Zoran Živković fut l'un des acteurs majeurs de la chute de Milošević. Premier ministre de Serbie après l'assassinat de Zoran Đinđić, en 2003, il raconte « son » 5 octobre 2000. Un témoignage exceptionnel.
Révolte étudiante et citoyenne en Serbie, chaos institutionnel en Bosnie-Herzégovine, élections cruciales en Moldavie... L'avenir des Balkans et de l'Europe se joue maintenant. Pour tout comprendre, pour ne rien perdre, abonnez-vous au Courrier des Balkans, en profitant de notre offre spéciale : 40 euros seulement pour un an !.
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- Articles / Courrier des Balkans, Serbie, Histoire, Politique, Serbie 5 octobre 2000, Assassinat Đinđić, Une - DiaporamaLes familles attendent encore un relogement, un an après les inondations qui ont ravagé Donja Jablanica, faisant 19 morts. Les travaux de réhabilitation traînent mais l'enquête judiciaire sur la responsabilité d'une carrière voisine entre en phase finale.
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- Articles / Courrier des Balkans, Bosnie-Herzégovine, Environnement, Une - Diaporama, changement climatique, Une - Diaporama - En premierÀ l'issue de la conférence internationale sur la nutrition organisée à Cotonou les 27 et 28 septembre, l'UNICEF a annoncé un financement de 50 millions de dollars pour soutenir le programme béninois de supplémentation nutritionnelle destiné aux enfants de la conception jusqu'à deux ans.
« Le gouvernement béninois s'engage pleinement à accompagner les enfants dès les premiers jours de la vie », a déclaré le président Patrice Talon, lors de la conférence internationale sur la nutrition, devant un parterre de partenaires internationaux, d'experts en nutrition et d'acteurs de la société civile.
Un plan national a été élaboré dans un contexte africain où plus de 64 millions d'enfants souffrent de malnutrition. Le programme cible les 1 000 premiers jours de vie, une période décisive pour le développement cérébral, immunitaire et physique de l'enfant. Il s'appuie sur une approche communautaire et inclusive.
L'UNICEF a annoncé un financement de 50 millions de dollars pour soutenir le programme. « Le travail avec les communautés est au cœur de notre stratégie. Il s'agit de cocréer des solutions durables », a souligné Omar Abdi, directeur général adjoint de l'UNICEF, en saluant la vision du gouvernement béninois.
Le financement de l'UNICEF servira à former les agents de santé, renforcer les capacités locales et assurer le suivi nutritionnel des enfants, tout en menant des campagnes de sensibilisation à grande échelle.
La conférence internationale sur la nutrition s'est tenue les 27 et 28 septembre 2025 sous le thème : « Investir dans la nutrition : un choix stratégique pour la santé et le développement durable des générations ». Elle s'est clôturée par une Déclaration.
A travers la Déclaration de Cotonou, gouvernements, secteur privé et société civile s'engagent à ramener le retard de croissance à 10 % et l'insuffisance pondérale à 5 % d'ici 2030 chez les enfants de moins de cinq ans.
M. M.
Ibrahim Chabi Mama, ancien Premier adjoint au maire de Parakou et ex-président des Buffles du Borgou, a été inhumé, ce jeudi 02 octobre 2025, au cimetière musulman de Parakou.
Décédé le mercredi 1ᵉʳ octobre, Ibrahim Chabi Mama, ancien Premier adjoint au maire de Parakou et ex-président des Buffles du Borgou a reçu ses derniers hommages ce jeudi 02 octobre 2025.
La cérémonie funèbre s'est tenue au domicile familial du quartier Gah. Parents, amis, responsables politiques, figures religieuses et représentants du club des Buffles étaient présents.
Le corps du défunt a été exposé selon les rites musulmans. Une prière a été dirigée par l'imam de la mosquée centrale, entouré de plusieurs dignitaires religieux.
L'illustre disparu a été ensuite inhumé au cimetière musulman de Parakou.
M. M.
Invité du Club de l'Économiste, ce jeudi 2 octobre 2025, le Directeur Général du Fonds Africain de Garantie et de Coopération Économique (FAGACE) a dressé un état des lieux des réformes engagées au sein de l'institution depuis 2020. Dr Ngueto Tiraïna Yambaye a présenté les performances obtenues, les nouveaux objectifs ambitieux à l'horizon 2030, et les leviers envisagés pour renforcer le financement des PME et l'inclusion financière.
Depuis plus de 45 ans, le Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE) œuvre en faveur de l'intégration économique de ses quatorze États membres. C'est à travers la mise à disposition de ses clients, d'outils et de mécanismes de financement performants et efficaces. « Le FAGACE a connu plusieurs mutations et depuis 5 ans l'institution s'est radicalement transformée, modernisée pour pouvoir accompagner le secteur bancaire, les marchés financiers ainsi que le porteur de projet dans le financement du développement », a déclaré Dr Ngueto Tiraïna Yambaye, directeur Général du FAGACE. A l'en croire, le FAGACE est une institution de solutions, innovantes et d'instruments financiers adaptés au contexte.
