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Leading CDU/CSU agricultural politicians had already expressed their preference for an alliance with the SPD.

EXCLUSIF. Le parquet de Paris a classe les plaintes que l'ex-petite amie de l'ancien depute ecologiste avait dirigees contre lui. Anatomie d'un lynchage mediatique et politique.

It also proposed a “decarbonisation bank” for energy intensive industry and a regular communications on Europe’s CO2 price trajectory.

A mon communiqué du 19 février 2025 ayant pour titre « Tchad : Mahamat Deby a-t-il misé sur le « mauvais cheval » ? il manquait, une fois n’est pas coutume, la dimension ethno-politique sans laquelle les évènements ne peuvent être compris[1].
Dans la guerre civile du Soudan, qui, depuis avril 2023, oppose les Forces armées soudanaises (FAS) du général Abdel Fattah al-Burhan, aux Forces de soutien rapide (FSR), de Mohamed Hamdan Dagalo alias Hemeti,  le président tchadien Mahamat a pris le parti des FSR. Or, les FSR sont issues des Janjawid, milice tristement célèbre pour ses atrocités commises lors de la deuxième guerre du Darfour débutée en 2003 contre les Fur, les Massalit et les Zaghawa (voir à ce sujet mon livre Histoire du Sahel des origines à nos jours).
Or, ces trois ethnies transfrontalières sont ulcérées de voir que le président tchadien a décidé de soutenir ceux qui ont quasi-ethnocidé les leurs.  Résultat, les FAS arment actuellement des rebelles tchadiens dont l’objectif est la prise du pouvoir à Ndjamena, afin de priver les FSR de leur base arrière. Or, comme je l’ai écrit dans mon précédent communiqué, à la différence de son père, Mahamat Déby qui n’a ni ses capacités militaires, ni son envergure politique, se retrouve avec une armée profondément divisée et un pouvoir fragilisé face à des rebelles aguerris, équipés et soutenus par l’armée soudanaise. Un Mahamat Déby qui, de plus, ne pourra pas être sauvé par une intervention de la France puisqu’il a fait fermer ses bases militaires…Voilà pourquoi une grande fébrilité agite actuellement la classe politique tchadienne.
Le plus grave est que le choix de Mahamat Déby menace de faire voler en éclats l’alchimie ethnique et politique tchadienne avec le risque d’un retour à la terrible guerre civile qui a ravagé le pays avant la prise de pouvoir par Idriss Déby Itno. En plus de cela, Mahamat Déby s’est coupé d’une partie du socle militaire zaghawa qui faisait la force de son père.
Or, toute la vie politico-ethnique tchadienne dépend des rapports internes de longue durée, des alliances, des ruptures et des réconciliations plus ou moins éphémères des ethnies nordistes autour desquelles s’est écrite l’histoire du pays depuis l’indépendance. C’est autour d’elles que se sont faites toutes les guerres du Tchad depuis 1963. C’est de leurs relations que dépend le futur du pays, la majorité de la population n’étant que la spectatrice-victime de leurs déchirements et de leurs ambitions. Or, l’alignement du Tchad sur les FSR fait éclater au grand jour leurs divisions.
Il faut en effet bien avoir à l’esprit que les Zaghawa, les Toubou du Tibesti (les Teda), les Toubou de l’Ennedi-Oum Chalouba (les Daza-Gorane) et les Arabes du Ouadaï sont divisés en une multitude de clans et de sous-groupes régulièrement prêts à s’affronter. Ainsi, les Zaghawa du clan Bideyat, celui d’Idriss Déby Itno, n’ont cessé de se diviser. Pour mémoire, les frères Timan et Tom Erdibi, les propres neveux d’Idriss Déby Itno, furent en guerre contre lui.
Mahamat Idriss Déby, l’un des fils d’Idriss Déby Itno est de mère gorane. Gorane est le nom arabe désignant les Toubou de l’Ennedi et d’Oum Chalouba dont la langue est le daza. Lui-même a épousé une Gorane. D’où la méfiance de certains Zaghawa qui considèrent qu’il n’est qu’en partie des leurs. Même si, par le passé, des alliances plus qu’étroites ont pu régulièrement associer Zaghawa et certains clans Gorane, les actuels évènements du Soudan font renaître les ferments de division, certains Zaghawa considérant ainsi que le soutien aux FSR pourrait être compris comme une rupture avec eux.
Autre point, n’oublions pas qu’Hinda, l’épouse  d’Idriss Déby Itno, est une Arabe du Ouadaï et que, dans la guerre civile soudanaise, les Arabes penchent du côté des FSR.
Il est donc évident que le choix de Mahamat Déby de soutenir les FSR fait en réalité éclater la triple alliance ethno-clanique constituée par Idriss Déby , une alliance qui était le socle même de son pouvoir.
Dans ce contexte, les rebelles tchadiens qui combattent aujourd’hui aux côtés des FAS sont utilisés par ces dernières pour tenter de renverser le pouvoir à Ndjamena afin de priver les FSR de leur base arrière tchadienne. La manœuvre initiée par les FAS qui  est claire est mise en pratique depuis plusieurs mois : porter la guerre au Darfour, fief des FSR, après avoir brisé le siège d’El-Facher, afin de couper les routes d’approvisionnement de ces dernières depuis le Tchad. Une manœuvre en forme de mouvement tournant qui se précise encore davantage à la lumière des récents succès militaires des FAS.
Voilà pourquoi, en plus d’avoir peut-être misé sur le « mauvais cheval », Mahamat Déby pourrait avoir soulevé le couvercle de la cocotte-minute ethno-politique tchadienne…
 [1] Pour l’évolution de la situation militaire au Soudan on se reportera à l’article de Leslie Varenne intitulé « Guerre au Soudan, le Tchad pris à son propre piège » publié dans Iveris et dans Mondafrique.

