n’est pas dans l’administration, doit rester l’eternel ‘’pauvre type’’, mal habillé, mal chaussé, sentant mauvais, marchant à pied ou au mieux, ne disposant que d’une Djakarta. Dès qu’il apparaît autrement, il devient haïssable. Ce que les enseignants de l’I.U.G gagnent en plus de leurs salaires, c’est eux qui l’ont imaginé, pas le gouvernement. Serait-il interdit d’entreprendre des activités susceptibles d’améliorer ses conditions d’existence ?

Enfin, le gouvernement devrait faire plus attention à Samba Diallo qui ne s’entend avec aucun ou presque des responsables universitaires.

De son côté, par lettre N°16-31 du 18 juillet dernier et adressée au Premier ministre, avec comme objet : «l’état des négociations sur la grève de soutien au comité SNESUP de l’IUG», le CEN-SNESUP exprime toute sa colère et sa déception face au comportement du Recteur, Samba Diallo. En témoigne cet extrait : «…Au cours des négociations, le Gouvernement s’était engagé à payer les salaires du mois de juillet 2016 aux enseignants de l’IUG. À notre grande surprise, nous avons constaté que les salaires de juillet n’ont pas été préparés. Le non-paiement des salaires du mois de juillet 2016 nous conduira à une année blanche à l’IUG, car les enseignants ayant perdu les salaires de mai et juin, puis juillet, n’ont aucun moyen financier pour assurer leur déplacement pour dispenser les cours. Le CEN-CNESUP vous félicite pour le remaniement ministériel opéré le jeudi 07 juillet 2016 qui a permis  le départ du ministre Mountaga Tall de l’Enseignement supérieur. Cette mesure courageuse est saluée par l’ensemble des travailleurs de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Aussi, nous vous félicitons pour votre reconduction comme chef du Gouvernement et osons compter sur vous, personnellement, pour relever les défis du développement de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au Mali. Cependant, la revendication du SNESUP relative à la démission du Recteur de l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako, Monsieur Samba DIALLO, demeure entière au regard de sa gestion calamiteuse dont une preuve est le non-paiement des salaires du mois de juillet 2016 aux enseignants de l’IUG, qui risque de nous conduire à une année blanche. En conséquence, nous vous demandons, Excellence Monsieur le Premier ministre, de bien vouloir personnellement prendre en charge la question de démission du Recteur Monsieur Samba DIALLO qui constitue la cause réelle de la crise persistante à l’IUG par des grèves répétitives pendant deux ans et dans l’Enseignement supérieur au Mali par ses manquements intempestifs aux textes de la CNELA. Nous saluons la nomination d’un nouveau Directeur général à l’IUG et espérons qu’il pourra mettre en place une équipe capable de relever le défi actuel de gouvernance posée dans cette structure. Aussi, nous sollicitons votre implication afin que les accords obtenus pour l’IUG soient traduits en réalité en vue de sauver cette structure d’enseignement supérieur, victime d’une mauvaise gouvernance sans précédent. Par ailleurs, nous voudrions insister sur l’importance de l’application intégrale du Protocole d’accord du 13 mai 2016 entre le SNESUP et le Gouvernement, pour un climat social apaisé à l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique… ».

Signé, le Secrétaire Général du CEN-SNESUP, Dr Abdou MALLE. Qui aura visiblement fort à faire à un Samba Diallo, sûr de ses soutiens à Koulouba, et qui n’hésitait pas à se moquer de Me Tall, soi-disant qu’il prenait ses instructions à Koulouba et qui se plaît à se vanter de ses «capacités de nuisance». Il n’a sûrement pas menti sur ce dernier point, puisqu’il est parvenu, sans l’implication de la Fonction publique, SVP, à suspendre illégalement les salaires des enseignants de l’IUG depuis trois mois maintenant. Qui a dit qu’il n’y avait pas d’Hommes Forts ?

Sory Haidara

Source : Le Point

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Fraud Left Ansbach Bomber Homeless in Bulgaria

Balkaninsight.com - Wed, 27/07/2016 - 08:09
Syrian Mohammad Daleel, who blew himself up near a music festival in Germany, complained of living on the streets with no money as a refugee in Bulgaria on national television in 2013.
Categories: Balkan News

Mali : Faculté des Lettres et des Sciences de Langage : L’amphi Aula Magna prend l’eau

Maliactu - Wed, 27/07/2016 - 08:07
L’hivernage s’est installé au Mali au grand plaisir des agriculteurs maliens. Et si les paysans sont très heureux de voir le ciel déversé des grosses gouttes de pluie, les étudiants de la faculté des lettres et des sciences de langage sur la colline de Badalabougou, quand eux, sont très inquiets dès que le temps menace.

En effet, l’une de leur salle, l’amphithéâtre Aula Magna, est pratiquement inondée dès qu’il pleut. Cela exaspère les étudiants qui ne comprennent pas pourquoi les autorités de leur faculté ne prennent pas les mesures nécessaires pour remédier à cette situation qui les empêche d’étudier dans des conditions idoines. « En plus d’être dégradé dans le domaine des études, notre faculté est confronté à un problème de salubrité.

Les salles d’études sont délabrées et  ne sont pas nettoyées. Et avec l’hivernage, l’amphi Aula Magna se trouve envahie par l’eau. Les amphis sont mal entretenus. Que font les autorités universitaires ? », peste un étudiant rencontré sur la colline de Badalabougou.

Aliou Doumbia, stagiaire

Source: Le Républicain

Categories: Afrique

Telefónica Deutschland und Sky Deutschland kooperieren: Live-Fußball und vieles mehr mobil bei o2

Presseportal.de - Wed, 27/07/2016 - 08:06
Telefónica Deutschland Holding AG: München (ots) - Fußball Bundesliga oder UEFA Champions League auf Sky - o2 Kunden sind ab 2017 live dabei! Der Clou: Alle Spiele und Tore gibt es künftig unterwegs, zu Top-Konditionen und mit flexiblen Laufzeiten. Dafür sorgt die neue Kooperation ...

Azerbaijan introducing online privatization

News.Az - Wed, 27/07/2016 - 08:06
The Azerbaijani State Committee on Property Issues has presented a new privatization portal (privatization.az).
Categories: Russia & CIS

Vorläufige Kennzahlen Januar bis Juni 2016: Telefónica Deutschland baut Datengeschäft aus und stellt höhere Dividende in Aussicht

Presseportal.de - Wed, 27/07/2016 - 08:05
Telefónica Deutschland Holding AG: München (ots) - - Neue Angebote wie o2 Banking und Kooperation mit Sky Deutschland treiben Datenmonetarisierung - Fokus auf digitale Transformation nach Integrationserfolgen im ersten Halbjahr - Anstieg der Dividende für das ...

Azerbaijan to observe elections to Russian State Duma

News.Az - Wed, 27/07/2016 - 08:05
Representatives of 43 countries will observe elections to Russian State Duma in September.
Categories: Russia & CIS

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