Feed aggregator

Centenaire de Mère Teresa : l'Albanie en fait un peu trop
Le monde albanais célèbre en grande pompe le centenaire de Mère Teresa
Et la Macédoine baptisa son autoroute « Mère Teresa »...
Albanie : un mémorial à Mère Teresa pour remplacer la statue d'Enver Hoxha ?
Albanie : l'Église catholique va célébrer la mémoire de ses martyrs

/ Albanie, Macédoine, Kosovo, Courrier des Balkans, Alb Religions, Religions

Centenaire de Mère Teresa : l'Albanie en fait un peu trop
Le monde albanais célèbre en grande pompe le centenaire de Mère Teresa
Et la Macédoine baptisa son autoroute « Mère Teresa »...
Albanie : un mémorial à Mère Teresa pour remplacer la statue d'Enver Hoxha ?
Albanie : l'Église catholique va célébrer la mémoire de ses martyrs

/ Albanie, Macédoine, Kosovo, Courrier des Balkans, Alb Religions, Religions

Centenaire de Mère Teresa : l'Albanie en fait un peu trop
Le monde albanais célèbre en grande pompe le centenaire de Mère Teresa
Et la Macédoine baptisa son autoroute « Mère Teresa »...
Albanie : un mémorial à Mère Teresa pour remplacer la statue d'Enver Hoxha ?
Albanie : l'Église catholique va célébrer la mémoire de ses martyrs

/ Albanie, Macédoine, Kosovo, Courrier des Balkans, Alb Religions, Religions

Egy jelentős lépést tesz hazánk gázellátásának diverzifikálása felé, amikor pénteken Budapesten aláírják a közel 200 millió eurós támogatási szerződést a bolgár-román-magyar-osztrák gázfolyosó romániai szakaszának kiépítéséről. A horvát folyosóval együtt 2019-től akár már két új forrásból érkezhet földgáz Magyarországra.

(B2) Depuis 2001, l'Union européenne s'est dotée d'un mécanisme européen de protection civile, pour favoriser les interventions conjointes d'assistance en Europe, et dans le reste du monde, et pour renforcer la coopération entre les autorités nationales de protection civile des différents pays européens. Ce mécanisme a été considérablement consolidé en 2013, avec le renforcement des capacités opérationnelles […]

L’eurodéputé Robert Rochefort a été interpellé, mercredi, après avoir été surpris dans un magasin de bricolage en train de se masturber à proximité d’enfants.

Du 30 août au 3 septembre 2016, se tiendra à Budapest la 5éme Conférence Internationale de la Décroissance. Cette rencontre prévoit de réunir 600 universitaires et pratiquants de la Décroissance autour d'ateliers participatifs et de plénières. En parallèle, et pour la première fois, un festival ouvert proposera dans toute la ville des ateliers pratiques, des visites d'alternatives où créativité et démocratie participative se mêleront à la convivialité pour imaginer d'autres possibles.
La dernière rencontre (...)

/ Ailleurs

Du 30 août au 3 septembre 2016, se tiendra à Budapest la 5éme Conférence Internationale de la Décroissance. Cette rencontre prévoit de réunir 600 universitaires et pratiquants de la Décroissance autour d'ateliers participatifs et de plénières. En parallèle, et pour la première fois, un festival ouvert proposera dans toute la ville des ateliers pratiques, des visites d'alternatives où créativité et démocratie participative se mêleront à la convivialité pour imaginer d'autres possibles.
La dernière rencontre (...)