Sous sa direction depuis 2020, l'institution a enregistré de bons résultats, avec la mise en place du Plan Stratégique 2021-2025 dénommé « The New Momentum ». « En 5 ans, nous sommes passés de 400 milliards de FCFA à 2500 milliards de FCFA en matière d'engagement en garantie », informe l'économiste spécialisé en Finance internationale et en Politique publique.
Au-delà des mécanismes de garantie, le FAGACE dispose d'un Institut chargé de la formation, des études, de la recherche et de l'assistance technique aux promoteurs et de l'appui technique aux États membres. « C'est un Think tank d'encadrement et de renforcement de capacité en relation avec les partenaires financiers et sociaux », explique le président du Club des Dirigeants de Banques et Établissements de Crédit d'Afrique.
Un nouveau plan stratégique plus ambitieux
Après 5 années de transformation, le FAGACE travaille sur un nouveau plan stratégique plus ambitieux. « Le nouveau plan stratégique 2025-2030 est en cours d'élaboration. Etant donné qu'avec le premier plan stratégique, nous avons dépassé très loin les objectifs que nous nous sommes fixés, nous voulons aller encore très loin », a affirmé Dr Ngueto Tiraïna Yambaye. L'institution veut avoir plus de fonds propres afin d'accroitre ses interventions. « Les demandes sont énormes et croissantes. Avec le prochain plan stratégique, nous voulons avoir 2.000 milliards FCFA de Fonds propres pour permettre de toucher l'entrepreneur rural et contribuer dans chaque pays à développer les marchés », a-t-il ajouté.
Le directeur a aussi annoncé l'adhésion prochaine de nouveaux pays au Fonds. « L'effectif des États membres passera de 14 à 25 et c'est un acquis important. Aujourd'hui, l'institution est attractive. Nous sommes très sollicités au niveau mondial et nous sommes notés AA sur le marché financier international », a-t-il indiqué.
Se prononçant sur la problématique du financement des entreprises en Afrique, l'économiste a insisté sur le développement de l'inclusion financière en facilitant la création des comptes bancaires. « Les banques aussi doivent faire un effort également pour mériter la confiance de la population et des entreprises. Si tout le monde dispose d'un compte bancaire, l'épargne des banques sera suffisante pour permettre de donner un crédit aux PME », a soutenu Dr Ngueto Tiraïna Yambaye. A l'endroit des femmes entrepreneures, le FAGACE envisage mettre à leur disposition un encadrement technique afin de bien les outiller.
« Nous devons continuer à soutenir le secteur privé parce qu'il n'y a que le secteur privé qui peut créer plus d'emplois et de la richesse. Heureusement pour le cas du Bénin, nous avons une économie qui bouge. (…). Le FAGACE demeure une institution au service des populations et des États », a-t-il conclu.
Akpédjé Ayosso
Invité du Club de l'Économiste, ce jeudi 2 octobre 2025, le Directeur Général du Fonds Africain de Garantie et de Coopération Économique (FAGACE) a dressé un état des lieux des réformes engagées au sein de l'institution depuis 2020. Dr Ngueto Tiraïna Yambaye a présenté les performances obtenues, les nouveaux objectifs ambitieux à l'horizon 2030, et les leviers envisagés pour renforcer le financement des PME et l'inclusion financière.
Depuis plus de 45 ans, le Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique (FAGACE) œuvre en faveur de l'intégration économique de ses quatorze États membres. C'est à travers la mise à disposition de ses clients, d'outils et de mécanismes de financement performants et efficaces. « Le FAGACE a connu plusieurs mutations et depuis 5 ans l'institution s'est radicalement transformée, modernisée pour pouvoir accompagner le secteur bancaire, les marchés financiers ainsi que le porteur de projet dans le financement du développement », a déclaré Dr Ngueto Tiraïna Yambaye, directeur Général du FAGACE. A l'en croire, le FAGACE est une institution de solutions, innovantes et d'instruments financiers adaptés au contexte.
Sous sa direction depuis 2020, l'institution a enregistré de bons résultats, avec la mise en place du Plan Stratégique 2021-2025 dénommé « The New Momentum ». « En 5 ans, nous sommes passés de 400 milliards de FCFA à 2500 milliards de FCFA en matière d'engagement en garantie », informe l'économiste spécialisé en Finance internationale et en Politique publique.
