Felolvasom a nyilatkozatot, amelyet a mai euróövezeti csúcstalálkozón fogadtunk el:
1. Azért találkoztunk ma este, hogy megvitassuk Görögország súlyos helyzetét. Nyugtáztuk, hogy az euróövezeti hatóságok készen állnak arra, hogy bármilyen szükséges lépést megtegyenek az euróövezet egészének stabilitása érdekében.
2. Alékszisz Cíprasz miniszterelnök vállalta, hogy a görögországi népszavazást követően új programjavaslatot nyújt be az Európai Stabilitási Mechanizmus létrehozásáról szóló szerződésben meghatározott kereteknek megfelelően és a szigorú szakpolitikai feltételekre kiterjedően.
3. Megállapodtunk arról, hogy sürgősen megvizsgáljuk, lehetséges-e olyan alapot kialakítani, melyre a meglévő kötelezettségek és a közös szabályaink tiszteletben tartása mellett megállapodás épülhet.
4. A görög kormány legkésőbb július 9-én, csütörtökön benyújtja átfogó, konkrét és részletes reformjavaslatait, amelyekről aztán a három intézmény értékelést készít és azt megosztja az eurócsoporttal.
5. Az állam-, illetve kormányfők július 12-én, vasárnap ülést tartanak.
***
Engedjék meg, hogy saját meglátásaimat is megosszam Önökkel pár szóban. A jelenlegi helyzet kialakulásáért a tárgyalások minden résztvevője felelős. Ezért arra kértem az összes vezetőt, hogy próbáljanak meg konszenzusra jutni: ez közös sikerünk volna, győztesek és vesztesek nélkül. Ha viszont nem sikerül, az a tárgyalások végét jelenti, annak minden lehetséges következményével együtt – ideértve a legrosszabb forgatókönyvet is, amelynek esetében mindannyian veszítenénk. Ha nem tudunk megállapodásra jutni, Görögország csődbe mehet, bankrendszere pedig fizetésképtelenné válhat. Ez értelemszerűen nagyon súlyosan érintené a görög népet. Nincs kétségem afelől, hogy ez geopolitikai értelemben is hatással lesz egész Európára. Naivitás azt remélni, hogy ez nem így lesz.
A rideg valóság az, hogy mindössze öt napunk van arra, hogy végső megállapodásra jussunk. Mindezidáig nem beszéltem határidőkről, de ma este minden kételyt kizáróan ki kell mondanom, hogy e hét végén lejár az utolsó határidő is. Mindannyian felelősek vagyunk a válságért, tehát mindannyian felelősek vagyunk annak megoldásáért is.
La Budapest Pride, festival de la communauté LGBT en Hongrie, s’est ouverte le 3 juillet et se prolongera pendant 10 jours, avec des concerts, ateliers, soirées littéraires, expositions et performances artistiques.
Point d’orgue de cette semaine de festivités, le défilé de la Budapest Pride aura lieu le samedi 11 juillet et célèbre cette année les 20 ans de l’événement.
Protestation et manifestation de fierté contre les vexations, les humiliations et les discriminations dont sont victimes les membres de la communauté LGBT, ce festival s’est ouvert sous les sombres auspices du maire de Budapest, István Tarlós, qualifiant la Gay Pride d’événement « contre-nature et repoussant ». Malgré ses réticences, le défilé aura bien lieu sur l’Avenue Andrássy, partant de l’angle de Nagymező à 15h30 pour arriver au Tabán.
Cette année encore, le cortège devrait se déplacer sous la protection d’importants renforts policiers.
Budapest Pride : progamme
Sur le même sujet :
Pour le maire de Budapest, la Gay Pride est « contre-nature et repoussante »
Gay Pride : les organisateurs obtiennent gain de cause
Le mariage gay ne risque pas de voir le jour de si tôt en Hongrie
A Tanács több időt kíván biztosítani ahhoz, hogy a folyamatban lévő tárgyalások keretében tartós megoldás születhessen az iráni nukleáris kérdésről, ezért 2015. július 10-ig meghosszabbította bizonyos uniós korlátozó intézkedések felfüggesztését, amelyről az Iránnal közösen létrehozott, 2013. november 24-i együttes cselekvési tervben született megállapodás.
Serge Sur, 2014 ou les marteaux sans maîtres
sous la direction d'Emmanuel Bourdoncle et Manon-Nour Tannous
Jean-Pierre Colin et Grégory Chauzal, Introduction
Virginie Baudais et Grégory Chauzal, L'annus horribilis d'Ibrahim Boubacar Keïta. De la figure du Président de crise à la crise présidentielle malienne,
Apolline Gagliardi, La République centrafricaine en crise. Les espoirs déçus de la transition
menée par Catherine Samba Panza
sous la responsabilité d'Julian Fernandez et Nicolas Haupais
sous la responsabilité deBernard Sitt et Benjamin Hautecouverture
sous la responsabilité d'Alexandra Novosseloff
sous la responsabilité de Jacques Fontanel et Françoise Nicolas
sous la responsabilité d' Emmanuel Decaux
sous la responsabilité de Michel Mathien
sous la responsabilité de Xavier Pasco
sous la direction d'Anne DULPHY
Prix Albert Thibaudet
Notes de lecture
Chronique bibliographique de l'année 2014
Les techniques, technologies et infrastructures destinées à augmenter la disponibilité en eau (eau potable, irrigation...) connaissent un essor significatif depuis plusieurs décennies. Face à des pénuries en eau récurrentes et de plus en plus étendues, le recours à cet éventail de solutions, à l'image du dessalement, est perçu par un nombre croissant de pays comme un moyen de sécuriser quantitativement leur offre en eau. La mise en œuvre de ces infrastructures et technologies, lorsqu'elle sert une vision de la gestion de l'eau excessivement centrée sur l'offre, crée cependant de nouvelles vulnérabilités techniques, de gouvernance et de développement.