/ Ailleurs

[Extrait du numéro 81 de Questions Internationales]



La relation franco-algérienne serait si “passionnelle” (DUBOIS, TABET, 2015) qu’elle en deviendrait “infernale” (TUQUOI, 2007). Comment prétendre encore la dépassionner, oublier le passé pour construire l’avenir – comme l’ont promis pratiquement tous les présidents français de la VeRépublique –  lorsqu’on en connaît la toile de fond historique, ses plaies, ses chiffres ? Car elle participe de ce phénomène qui reste l’un des plus indéchiffrables dans les relations internationales : la relation de politique étrangère post-coloniale. Une relation faite de passion, d’intimité, de nostalgie pour certains, de haine pour d’autres, sentiments d’autant plus persistants qu’ils sont entretenus par de nombreux acteurs toujours en vie de part et d’autre de la Méditerranée. Pour beaucoup d’Algériens, la France reste un référentiel dont certains segments de la société continuent de suivre l’actualité, des arcanes politiques jusqu’aux programmes de télévision ; de la politique des visas jusqu’aux artistes en vogue. La classe politique française, encore sous François Hollande, compte de nombreux ténors nés en afrique du Nord : c’est un ministre important qui vient visiter pour la première fois un cimetière français d’Oran où une partie de sa famille est enterrée ; c’est un haut fonctionnaire de police qui s’échappe d’une visite officielle pour appeler son père en France et lui dire, dans l’émotion qu’on imagine : « je suis devant la maison ».[1] Que nous apprend cette relation franco-algérienne du point de vue de l’analyse de la politique étrangère ? Le couple Paris-Alger donne d’abord à voir un cas de dilemme « rupture impossible, normalisation improbable », qui n’est pas rare : la densité de l’interaction est si forte entre les deux pays que l’on ne saurait aller à la rupture, ni même se laisser aller à l’ignorance mutuelle. Mais le poids du passé est tel que cette interaction ne peut se banaliser.[2] Par ailleurs, elle offre un mélange de réalisme (le poids des intérêts et des appareils d’Etat) et de construction sociale de la réalité (perceptions des rôles et des identités), à ravir les théoriciens. Elle met également aux prises les acteurs, qui tentent d’imprimer leur marque sur cette relation, et le système (international ou régional), qui unit la France et l’Algérie dans un même contexte méditerranéo-sahélien de sécurité. La spécificité franco-algérienne réside dans le cumul de ces incertitudes, qui rend toute anticipation prospective pour le moins difficile.
[1] Ch. Dubois, M-Ch. Tabet, Paris Alger. Une histoire passionnelle, Stock, Paris, 2015, p.87 et sqq. [2] Voir http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/03/18/algerie-france-memoires-sous-tension_1669417_3212.html

Cinq personnes ont été tuées dans les violences post-électorales, selon un bilan communiqué, ce vendredi 2 septembre 2016, par le porte-parole d'Ali Bongo, Alain-Claude Billie. Pour sa part, le ministère de l'Intérieur a fait état de son côté de 1 100 interpellations en date de jeudi après-midi. Des centaines de militaires et de policiers se sont déployés vendredi dans Libreville, où les habitants ont commencé à ressortir dans les rues et où des magasins ont rouvert après deux jours d'émeutes. La garde républicaine a pris position à proximité du palais présidentiel.

Des jihadistes d'un groupe non identifié ont fait irruption vendredi dans la ville de Boni, située au centre du Mali, mettant un temps en déroute les militaires qui s'y trouvaient avant qu'ils ne reprennent le contrôle de la ville.

Le Parti du chien à deux queues (MKKP) a encore frappé. Le célèbre mouvement satirique a décidé de tourner en dérision la campagne d’affichage gouvernementale en vue du référendum sur les quotas de réfugiés le 2 octobre prochain.

En juillet dernier, le gouvernement de Viktor Orbán a dévoilé une série d’affiches choc pour promouvoir le référendum sur les velléités de Bruxelles d’imposer à l’avenir tout système de quota de réfugiés aux États membres de l’Union européenne. Une formulation un peu ampoulée mais qui résume assez bien les enjeux assez obscures de cette consultation nationale, prévue pour le 2 octobre prochain. Les messages inscrits sur ces affiches, en mode «Le saviez-vous ?» avaient suscité un tollé du côté de l’opposition, reprochant au parti au pouvoir – le Fidesz – de verser dans la surenchère xénophobe.