Au-delà des mécanismes de garantie, le FAGACE dispose d'un Institut chargé de la formation, des études, de la recherche et de l'assistance technique aux promoteurs et de l'appui technique aux États membres. « C'est un Think tank d'encadrement et de renforcement de capacité en relation avec les partenaires financiers et sociaux », explique le président du Club des Dirigeants de Banques et Établissements de Crédit d'Afrique.
Un nouveau plan stratégique plus ambitieux
Après 5 années de transformation, le FAGACE travaille sur un nouveau plan stratégique plus ambitieux. « Le nouveau plan stratégique 2025-2030 est en cours d'élaboration. Etant donné qu'avec le premier plan stratégique, nous avons dépassé très loin les objectifs que nous nous sommes fixés, nous voulons aller encore très loin », a affirmé Dr Ngueto Tiraïna Yambaye. L'institution veut avoir plus de fonds propres afin d'accroitre ses interventions. « Les demandes sont énormes et croissantes. Avec le prochain plan stratégique, nous voulons avoir 2.000 milliards FCFA de Fonds propres pour permettre de toucher l'entrepreneur rural et contribuer dans chaque pays à développer les marchés », a-t-il ajouté.
Le directeur a aussi annoncé l'adhésion prochaine de nouveaux pays au Fonds. « L'effectif des États membres passera de 14 à 25 et c'est un acquis important. Aujourd'hui, l'institution est attractive. Nous sommes très sollicités au niveau mondial et nous sommes notés AA sur le marché financier international », a-t-il indiqué.
Se prononçant sur la problématique du financement des entreprises en Afrique, l'économiste a insisté sur le développement de l'inclusion financière en facilitant la création des comptes bancaires. « Les banques aussi doivent faire un effort également pour mériter la confiance de la population et des entreprises. Si tout le monde dispose d'un compte bancaire, l'épargne des banques sera suffisante pour permettre de donner un crédit aux PME », a soutenu Dr Ngueto Tiraïna Yambaye. A l'endroit des femmes entrepreneures, le FAGACE envisage mettre à leur disposition un encadrement technique afin de bien les outiller.
« Nous devons continuer à soutenir le secteur privé parce qu'il n'y a que le secteur privé qui peut créer plus d'emplois et de la richesse. Heureusement pour le cas du Bénin, nous avons une économie qui bouge. (…). Le FAGACE demeure une institution au service des populations et des États », a-t-il conclu.
Akpédjé Ayosso
La Place Tabéra de Parakou a vibré ce jeudi 02 octobre 2025 à l'occasion de la cérémonie de lancement officiel de la Phase 3 du Microcrédit Alafia, sous la présidence de Madame Véronique TOGNIFODE, Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance.
Aux côtés de la Ministre, plusieurs personnalités ont honoré de leur présence l'événement. Il s'agit, entre autres de Monsieur Conrad GBAGUIDI, Président du Conseil Économique et Social, la Ministre Conseillère aux Affaires sociales, à la microfinance et à la fonction publique Mme Mariam DJAOUGA SACCA, le Ministre conseiller à l'agriculture M. Sacca Kina BIO GUERRA, des députés à l'Assemblée nationale, l'ancien Ministre de l'Énergie et des Mines, Monsieur Samou SEÏBOU ADAMBI, le Préfet du Borgou, le Maire de Parakou et ses collègues de plusieurs communes du département, les responsables des SFD partenaires, les opérateurs GSM associés, ainsi que des sages, notables, cadres de l'Administration et surtout de nombreuses femmes bénéficiaires venues témoigner.
La cérémonie, empreinte de chaleur et d'enthousiasme, a démarré par le mot de bienvenue du Maire de Parakou, suivi de l'intervention du Directeur Général du Fonds National de la Microfinance, Monsieur Joël AFFOYON, qui a rappelé les objectifs de cette nouvelle phase. Des témoignages poignants de bénéficiaires ayant déjà reçu leur financement ont illustré les transformations concrètes du programme dans les ménages et les activités économiques.
Le lancement ayant été simultané dans tous les départements du Bénin, la Ministre TOGNIFODE s'est connectée en ligne avec d'autres points focaux FNM de certaines communes du pays, qui ont exprimé leur reconnaissance pour cette évolution majeure du MCA.
Dans son discours, la Ministre a rappelé le diagnostic sans complaisance de 2016 : « un microcrédit politisé, opaque, marqué par des rançonnements et des lenteurs ». Elle a souligné la volonté du Gouvernement de corriger ces dérives par une digitalisation intégrale, un allègement des conditions d'accès ; tout en rappelant l'importance du remboursement des crédits pour la durabilité du produit.
Aujourd'hui, les résultats parlent d'eux-mêmes. Plus de 49,9 milliards de FCFA déjà injectés, au profit d'environ 800 mille bénéficiaires dont 82 % de femmes, et désormais des crédits accessibles jusqu'à 200 000 FCFA avec des conditions simplifiées et des frais de retrait et de remboursement totalement gratuits.
