This working paper is a joint project by Spain’s Elcano Royal Institute and India’s Observer Research Foundation in the context of the commemoration of 60 years of diplomatic relations between India and Spain and the recent official visit of Prime Minister Modi to Madrid.
La semaine du 6 novembre, la page de couverture de The Economist affichait sur fond bleu le logo de Facebook et le titre suivant : “Social media’s threat to democracy”.
L'Amérique de Donald Trump n'a plus aucune vision stratégique à long terme. En revanche, la Chine de Xi Jinping s'est fixé un objectif encore lointain, mais très clair : devenir la première puissance mondiale.
En Europe du Nord, la démocratie demeure solide. A l’est, elle est menacée. Au sud, branlante. Certains augures annonçaient que la vague populiste allait balayer l’Occident tout entier, à la suite du référendum sur le Brexit et de l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis. Mais elle a connu deux coups d’arrêt symboliques. Aux Pays-Bas, où […]
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Α. Infographic (Data visualization):
ELIAMEP presents an Infographic below illustrating the number and main nationalities of asylum seekers and refugees in Greece; the number of unaccompanied minors by sex and ethnicity; the number of relocated asylum seekers by sex to other European countries; the number of migrants returned to Turkey under the EU-Turkey Agreement; aw well as the nationalities whose asylum applications are usually rejected.
You can access the PDF here.
Β. Statistical information
Moreover, we present charts on economic migration in Greece, which you can see below, so that you can get an idea about the immigrant population in Greece based on the number of residence permits per sex, age group and category (family reunification, employment, studies or else). Furthermore, there are some graphs and charts illustrating quantitative data sourced from the Social Insurance Institute – Unified Insurance Fund of Employees (IKA-ETAM) on the distribution of insured population by occupations and nationalities, as well as the employment and unemployment rates by gender and place of birth. All graphs in PDF are available here.
“Nadie puede invocar la diversidad cultural para vulnerar los derechos humanos garantizados por el derecho internacional ni para limitar su alcance”.
España y Portugal deben coordinarse para impulsar cuestiones de interés común en el G20, espacio desde el que se busca constituir algunos de los grandes aspectos de la gobernanza global.
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Ahmed Bin Mohamed Aljarwan, President of the Global Council for Tolerance & Peace (GCTP), expressed strong support for IPI and pledged cooperation on the “Culture of Tolerance and Peace” through joint programs, initiatives and events at a November 12th meeting in Manama.
Nejib Friji, Director of IPI-MENA, and Mr. Aljarwan stressed the need for a partnership “contributing to the dissemination of the culture of tolerance and peace,” calling on IPI’s cooperation with GCTP for the same. On the same occasion, Ebrahim Nonoo, representative of the Jewish community in Bahrain, explored cooperation with both IPI and GCTP.
The concept of the “Culture of Tolerance & Peace” seeks to shape a global platform to ensure that security, peace and stability can be integrated in a meaningful way for all human beings by overcoming the prevalent culture of prejudice, discrimination, religious sectarianism, xenophobia and the rise of nationalism and violent extremism in societies.
The Malta-based GCTP aims to achieve this objective through strategic conferences, cultural exchange programs and communication programs involving government bodies, academia and international organizations. IPI has coordinated initiatives like “Art for Peace,” in which prominent artists from the MENA region promoted the culture of peace earlier this year, as well as, regular interfaith dialogues and global conferences aimed towards creating roadmaps to cultivate a permanent culture of gender equality, tolerance and peace.
To that end, Mr. Friji welcomed GCTP President Aljarwan and stressed the need to institutionalize mutual cooperation in line with IPI’s mandate—highlighting that such partnership would meet the aspirations of the peoples of the MENA region and reinforce efforts to generate genuine tolerance and sustainable peace and development.
In September 2017 the EU updated its 2013 Cyber Security Strategy. The new version is intended to improve the protection of Europe’s critical infrastructure and boost the EU’s digital self-assertiveness towards other regions of the world. But the reformed strategy leaves open a number of questions as to how its objective of an “open, safe and secure cyberspace” will be credibly defended, both internally and externally. The EU has neither properly defined resilience or deterrence nor made sufficiently clear how it intends to overcome institutional fragmentation and lack of legal authority in cybersecurity issues. Moreover, controversial topics – such as the harmonisation of criminal law or the use of encryption – have been entirely omitted. Member states should abandon their standalone efforts and speed up the legal regulation of cybersecurity at the EU level.
Interview de Dominique Reynié : Une étude de la Fondapol montre une Europe divisée en trois, avec une Europe méditerranéenne en dépression démocratique, une transition démocratique en panne à l’Est, et une démocratie vigoureuse en Europe du Nord. Vous venez de publier une grande enquête internationale pour la Fondapol, intitulée « Où va la démocratie ? ». […]
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Le 18 octobre, AI Now, un centre de recherche basé à l’Université de New York (NYU), a publié son rapport annuel sur l’intelligence artificielle dans lequel il émet des recommandations dans le but de faire face
Justice :
faites entrer le numérique
Rapporteurs
Le système judiciaire français, vous connaissez ? La longueur de ses délais ? La complexité de ses démarches ? L’incertitude sur l’avancement de la procédure ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul !
Le présent rapport entend faire des propositions concrètes pour que l’innovation technologique puisse améliorer rapidement et efficacement la justice civile.
Ceci afin d’améliorer la vie des justiciables, mais également de faciliter le travail des professionnels de justice.
Trois étapes sont nécessaires :
Qu’il s’agisse du secteur marchand ou du secteur public, tout prestataire de services a besoin d’informations sur les attentes de ses usagers afin de déterminer les caractéristiques de son offre. Or, la justice s’est longtemps tenue à l’écart d’une telle analyse “économique” des attentes des justiciables.
Pour mieux appréhender les besoins des justiciables, le groupe de travail s’est appuyé sur une méthodologie innovante, qui met en évidence la dimension qualitative – et non uniquement quantitative – des attentes des citoyens.
Plusieurs sessions de discussion collective avec des usagers ont ainsi permis d’identifier les principales tendances : autorité, confiance, simplicité, loyauté, crédibilité, accessibilité, coût, temporalité, prévisibilité, humanité, praticabilité, efficience, effectivité et globalité.
Ces entretiens qualitatifs et les auditions menées auprès des experts du secteur nous ont permis d’identifier les domaines dans lesquels l’innovation technologique permet d’améliorer le fonctionnement de ce service public essentiel :
L’arrivée du numérique dans le champ de la justice est un mouvement profond qui demande la mobilisation de tous les acteurs concernés et une planification précise de la transformation souhaitée.
Une vision globalePour mener à bien cette modernisation, il est nécessaire de prendre en compte toutes les étapes de la vie d’un contentieux.
Il ne s’agit pas uniquement de réformer le fonctionnement du procès en tant que tel, mais de s’intéresser également à la période précédant le contentieux (prise de contact avec un avocat, saisine d’une juridiction, etc. ), ainsi qu’à celle lui succédant, c’est à dire l’exécution de la décision.
C’est pourquoi l’écosystème d’information numérique de la justice que nous souhaitons mettre en place doit s’intégrer dans le système d’information globale de l’Etat, afin de s’intégrer pleinement dans la vie des citoyens.
Une gouvernance adaptéeLa gouvernance de tout programme de transformation administrative est un élément central de sa réussite future.
Ainsi, nous recommandons de confier à une autorité unique le programme de modernisation. Celle-ci pourra prendre des décisions qui seront d’abord mises en oeuvre sur la base d’expérimentations dûment évaluées, avant généralisation.
Une transformation “agile”Afin de ne pas être distancé par les évolutions technologiques, le service public de la justice doit se doter des outils lui permettant de suivre l’innovation et d’y participer. Une direction “digitale” pourrait ainsi être créée. Elle aurait pour mission d’analyser les données de toute l’organisation judiciaire et de fournir à tous ses acteurs des indicateurs d’activité utiles.
Il convient également de confier à une équipe dédiée - regroupant des compétences variées - le soin de mener un dialogue continu avec les professionnels et les usagers de la justice, afin de suivre les évolutions technologiques et sociologiques du secteur.
Financer la transformationL’engagement de moyens financiers importants est indispensable pour réussir la transformation numérique de la justice. La mise en place des structures de gouvernance et d’expérimentation aura un coût non négligeable, de même que les besoins en formation liés à la numérisation ou les infrastructures à mettre en place. La transformation préconisée par notre rapport nécessite également d’augmenter la part des dépenses d’innovation dans le budget des dépenses informatiques du ministère de la Justice.
Pour être menée avec succès, la transformation numérique de la justice doit faire l’objet d’un plan d’investissement sur le long terme, dans le cadre d’une loi de programmation pluriannuelle pour la justice. Il conviendra également de faire preuve de flexibilité, de manière à prendre en compte les adaptations et réorientations qui ne manqueront pas d’arriver.
Afin de mieux appréhender les composantes de la demande des diverses catégories de justiciables, nous recommandons d’utiliser les techniques récentes permettant de rendre compte d’un point de vue qualitatif – et non uniquement quantitatif – des attentes précises des citoyens.
2 Détails Améliorer l’offre de justice grâce à l’innovation technologique DétailsLes nouvelles technologies sont amenées à transformer en profondeur le fonctionnement de la justice. A titre d’exemple, il convient de :
Nous proposons d’investir une autorité de haut niveau, chargée de l’élaboration et de la gouvernance des différents programmes de transformation numérique. De même, un organe consultatif indépendant pourra être mise en place, associant professionnels, futurs utilisateurs et experts, ayant pour mission l’exploration et l’expérimentation à des fins judiciaires des nouvelles technologies.
Les procédures d’expérimentation préalable devront être généralisées afin d’étudier l’impact sociologique, économique et financier des technologies mises en place.
Enfin, il est nécessaire de programmer à long terme les moyens budgétaires alloués à la transformation numérique de la justice dans un cadre suffisamment souple, permettant les réorientations en fonction de l’évolution des technologies.
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