«Le saviez-vous ? L’attentat de Paris a été commis par des migrants»

Alors que la gauche a décidé de boycotter le scrutin, l’espace public, que ce soit en ville ou en zone rurale, a été envahi par ces grandes affiches bleues et jaunes, enjoignant les Hongrois à prendre la mesure du péril migratoire associé au risque terroriste. Pour rééquilibrer l’effet visuel total de la campagne, le Parti du chien à deux queues (MKKP), célèbre mouvement satirique, a décidé de riposter sur le ton de la dérision. Le résultat : une série de visuels reprenant les codes graphiques de la propagande gouvernementale, avec des messages tous plus absurdes les uns que les autres, ayant pour point commun la baseline suivante : «Question con, réponse con : fais que ton vote soit invalide !». Si le référendum n’attire pas suffisamment de suffrages exprimés (50%), il sera invalidé.

«Le saviez-vous ? Celui qui est contre eux est avec eux.»

«Le saviez-vous ? Non.»

«Le saviez-vous ? Quoi donc ?»

«Le saviez-vous ? Un Hongrois moyen a vu plus d’OVNI dans sa vie que de réfugiés.»

«Le saviez-vous ? La plupart des délits de corruption sont commis par des politiciens.»

«Le saviez-vous ? En Syrie, c’est la guerre.»

«Le saviez-vous ? De la Hongrie, plus d’un million de personnes aimeraient aller en Europe.»

«Le saviez-vous ? Seulement en Mongolie, quatre personnes sont mortes l’année dernière en glissant sur une peau de banane.»

«Le saviez-vous ? Ce que tout le monde répète, ça parait vrai. Ce que tout le monde répète, ça parait vrai. Ce que tout le monde répète, ça parait vrai. Ce que tout le monde répète, ça parait vrai. Ce que tout le monde répète, ça parait vrai. Ce que tout le monde répète, ça parait vrai.»

«Le saviez-vous ? Depuis la création du prix, c’est János Áder qui a reçu le plus de Croix de Chevalier.» (en référence à l’affaire Bayer)

«Le saviez-vous ? Si vous écrivez un message trop long sur une affiche, personne n’aura le temps de la lire jusqu’au bout, mais celui qui essaye malgré tout, alors ça gênera son attention et …»

«Le saviez-vous ? Depuis le début de la crise migratoire, il y a plus d’affiches bleues en Hongrie que de réfugiés.»

«Le saviez-vous ? Moscou veut établir une centrale nucléaire en Hongrie.» (en référence au scandale de Paks)

«Le saviez-vous ? Les gens ne sont pas stupides.»

A Tana-tónak is otthont adó, Szudánnal határos észak-etiópiai Amhara tartományban tovább növekszik a már eddig is elég magas szinten létező feszültség, miután helyszíni (nem megerősített) beszámolók szerint például Debarq, Bahir Dar vagy éppen Gonder városában (de a régió városainak többségében voltak gyújtogatások, barrikádok) a felvonuló tüntetőket és tiltakozókat a biztonsági erők éles lőszerrel oszlatták az elmúlt napokban – egyes források közel 50 halálos áldozatról számoltak be az elmúlt egy hét összecsapásai során. És hogy még durvább jövőkép várható, azt az etióp miniszterelnök pár nappal ezelőtti bejelentése is megerősíti, amiben Hailemariam Desalegn a hadsereg bevetését is elrendelte az amharai konfliktus megoldására (a beavatkozást állítólag a régiós vezetés kérte) és katonai körzetekre osztotta fel a területet.

