le mot se dit d’une « petite voilette faciale triangulaire qui orne le visage des Algériennes ». Le a’adjâr est constitué de fine toile brodée, dont les deux petits côtés sont ornées de dentelles, de broderies ou parfois des deux. Les extrémités du grand côté sont munies d’un fin galon, qui permet de nouer ce A’ajar derrière la tête.
L’a’adjer est toujours associé au h’âïk, avec lequel il constitue la dernière touche du costume de sortie des algériennes. La tenue au complet fut portée par les femmes berbères dès le moyen âge*, et il convient de préciser que le h’âïk est un voile qui découle du peplos dorique grec (tunique antique grecque). Il fut adopté par les numides à partir du règne de massinissa et de son fils Micipsa.
Symbole d’une lutte, d’un combat, d’une révolution, et celle de d’une Algérie libre à l’époque coloniale, la tradition de cette tenue ancestrale, s’est éteinte avec l’accession à l’indépendance, pour être remplacée à l’époque moderne par le port du hidjab, djilbab et autres tenues orientales.
* De brèves, relation des voyages de Monsieur de Brèves, 1628
Oxford Business Group vient de publier The Report Algeria 2015, qui marque le dixième anniversaire de la présence du cabinet londonien d’intelligence économique et de conseil en Algérie.
Le document contient des analyses sur le secteur de l’énergie, des banques et services financiers, de l’industrie et des mines, du transport et de l’agriculture, entre autres. Le document comprend aussi l’interview de Boudjema Talaï, ministre des Transports, de Mohamed Chami, directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie d’Algérie, de Kaddour Bentahar, directeur général des Douanes algériennes, et de Boualem Djebbar, président de l’Association professionnelle des banques et institutions financières, et du Groupe d’intérêt économique.
Pour un bilan des dix ans d’existence, le directeur général d’OBG sera à Alger au mois de mars.
Environ 70 familles habitant des fermes dans la commune de Kouba interpellent les autorités locales sur l’imbroglio administratif dans lequel elles se débattent depuis qu’elles ont été mises dans le programme de relogement. Selon un de leurs représentants, ces fermes ont été considérées à tort comme des bidonvilles, d’où l’injonction de transférer les familles qui y résident vers des logements sociaux.
“Nous habitons ces fermes, qui datent de l’époque coloniale, depuis 1963. En 1987, nous avons obtenu un acte administratif provisoire de cession de terrain. En 1996, nous avons reçu des décisions provisoires de régularisation. Nous attendons depuis l’achèvement de la procédure de régularisation”, explique notre interlocuteur.
Il dit que toutes les demandes d’audience adressées au président de l’APC sont restées sans suite. “Nous ne voulons pas quitter nos fermes. D’ailleurs, aucune raison ne justifie notre délogement puisque ce ne sont pas des bidonvilles. Et puis, il n’y a pas de projet d’utilité publique prévu à cet endroit”, s’insurge-t-il, en disant que les familles qu’il représente sont déterminées à aller jusqu’au bout pour être réhabilitées dans leurs droits.
Le principal opposant en Ouganda, Kizza Besigye, a été arrêté lundi matin pour la tro
Les autorités municipales ont fait dans la maladresse en accolant au patronyme d’Henry Maillot le qualificatif “franssou” sur la plaque apposée à la place (El-Madania, à proximité du ministère de la Santé) baptisée, jeudi dernier, au nom du militant pour l’indépendance de l’Algérie.
Lors de sa sortie de travail et d’inspection dans plusieurs localités de la wilaya, le wali de Béjaïa a donné instruction de procéder à la pose de gazon dans tous les stades de proximité. Ces infrastructures sportives, construites à coups de millions de dinars puis abandonnées et mal entretenues, disposent de surfaces en béton.
Ce qui fait courir un gros risque de chute et de blessure aux sportifs. D’où l’urgence d’une intervention des services concernés pour les remettre en état.
À noter que la fréquentation de ces stades de proximité baisse de jour en jour en raison de la rigidité des matériaux utilisés pour le revêtement des terrains de jeu.
Lors d’un barrage sur la route à la commune de l’Arba (Blida), les agents de la section de sécurité et d’intervention du groupement territorial de la Gendarmerie nationale ont interpellé 13 personnes qui transportaient à bord autant de camions frigorifiques, 2 702 kg de viande de dinde et 5 122 kg de poulets impropres à la consommation et sans registre du commerce.
À la même période, leurs collègues à Djelfa ont récupéré 4 quintaux de poulets avariés. La marchandise a été détruite et les personnes arrêtées mises en examen.
Cet article est apparu en premier sur Togoactualite.