La joie des bénéficiaires, émues de voir leurs efforts soutenus était visible ; il en était de même pour les sages et notables témoins de ce progrès social. On pouvait aussi noter l'engagement réaffirmé des élus locaux, à travers le Maire de Parakou, de veiller à un suivi rigoureux pour garantir la pérennité du dispositif.
À travers cette Phase 3, le Gouvernement réaffirme sa détermination à bâtir un social structuré, pensé pour profiter réellement aux populations vulnérables et contribuer durablement à la lutte contre la pauvreté.
Quelques images
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur le trafic mondial de passagers en août. En voici les faits saillants.
• La demande totale, mesurée en kilomètres-passagers payants (RPK), était en hausse de 4,6 % par rapport à août 2024. La capacité totale, mesurée en sièges-kilomètres offerts (ASK), était en hausse de 4,5 % en glissement annuel. Le coefficient d'occupation des sièges en août était de 86,0 % (+0,1 pp par rapport à août 2024), ce qui constitue un record pour un mois d'août.
• La demande internationale a augmenté de 6,6 % par rapport à août 2024. La capacité était en hausse de 6,5 % d'une année sur l'autre, et le coefficient d'occupation était de 85,8 % (+0,1 pp par rapport à août 2024).
• La demande intérieure a augmenté de 1,5 % par rapport à août 2024. La capacité était en hausse de 1,3 % d'une année sur l'autre. Le coefficient d'occupation des sièges s'élevait à 86,3 % (+0,1 pp par rapport à août 2024).
« La croissance de la demande de 4,6 % d'une année sur l'autre en août confirme que le pic de la saison d'été 2025 dans l'hémisphère Nord a atteint un nouveau record. De plus, les avions étaient plus remplis que jamais, avec un coefficient d'occupation record de 86 %. Malgré les incertitudes économiques et les tensions géopolitiques, la tendance mondiale de croissance ne semble pas fléchir, et les horaires d'octobre indiquent que les compagnies aériennes planifient une augmentation de capacité de 3,4 %. Les compagnies aériennes font de leur mieux pour répondre à la demande en optimisant l'efficience, de sorte qu'il est d'autant plus critique que le secteur manufacturier aérospatial règle ses problèmes de chaînes d'approvisionnement », déclare Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
Résultats régionaux – marchés de passagers internationaux
La croissance des RPK internationaux a atteint 6,6 % en août, en glissement annuel, et le coefficient d'occupation des sièges a atteint un record historique. Le trafic international était de loin le facteur dominant de la croissance, représentant 87 % de l'augmentation nette des RPK mondiaux en août.
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont obtenu une augmentation de la demande de 9,8 % en glissement annuel. La capacité était en hausse de 9,5 % d'une année sur l'autre, et le coefficient d'occupation était de 85,1 % (+0,2 pp par rapport à août 2024). La croissance a été alimentée par la forte demande de la Chine et du Japon (+11,8 % et +12 % respectivement).
Les transporteurs d'Europe ont enregistré une augmentation de la demande de 5,3 % en glissement annuel. La capacité était en hausse de 5,3 % d'une année sur l'autre, et le coefficient d'occupation était inchangé (0,0 pp par rapport à août 2024).
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande augmenter de 1,8 % en glissement annuel. La capacité a augmenté de 2,6 % d'une année sur l'autre, et le coefficient d'occupation était de 87,5 % (-0,6 pp par rapport à août 2024). Cela constituait un quatrième mois d'affilée de déclin annuel du coefficient d'occupation pour l'Amérique du Nord.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 8,2 % en glissement annuel. La capacité était en hausse de 6,9 % d'une année sur l'autre, et le coefficient d'occupation était de 83,9 % (+0,1 pp par rapport à août 2024).
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande augmenter de 9,0 % en glissement annuel. La capacité a augmenté de 9,3 % d'une année sur l'autre. Le coefficient d'occupation était de 84,7 % (-0,2 pp par rapport à août 2024).
Les transporteurs d'Afrique ont connu une hausse de la demande de 7,1 % en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,3 % d'une année sur l'autre. Le coefficient d'occupation était de 79,7 % (+1,3 pp par rapport à août 2024).
Marchés de passagers intérieurs
Le nombre de RPK intérieurs a augmenté de 1,5 % par rapport à août 2024, et représente seulement 13 % de l'augmentation globale des RPK en août, en baisse par rapport aux 25 % de l'année précédente. Le coefficient d'occupation des sièges aux États-Unis a diminué en glissement annuel pour un huitième mois d'affilée. La forte expansion au Brésil a été favorisée par les efforts du gouvernement pour promouvoir le tourisme.