Szintén nem megerősített információk és blogbejegyzések szerint a telefonokat megfigyelik és az internetszolgáltatás is korlátozásra került – valószínűleg így próbálják meg a Facebookon és Twitteren már így is nagy sebességgel, #Amharaprotests hashtag alatt terjedő képek és beszámolók közzétételét gátolni. A mostanra már igencsak eszkalálódó konfliktus Amharában (mert Oromiában is van egy hasonló tüntetéshullám) akkor robbant ki, amikor még július végén a welkit (wolqayt) közösség vezetőit megpróbálták őrizetbe venni a hatóságok, miután azok követelést nyújtottak be a kormányhoz, hogy a jelenleg Tigré szövetségi államhoz tartozó welkit területek kerüljenek át Amharába, mert a welkit közösség magát Amharához tartozónak tartja és a Tigré vezetést korruptnak, elnyomónak bélyegezte meg.

A tüntetések azóta tartanak kisebb-nagyobb intenzitással, például az elmúlt néhány napban Gojam és Gonder városaiban több tízezren vonultak fel a kormány ellen tüntetve, de sokan ezeket a megmozdulásokat már a welkit-ügyön túlmutatóan, a 2015. novemberében, Oromiában az oromók által kezdett tüntetésekkel való szimpátiaként is látják (azoknak az első kirobbantó oka az volt, hogy Addisz-Abeba területét Oromo régió területének kárára akarták bővíteni). Bár a kormány a tüntetések tényét elismeri, a biztonsági erők túlkapásait tagadja, állítólagosan nincs szó éles lőszerrel történő oszlatásról és a különböző kormánytisztviselők az otthonmaradással tüntető és így a mindennapi életet nehezítő polgárok otthonaiba való betöréseket is cáfolták. Azt tudjuk, hogy Etiópia bizonyos régióiban évtizedek óta alacsony intenzitású kormányellenes lázadások zajlanak, de ilyen méretű és kiterjedésű tüntetéshullámra 25 éve nem volt példa az országban és most sem köthetőek egyetlen specifikus kirobbantó okhoz, az oromók és az amharák számára úgy tűnik eddig tartott a marginalizáció, gazdasági elnyomás tűrése, ahogy ezekben a régiókban hallani lehetett, az emberek már nem akarják tovább tűrni, hogy míg Addisz-Abebában döbbenetes méreteket öltő fejlődést lehet látni, addig Amhara és Oromia egyes területein súlyos mélyszegénység létezik.

A tüntetések az egész országot megérintették, elég ha a riói olimpián kezét keresztbe téve célba érkező maratonfutó, Feyisa Lilesa esetét vesszük, aki a tévékamerák kereszttüzében vállalt szolidaritást honfitársaival. Gondoljunk bele, az országot irányító elit a tigrinyák soraiból kerül ki, akik a lakosság mindössze 6%-át képviselik, szemben az oromók és amharák összességében 60%-ot is meghaladó arányával. Az igazán nagy kérdés tehát most az, hogy mi fog történni Etiópiában, egyszerűen megnyugszanak majd a kedélyek vagy akár tovább is eszkalálódhat a helyzet, ami nem lenne jó, hiszen az elmúlt évtizedekben Etiópia iszonyatos fejlődésen ment keresztül, a gazdasági liberalizáció következményeként kétszámjegyű gazdasági növekedésről beszélünk, fejlesztési programok indultak az oktatás, környezetvédelem, egészségügy és telekommunikáció területén és Etiópa rengeteget tett a régiós béke megőrzéséért.

És bár a média szerepe megkérdőjelezhetetlen az Etiópiáról jelenleg kialakult képnek (bukott államnak nevezik az országot már most, etnikai háborúktól tartanak és így tovább), az biztos, van még mit tenni bizonyos politikai és etnikai kérdésekben – mindezek ellenére viszont Etiópiát bukott államnak nevezni hatalmas tévedés, egy iszonyatos fejlődésen átment és iszonyatos fejlődés előtt álló óriási és csodaszép országról van szó, ahol a gazdaság növekedése nem megkérdőjelezhető, az egy külföldi számára is mindenhol látható és észlelhető.

twitter.com/napiafrika

5 ember kedveli ezt a posztot.Tetszett az írás.Tetszett az írás.