Europa muss seine Sicherheit und Verteidigung künftig eigenständig organisieren und gewährleisten. Dieser Satz mag noch ungewohnt klingen, doch er beschreibt eine neue strategische Realität, an die sich die Regierungen, Institutionen und Bürger Europas rasch gewöhnen müssen. Mehr als 75 Jahre lang war die Sicherheit des Kontinents eine transatlantische Aufgabe. Die Vereinigten Staaten galten als Schutzmacht, von der sich keine Regierung in Europa trennen wollte. Doch mit dem Beginn der zweiten Amtszeit von US-Präsident Donald Trump, drängen die USA ihre europäischen Verbündeten, eigenständig militärische Verantwortung zu übernehmen – ohne die gewohnte Rückendeckung aus Washington und der Nato. Besonders drastisch zeigt sich dieser Kurs in der Ukraine-Frage: Trump fordert, dass Europa Truppen entsendet, um einen möglichen Waffenstillstand abzusichern – auch wenn es von den Verhandlungen ausgeschlossen bleibt. 

Für Europa beginnt eine sicherheitspolitische Ära, die schnelles und entschlossenes Handeln erfordert. Denn in der neuen politischen Realität der »Trump Time« werden Entscheidungen innerhalb von Tagen und Wochen getroffen. 

Druck kommt auch aus Russland. Dass Präsident Wladimir Putin seine imperiale Agenda ungeachtet einer Vereinbarung mit den USA fortsetzen wird, gilt unter europäischen Geheimdiensten als ausgemacht. Bereits ein halbes Jahr nach dem Ende des Krieges gegen die Ukraine könnte er einen neuen Krieg gegen ein Nachbarland aufnehmen, in fünf Jahren könnte Russland einen groß angelegten Krieg auf dem europäischen Kontinent ohne Nato-Beteiligung beginnen.

Der Weg zu einer europäischen Sicherheitsunion

Vor diesem Hintergrund ist es nur folgerichtig, dass europäische Regierungen über erhebliche Erhöhungen ihrer Verteidigungsausgaben diskutieren. Ein Blick auf die vergangenen Jahrzehnte zeigt: Europa hinkt bei der militärischen Aufrüstung weit hinterher. In den zwei Jahrzehnten vor Beginn des russischen Angriffskrieges stiegen die Verteidigungsausgaben der EU nur um 19,7 Prozent, während die USA ihren Etat im selben Zeitraum um 65,7 Prozent, Russland um 292 Prozent und China um 592 Prozent steigerten. Die Folgen sind bekannt: Europäische Munitionslager sind spärlich gefüllt, militärisches Gerät ist veraltet und bisweilen unbrauchbar. Den Europäern fehlen strategische Kernfähigkeiten - etwa beim Lufttransport, der Luftbetankung, der Aufklärungs- und Geheimdienstarbeit. Auch die militärische Forschung und Entwicklung ist unterfinanziert, was die langfristige Verteidigungsfähigkeit gefährdet.

Auch eine intensivere Unterstützung der Ukraine ist richtig. Die Trump-Administration setzt dem Land zu, indem sie das russische Narrativ der Ukraine als Kriegstreiberin übernimmt und eine Nato-Mitgliedschaft Kiews ausschließt. Doch nur aus einer Position der Stärke heraus kann die Ukraine in möglichen Verhandlungsrunden ihre Forderungen durchsetzen, insbesondere mit Blick auf die Wahrung des völkerrechtlichen Prinzips der territorialen Integrität.

