DUSHANBE, 3 June 2016 – Twenty-two officials from customs and border agencies of Afghanistan, Kazakhstan, Kyrgyzstan and Tajikistan completed today the Risk Analysis and Management in Border Security Course at the OSCE Border Management Staff College in Dushanbe, Tajikistan.
The course, which ran from 22 February to 3 June, consisted of two face-to-face workshops and a post module assignment. The first module focused on developing a strategic approach to risk analysis. It aimed to help participants develop risk management models to improve border security and management in their respective countries. The second module enhanced this knowledge with analytical techniques for protecting borders at the operational and tactical levels. Furthermore, it prepared participants to identify the core knowledge, skills and competencies required to perform the duties of a border security and management analyst.
“Proper risk management increases the efficiency and effectiveness of border-related operations,” said Dita Nowicka, Director of the OSCE Border Management Staff College.”
Peter Girvan Allan, Director of Allan Consultancy Ltd from the United Kingdom said: “The experts are delighted with the level of co-operation and commitment the participants demonstrated over the duration of the course. The College created an environment where they learned from the experts and from each other.”
The course was funded by the Export Control and Related Border Security (EXBS) Program of the United States Department of State.
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Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a appelé vendredi à Alger à ne pas céder aux appels aux solutions de facilités pour faire face à la crise économique, dont le recours à l’endettement extérieur.
« Nous ne devons pas négliger les risques qui découlent de cette conjoncture (effondrement brutal des prix du pétrole) comme nous ne devons pas céder aux appels aux solutions de facilité, dont le recours à l’endettement extérieur », a déclaré M. Ouyahia à l’ouverture des travaux de la première session du conseil national du parti après la tenue du 5ème congrès du parti.
Le SG du RND a averti que l’endettement extérieur, en cas d’excès, « pourrait dans quelques années, hypothéquer la souveraineté économique du pays et exposer la population à des mesures sociales dramatiques comme cela fut le cas déjà dans le cadre de l’ajustement structurel sous l’égide du FMI, alors que l’Algérie était dans l’incapacité de faire face au remboursement d’une dette extérieure qui culminait à 30 milliards de dollars ».
Pour M. Ouyahia, le souvenir de cette « douloureuse expérience, conjugué avec nos difficultés financières actuelles, doit nous encourager à accélérer la mise en oeuvre des réformes économiques nécessaires tout en préservant la justice sociale ».
Dans le même contexte, M. Ouyahia a précisé que l’Algérie avait besoin d’un baril de pétrole à 90 dollars pour assurer son équilibre budgétaire.
Evoquant par ailleurs le 5ème congrès de son parti, il a indiqué que le « succès » de ce rendez-vous avait constitué « un nouveau départ pour conforter notre famille politique et la mettre davantage au service de l’Algérie ».
Rappelant les différentes résolutions ayant sanctionné les travaux du congrès, M. Ouyahia a réaffirmé le soutien de son parti au président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
« Conforter le RND, c’est consolider le dialogue, la démocratie et la stabilité dans nos rangs », a-t-il dit, précisant que le projet de règlement intérieur que le conseil national aura à discuter « complètera le statut adopté par le congrès ».
« Ces deux textes constitueront ensemble une charte canalisant la conduite de chaque militant », a-t-il affirmé.
Plusieurs points sont à l’ordre du jour de cette 1ère réunion du conseil national dont l’élection du nouveau bureau national du parti.
VIENNA, 3 June 2016 – In his address to the OSCE Permanent Council in Vienna yesterday, Georgia’s Foreign Minister Mikheil Janelidze reiterated his country’s firm commitment to OSCE’s confidence-building measures in the face of security challenges in Europe and its efforts to tackle transnational threats.
“As we are witnessing one of the worst security crises on our continent, the role that the OSCE has to play in addressing it is ever more important. We need a strong and resolute OSCE, which fosters a comprehensive, indivisible and co-operative approach to security, as envisaged by numerous milestone documents we all have subscribed to,” Janelidze said.
Janelidze emphasized the importance of the Vienna Document in relation to conventional arms control and expressed Georgia’s full support for this important confidence and security building mechanism. “Georgia is ready to constructively engage in the negotiation process on updating the Vienna Document in 2016, with the aim of increasing military stability, transparency and predictability for all participating States.”
Highlighting the OSCE’s contribution to addressing transnational threats, Janelidze said: “We should use all means provided by this institution to tackle threats arising from violent extremism and radicalization that lead to terrorism, cybercrime, human trafficking and other forms of organised crime.”
Georgia’s Foreign Minister expressed appreciation for the role which the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights and the OSCE Parliamentary Assembly, along with other international institutions, had played in improving the election system in Georgia.
“2016 is a year of parliamentary elections in Georgia. We are determined to hold transparent, free and fair parliamentary elections in full compliance with international standards and best democratic practices,” Janeldize said.
In his address, Minister Janelidze spoke about Georgia’s domestic reform agenda and its strong commitment to the European and Euro-Atlantic integration process.
The Foreign Minister also called for a stronger role of the OSCE in addressing the situation of conflict-affected populations in Georgia, including through the restoration of a full-fledged and comprehensive OSCE presence, the continuation of the Organization’s active participation in the Geneva International Discussions and the expansion of confidence-building activities. In expressing concern over the recent tragic shooting of Giga Otkhozoria on May 19 in the village of Khurcha, Minister Janelidze emphasized the need for international monitoring of the security and human rights situation in the territories controlled by Sukhumi and Tskhinvali.
Related StoriesLe Département d’État américain a publié, jeudi 2 juin 2016, un document de 400 pages sur la lutte que mène l’Algérie contre le terrorisme, indique une source TSA.
Le rapport en question met en évidence les dispositifs qu’a mis en place le pays contre le terrorisme, qu’ils soient d’ordre sécuritaire, financier ou légal.
Voici les principaux éléments à retenir du rapport:
Washington estime que de grosses sommes d’argent auraient circulé en dehors du contrôle des autorités. Des transactions importantes évaluées entre 30 et 40 milliards de dollars qui constituent une source d’inquiétude pour les autorités américaines, car ces sommes peuvent servir au financement du terrorisme.
Les auteurs du rapport n’excluent pas que l’Algérie dispose d’instruments adéquats pour la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Le département américain indique aussi que l’Algérie est confronté à 4 menaces terroristes majeures, à savoir : les groupes d’Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), le Mouvement pour l’unicité et le Jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), le groupe Al-Mourabitoune et celui de Jound al Khalifa, une branche de Daech.
L’Algérie «consacre des ressources considérables afin d’assurer sa politique sécuritaire», notamment la sécurisation des frontières, le renseignement, l’investigation, les forces de réaction rapides.
Par ailleurs, le rapport n’oublie pas de mentionner le refus de l’Algérie de participer à la coalition internationale contre Daech, au nom de non-interventionnisme dans les affaires souveraines des États.