ddLes décisions du Conseil des ministres de l'Agence spatiale européenne du 2 décembre 2014 ont acté le financement de la construction d'un nouveau lanceur Ariane 6. Cette décision, prise au plus haut niveau politique, a fait suite à quelques années de débats intenses qui ont montré l'étendue des désaccords techniques, industriels et politiques entre quelques Etats-clefs, parmi lesquels l'Allemagne, la France et, à un moindre titre, l'Italie. Au lendemain de la solution politique qui a été trouvée, il est intéressant de revenir sur les crises passées subies par ce secteur d'activité en Europe pour comparer les situations, pour en discerner les causes profondes et mieux comprendre l'actualité des principes fondamentaux qui ont construit l'Europe spatiale.
ddLa décision de poursuivre le Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) au-delà de son échéance en 2015 interpelle la société civile (SC) quant à son rôle et son utilité dans la nouvelle phase du Sommet et dans la continuité du Forum sur la gouvernance de l'Internet. Dix ans après Tunis (2005), une grande partie de la SC dresse un bilan décevant et démobilisateur du processus de suivi du SMSI. Le déroulement quasi rituel de ses Forums bannit toute analyse critique et dialectique de l'évolution de la « société de l'information ». Seule une nouvelle dynamique et un élargissement des débats à tous les acteurs réellement impliqués, dans la société en général, peuvent inciter la SC à continuer son engagement et à contribuer de manière décisive à l'élaboration des nouveaux objectifs à assigner au SMSI au-delà de 2015. Quant à la gouvernance de l'Internet, si la SC constate des progrès accomplis par les neuf Forums annuels, le NETMundial, tenu à Rio et à l'initiative du Brésil en avril 2014, suite à l'espionnage massif organisé par la National Security agency (NSA) et le gouvernement américain, a déçu une bonne part de la SC. Et la « récupération » de NETmundial par le Forum économique mondial (FEM) à travers son « Initiative NetMundial » (NMI), a abouti à un clivage de la société civile autour du concept de partenariat multi-acteurs (PMA), le modèle de gouvernance imposé par le SMSI. Une partie importante de la SC conteste désormais sérieusement ce modèle et refuse toute participation à l'Initiative NETMundial du FEM. Dès lors, le risque d'un schisme existe au sein de la SC, alors que la crise de confiance née des agissements illégaux de la NSA impose des mesures concrètes de protection de l'Internet pour assurer la liberté d'expression des droits des citoyens et le respect de leur vie privée.
ddL'Europe s'est dotée d'institutions chargées de créer et de rassembler les informations statistiques jugées indispensables à sa construction. Eurostat harmonise et contrôle les données collectées et traitées par des organismes nationaux de statistiques parfois mis en place il y a plusieurs siècles. De son côté, l'Eurobaromètre est un service de la Commission créé afin de permettre une bonne connaissance de l'opinion des Européens en vue d'une gouvernance plus proche des citoyens. Si les sondages ne doivent pas dicter les politiques, les politiques ne peuvent ignorer les attentes des populations, bien souvent fugitives et contradictoires. Mélange subtil de science et de politique mais objet original, l'Eurobaromètre est soumis à de nombreuses critiques, en raison de sa nature même, ainsi que de ses insuffisances. Il n'a pas su encore s'imposer dans le paysage médiatique.
ddLes médias d'information et de communication, au XXIe siècle, analysent les conflits militaires au fur et à mesure de leur apparition. Informant le public des lecteurs, auditeurs et téléspectateurs, de l'évolution des théâtres d'actions militaires, ils s'autorisent à donner leur version des faits et à expliquer les origines des conflits. Ils s'engouffrent facilement dans la brèche ouverte par « le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes », même s'ils dénient ce droit aux uns – comme à la Crimée – et le reconnaissent à d'autres – le Kosovo. En réalité, les médias se plient à la règle du politiquement correct, pour éviter d'hérisser les décideurs politiques de leurs Etats respectifs. Très souvent, depuis plus d'un demi-siècle, ils développent les fondements ethniques et claniques de nombreux conflits en Afrique et en Asie, mais, dans leur majorité, au mieux minorent, au pire ignorent, les racines économiques des tensions, des crises, voire des conflits armés. Ils seraient bien inspirés d'analyser les crises récentes dans le Caucase ou à venir, en Méditerranée ou dans l'océan Pacifique sous l'angle des ressources énergétiques (pétrole, gaz, hydrates de méthane). Ils comprendraient alors que les conflits au XXIe siècle ne sont pas ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent faire croire qu'ils sont !
ddSzeretném meghívni Önt az euróövezet állam-, illetve kormányfőinek és a Bizottság elnökének 2015. július 7-én 18.00 órakor kezdődő nem hivatalos találkozójára.
Úgy vélem, a görögországi népszavazást követően mielőbb össze kell ülnünk, hogy a lehető legmagasabb szinten vitassuk meg a helyzetet és a lehetséges következő lépéseket.
Az Európai Központi Bank és az eurócsoport elnökét is felkértem, hogy csatlakozzon hozzánk.
EU Heads of State or Government of the Eurozone meet in Brussels on 7 July 2015 to discuss the urgent situation in Greece after the referendum of 5 July.