Die in den vergangenen Tagen bekräftigten Schritte werden indes nur fruchten, wenn Europa seine gesamte Verteidigungsarchitektur überdenkt. Jedes Land agiert weitgehend unabhängig, mit eigenen Beschaffungssystemen und Streitkräften, die kaum interoperabel sind. Noch immer geben die Europäer über 80 Prozent ihrer Verteidigungsausgaben auf nationaler Ebene aus. Damit verzichten sie auf Skaleneffekte. Für ihr Geld bekommen sie weniger Fähigkeiten. Nationale Souveränitätsvorbehalte stehen einer Interoperabilität der Streitkräfte im Weg. Bis heute verhindern sie auch, dass die EU über ein militärisches Hauptquartier verfügt, das umfangreiche Militäroperationen leiten könnte.

Die Chance zur militärischen Integration und damit zur Schaffung interoperabler Streitkräfte, zur strategischen Beschaffung und zur Konsolidierung der rüstungsindustriellen Basis bietet die anstehende »Friedenssicherung«. Für diese Aufgabe benötigen die Europäer Streitkräfte, die mobil und interoperabel sind. Nicht zuletzt wegen der Länge der potentiellen Verteidigungslinie, werden die Kräfte rotieren müssen. Zudem sollten diese Streitkräfte mit den bestmöglichen militärischen Fähigkeiten ausgestattet sein. Nur so wirken sie abschreckend auf Russland. Diese Ausrüstung sollten die Europäer gemeinsam entwickeln, kurzfristig auf dem Weltmarkt, mittelfristig in Europa. 

Der Schock, den die US-Administration ausgelöst hat, sollte als Anreiz verstanden werden, die notwenigen Integrationsschritte zu gehen und Europa über die EU zu einer echten Sicherheitsunion auszubauen.

Kurdish autonomy is a problem that today’s Syria can’t afford.

So, here’s the key question: Who actually made the decision for the UK to leave the EU?

It wasn’t the referendum.

The 2016 referendum, as explicitly stated in the Act of Parliament that created it, was advisory only and had no legal authority to decide Brexit. This was confirmed by the UK Supreme Court, which ruled that only Parliament could make the decision to leave the EU.

But Parliament didn’t make the decision either.

Following the referendum, MPs were never given the opportunity to debate and vote on the specific question of whether Brexit should happen. In January 2017, then-Brexit Secretary David Davis incorrectly told Parliament that a vote on the matter was unnecessary because ‘the decision’ had already been made by the referendum.

However, the Supreme Court had ruled that the referendum was not legally capable of making that decision.

In fact, the very reason the court case arose – thanks to Gina Miller’s legal challenge – was because Theresa May’s government had attempted to implement Brexit without any Parliamentary approval whatsoever.

 WAS PARLIAMENT MISLED?

David Davis advised MPs that since ‘the decision’ to leave had already been made, all Parliament needed to do was grant the Prime Minister the authority to notify the EU of an ‘intention’ to leave.

But an intention is not a decision. It’s not even binding.

The European Court of Justice later ruled that the UK could have cancelled Brexit at any time during the Article 50 notice period and remained an EU member on exactly the same terms. In other words, Brexit was fully reversible until 11pm on 31 January 2020, the date the UK formally left the EU.

In early 2017, Parliament was given one of the shortest bills in history – the European Union (Notification of Withdrawal) Bill. It simply stated:

(1) The Prime Minister may notify, under Article 50(2) of the Treaty on European Union, the United Kingdom’s intention to withdraw from the EU.

(2) This section has effect despite any provision made by or under the European Communities Act 1972 or any other enactment.

Notably, this bill did not define the content of Theresa May’s Article 50 notification letter, which she unilaterally composed and sent to the EU. When Parliament passed the bill allowing May to notify the EU of an ‘intention’ to leave, the public was led to believe that MPs had voted to leave the EU.

Nothing of the sort had happened.

To reiterate: Parliament never debated or voted on the specific question of whether the UK should leave the EU.

 SO, WHO MADE THE DECISION?

This mystery was unravelled in June 2018 at a High Court hearing on the validity of Article 50. The court established that Theresa May, and Theresa May alone, made the decision to leave the EU.

Lord Justice Gross and Mr Justice Green ruled that the decision to leave was contained in the Prime Minister’s Article 50 notification letter to then-European Council President Donald Tusk on 29 March 2017.

In that letter, May wrote that ‘the people of the United Kingdom’ had made the decision to leave. But the Supreme Court had already ruled that the referendum had no legal authority to make any decision.

She also wrongly claimed that the ‘decision’ had been confirmed by Parliament, even though Parliament had only approved sending a notice of ‘intention’ to withdraw.

THE CONSTITUTIONAL QUESTION 

Article 50 requires a member state to trigger withdrawal from the EU “in accordance with its own constitutional requirements”. But the UK doesn’t have a codified constitution, and the advisory nature of the referendum complicated everything.

Would the written constitutions of other EU states have allowed an exit process based on just 37% of the electorate voting Leave? Unlikely.

Could the EU have rejected the Article 50 notice? Possibly. But it was politically expedient for the EU not to challenge Britain’s flawed decision.