Kolozsvár 7oo címmel szerveztek ünnepi kiállítást a Kolozsvári Magyar Napok keretében, az Erdélyi Történelmi Múzeumban, ahol páratlan dokumentumokat láthattunk, mégpedig eredeti formában, zömét a Kolozsvári Levéltárból: a város kiváltságlevelét, egy 1336-os változatot, valamint több olyan kiváltságl...

La liste des parrains des quatre candidats donne une idée du rapport de force au premier tour de la primaire écologiste, qui devrait se tenir en octobre.

Vollkommen Dumm kriminell, übetrifft heute Frank Walter Steinmeier jedes Verbrechen aus der Nazi Zeit. Man kann ihn vollkommen kriminell und korrupt nennen, allein wegen seiner Scheckbuch Diplomatie (Zitat Obama in 2009) sprich Bestechung, kompletter Regierungen und oft sind Kriminelle Diktatoren der Partner, oder Mörder und Drogen Bosse Moral kennt man nicht, nur ein Meer von Lügen. Verantwortlich auch für das Desaster mit der Banken Mafia, als man jede Kontrolle aufgab. Die EU-Außenminister am Freitag in Bratislava. (Foto: dpa) Kurswechsel bei Türkei-Politik Nach den USA reichen auch Merkel und die EU Erdogan die Hand Deutschland und die EU vollziehen nach Einschätzung der türkischen Medien einen Kurswechsel im Verhältnis zur Regierung des […]

Good morning, Zǎoshang hǎo,

Fully supporting  President Juncker's comments and assesments, I want to briefly touch upon three additional topics that the European Union will address during this G20 summit.

First, the migration and refugee crisis, which is a global challenge that requires global solutions based on order, responsibility and solidarity. In light of an unprecedented number of 65 million displaced people all over the world, the G20 community needs to scale up its share of responsibility. Only global efforts supporting refugees and their host communities will be able to bear fruit. That is why we want to encourage our partners to increase humanitarian and development aid, as well as refugee resettlement. We need to address the root causes that force millions of people to leave their homes and seek shelter elsewhere. The G20 has the expertise to make practical contributions through trade, development cooperation and refugees' access to education and labour market, and it must make use of it. We will urge the G20 to seize the opportunity of the forthcoming summits on refugees and migrants hosted by the UN and President Obama to increase aid and resettlements by countries outside Europe. It is even more important in view of the fact that the practical capabilities of Europe to host new waves of refugees, not to mention irregular economic migrants, are close to the limits.

Second, terrorism. Terrorist attacks are a threat to all our countries. A comprehensive approach against terrorism must involve actions to counter extremism and radicalization. This also includes a financial dimension. The G20 has already taken important steps to tackle terrorism-financing networks and to improve cooperation on the exchanges of information, freezing assets and on criminalization of terrorism-financing. We need to advance our work at G20 further in order to address this challenge that no country can handle on its own.

Third, climate change. The G20 has an important role to play in this global struggle. With major emitters around the table we need to make sure that our common priority is to implement the Paris agreement early and in a robust manner. The EU is fully committed to this goal and we want to encourage all G20 members to do the same. We are also happy that the United States and China, the two biggest global emitters, ratified the agreement. Before Paris, Europe was rather alone with our climate change policy. The ratification by the US and China is for us a hope that we will no longer be alone. Europe has had a comprehensive climate change policy in place already for years. Right now we are developing the laws which will allow us to deliver our ambitious target for 2030. We expect the challenge of climate change to be dealt with in all seriousness by the G20 partners. In the meantime, the ratification process is under way in the EU and will be completed as soon as possible.

Finally, let me say that there could not be a more dynamic place in the whole of China than Hangzhou to inspire our discussion on how to reinforce global cooperation. The European Union welcomes China's Presidency of the G20 this year and we look forward to having a successful summit in Hangzhou. Thank you.