The UK Parliament was denied the opportunity to properly debate and vote on Brexit.

Labour, however, could have legally challenged the process – right through to the Supreme Court or the European Court of Justice.

Instead, they complied with the flawed Brexit process and backed it, making it difficult for them to challenge it later.

WHAT SHOULD HAVE HAPPENED?

After the advisory referendum, Parliament should have been asked the exact same question that was put to the British public:

Should the United Kingdom remain a member of the European Union or leave the European Union?

Instead, MPs were only asked whether they would allow the Prime Minister to notify the EU of an ‘intention’ to leave – which was a procedural matter, not a substantive decision.

As a result, Parliament debated and voted only on the terms of Brexit, but never on whether Brexit itself should happen.

GETTING BREXIT DONE

Boris Johnson campaigned on the slogan ‘Get Brexit Done’, negotiated the terms of the withdrawal agreement, and Parliament voted to accept them.

But again, MPs were never asked whether the UK should leave the EU – only whether they accepted the deal on offer.

Brexiters argue that the 2019 general election gave Johnson a democratic mandate for Brexit. But the full picture gives a different story:

• In 2019, most voters did not vote Tory.
• Most voters backed parties offering a second referendum.
• The Tories won an 80-seat majority with only a 1% increase in their vote share from 2017, when they lost their majority entirely.
• If the 2019 general election had been a referendum instead, polling suggested Remain would have won.
• The public was never given a vote on the Brexit deal itself.

All this exposed deep flaws in the UK’s electoral system.

A PUBLIC INQUIRY INTO BREXIT

We now urgently need a full public inquiry into Brexit. Such an inquiry should investigate:

1. How Brexit went ahead without the explicit approval of Parliament.
2. How only 37% of the electorate were able to dictate such a momentous constitutional change.
3. How the Leave campaign won through lies, cheating, and illegalities – including unlawful overspending and the misuse of personal data to manipulate voters.

THE BOTTOM LINE

Had the referendum been legally binding, the illegal conduct surrounding it would almost certainly have resulted in the courts annulling the result.

But since the referendum was only advisory, it escaped legal scrutiny – even though the government treated it as if it were binding.

Do you get the feeling that the country has been conned on an enormous scale?

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• Related video: The moment the Theresa May government turned an advisory referendum into a binding vote, announced by Brexit Secretary, David Davis



• Related video: How referendums should be run properly – by former Brexit Secretary, David Davis (note: The EU referendum broke every rule)



• Related video: What Prime Minister, David Cameron, should have done after the referendum

• Why we need a new vote on Brexit



The post Who made the Brexit decision? appeared first on Ideas on Europe.

Egyes európai városokban a mai napig megtalálhatók a második világháborús utcai harcok nyomai. Néhány kivételtől eltekintve, többnyire a kézifegyverek tüzétől származó golyónyomokról van szó, amelyeket az utókor nem akart eltüntetni. Hogy ez az igénytelenségre vagy e sajátos emlék megőrzésének szándékára vezethető vissza, a napnál is világosabb - az egyik helyen elkoszolódott falak, málló vakolat övezik a találatok nyomait, a másikon új funkciót találtak neki.

Az utóbbira Hollandiában, a Maastricht közelében lévő hangulatos kisváros, Valkenburg egyik sétáló utcáján láthatunk példát, nem messze a városháza parkjában kiállított német páncéltörő ágyútól. A régióban nemcsak számos harcjármű és tüzérségi fegyver emlékeztet az 1944 szeptemberében vívott harcokra, de még egy harckocsi ágyú találatából is sikerült egy emlékhelyet kialakítani. Az érintett épületet egy amerikai Sherman 75 milliméteres ágyúja találta el a városi harc közben. Valkenburg újjáépítésekor a hollandok úgy döntöttek, hogy a találat nyomát megőrzik és a mélyedésben később egy apró Mária szobor is helyet kapott.

[...] Bővebben!

CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique.

The SAF is not a defender of democracy, and the activists joining its ranks are doing so out of necessity rather than ideology.

Even authorities deem the existing standards insufficient and outdated.

Le maire communiste de Saint-Amand-les-Eaux dans le Nord avait déjà tenu un discours similaire en 2022, préférant la suppression des allocations-chômage au profit d’un travail mieux rémunéré.

ENTRETIEN. Visee par une plainte de la maire de la capitale, la conseillere LR de Paris persiste : en matiere de securite, la gauche se fourvoie dans la culture de l'excuse et du deni.

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US President Trump has slammed his Ukrainian counterpart and put him under immense pressure. As "a dictator without elections" Volodymyr Zelensky "better move fast or he is not going to have a country left", he warned. Trump's attack follows his call with President Putin and the meeting of the US secretary of state and the Russian foreign minister in Riyadh. Europe's press is appalled.